Résumé de l’épisode précédent :

Le lendemain, je me réveille, l’esprit un peu embué, qu’est-ce que j’ai fait ? Ma femme se réveille, nous allons courir, j’essaie de penser à autre chose.

Les jours passent, Claire part en vacances chez sa sœur une semaine.

Deux jours après son départ, le voisin passe :

• —  Julien comme tu es seul cette semaine, et que je sais que tu n’es pas un grand cuisinier, viens manger à la maison !

Quoi faire ? Si je refuse, il va trouver ça bizarre, si j’accepte, pas envie de croiser Vanessa…

J’accepte en me disant qu’en la présence de ses parents, je ne serai pas tenté.

Je me rends donc à 20 h chez les voisins, l’ambiance est bonne, ils me remercient encore pour ce stage, me disent que Vanessa est ravie, qu’elle va sûrement être embauchée… La soirée se passe bien, pas de Vanessa à l’horizon, avant de passer au dessert une envie pressante m’oblige à monter à l’étage, sortant des toilettes, j’entends une voix féminine, pas de doute c’est elle… Je sors des toilettes :

• —  Bonjour, Julien, tu vas bien ?
• —  Ça va, et toi ? Alors ce rendez-vous ?
• —  Super merci, le client est content, je le revois la semaine prochaine pour le mandat.
• —  Merci de ton aide !

Sur ces quelques mots, je redescends, Éric appelle Vanessa :

• —  Vanessa, maman t’a préparé ton dessert préféré, tu descends ?

Je finis de me préparer et j’arrive, répond-elle !

Quelques minutes passent, elle descend : jupe en cuir, décolleté, léger maquillage, je fonds…

On déguste ce tiramisu puis je ne tarde pas, je remercie mes voisins pour ce dîner, je salue Vanessa et je rentre à la maison.

Je me sers un verre au bord de la piscine, je ne peux m’empêcher de repenser à elle… Aucun doute, je suis sous le charme.

Ce sourire, ce visage d’ange, Je repense à ce baiser échangé… Je commence à me caresser, d’abord doucement, je m’imagine l’embrasser, caresser sa poitrine, glisser mes doigts entre ses cuisses, ma langue qui titille son clito… Ma queue durcit, j’ai envie d’elle, envie de la lécher, de la baiser…

C’est alors que mon tél. vibre : il fait toujours aussi chaud, j’ai bien envie de me baigner…

Qui remportera le combat ? L’ange, le démon… ?

Ce message interrompt ma séance de masturbation, si j’avais senti que l’attirance était mutuelle, je n’aurais jamais pensé qu’elle prenne l’initiative !

Un mélange de surprise, d’excitation et de désir m’envahit ! La maison est vide, Claire ne rentrera pas avant plusieurs jours, la tentation est forte…

Mais attention, vu ce qu’il s’est déjà passé la dernière fois, les choses sont claires : ça va déraper ! Ne devrais-je pas tout arrêter maintenant avant que la situation ne devienne incontrôlable ? C’est moi l’adulte, le père de famille, je suis censé être raisonnable… Le cœur, la raison… L’ange ou le démon…

Vingt ans de couple, vingt ans de fidélité, vingt ans que je n’ai pas touché une autre femme. À vrai dire, depuis des mois ma vie sexuelle est assez plate et monotone, comme 90 % des couples qui sont ensemble depuis aussi longtemps me direz-vous ? Et si je passais à côté de quelque chose, cette excitation, ce désir, cet interdit depuis des semaines me rend vivant !

Et merde, on a qu’une vie !! Je prends mon téléphone :

• —  J’allais justement descendre me rafraîchir, je laisse le portail et la porte de la maison ouverte…

Sur ce, j’enfile un maillot, j’ouvre une bouteille de champagne, sers deux coupes, et me jette à l’eau (dans tous les sens du terme). À peine le temps de rentrer dans l’eau qu’elle apparaît, une robe blanche sur sa peau dorée, son visage n’est plus celui d’une jeune femme timide, mais d’une femme qui sait ce qu’elle veut, déterminée, sûre d’elle… Elle me fixe, enlève sa robe et avance doucement dans ce superbe deux pièces qui met en valeur ce corps parfait.

• —  Bonsoir mademoiselle lui dis-je d’un regard malicieux, vous tombez bien, il paraît que vous êtes la meilleure agente immobilière du secteur, prête pour une visite guidée ?
• —  Je ne dis pas non et serais même ravie de vous aider à estimer votre maison, mais ne travaille pas à une heure aussi tardive, et pour le moment j’ai plutôt envie de me détendre…
• —  Ça tombe bien, je venais de déboucher une bonne bouteille, il me semble que vous appréciez le bon champagne ?
• —  En effet…
• —  On rit, on trinque, on se rapproche…
• —  Alors ce contrat au fait ? Tu l’as signé ?
• —  Oui ! le client m’a fait confiance, grâce à toi…
• —  Mais non, je t’ai juste aidé, 90 % du boulot était fait.
• —  C’est gentil…
• —  Du bon travail et une commerciale ravissante, tu m’étonnes qu’il ait signé !
• —  Tu rigoles, mais je crois qu’il n’est pas indifférent, j’ai cru voir quelques regards et il m’a fait 2/3 remarques… J’ai fait mine de ne pas comprendre, mais il est marié, vous êtes tous les mêmes !
• —  Tous non, mais tu es belle, intelligente, subtile, tu ne peux pas leur en vouloir !
• —  Un homme célibataire peut-être, mais ces hommes en couple… Enfin, je n’ai jamais cru en la fidélité, ça me conforte !
• —  Eh bien moi je l’ai toujours été, jusqu’à l’autre soir…
• —  Sérieux ? J’ai du mal à te croire !
• —  Ah bon ? Quelle réputation !
• —  Non, c’est pas ça, et je vois bien que tu ne couches pas avec tout ce qui bouge, mais forcément ce qu’il s’est passé l’autre soir, difficile de te croire…
• —  Et pourtant si !
• —  Alors, trinquons à ta fidélité !

On trinque en se regardant dans les yeux, fixement… Je la regarde, elle sent mon envie, mon attirance, et je sais qu’elle est réceptive… On se rapproche, on s’embrasse… Ce baiser me semble encore plus exceptionnel que le premier, car tellement attendu et désiré… Un vrai baiser de cinéma, tendre, passionné… J’ai quinze ans dans ma tête… Elle se recule très légèrement, me regarde…

• —  Tu sais, les garçons de mon âge ne m’intéressent pas, mais pour autant je n’ai jamais rien fait avec quelqu’un de…
• —  D’aussi vieux ? LOL !
• —  Non, tu n’es pas vieux, disons que mon ex avait cinq ans de plus que moi..
• —  Et ça te dérange ?
• —  Pas du tout…

Je l’embrasse à nouveau, je la sens se détendre petit à petit, une main glisse le long de son dos, puis le long de ses fesses, tandis que ma bouche descend vers son cou… Elle semble apprécier, elle gémit.

Mes caresses sont tendres, précises… Je détache le haut de son maillot, ma langue glisse vers sa poitrine, je la lèche, l’embrasse, la mordille… Dos contre la piscine, elle surélève une jambe, m’invitant… Ma main passe sous sa culotte, elle est trempée !

Elle saisit mon visage, m’embrasse passionnément, fougueusement, un doigt en elle, le deuxième lui arrache un petit cri.

• —  Tu m’excites, me dit-elle, j’ai tellement envie de toi depuis l’autre soir…

Un baiser passionné pour seule réponse, une main qui serre son sein, et l’autre qui la doigte fort, plus vite…

Une de ses mains glisse sous l’eau, me caresse, puis sort ma queue de mon maillot…

Elle me caresse d’abord doucement, délicatement, puis me sentant excité, me branle plus énergiquement.

Je n’en peux plus, j’ai envie d’elle, de la prendre, de la posséder ! Mais je veux lui montrer ce qu’un homme de mon âge sait faire : je la soulève sur le bord de la piscine, lui écarte les cuisses… Puis ma langue vient la butiner…

D’abord lentement, ma langue glisse le long de ses cuisses, jusqu’à son entrejambe. Je découvre une chatte intégralement épilée, des lèvres fines, ma langue la lèche d’abord doucement, délicatement, pendant que deux doigts titillent son clito.

Son clito durcit, elle est trempée, elle gémit… Je lève la tête pour la regarder, la contempler, elle est sublime.

Je lui souris, puis prends une gorgée de champagne, et je verse un peu de ma coupe entre ses cuisses, elle gémit encore.

• —  J’en peux plus, on m’a jamais fait ça, prends-moi !
• —  Chut… Tout vient à point…

Je continue, je ne pense qu’à son plaisir, je la dévore, trois doigts en elle, ma langue sur son clito, elle gémit de plus en plus fort, elle mort ma main pour ne pas alerter les voisins !

Je la sens trembler, haleter… J’accélère encore, puis elle jouit sous mes doigts, sous ma langue habile.

Elle s’étend sur le bord de la piscine, rouge de plaisir.

Je sors, m’approche d’elle, l’embrasse doucement…

• —  C’était trop bon, comment tu fais ça, me dit-elle ?
• —  L’expérience…

Mais je n’ai pas fini… elle se lève, je m’approche d’elle, la plaque contre le mur, l’embrasse tendrement… Elle me caresse, je soulève sa jambe, frotte ma queue encore dure contre son sexe, à peine quelques secondes et ma queue glisse en elle naturellement.

Je la prends doucement, je la regarde, la contemple, ma langue alterne entre le lobe de son oreille, son cou, ses seins… Elle gémit.

• —  Continue, c’est trop bon, j’adore… Encore
• —  Tu es sublime… J’adore te faire l’amour.
• —  Continue, accélère !

Je continue quelques instants, je veux en profiter, cette fois je pense à moi autant qu’à elle !

Je la retourne, mes mains sur ses fesses, je les écarte, ma queue trouve naturellement son chemin et la pénètre encore.

J’accélère, nos ébats se font plus passionnés, plus sauvages… Ma queue tape contre ses fesses, je tire légèrement ses cheveux, elle se cambre sur moi…

Mes mains serrent sa poitrine, ma bouche dans son cou… J’accélère encore, je la sens trempée, elle crie pendant que ma queue durcit encore, et j’explose en elle !

On s’allonge, elle se love dans mes bras, épuisé, plein de plaisir…

Quelques minutes après, elle se lève, se rhabille, m’embrasse et me dit : fais de beaux rêves !

Je prends une douche et reprends petit à petit mes esprits. Allongé au bord de la piscine, je repense à ce que l’on vient de faire… Je suis partagé entre plaisir et culpabilité, entre cette impression de revivre mes vingt ans et cette sensation de trahison.

Je suis heureux, épanoui, ou du moins je pensais l’être.

Vingt ans de couple, deux enfants, une belle femme, une vie sexuelle satisfaisante, bien que routinière…

Alors quel est le problème ? Est-ce d’ailleurs un problème ou la vie tout simplement ?

Bizarrement, je n’ai pas de regrets… Je m’endors sur ces pensées.

Le lendemain, sensation très différente : ma culpabilité me rattrape !

Je ne vais quand même pas foutre vingt ans en l’air pour une gamine ! Il faut que je reprenne mes esprits, que je m’enlève cette gamine de la tête ! Facile à dire, mais en la croisant presque chaque jour je fais comment ?

Ma femme rentre dans 4 jours, il faut que je me trouve des occupations, il ne faut pas que je pense à Vaness, il ne faut pas que je reste à la maison !

Je prends mes affaires de sport et fonce à la salle, ça va me changer les idées !

Dans le vestiaire je croise un habitué qui est devenu une connaissance.

• —  Tu fais quelque chose après ? me demande-t-il.
• —  Rien de prévu !
• —  On déjeune ensemble ?
• —  Avec plaisir !

Une heure de footing ou je ne pense… qu’à elle ! Sa peau, sa bouche, nos ébats, ses gémissements quand je la faisais jouir… Je ne l’ai pas baisée, je lui ai fait l’amour !

Après la douche, déjeuner de deux heures avec Alain, je ne veux pas rentrer, je ne veux pas être seul avec moi-même !

• —  C’était cool, julien, mais je dois y aller, on se voit bientôt ?
• —  Avec plaisir, bon après-midi.

Je monte dans ma voiture… Tiens, je vais aller faire un peu de shopping.

Première boutique, la vendeuse est plutôt… jeune et belle, elle me fait penser à… Bip !!

Décidément, quoi que je fasse, Vaness me hante !

Je passe quelques vêtements, m’arrête sur deux chemises, une paire de chaussures et deux pantalons !

Je sors de la boutique, bois un verre en terrasse, 18 h… Cette fois, je vais devoir rentrer, je ne vais pas rester seul en terrasse.

Quinze minutes plus tard, je rentre.

Netflix, Canal… Rien ne me tente, en pleine session de zapping, quelqu’un sonne à la porte.

Ça ne peut pas être ma femme, je n’attends personne… J’ouvre :

• —  Bonsoir, Monsieur, je viens pour l’estimation de la maison comme convenu !

Cette petite voisine m’étonnera toujours ! D’abord timide et réservée, elle a ensuite pris l’initiative et continue ! et toujours ce sourire, ange ou démon ? L’ange ne peut pas lutter !

• —  Bonsoir mademoiselle, je vous en prie, entrez !

Je me prête au jeu…

• —  Par quoi voulez-vous commencer ?
• —  Eh bien, plutôt par l’extérieur.
• —  OK, allons-y !

On fait le tour du jardin, la terrasse, la piscine…

• —  Votre extérieur est très bien entretenu.
• —  Merci.

Voyons maintenant l’intérieur.

On commence par le rez-de-chaussée, le séjour, la cuisine, puis on monte à l’étage : salle de bain, suite parentale…

• —  Eh bien, vous avez une très jolie maison, très bien entretenue, de belles prestations
• —  Je vous remercie, il reste la dépendance
• —  OK, je vous suis.

La dépendance contient mon bureau, une salle de sport et une salle de bains.

• —  C’est donc ici que vous travaillez ?
• —  Oui, c’est un peu mon espace, je fais du sport, je travaille…
• —  OK, et vous ne faites que travailler sur ce bureau ?

Sourire complice…

• —  Je ne vois pas ce que je pourrais faire d’autre…

Elle relève sa robe, s’assied sur le bureau puis écarte les cuisses

• —  Tu m’as rendue folle l’autre jour, j’en veux encore, lèche-moi !

Je ne peux résister à cette invitation, j’aime qu’elle prenne l’initiative !

Je m’approche, l’embrasse fougueusement, lui pétris les seins, je lui dis que je vais la faire jouir comme jamais

Je lui tire les cheveux, elle se cambre, j’en profite pour embrasser ses seins, je les lèche, les mordille… Elle gémit.

• —  Continue, j’adore !
• —  T’as encore rien vu…

Je la ramène sur le bord de la table, écarte ses cuisses, enlève son string, et commence à la lécher avec vigueur

Tandis que la dernière fois je lui faisais l’amour, là, je veux la baiser.

Je m’attaque à son clito qui gonfle rapidement, je la lèche, l’aspire, le mordille… Pendant que je la doigte vigoureusement avec deux doigts et que mon pouce titille son clito.

Elle halète, elle gémit, tremble… Une autre main sert son cou.

• —  T’es à moi
• —  Baise-moi ! Fais ce que tu veux de moi, tu me rends folle.

Ces mots m’excitent.

• —  Je veux que tu sois ma pute.
• —  Tout ce que tu veux mais baise-moi !

La technique du crochet avec mes doigts lui fait de l’effet, elle se découvre femme fontaine ! Je continue à la doigter pendant qu’elle en met partout, je l’embrasse passionnément en même temps !

À peine le temps de reprendre son souffle.

• —  À moi maintenant !

Elle me fait asseoir sur le bord du bureau, enlève mon short, mon caleçon, et sort ma queue dure. Elle me pompe ardemment, me branle.

• —  Je la veux dure comme jamais dans ma chatte.

Ces mots m’excitent, sa langue est divine.

Mes deux mains autour de son visage, je donne le tempo, j’accélère. À présent c’est moi qui baise sa bouche, je la vois se caresser en même temps, vision divine…

Je me redresse, la retourne, elle se penche sur le bureau, ma queue entre en elle d’un coup, lui arrachant un cri

Je la baise violemment, fini la pénétration douce de la dernière fois, ma bite tape fort sur son cul, une main claque ses fesses, je la sens possédée, soumise… Ses gémissements se transforment en cris de plaisir !

Elle sent ma queue durcir, à ce rythme je ne vais pas tenir…

• —  Ralentis, je veux que tu me baises partout !

Elle se redresse, et se dirige vers la salle de bains, et se place face au miroir de la vasque.

Elle se retourne, face au miroir…

Je m’approche, mets une claque sur ses fesses…

• —  Humm, j’adore !

Deux secondes plus tard ma queue entre en elle, elle me regarde dans le miroir, je la fixe passionnément pendant que ma queue la remplit

Ma bouche dans son cou, elle gémit, puis tourne la tête pour m’embrasser. Baiser passionné, fougueux.

Encore quelques minutes ainsi, mais je veux la voir en entier.

Je la prends par la main, l’emmène dans la chambre d’ami, la pousse sur le lit.

Je la contemple, belle à croquer

Je lui écarte les cuisses, lui dévore la chatte à nouveau. Elle saisit le drap, gémit…

• —  C’est trop bon ! On m’a jamais fait jouir comme ça.

Puis je me redresse, embrasse ses seins, son cou, ma langue cherche la sienne, on s’embrasse presque amoureusement

Je la pénètre en missionnaire, doucement, délicatement… J’aime ce mélange de douceur et de bestialité.

Enfin, elle vient sur moi, me chevauche, d’abord doucement, puis elle accélère, elle me regarde dans les yeux, gémit… Ma queue durcit, elle mouille comme jamais… Mes mains sur ces fesses pour amplifier ses mouvements, encore quelques coups de reins et on jouit simultanément !

Cette aventure durera le temps de l’absence de ma femme, quelques jours qui resteront gravés dans ma mémoire, on fera l’amour et baisera dans toute la maison.

Au retour de ma femme, Vanessa partira en vacances, plus les jours passent et moins on s’écrit, je ne veux pas gâcher mon mariage.

Je pense souvent à elle, elle finit par rencontrer quelqu’un et le suivra dans le sud de la France.

Cinq années ont passé, j’y pense de temps en temps, notamment lors de repas chez les voisins…

Nous avons pris du plaisir, fait de mal à personne… Tout est bien qui finit bien.