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Temps de lecture estimé : 15 mn
14/08/24
Résumé:  Il est un moyen tout aussi efficace que la douche pour laver la fatigue, et lorsque, celle-ci sublimée, on va se séparer, on ne se quitte pas sans un petit viatique.
Critères:  fff gymnastiqu voir exhib nudisme
Auteur : Dyonisia  (Rêves et autofictions… souvenirs et confidences…)      Envoi mini-message

Série : Assouplissements

Chapitre 05 / 05
Assouplissements – 5/5

Résumé des épisodes précédents :

Un gymnasium privé, dix femmes mélangées et leurs deux monitrices, il n’en fallait pas plus pour que se développent des affinités tendres dans la peine et la joie des efforts partagés. Mais toute activité méritait récompense, et de l’une et de l’autre nulle ne fut privée.




Avertissement :

Ce récit fait référence à la collection Marraines et Filleules et à la série Gymnasium déjà publiées et dont il réunit les héroïnes. Pour respecter l’unité de temps et de lieu, un seul texte aurait été préférable. Mais pour la facilité de lecture, une présentation en cinq actes et dix tableaux a semblé plus opportune.

Et bien sûr, si rien ici n’est totalement vrai, tout n’est pas absolument faux. Gaude !



Broutages



Les corps étaient couchés, maintenant, sur le sol. Les poiriers avaient chu, et leurs soutiens aussi par tendre sympathie autant que lassitude. Les jouets de plaisir gisaient abandonnés, dans les éclaboussures trahissant leurs effets. Les souffles s’accordaient, les yeux remerciaient, des caresses légères parcouraient les peaux nues, les filles et les mères, amies et monitrices, redescendaient ensemble des étoiles entrevues. L’amour les unissait. Oh, pas le Grand, l’Unique, l’Idéal, le Divin, mais une affection pure qui vaut bien l’utopie des serments éternels, et que seules connaissent les élues de Sappho. Une amitié sincère et dénuée d’envie dont le cœur se délecte et le corps se repaît.


Peu à peu, malgré tout, les esprits revenaient. Annette s’étira et Camille bondit, inquiète tout à coup du bipeur oublié. Son écran était vide. Elle fut rassurée et revint s’allonger aux côtés de Charlotte. Sandra en avait abandonné l’anus et lui tétait tendrement un sein. Camille l’imita sur le téton libre. Charlotte sourit et ouvrit les cuisses. L’invitation semblait claire, mais Camille voulut s’assurer qu’elle s’adressait bien à elle et non à sa jeune concurrente.



La proximité était tentante. Les lèvres du haut se joignirent, juste assez entrouvertes pour que les langues se touchent, et la sombre main fine flatta délicatement l’excroissance tendue sur les nymphes gorgées. Sandra s’empara des deux seins, se dédoublant pour les sucer en même temps tout en pressant sa vulve sur une fesse moelleuse. Charlotte soupira d’aise dans son baiser quand les doigts d’acajou trouvèrent leur chemin dans son entaille incarnate. Agnès se lova contre les corps accouplés pour suivre leur progression.


Un cercle de laissées pour compte s’était formé autour du groupe amoureux. Mais elles n’en étaient pas jalouses et se réjouissaient au contraire d’en partager le plaisir, ne fut-ce que des yeux. Plaisir contagieux, d’ailleurs, qui incita Annette à attirer vivement dans ses bras Brigitte et Chantal pour les remercier par un baiser trilingue. Il y eut bien quelques rougeurs sur leurs joues, que la bouche persuasive d’Annette fit aussitôt disparaître. Sa langue ne se contenta pas des lèvres qu’elle quitta chargée de salives pour voleter d’un téton à l’autre, cependant que ses mains, abandonnant les tailles, glissaient entre les cuisses qui s’ouvraient à leurs doigts.


Le cercle était rompu. Bientôt, un second groupe s’ébattait tendrement aux côtés du premier. Et la contagion, regagnant tous les corps, en fit naître un troisième tout aussi amoureux qui mêla dans sa ronde, six goudous affairées. Clara tétait Julia entre les cuisses. Celle-ci en faisant de même sur Christine, laquelle transmettait la caresse à Marion qui gougnottait Babette gamahuchant Agnès qui butinait Clara.


Et malgré la fatigue accumulée par les efforts fournis et les orgasmes enchaînés, un nouveau concert de soupirs montait des douze poitrines, car, bien sûr, ces coquines, eussent-elles été de simples spectatrices, n’auraient manqué de se masturber si d’aventure on eut délaissé leur chatte. Mais trop, hélas, c’est trop. Même bien entraînés, les muscles et les sens atteignent leurs limites. Le silence revint sur l’entrelacs des membres, les sexes apaisés et les seins palpitants, autant que sur les bouches aux sourires ravis.


Annette s’étira, une nouvelle fois, les bras endoloris d’avoir tant besogné, et renifla les sucs qui enduisaient ses doigts. Sous les yeux de Chantal même pas étonnées, elle se les lécha, l’air gourmand et mutin, dégustant le mélange recueilli par ses mains. Comme elle l’aurait fait d’un cru de grande classe, elle en appréciait les saveurs et la cuisse, faisant claquer sa langue pour goûter l’assemblage qu’elle avait soutiré aux deux chattes branlées.



L’une et l’autre rougirent – oh, fugitivement ! – cependant que Christine et leurs autres compagnes approuvaient, souriantes. Sauf Camille, qui pourtant avait eu son content de liquides visqueux aux senteurs enivrantes, mais se trouvant frustrée de n’avoir pu la faire émit ses propres doutes sur la comparaison. Ce n’était qu’un prétexte, malin, à tout prendre, dont elle s’empara pour mieux se faire entendre.



Et comment refuser sans paraître bégueules ? Après tant d’exercices ouvertement lubriques, il eût été vexant de se montrer pudiques ! Chantal comme Brigitte aussitôt le comprit. D’un même mouvement, sans avoir l’air surpris, au-dessus de Camille, elles se présentèrent, les cuisses écartées pour ouvrir leur cratère où perlaient quelques gouttes de lave odorante. En lui faisant le don de leurs lèvres parentes, elles manifestaient leur plein consentement à leur dégustation pour son contentement.


Camille huma et savoura leurs parfums différents, mais dont les points communs ressortaient dans les accents poivrés des notes plus ténues qui charmaient ses narines. Allant de l’une à l’autre, posant un nez coquin au contact de leur chatte, elle emplit ses poumons de leurs exhalaisons pour mieux en discerner les subtiles nuances. Sous les yeux attendris de Sandra et d’Annette, elle pointa sa langue entre les lèvres ouvertes, titillant les coraux qui lui étaient offerts. Puis elle la fourra franchement dans les cons, de Chantal en premier, de Brigitte en second, pour recueillir les jus suintants des entailles.


Elle tétait ainsi, poussant, vaille que vaille, sa tête aux tons d’ébène entre les cuisses roses. La pointe d’incarnat fouillait les chairs écloses, et la bouche appliquée aspirait leurs émois. Cela eut pu durer – certains diraient des mois – si, satisfaite d’elle et de son expérience, Camille n’eut jugé qu’employer sa science à soutirer les sucs n’avait plus de raison de se continuer.



Espérant la léchouille sans vouloir l’implorer, Sandra mit son minou sur le nez de Camille. Mais elle, concentrée, roulait sur ses papilles le mélange gluant qu’elle devait tester, aspirant, glougloutant, la langue recourbée, séparant les arômes, détaillant les saveurs, puis les recomposant en son for intérieur pour en être bien sûre et ne jamais douter avant de prononcer la sentence espérée. Chantal, comme Brigitte, tremblait en l’attendant, mais plutôt de subir un abandon frustrant alors que la caresse atteignait à l’orgasme, laissant la chatte vide et agitée de spasmes.


La mine réjouie, Camille enfin parla, regardant sans ciller dans les yeux de Sandra.



Sa tirade emphatique fit éclater de rire les plus jeunes, et les autres sourirent. Mais elle, derechef, plongea entre les cuisses que lui offrait Sandra. La gamine effrontée ne savait plus que dire, et, sinon soupirer, ne trouvait pas de mots exprimant son émoi. Cette langue antillaise qui lapait sa craquette, ces lèvres fortes et douces qui suçaient son bouton et cette bouche enfin aspirant dans son con l’entière production de son bouillant vagin, tout cela l’emportait au-delà d’un plaisir qu’elle avait espéré mais qui la dépassait. Et lorsque vint l’orgasme, les cris qu’elle poussa auraient comblé de joie la divine Sappho.


Chantal regardait avec attendrissement sa cadette reprendre doucement contact avec le réel. Avec un peu d’envie, aussi, à la vue de sa jeune poitrine encore palpitante. La sienne était plus lourde, c’était le prix de l’âge ! Ce n’était pas pour ça qu’elle en était plus sage, mais elle était heureuse du bonheur de sa fille. Cependant, les talents de bouche de Camille n’étaient pas dispensés en toute égalité. Sur les dix invitées à la démonstration, elles n’étaient que quatre à en avoir tâté. Les six autres brûlaient d’en faire l’expérience. Sur l’instante prière de Christine en premier, la langue antillaise se remit à la tâche.


Brigitte et Sandra blotties contre Chantal, Clara de son côté se lovant sur Annette, c’étaient cinq paires d’yeux surveillant les succès de l’altière gougnotte broutant l’une après l’autre les chattes délaissées. Son heureuse victime, en lui rendant les armes, se pétrissait les seins ou se doigtait le cul, selon ses préférences. Mais, goudou avisée autant que gastronome, Camille après Christine énamoura Babette, toujours dans son souci de comparer les fluides, avant de procéder de même avec Agnès. Rassasiée de la fille, elle vint sur la mère, ayant bien calculé, en bonne fine mouche, que pour se régaler des plus gros berlingots mieux valait les garder pour la meilleure bouche. Ainsi, elle passa de Charlotte à Marion, pour finir par Julia son marathon des cons.


Inutile de dire que si les six cramouilles avaient reçu leur compte et s’en trouvaient ravies, leur vaillante bouffeuse ressentait des crampes de mâchoires, quand bien même ses lèvres et palais conservaient les saveurs d’un beau cocktail de mouilles. Annette, avec sagesse, fit reposer son monde. Les ébats sexuels épuisent à la longue, autant, peut-être plus, que le plus fatigant des cours de gymnastique. Quant à mixer les deux, c’est presque une gageure. On en ressort vannées, mais si proches du ciel…




Derniers conseils



Or donc, dans l’atmosphère humide et odorante de ce gymnase orgiaque, douze corps allongés reprenaient leurs esprits. Brigitte se traîna jusqu’aux douches pour rapporter de l’eau. Onze bouches assoiffées louèrent son dévouement et son initiative. Après tant de dépenses en sueurs et en fluides, il y avait urgence à reconstituer les réserves en liquide. Chacune, après, se sentit mieux, quoique lasse. C’était ce moment délicieux et unique où, les sens apaisés et le désir comblé, les caresses d’amour ne sont que de tendresse. Elles se dispensaient quelque peu au hasard, mais il n’importait guère de savoir sur laquelle se promenaient les mains ou se posaient les lèvres. Toutes devaient à toutes les extases du jour.


D’effleurement câlin en bise affectueuse, de baisers langoureux en paroles aimantes, et bien qu’on la repoussât le plus longtemps possible, vint inévitablement la question redoutée de la séparation. Le jour, même d’été, arrivait sur sa fin, et Camille devrait bientôt rentrer à la Brigade. C’était ce moment, pénible, des adieux où, bien qu’ayant l’espoir de se revoir un jour, on ne peut s’empêcher de verser une larme. Mais après tout, d’où que viennent ces gouttes, du plissement des yeux ou bien d’une autre fente, elles en disaient plus sur la reconnaissance que tous les beaux discours qu’on eut pu prononcer.


Annette donna le signal des ablutions indispensables. C’était merveille que toutes ces filles et femmes, serrées par plaisir sous les douches comme des sardines pour se lessiver mutuellement fesses, seins, dos et entrecuisse, sans l’ombre d’une gêne ou la moindre vergogne. Christine surtout s’activait au service des novices, s’efforçant d’introduire aussi loin que possible un index savonneux dans leur conduit culier. Cela n’a l’air de rien, mais cet ersatz de plug vous détend en douceur les plus noués des muscles. Brigitte, motivée par son exemple insigne, imita sa marraine auprès de ses compagnes sans trop s’embarrasser de savoir à qui appartenait le pertuis dans lequel la conduisait son doigt. C’était ce moment, que seules les amies, les vraies, connaissent, où la promiscuité ardemment recherchée abolit pour un temps les plus anciens tabous.


Elles en ressortirent toutes fraîches et disposées, les membres relaxés, la peau nue et légère, prêtes à retrouver les quelques vêtements qu’elles avaient quittés. (Et dire « retrouver » n’était pas mal trouvé, vu le tas indistinct dans lequel ils gisaient.) La session toutefois n’était pas terminée.



Le moyen de faire autrement, en effet ? Les conséquences humides auraient eu le temps de sécher d’ici la prochaine séance, et ses participantes n’auraient probablement que rient en découvrant leurs traces. Mais, il faut un minimum de politesse lorsqu’on est invitée, comme il vaut mieux garder la nudité pour éviter de transférer les taches sur sa tenue civile. Au reste, à douze paires de bras agissant de concert pour récurer les tapis indépendamment de qui les avait occupés, le caoutchouc fut bien vite presque aussi propre que s’il n’avait jamais servi.



Après des heures d’intense activité pour les sens et les muscles touchant au paroxysme, et en tout cas ici pour ceux des plus intimes, l’apaisement des nerfs apportait à chacune comme un calme irréel. Les réminiscences des excitations éprouvées s’espaçaient, laissant peu à peu place à un profond bien-être. L’empreinte du plaisir ressenti demeurait, mais dans le souvenir et non plus dans la chair. Pour les mères et amies, c’était la renaissance. Pour les filles et copines, c’était la découverte. Camille retrouvait les sensations vécues après son marrainage, Christine revivait le temps déjà ancien de la co-fondation de ce club amoureux. Pour Annette, le partage de ses aspirations avec de nouvelles adeptes suffisait à son bonheur, mais elle ne tenait pas, toutefois, à ce qu’elles repartent l’esprit dans les nuages, fussent-ils éthérés.



Tout en donnant ses ordres, elle en faisait la preuve. Vingt-deux membres dociles suivirent son exemple, dessinant avec elle vingt-quatre jolis V, larges et rectilignes, qui montraient à l’envi cramouilles et craquettes. L’Origine du Monde en vingt-quatre exemplaires, mais dressés vers le ciel et donc plus indécents, sans qu’il soit toutefois besoin de les cacher puisque nul regardeur n’eut pu s’en offusquer. Lorsque toutes les figures furent en place et fixes, Annette précisa la suite du programme.



Le mouvement se fit avec un bel ensemble, émaillé cependant d’exclamations surprises. Les muscles et articulations peinaient encore, certes, mais la croisée des cuisses était si resserrée qu’elle coinçait en elle la partie la plus noble de la féminité. Les jambes en s’allongeant emprisonnaient l’organe et l’entraînaient assez pour qu’il fût éveillé. D’où bien sûr des soupirs et quelques agréments.



Pour Julia et Marion, ainsi que pour Charlotte, l’intérêt du programme était déjà saisi. Quant aux autres, le pli fut vite pris comme le but compris. Les pressions successives comprimant le clito diffusaient dans le ventre un tout autre bien-être qui montait peu à peu de la vulve aux seins. L’impression délicieuse qui vous envahissait incitait à bander plus vite et plus fort les muscles de la cuisse, et simultanément le désir s’accroissait d’aller encore plus loin pour mieux en profiter. Mais un tel exercice a le grand avantage d’atteindre son objet avant trop de fatigue : des orgasmes très doux qui vous ravissent l’âme. C’était la théorie que professait Annette. Ses nouvelles adeptes acquiescèrent, et pourtant Babette se permit de faire une remarque.



Évidemment, celle-ci fut aussitôt pressée de questions et dut expliquer comment un rapport particulièrement fastidieux à rédiger avait failli lui coûter l’estime de ses collègues à cause d’un orgasme mal dissimulé. L’anecdote était amusante mais instructive, plus personne ne douta de l’intérêt d’un entraînement intensif. D’autant, remarquèrent les plus avisées, que contrairement à l’équitation ou au vélo, il suffisait de s’exercer seule chez soi.



Le conseil était pertinent, elles en parlaient encore en rangeant le matériel tandis qu’Annette et Camille leur renouvelaient l’invitation à venir au Gymnasium quand elles le souhaiteraient sous la simple réserve d’être accompagnées par Christine ou elles-mêmes. À l’égard des habituées, il convenait en effet que les nouvelles têtes soient présentées par une ancienne et qu’il n’en arrive pas trop à la fois. En outre, participer à une séance d’assouplissements en tant que novice parmi des compagnes expérimentées à découvrir serait très bénéfique pour le développement personnel, physique et psychique, de chacune. Annette les avertit aussi qu’elles n’échapperaient pas, toutefois, à la traditionnelle intronisation de « la première fois ». Mais cette importante information tomba dans des oreilles distraites, l’esprit des auditrices étant occupé par la supputation de prochains rendez-vous pour leurs entraînements.


Elles en parlaient toujours en se rhabillant. Quelques-unes durent se contenter du premier haut ou bas venu, le tri aurait pris trop de temps. D’autres laissèrent involontairement une pièce de lingerie en souvenir de leur visite. On ne retrouva pas, notamment, le joli string d’Agnès. On ne le chercha pas très assidûment, à vrai dire ni elle ni sa mère. Annette les assura qu’elle le mettrait de côté s’il refaisait surface pour qu’elles le récupèrent à leur prochaine venue, ainsi rendue obligatoire, sauf qu’elle ne leur garantissait pas qu’il ne serait pas passé de main en main, voire de bouche en bouche, d’ici là.


On repéra par contre facilement le short et le tee-shirt de Camille grâce à l’âcre odeur de transpiration séchée qui en émanait. Elle s’apprêta pourtant à les renfiler par discrétion, pour éviter de sortir en uniforme, au grand dam de Clara qui aurait voulu voir « la carabiniera » en grande tenue. Elle dut se contenter brièvement du tableau cocasse d’un képi de gendarme sur le corps nu d’une grande Antillaise. Encore ne put-elle l’admirer avec le recul nécessaire, l’étroitesse du petit bureau/accueil/vestiaire encombré de la douzaine de femmes affairées ne le permettait pas.


Au moins cette exiguïté facilitait-elle les effusions de la séparation, agrémentées d’autant de chastes bises que d’intimes attouchements, manifestations affectueuses qui confirmaient la promesse de se revoir bientôt, mais qu’il eut été imprudent et peu convenable d’exposer en pleine rue. Ce furent ainsi douze dames et filles des plus correctes qui se quittèrent sur le bord du trottoir, et s’en furent, le cœur léger et le bagage mince, la tête pleine d’images émouvantes.




– FIN –