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Fête des voisins... et de la voisine !

Après quelques années en centre-ville, nous avons fait le choix, ma femme et moi, d’opter pour une maison dans un village. La quarantaine approchant, nous avons envie de calme ! Si je suis plutôt citadin, Claire préfère la nature, grande sportive, elle aime aller courir dans les bois.

Pour nous intégrer au mieux dans le village, nous décidons d’inviter les voisins à dîner. D’abord réservés, ils se détendent petit à petit, la soirée se passe bien, ils sont agréables.

Quelques semaines passent et ils nous invitent à leur tour. Tandis qu’ils étaient venus seuls à la maison, cette fois leur fille est présente, mais ne reste que quelques minutes. On apprend qu’elle est en école de commerce et qu’elle cherche un stage dans l’immobilier. Elle précise que c’est difficile.

Étant moi-même dans le secteur, je lui indique que je viens déjà d’embaucher quelqu’un, mais que je peux passer quelques coups de fil à des confrères pour l’aider, elle me remercie.

Dès le lendemain, Vanessa m’envoie son CV. Déjeunant avec un confrère, j’en profite pour lui en parler, il me dit qu’il cherche justement une stagiaire ! Le soir venu, je croise le voisin et lui dis qu’un confrère cherche justement quelqu’un et qu’il va contacter Vanessa.

Quelques jours passent quand je reçois un SMS :

Je tenais à vous remercier, Monsieur X m’a contacté, j’ai passé l’entretien et il m’a rappelé ce matin pour me dire que j’étais prise, je démarre lundi, merci beaucoup ! Vanessa.

Deux mois passent, je revois mon confrère et lui demande comment se passe le stage :

• — Très bien me répond-il, elle est sérieuse, motivée. Depuis deux semaines, je l’ai envoyée sur le terrain, je pense même à l’embaucher à la fin du stage si elle confirme !

En rentrant le soir, un courrier dans la boîte aux lettres : la traditionnelle fête des voisins est organisée au village.

• — Génial ! me dit ma femme, c’est l’occasion de rencontrer d’autres personnes du village.

L’idée me paraît bonne, le jour venu, nous nous rendons donc à cette soirée, une bouteille et quelques pizzas à la main. Nous saluons les gens présents, plutôt agréables, mais après quelques minutes je m’ennuie, les discussions sont banales et sans intérêt.

C’est alors que j’aperçois Vanessa, elle vient me dire bonjour. Elle me remercie encore… On parle quelques minutes, je dois dire que je ne l’avais pas vraiment observée auparavant, mais je la trouve vraiment charmante : des yeux noisette, des cheveux longs, un sourire ravageur et une robe d’été qui laisse entrevoir une jolie poitrine.

Le petit ange sur mon épaule droite m’alerte :

Non, Julien, reprends-toi, elle doit avoir 22 ans, c’est la fille des voisins !

Je décide donc de ne pas m’éterniser, je vais chercher ma femme, mais elle semble apprécier la soirée et me dit qu’elle va rester encore un peu, je prétexte la fatigue et lui dis que je préfère rentrer.

• — Pas de souci, me dit-elle, je discute encore un peu avec Véro et je rentre après.

Tandis que je salue les personnes présentes, en allant à ma voiture, Vanessa me rattrape et me dit :

• — Je suis désolée, mais j’ai un rendez-vous très important demain, mon premier, mon patron m’a aidé à le préparer. Cependant, j’aimerais un deuxième avis, si vous avez cinq minutes vous pourriez m’aider ?

Ce sourire, ces yeux si expressifs me font fondre :

• — Pas de souci Vanessa, je suis à la maison demain matin, passe et on regarde.
• — Heu j’ai rendez-vous à 9 h, ça ne va pas vous faire trop tôt ?
• — Oui en effet je pensais me reposer et dormir un peu, mais tu as peut-être le dossier sur ton tél. ? J’allais partir, mais je ne suis pas à cinq minutes près.
• — Non, le dossier est à la maison… Mais j’allais rentrer aussi, ça vous dérange si on regarde maintenant ?
• — OK, mais rapidement, je suis fatigué, mais si je peux t’aider, OK !
• — Super, merci beaucoup, ça ne prendra que quelques minutes !

Je rentre. Dix minutes, passent, quinze, vingt… Toujours personne alors que la fête est à trois minutes en voiture de la maison.

C’est une de ces soirées d’été très chaudes, étouffante, et les verres de rosé m’ont aussi peut-être monté à la tête. Je décide d’aller me rafraîchir dans la piscine. Je commence à nager quand j’entends sonner à la porte. Je sors et vais lui ouvrir.

• — Désolé mais Kevin, le fils du boulanger, ne me lâchait pas !
• — Tu as du succès !

Elle sourit :

• — Mouais… Lui, je m’en passerais volontiers !

On rit.

• — J’en ai profité pour me rafraîchir, vous avez raison, il fait tellement chaud !

Je la regarde, pensif… Puis je reprends mes esprits, le petit ange sur mon épaule droite a toujours le dessus :

« Non, julien, tu ne vas pas te baigner avec la fille des voisins ! »

Je sors de l’eau :

• — Allez, montre-moi ce dossier.

Je regarde quelques minutes, mais j’ai du mal à me concentrer, ses seins, sa bouche… À un moment, ma main effleure la sienne… J’ai envie de la croquer ! J’oublierais presque que je suis en maillot, je crois voir son regard se baisser, a-t-elle vu l’effet qu’elle me fait ?

Gêné qu’elle puisse avoir remarqué, je reprends mes esprits, j’arrive à me calmer et après dix minutes je lui donne mon avis, elle est ravie et me remercie ! J’en profite pour aller chercher un peignoir et lui demande si elle veut boire quelque chose.

• — Oui, un rosé ! me répond-elle.

On parle de tout et de rien, du village, des voisins, du travail, des amours. J’apprends qu’elle a été en couple très jeune, pendant sept ans, et qu’elle a maintenant plutôt envie de penser à elle. Les minutes passent, ce n’est plus le père de famille et la jeune voisine, mais deux adultes entre qui le courant passe… L’attirance semble réciproque, je perds le contrôle !

Ayant rencontré ma femme très jeune, je n’ai connu que peu de femmes, je lui conseille de profiter de ces belles années et de s’amuser !

• — J’en ai envie, me répond-elle, mais les garçons de mon âge ne m’intéressent pas, mon ex était plus âgé, j’ai pris goût à davantage de maturité.

Je la vois regarder la piscine à plusieurs reprises, j’hésite, le petit ange me dit d’aller dormir, mais le petit diable prend le dessus :

• — Tu as envie de te baigner ?

Elle semble hésiter, puis répond :

• — Il fait super chaud, c’est tentant. Mais j’ai pas de maillot !
• — Eh bien, va en chercher un, je t’attends !

À peine a-t-elle franchi la porte que je regrette : et si ma femme rentre ? Et si ses parents l’apprennent ? On est dans un village, tout le monde va le savoir !!

Je saisis mon tél. pour lui dire que je suis vraiment fatigué, que je vais aller dormir, je commence à écrire, mais avant même que j’aie eu le temps de finir le message, elle est déjà de retour. Trop tard !

Maillot à la main, je lui dis qu’elle peut se changer dans la salle de bains.

Elle va se changer dans la salle de bains et réapparaît une minute plus tard, superbe : un corps de jeune femme, sa pratique du sport se voit, un corps ferme et tonique, une peau bronzée, à tomber…

Elle rentre dans la piscine en trois secondes, plonge sous l’eau puis ressort, sourire aux lèvres, cheveux en arrière, sublime !

• — Tu viens ?

Je ne me fais pas prier pour la rejoindre ! Le petit ange est en train de perdre la bataille !

• — Ça fait un bien fou !
• — Oui ! Allez, Vanessa, trinquons à ce stage et à ta réussite !

Je vais chercher une bouteille de champagne.

Installés dans un coin de la piscine, au moment de la servir, mon pied effleure le sien, je suis électrisé, on se regarde, j’ai envie d’elle… Envie de goûter ses lèvres, sa langue, envie de dévorer sa poitrine, de glisser ma langue entre ses cuisses !

Ces pensées ne me laissent pas indifférent, mon sexe retrouve ses vingt ans !

C’est alors que le petit ange reprend le dessus, je passe vite à autre chose, je reprends mes esprits et lui dis :

• — Il se fait tard, je suis fatigué et toi tu as un super rendez-vous demain matin.
• — Tu as raison, merci beaucoup pour tout !

Elle se lève mais glisse, je me précipite et la retiens ! Collé l’un à l’autre, on se regarde, l’instant paraît éternel… Je m’approche de sa bouche, nos langues se cherchent, se trouvent… Mes mains parcourent son corps, une main sur sa joue, son corps est divin, sa langue savoureuse ! Mais à cet instant, j’entends une voiture qui arrive, ma femme !

Je m’éloigne :

• — Vite, sors par-derrière !

Je cache la bouteille et plonge dans la piscine.

Ma femme arrive :

• — Tu n’étais pas fatigué ?
• — Si, mais j’avais surtout très chaud et je n’arrivais pas à dormir ! Tu me rejoins ?
• — C’est vrai qu’il fait très chaud, j’arrive !

Elle me rejoint, je repense à ce baiser, je m’approche de ma femme, commence à l’embrasser en pensant à Vanessa…

• — Tu es en forme pour quelqu’un de fatigué !

Visiblement ravie de l’effet qu’elle me fait, elle me rend ce baiser… Elle commence à me caresser, mes mains parcourent son corps, ses seins, ma langue joue avec la sienne, je pense à Vanessa… Claire sort ma queue de mon maillot, me caresse doucement, puis me branle, me fait asseoir sur le bord de la piscine et me prodigue une fellation dont elle a le secret. Alors que je la laisse gérer au début, après quelques minutes, je suis plus actif, de plus en plus… Ce n’est plus elle qui me suce, mais moi qui baise sa bouche, je sais qu’elle aime ça. Puis je glisse ma main entre ses cuisses, elle est trempée. Un doigt, puis deux entrent en elle, puis je la retourne contre le mur de la piscine, je me frotte d’abord doucement, ma bouche dans son cou, ma langue qui glisse vers le lobe de son oreille… Elle gémit.

Je frotte mon sexe contre le sien, elle s’ouvre et ma queue glisse en elle. Je commence à la pénétrer passionnément, doucement, je m’imagine faire l’amour à Vanessa… Chaque coup de reins est dicté par mes pensées envers ma jeune voisine, j’imagine son corps tonique, sa poitrine dans mes mains, ses gémissements quand je la pénètre… Je pétris la poitrine de Claire, elle en veut plus :

• — Baise-moi fort !

J’accélère, tire ses cheveux pour qu’elle se cambre davantage. Ma queue durcit, ces pensées me rendent fou et je perds le contrôle, je jouis en elle.

Je monte me coucher, je trouve le sommeil assez vite, bercé par la fatigue, l’alcool et cette soirée…