n° 22604 | Fiche technique | 12081 caractères | 12081Temps de lecture estimé : 8 mn | 29/08/24 |
Résumé: Photos avec Florence | ||||
Critères: ff fsoumise photofilm fgode fdanus init | ||||
Auteur : Ali2 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Justine Chapitre 03 / 05 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents :
Initiation de Justine (suite)
Le samedi après-midi Justine se rend chez Louis et Florence. Au premier coup de sonnette, Florence vient lui ouvrir. Elle porte un paréo coloré. Elle l’embrasse au coin des lèvres et l’entraîne dans son petit salon.
Alors, comment te sens-tu ? Tu es prête ? Prête à jouer avec moi ?
Justine boit l’élixir que lui sert Florence. Comme la dernière fois, la tête lui tourne un peu, mais ses inquiétudes s’estompent.
Les deux femmes rejoignent ensuite Louis dans le studio.
Florence commence à lentement la caresser par-dessus le paréo, ses mains parcourent le dos de Justine, puis son buste, ses hanches, ses fesses ; puis elle se penche pour l’embrasser. Au premier contact des lèvres, tout s’enclenche. Justine, quelque peu réticente, lui rend timidement son baiser. Mais la belle créole insiste, forçant la bouche de Justine de sa langue. Et son baiser devient plus ardent, plus vorace, plus profond. Justine se prend alors au jeu et à son tour, fouille, elle aussi, la bouche de Florence de sa langue. Toutes deux jouent ainsi, enlacées, pendant que Louis, tournant autour d’elles, les mitraille.
Florence suit les courbes de Justine. Admirative de ce corps parfait, elle regarde fixement Justine dans les yeux. Sous son regard, sous ses mains, Justine se sent plus belle et plus désirée que jamais. Puis sans rompre le contact, Florence passe derrière elle, et glisse ses mains dans le léger voile pour caresser Justine à même la peau. Elle empaume alors fermement les seins, les soupèse et les titille. Elle étire les mamelons, les tord doucement. Les bourgeons s’érigent sous la caresse insistante. Justine lâche de petits soupirs. Enfin, le paréo se dénoue, comme par miracle, et choit au sol. Justine est quasi nue, elle ne porte plus sur elle que son string, et ses seins dardent fièrement leurs aréoles maintenant turgescentes, devant l’objectif voyeur de Louis.
Puis Florence lui retire lentement sa dernière défense, ce petit string transparent, suggérant plus qu’il ne dissimule, laissant deviner sa toison en forme de cœur. Elle fait rouler lentement le mince vêtement sur les cuisses, sans se presser, juste pour donner l’envie d’en accélérer la descente. Et Louis continue à fixer cette descente, photo après photo.
Florence sait maintenant que Justine est sur le point de capituler, de se laisser aller, qu’elle sera sous peu totalement à elle. Elle sourit à cette idée, à l’idée de posséder cette beauté si réservée, si pudique…
Alors, comme négligemment, un doigt s’aventure à la fourche de ses cuisses, à l’orée de ses lèvres intimes. Florence constate, avec un certain plaisir, que ces lèvres-là sont déjà luisantes et bien humectées. Florence prend son menton, l’attire vers elle pour l’embrasser à nouveau. Profondément. Une véritable prise de possession. Justine lui offre tout son corps, toute sa sensualité, magnifiquement impudique, offerte.
Elle étend Justine sur le lit bas. Et les attouchements, les effleurements reprennent. Partout. Justine vibre sous les doigts, les ongles de la belle créole. Celle-ci pince soudain le capuchon de son clitoris et Justine gémit de plaisir. Sentant la jouissance de sa compagne monter, Florence descend sa main sur ses cuisses, sur son ventre, dans sa raie, prolongeant ainsi le plaisir de Justine qui ruisselle, soulevant son bassin pour venir à la rencontre des doigts de Florence. Sa chatte désire être caressée, défoncée.
Elle écarte un peu plus les jambes pour s’offrir davantage à la caresse. Elle sent que son sexe s’ouvre et s’humidifie encore plus. Son bassin se soulève à la rencontre des doigts de Florence, qui passent sur ses grandes lèvres, appuyant un peu dessus. Ils s’immiscent jusqu’entre ses fesses, pianotant légèrement sur son anus, provoquant des ruades de Justine. Florence prend plaisir à caresser cette magnifique chatte, ce cul serré, à voir le sexe s’ouvrir comme pour l’appeler à venir plus loin, à s’y enfoncer.
Les doigts de Florence quittent le bassin de Justine, quand elle sent son orgasme venir. Elle maintient l’excitation de sa compagne en parcourant tout son corps, en la caressant, en le griffant. Elle revient parfois passer sur le sexe, mais repart ailleurs aussitôt qu’elle sent Justine sur le point de basculer. Justine tend tout son corps vers les mains baladeuses. Elle est aux portes de la jouissance, mais Florence fait durer l’attente de la délivrance, tout en maintenant Justine dans un état d’extrême tension, au bord de l’explosion.
Soudain, elle se penche sur sa victime et lape son clitoris d’un coup de langue. Un éclair traverse le corps de Justine. Depuis un long moment, elle vibrait sous les doigts de Florence, sentant monter sa jouissance. L’orgasme la submerge et elle jouit sur la bouche de Florence, en criant son plaisir. Et Florence boit, au creux des jambes de Justine, la liqueur de son plaisir. Justine crie maintenant sans retenue ; ses doigts se crispent dans les cheveux de Florence, son ventre se projette vers la bouche qui la dévore.
Sans un mot, Florence lui caresse doucement le visage avant de glisser ses mains sur son corps encore tremblant, de le parcourir. Elle se penche, ses lèvres trouvent celles de Justine dans un doux et profond baiser aux senteurs de sexe.
Mais de suite, les doigts reprennent possession du sexe de Justine, ne lui laissant pas d’instant de repos. Ils entament un long ballet à l’intérieur du ventre, le dépliant, le fouillant jusque dans ses moindres recoins. Justine halète, tend son ventre vers la main qui la pénètre, va au-devant des doigts qui le fouillent. Son plaisir n’a pas eu le temps de complètement se dissiper. Elle le sent monter à nouveau, plus intense, la submerger de vagues encore plus violentes. Dans une dernière ruade sauvage, elle jouit à nouveau en criant, inondant les doigts de sa liqueur. Et les photos de Louis s’enchaînent.
Maintenant, Florence fait basculer Justine sur le ventre. Elle place sous elle un oreiller qui soulève son bassin. La main inquisitrice n’a quitté le ventre de Justine que pour quelques instants. Elle revient et sans lui laisser le moindre répit, elle reprend son ballet. Justine, d’une voix mourante, supplie :
Mais la main continue inlassablement sa torture érotique, pilonnant la cavité offerte jusqu’au tréfonds. Le clapotis se fait de plus en plus présent. La seconde main rejoint bientôt la première, se glissant entre les fesses. Un doigt perfore le cul de Justine, s’enfonce, tourne, ressort, puis revient, plus loin. Un second le rejoint bientôt, suivi d’un troisième. Ils entrent, élargissent peu à peu l’entrée, assouplissent, étirent le sphincter et Justine ne peut résister au ballet de ces deux mains enfouies alternativement en elle. Elle défaille à nouveau, en longs soubresauts, pour son troisième orgasme, dans un hurlement sauvage.
Les mains quittent quelques instants le corps inerte de Justine. Mais ce n’est que partie remise. Florence se harnache rapidement d’un gode-ceinture, préparé tout contre le lit et dissimulé sous un linge. Elle émet un soupir lorsqu’elle insère en elle le plus petit des olisbos. La couleur de l’instrument s’accorde parfaitement avec sa propre carnation. On eût dit qu’il était une partie d’elle. Le plus gros des deux godes est la réplique d’un sexe d’homme, imposant, terminé par un gros gland proéminent.
Florence revient se positionner au-dessus de Justine et guidant l’engin entre les lèvres de Justine, d’un mouvement sûr, la pénètre. Justine crie sous cette intromission qui la dilate encore plus. Et la danse des deux bacchantes reprend, lentement d’abord, puis plus rapide. Le plus gros des godes perfore Justine et cogne tout au fond de son ventre, lui tirant des gémissements rauques. Le plus petit, dans le vagin de Florence, frotte son clitoris à chaque pénétration et lui tire des soupirs. Les deux femmes vibrent à l’unisson, gémissent à l’unisson, tant la pénétration est rythmée et profonde.
Au bout d’un moment, Florence se retire du ventre de Justine. Le gode ressort luisant, irisé des sécrétions de Justine. Florence lui saisit les hanches, la dispose à quatre pattes, en appui sur les genoux, la tête toujours posée sur le matelas. Elle se positionne alors entre ses cuisses, et, d’une main dirige l’engin, bien lubrifié, sur sa rondelle, et appuie légèrement, le temps que Justine prenne pleinement conscience de sa position. Elle sent peu à peu le sphincter se détendre sous la lente poussée. Alors, soudain, elle l’encule. D’un trait. Justine pousse un hurlement. Plus de surprise que de douleur, le passage ayant été déjà bien assoupli et préparé par le précédent massage digital de Florence.
Mais, sans hésitation, l’agresseuse s’enfonce complètement, tout au fond. Puis elle se retire jusqu’à ce que le gland, sur le point de ressortir, dilate encore plus l’anneau qui l’enserre. Puis à nouveau, elle s’enfonce, cognant les fesses de Justine. Le sphincter, maintenant totalement dilaté, accepte l’intrus, qu’il entre, qu’il sorte. Mais à chaque coup de reins, à chaque poussée de l’engin en elle, Justine crie.
La douleur initiale s’est estompée et les cris changent de tonalité, pour finir en une sorte de roucoulement amoureux. Et longuement, Florence prend ainsi Justine, lâchant parfois les hanches pour se saisir des seins et jouer avec. Elle ponctue de baisers le dos de Justine qui maintenant râle doucement sous les coups de boutoir. La douleur évanouie, seule reste la découverte de la sodomie, déjà partiellement initiée par Paul, son mari. Finalement, les deux femmes s’écroulent, emmêlées, dans les bras l’une de l’autre. Les deux amantes s’embrassent à nouveau. Le gode a quitté le fondement de Justine. Il se dresse au-devant de Florence, toujours arrogant, mais pointant maintenant inutilement vers le ciel.
Justine le prend entre ses mains :
Tu as réussi à l’entrer en entier en moi ? J’ai pris tout ça en moi ? Entièrement ? Devant et derrière ? Je n’arrive pas à y croire ! Et il m’a même fait jouir. Dans mon ventre et dans mon cul, en plus !
Il nous faudra recommencer, n’est-ce pas ?
Justine se tait. Qui ne dit mot consent !
L’appareil photo a été témoin de toute cette séquence d’initiation. Il en a fidèlement enregistré toutes les phases. Maintenant, Louis se retire en silence, laissant les « artistes » se reposer de leur performance et se cajoler, sur le lit de leurs exploits.