n° 22603 | Fiche technique | 21042 caractères | 21042Temps de lecture estimé : 15 mn | 28/08/24 |
Résumé: Initiation de Justine (suite) | ||||
Critères: photos fh couple init | ||||
Auteur : Ali2 Envoi mini-message |
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Résumé de l'épisode précédent :
Initiation de Justine
Le couple de Paul et Justine va beaucoup mieux depuis le succès de leurs vacances estivales dans le Jura. Celles-ci se sont terminées en nouvelle lune de miel. Paul se montre plus patient et plus attentif avec sa femme, quoique plus directif au lit. Justine, elle, est plus ouverte. Elle a abandonné beaucoup de sa réserve, de la pudibonderie même, qui détériorait son couple.
Elle, elle accepte maintenant d’accueillir son mari dans sa bouche, bien qu’elle ne le boive pas encore. Mais elle s’est juré de le faire à Noël, en cadeau ! Elle le sort encore de sa bouche lorsqu’elle le sent sur le point de venir : elle regarde jaillir le premier jet blanc avec plaisir, puis laisse les autres s’écouler lentement sur ses doigts. Elle se dit que c’est grâce à ses caresses, à sa bouche et à sa langue qu’il jouit si fort, souvent en criant son plaisir. Elle a même reçu un jour le jet en plein sur le visage, avec surprise. Et elle ne se refuse plus à manifester elle aussi son plaisir à haute voix lorsqu’elle jouit et à, parfois, encourager Paul lorsqu’il la prend. Mais jamais avec des mots trop crus !
Lui, il a acheté un gode comme il le lui avait promis : un godemichet à double tête et il a utilisé deux fois le plus petit embout dans l’anus de Justine au cours de leurs jeux. Mais il n’a pas encore réussi à la sodomiser ; elle qui, bien que maintenant consentante, lui paraît encore trop étroite. Il prend patience : il sait qu’il y arrivera bientôt, que le succès est proche. Dès que la grosse tête du gode aura réussi à franchir le sphincter et l’aura un peu assoupli, la voie lui sera ouverte.
Bref, tout va pour le mieux dans le couple, d’autant plus que Paul a été choisi pour superviser un grand chantier, à l’étranger. Les avantages concédés, le doublement de son salaire, son avancement dans l’entreprise sont conséquents. Le seul point noir, son absence de plusieurs mois loin de chez lui. Il a hésité. Mais tous, même Justine, l’ont encouragé à accepter ce poste, lointain, loin de son foyer. Il a donc dit oui. Il partira au début de l’année.
Paul souhaiterait vivement emporter avec lui des photos intimes de sa femme et de leur couple. Il a essayé d’en faire avec son appareil, mais les résultats obtenus ne lui conviennent pas. Il cherche donc un photographe professionnel, malgré les réticences de Justine à se mettre en scène devant une tierce personne. Elle a fait part de ses doutes à Anne, avec qui elle a gardé contact et qu’elle a pris un peu comme confidente intime. Celle-ci se moque de ses inquiétudes et lui donne les coordonnées de l’un de ses amis, Louis, photographe, et l’adresse du site de celui-ci. Leur site est sécurisé en deux parties : l’une publique, et l’autre privée, accessible avec un mot de passe qu’Anne se fait un plaisir de lui transmettre, tout en lui précisant que cet ami est un photographe sérieux qui travaille avec une assistante, Florence, qui est aussi sa femme. Détail ultime qui emporte l’adhésion de Justine.
Paul se connecte le soir même sur le site. Il est séduit par la beauté des photos, la mise en valeur des modèles de tous âges, vêtus ou dénudés. Justine est bien forcée de convenir que ce qu’elle voit est beau, que les corps exposés sont mis en valeur, sublimés même. Elle accepte finalement d’être photographiée, elle aussi, à condition que ses photos ne soient pas exposées sur le site.
Dès le lendemain, Paul prend contact avec Louis et, se recommandant d’Anne, lui expose sa requête : faire des photos intimes de sa femme et de son couple. Louis, malheureusement, est surbooké en cette fin d’année, mais par amitié pour Anne, il accepte de faire un shooting pour eux. Mais cela ne pourra être qu’un samedi, en soirée.
Et le book ne pourra être réalisé qu’après les fêtes. Paul, un peu déçu tout de même de ce retard, donne cependant son accord. Il doit passer au studio dans la semaine pour « cadrer » la séance. Les deux hommes, après s’être accordés sur le déroulé du shooting, conviennent d’une date, le samedi soir suivant.
Le samedi matin, Justine enchaîne coiffeuse et esthéticienne pour un soin de peau. Paul a refusé qu’elle se fasse épiler les aisselles. Il adore trop y mettre le nez et y sentir l’odeur de sa femme. Et comme elle ne veut pas se faire épiler le maillot en institut, ce sera Paul qui le lui fera en fin d’après-midi. Lui aussi est passé chez le barbier ! Après une petite sieste en début d’après-midi, Justine va prendre son bain.
Elle appelle Paul quand elle a fini. Pendant ce temps, lui a préparé crème, rasoirs, gant et cuvette d’eau pour rincer le surplus de mousse. Elle est étendue nue, sur le lit, une serviette au-dessous d’elle.
Il commence par raccourcir la totalité de la touffe avec son rasoir, puis il humidifie bien la toison, avant de poser abondamment de la crème à partir de l’aine, de chaque côté. Justine frémit au contact du gel froid.
Il passe délicatement le rasoir mécanique, de la même façon de chaque côté, d’une façon régulière. Puis il sculpte délicatement le haut de la toison. Il rince l’ensemble et semble satisfait de son ouvrage. Maintenant, il s’attaque aux abords du sexe :
Paul étire tour à tour les lèvres délicates et les rase soigneusement. Il poursuit dans le sillon fessier, jusqu’à l’anus, en relevant et écartant les jambes. Il sent Justine se crisper quand la lame glisse autour de l’anus.
Puis il rince à nouveau son ouvrage, prend le tube de crème apaisante, en enduit largement les lèvres. Il l’étale soigneusement dans chaque repli, pénètre un peu à l’intérieur, avec un peu trop d’application même. Justine frémit et sa respiration s’accélère. Son ventre se soulève et vient au-devant des doigts qui la massent. Enfin, il prend le miroir, le tend à Justine et lui suggère d’admirer son œuvre.
Il l’entraîne, toujours nue, vers la cuisine prendre un en-cas avant de s’habiller et de partir vers leur rendez-vous. Il ne manque pas, tout en grignotant, de la chatouiller, de lui caresser les seins, l’entrejambe, le dos pour entretenir cette excitation latente, pour qu’elle ne retombe pas, qu’elle reste en demande de caresses.
Paul la prend dans ses bras et l’embrasse tout en caressant encore son entrejambe, humide !
Puis ils s’habillent rapidement et se mettent en route. Durant tout le trajet, tout en conduisant, Paul ne cesse de la lutiner, de remonter sous sa jupe, de la toucher par-dessus son string. Il sourit lorsqu’il sent la lingerie qui s’humidifie sous ses doigts. Il sait que le désir sera plus fort que la peur !
Arrivés à destination, Paul sonne. Une magnifique créole vient leur ouvrir :
Louis termine les derniers réglages.
Moi, c’est Florence, mais tout le monde m’appelle Flo. Vous aussi, bien sûr !
Je connais déjà Paul, mais toi, pas encore. Tu es… ?
Elle l’entraîne dans un petit salon attenant :
Et Florence sert à Justine un verre d’une liqueur marron :
Justine n’ose pas refuser et boit le breuvage. C’est à la fois fort et sucré. Cela la chauffe dans tout le corps, lui monte à la tête. Mais c’est bon ! Elle vide le verre. La tête lui tourne. Florence lui prend la main et les deux femmes vont rejoindre leurs maris dans le studio. Justine semble dans un état second.
Elle se souvient de la séance comme d’un rêve : un rêve éveillé, pas le cauchemar auquel elle s’attendait.
Elle se souvient de son entrée dans le studio avec Florence, du lit bas tendu d’un tissu sombre, sans doute pour mieux faire ressortir les carnations, des spots qui l’éclairaient et du reste de la pièce dans l’ombre. Il y fait chaud. Son mari est là, qui l’accueille en la prenant dans ses bras, en l’embrassant.
Elle se souvient de ses baisers profonds, de sa langue invasive dans sa bouche, de ses attouchements sur son corps. Et puis aussi de ses propres baisers, de son abandon progressif.
Elle se souvient de ses mains caressantes, la dévêtant peu à peu, du corsage et du soutien-gorge enlevé. Elle repense à sa poitrine à l’air, à ses seins dont les bourgeons durcissent sous les mains puis sous la bouche de Paul qui les torture un peu en les étirant, les tordant, en les mordillant. Elle entend ses premières plaintes sous ces doux assauts.
Paul la connaît bien et sait l’amener peu à peu à sortir de sa réserve, à s’abandonner.
Elle se souvient, plus vaguement, de sa jupe tombant sur le sol, des caresses sur ses fesses, empoignées et massées ; de son string mouillé descendu sur ses pieds, du pas qu’elle a fait pour l’enjamber ; de la main de Paul étirant doucement ses lèvres, les séparant ; de son agenouillement pour les prendre dans sa bouche.
Elle se souvient de l’avoir aidé à quitter son pantalon, de la résistance du boxer retenu par son sexe érigé. Elle se revoit, agenouillée, le prendre dans sa bouche, si raide. Elle l’aurait bien cajolé plus longtemps, peut-être même jusqu’à son explosion, mais il s’est brusquement retiré de ce soyeux écrin. Dommage !
Elle se souvient encore qu’il l’a alors couchée sur le lit, qu’il est venu près de sa tête, qu’il a forcé ses lèvres pour y introduire à nouveau son sexe et qu’elle l’a sucé avidement, amoureusement ; puis c’est lui qui l’a, à son tour, léchée profondément, qui a découvert son clitoris, l’a extrait de son capuchon et l’a sucé, mordillé, jusqu’à ce qu’elle jouisse sous sa langue, dans un long cri de plaisir. Puis à peine a-t-elle eu repris son souffle qu’il la prise lentement, inexorablement.
Elle se souvient de la grosseur de son sexe qui s’introduisait en elle, qui la dilatait peu à peu, qui venait cogner tout au fond de sa grotte, qui repartait, puis revenait, encore et encore. Il l’a labourée longtemps, vite, puis lentement, puis vite à nouveau. Puis de la façon dont il l’a soudain retournée, fait mettre à quatre pattes, et dont il l’a prise, en levrette, si loin, si profond. Et, sous ces assauts, son plaisir est remonté en flèche, de plus en plus fort, inexorablement. Et, à nouveau, elle a joui bruyamment, clamant, cette fois, son plaisir à pleine voix, quand elle l’a senti se raidir et se vider en elle, en longs jets.
Elle se souvient, enfin, de leur départ et de son étonnement quand Florence l’a embrassée en lui murmurant : « À bientôt ma belle Justine ! » Elle s’est endormie dans la voiture, jusqu’à la maison. Paul l’a aidé à se dévêtir et à se coucher. Et ce matin, elle se réveille lorsque Paul ouvre ses jambes pour s’introduire doucement en elle et, une nouvelle fois, la fait exploser de jouissance sans jouir lui-même. Il lui murmure alors :
Oui, maintenant, elle se souvient d’avoir joui sous le regard du photographe et de son assistante. Ils ont assisté, ils ont enregistré ses jouissances avec leurs appareils. Dès les premiers instants, dès que Paul l’avait prise dans ses bras, ils avaient su faire oublier leur présence. Pendant que Louis photographiait surtout les corps et leurs attitudes, Florence prenait l’expression des visages avec un second téléobjectif. Oui, elle a joui en public, devant une, deux personnes même. Et elle a crié son plaisir. Fort !
Et maintenant, elle en est fière. Fière d’avoir pu surmonter sa peur, sa timidité, ses préjugés ; fière de leur avoir montré combien son mari savait lui donner du plaisir, savait la faire jouir. Fière d’avoir osé faire l’amour devant eux. Fière d’avoir osé crier son plaisir, en face d’eux, et fière de le leur avoir montré !
Leur dimanche se passe au lit à se câliner et… Justine, libérée, boit Paul pour la première fois.
Louis téléphone à Paul quelques jours plus tard, lui proposant de passer voir le choix des photos qu’il a effectué et qu’il pourra retravailler ensuite pour le book. Paul rentré à la maison est enthousiaste :
… Et Louis m’a fait une proposition pour toi. Comme tu es très photogénique et que tu prends super bien la lumière, m’a-t-il dit, il aimerait beaucoup faire des photos de nu avec toi, plutôt blanche de peau, et avec sa femme, bien noire, elle. Mais ce serait des photos uniquement pour toi et pour sa collection personnelle qu’il s’engage à ne jamais publier ni mettre sur son site. Je lui ai dit que moi j’étais d’accord, que c’était une excellente idée, mais que c’est toi qui déciderais…
Louis te rappellera, au début de l’année prochaine, quand il aura moins de travail, pour que tu lui donnes une réponse. Il nous a fait une faveur en acceptant de nous photographier si vite, et tu pourrais facilement la lui rendre en acceptant. Penses-y !
L’année se termine et Paul part au début de la nouvelle année. Justine se retrouve seule dans la maison. Heureusement, son travail l’occupe pleinement tout le jour, mais les soirées lui semblent bien monotones.
Un soir, Florence lui téléphone pour lui annoncer que le book est prêt et qu’elle peut venir le chercher. Justine lui propose de passer le lendemain, à la sortie de son travail. Le lendemain donc, elle se rend chez Louis et Florence. Celle-ci l’accueille chaleureusement, l’embrasse et la conduit dans son petit salon. Justine repense alors à sa dégustation de la fameuse liqueur et à ses effets.
Le silence s’installe. Florence lui demande alors ce qu’elle veut boire.
Florence rit :
En tout cas, votre séance était magnifique. Tu vas voir le book ! Et, dès votre départ, les spots à peine éteints, Louis m’a entraînée dans la chambre pour me faire l’amour. Il était déchaîné. Et moi aussi, d’ailleurs. Notre nuit a été torride. Nous ne nous sommes endormis qu’au lever du jour ! Et vous, comment avez-vous terminé la soirée ?
Florence donne alors le book à Justine. Curieuse, celle-ci l’ouvre de suite et le feuillette, en rougissant. Elle ne fait aucun commentaire, mais toutefois, un « OH ! » de surprise lui échappe à la vue de la photo du sexe bandé de Paul à l’orée de sa bouche entrouverte. Florence sourit de la gêne manifeste de Justine.
Nous en reparlerons, dans quelque temps. Mais ce serait une nouvelle expérience pour toi !
Et pour ma part, j’ai très envie d’être photographiée avec toi… Ce serait super… pour nous deux !
La conversation s’arrête là. Les deux femmes dégustent leur thé en papotant de choses et d’autres. Justine n’ose pas feuilleter à nouveau le book. Très vite, elle prend congé, un peu ébranlée dans ses convictions.
Lorsqu’au téléphone, elle raconte cela à Paul, il lui dit que le plus simple serait de faire un colis anonyme, à son nom, contenant le book et de le porter à son entreprise qui le lui fera parvenir.
Quand Justine lui parle des photos que Louis veut faire d’elle avec Florence, il insiste, lui aussi, à nouveau pour qu’elle accepte la proposition d’être photographiée en duo avec Florence. Justine lui avoue que, maintenant, après le book, elle en a envie, mais qu’elle n’ose pas franchir le pas, qu’elle ne se voit pas se déshabiller devant une autre femme ; et sans doute être touchée, peut-être même caressée par elle lors de la séance. Paul lui demande alors si Florence lui plaît. Avec franchise, elle répond que oui, elle lui plaît beaucoup ; elle a de la classe, elle a rarement vu une créole aussi belle, avec autant de prestance et de distinction.
Le lendemain, elle appelle Louis pour lui dire qu’elle accepte sa proposition. Celui-ci se dit ravi de cette décision. Il lui fixe rendez-vous pour le samedi suivant, en début d’après-midi. Il en profite pour lui donner quelques conseils pour la séance : ne pas porter de soutien-gorge avant la séance pour éviter les marques sur le corps ; ne pas être serrée dans ses vêtements ; ne pas être trop maquillée pour éviter les contrastes du visage avec le corps. Justine lui assure qu’elle suivra ses conseils à la lettre.