Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22627Fiche technique35004 caractères35004
6373
Temps de lecture estimé : 26 mn
09/09/24
Présentation:  Une fois de plus, le présent texte est une anecdote romancée, placée dans un autre contexte.
Résumé:  Après Cambrai et Le Quesnoy, voici venir Lens pour une nouvelle petite balade en moto…
Critères:  moto fh exhib init
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Moto à...

Chapitre 03 / 05
Moto à Lens

Une fois de plus, le présent texte est une anecdote romancée, placée dans un autre contexte. Bonne lecture : )



Rappel



Je ne sais pas pourquoi, mais comme une envie subite de fraises de femme enceinte, il m’est venu la lubie de faire de la moto en tant que passagère plus ou moins sexy. Une copine avait concrétisé plusieurs fois ce fantasme, et je me suis dit « pourquoi pas moi ? ».


Vanessa n’en a pas parlé explicitement, mais je la soupçonne fortement d’avoir récompensé à chaque fois tout ce petit monde à sa façon ! Il faut dire qu’elle n’a pas froid aux yeux et ailleurs…


Je ne possède pas de moto, mon mari non plus. J’aurais pu passer par ma copine exhibitionniste pour qu’elle me fournisse au moins un contact, mais je n’avais pas trop envie qu’elle soit au courant et qu’elle croie que je la copie bêtement. Alors j’ai effectué mes propres recherches comme une grande, en oubliant de mettre mon époux au courant, car il est trop plan-plan pour oser penser faire ce genre de chose. Déjà qu’il me fait des gros yeux ronds orageux quand je tente un gentil décolleté !


J’aime mon mari, mais parfois, il me saoule avec sa pudibonderie !


Après quinze jours de farfouillage, j’ai mis la main sur quelqu’un de confiance : Thibault, motard acharné de son état, ayant fait partie de la petite troupe qui a encadré divers exploits de Vanessa.


Mon premier tour en moto à Cambrai avec Thibault a été une franche réussite. De ce fait, nous avons planifié une suite au Quesnoy qui fut aussi une réussite. Bien sûr, mon mari n’est toujours pas au courant…




Lens



Après Cambrai et Le Quesnoy, voici venir Lens. Quelques jours auparavant, Thibaut m’a expliqué par mail le circuit en me communiquant une capture d’écran de Maps, avec le tracé prévu en rouge : on fait comme si on venait de la A1 (par Noyelles), on continue sur la A21 en direction de Bruay, mais on bifurque à Grenay (avant le croisement avec la A26) pour aller vers Liévin, qu’on traverse, en longeant la zone commerciale (Carrefour, Brico, MacDo, etc.). Puis on suit la A211 et ensuite on revient à notre point de départ.


Cette fois-ci, une vraie boucle, le tour de Lens dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, comme au Quesnoy et aussi à Cambrai dans un premier temps. Est-ce un signe ?


Aujourd’hui, un mardi après-midi (j’ai casé quelques heures de récupération pour me libérer), nous avons rendez-vous à Noyelles, du côté de Sétralog et de l’Intermarché, tous les deux proches de l’autoroute. Je connais un peu le coin à cause du centre de formation de Maisons et Cités, où j’ai mis les pieds par deux fois, lors d’un précédent boulot.


En me voyant sortir de ma petite voiture, mon motard préféré s’exclame :



Comme les autres fois, je relève un peu le côté afin de montrer mon bas, sa bande sombre, un peu de ma peau et bien sûr l’attache vers le porte-jarretelles.



Pour info, je porte une robe assez moulante de type fuseau outremer qui descend jusqu’à mi-cuisse avec le même tralala en dessous. En haut, mon décolleté est arrondi et comme ma robe est un peu étroite, mes seins légèrement comprimés sont mis un peu plus en valeur. Enfin, j’ai mis une petite veste en jean qui s’arrête au niveau du nombril (qui est quand même caché par ma robe), je la boutonnerai quand nous roulerons, car mine de rien, avec la vitesse, on a froid. Bien sûr, mes chaussures sont assorties.



Même si je l’ai encore en tête, Thibault me réexplique rapidement la balade, en précisant qu’il pourra y avoir quelques variations au programme en fonction du contexte. Une fois qu’il a terminé, je lui demande :



À ma grande surprise, Thibault développe un autre argument :



Il se met à rire :



Je ne sais pas pourquoi, mais ça me fait plaisir d’entendre ce genre de compliment.




Prête au décollage



Comme les autres fois, Thibault souhaite vérifier si j’en montre assez, mais pas trop. Il explique à sa façon :



Continuant la conversation, Thibault met son casque :



Mon pilote met en route sa machine, il me répond ensuite par l’interphone :



C’est curieux, je ne ressemble pas du tout à cette fameuse actrice. Mais tous les hommes ne sont pas forcément fixés sur un seul type de femme. Je pense à mon frère qui s’est marié avec une grande blonde, puis qui a divorcé pour une rousse replète, puis maintenant vivre avec une petite brune. On va dire qu’il a tâté à différents modèles !


Curieuse, je demande :



Il enfourche sa moto :



Je préfère ne pas trop demander en quoi c’est un peu particulier à mon sujet, je sais que Thibault semble avoir une inclination pour moi, mais comme il continue de se comporter en gentleman, je ne dis trop rien. La moto s’élance hors du parking, c’est parti pour une nouvelle balade !




Autour de Lens, vers l’ouest



La plupart du temps, quand elle est en position assise, c’est plutôt la femme qui est entre les cuisses de l’homme qui est alors dans son dos. Sur une moto en tant que passagère, c’est l’inverse, puisque Thibault est devant moi, et que je plaque mes cuisses contre les siennes, mon torse collé contre son large dos. L’inconvénient de cette position quasi obligatoire en cas de vitesse est qu’il est difficile de regarder devant, sauf si on a une tête de plus que le pilote. Ce qui n’est pas mon cas.


Je ne vais pas trop vous détailler le tour de Lens, juste les grandes lignes.


Très vite, à partir du parking, nous mettons les roues sur la A21 en direction de Lens, puis de Bruay, car nous sommes très vite confrontés à trois choix : Centre-ville, Arras et Bruay (pour simplifier). Après une large courbe, se dessine bientôt la sortie vers Loison (que nous n’empruntons pas). Je connais un peu par là.


Puis arrive aussitôt la sortie Lens-Est, un coin avec beaucoup d’immeubles, ce qui explique le nom de Grande Résidence. Tout de suite après, un panneau indique La Bassée avec Lens 2, la grosse zone commerciale du secteur. Ça va faire un bon bout de temps que je n’ai pas mis les pieds là-bas. Il faut dire que c’est assez loin de chez moi. Et aller y faire un tour en moto n’est peut-être pas très conseillé…


Surtout avec ma tenue qui est quand même assez provoc’ !


Ensuite, sauf erreur de ma part, c’est la sortie Centre hospitalier. À ma grande surprise, Thibault ralentit et se place à droite, comme s’il avait décidé de quitter la A21 :



Au moment où nous passons devant l’hôtel et restaurant Campanile, des clients, des hommes plutôt matures, sont justement en train de sortir. Volontairement, mon pilote ralentit afin qu’ils puissent bien me regarder. Alors qu’ils commencent à réagir, la moto est déjà sortie de l’enceinte.


Alors que nous arrivons à un croisement, Thibault commente :



Je ne vois pas trop à quoi il fait allusion. Ce que je sais est que je vais faire maintenant un peu d’exhib dans cette zone d’activité. Nous passons devant un bâtiment vitré, je peux de découvrir distinctement en reflet. Oui, on ne peut pas savoir qui je suis, mais c’est sexy : ma robe est assez moulante, et on distingue très bien ma cuisse, la bande sombre du bas, l’attache du porte-jarretelles et aussi un peu de chair nue. Je ne pensais pas que ça remontait si haut !


En tout cas, j’ai du succès en parcourant les rues bordées d’entreprises ! Je me fais klaxonner, siffler, mais pas huer !



Thibault continue de me balader ainsi dans cette zone d’activités. Soudain, il s’engouffre sur le parking d’un transporteur pour faire demi-tour. Intriguée, je lui demande :



De ce fait, mon exhibition dans ce coin de Lens s’arrête là. Toutefois, le bonhomme que nous venons de croiser était plus ravi de ce qu’il a vu. Je comprends la prudence de mon pilote. Je ne sais pas ce qu’on risque exactement si on se fait prendre, mais si on lui confisque sa moto, ça ne va pas être jojo pour lui ! Et si ça arrive aux oreilles de mon mari, je ne suis pas claire…


Revenus sur la A21, nous filons à vive allure vers la prochaine sortie, celle de Béthune. Je me colle contre le dos de mon biker, je suppose qu’il n’a pas prévu de sortir tout de suite. Bonne pioche, il ne ralentit pas, nous sortirons à la prochaine, à Liévin. Parfois, j’entends des coups de klaxon, je suppose que c’est moi qui suis visée par ces démonstrations sonores.


Nous longeons le double terril, une trace bien visible de l’activité locale, durant le siècle dernier. L’Égypte a ses pyramides, dans le Nord-Pas-de-Calais, nous avons les nôtres. Elles aussi ont coûté des vies…


Serrant mes cuisses contre les siennes, je me plaque toujours contre Thibault, je suppose qu’il doit apprécier ce contact, même si ma poitrine n’est pas volumineuse comme certaines filles que j’ai pu voir sur les sites de motards. À ce propos : visiblement, plus la moto est grosse, plus la poitrine l’est aussi !


Le soutif doit être carrément en métal (avec des pointes à la Mad Max ? ) pour supporter de telles masses, sans parler du dos qui doit en prendre un rude coup ! Dolly Parton disait que sa poitrine est une arme de distraction massive, mais que le coût n’était pas triste pour ses vertèbres. Elle ne se faisait pas trop d’illusions sur sa célébrité qu’elle devait partiellement à sa poitrine, même si la Dame est loin d’être une idiote sans talent.




Autour de Lens, vers l’est



Mon biker ralentit, je lève la tête. Au loin, je distingue un panneau « Liévin, Grenay, Bully, Stade ». C’est ici que nous sortons pour continuer le tour de Lens, section retour.


Nous sommes à présent sur une route sans trop d’habitations, bordée de nombreux arbres qui cachent tant bien que mal des hangars et des îlots d’habitations, une sorte de rocade mélangée de boulevard, avec un terre-plein au milieu.


Lisant un nouveau panneau perché là-haut, je demande à mon chauffeur :



Thibault ralentit un peu, je constate que nous sommes de plus en plus en milieu urbain. Au loin, une large courbe se dessine, la route semble repartir vers l’est. Je ne fais pas trop attention aux panneaux, je crois avoir lu « Centre-ville » et « Stade régional couvert », mais sans plus. Je suis en train de perdre le fil, je me contente de me faire balader en moto, accompagnée parfois d’un coup de klaxon.


Toujours plaquée contre le large dos de mon pilote, je commence à comprendre pourquoi certaines filles en couple avec des bikers ne semblent pas avoir inventé l’eau chaude. Elles se laissent balader dans tous les sens du terme !


La voix de Thibault me sort de ma torpeur :



Après avoir longé un chevalet (un bon point de repère), lors d’un rond-point, face à face un Burger King, un MacDo et un Quick (une rareté), un grand classique de la concurrence. Ça me fait songer que, sur la route de Cambrai qui part de Douai, avant d’arriver à l’hôpital, il y a cinq fast-foods à la queue leu leu : Burger, KFC, MacDo, Gür et pour finir, la même rareté, aussi un Quick. Dois-je rajouter à cette liste le Ange ? Ah oui, j’oubliais le Ch’ti Gourmand, une friterie couverte qui fait aussi des pizzas. J’évacue les deux Marie Blachère (eh oui, deux fois la même enseigne à deux cent mètres d’écart), un Panda (restau chinois) et un Comptoir du Malte.


Halala, tout ça me donne faim !


Après plusieurs centaines de mètres, nous longeons l’entreprise Benalu, c’est un point de repère quand je m’aventure dans le coin, surtout pour des braderies. J’en connais deux qui sont très intéressantes et diversifiées, sans que ce soit rempli de vendeurs professionnels. J’y viens surtout pour m’approvisionner en confitures faites maison.


Quelques secondes plus tard, nous arrivons à un gros rond-point. De façon surprenante, Thibault se dirige maintenant vers Arras, mais il sort très vite de cette rocade. Je me doute un peu du pourquoi du comment de cette sortie de trajet. Nous traversons une petite cité plutôt récente, puis nous enchaînons un peu plus loin sur une autre plus ancienne, le tout avec des virages dans tous les sens. Arrivés au fond de la deuxième cité, nous longeons des arbres, puis nous nous engageons sur un petit chemin boisé.


Je me crois en pleine forêt alors que nous sommes juste à côté de Lens. Peu après, Thibault arrête sa moto dans ce qui ressemble à une clairière en terre battue, avec des monceaux de batinses empilées sur le côté.




Pause



Après avoir mis sur béquille son destrier, Thibault se dégourdit les jambes, après que j’ai bien reculé sur la selle pour lui faciliter la manœuvre. Toujours assise sur la moto (mais à présent au milieu de la selle), je regarde autour de moi, tout en m’étonnant :



Je continue à regarder autour de moi :



Mon cher biker a tellement louvoyé pour venir dans cet endroit perdu que je serai incapable de refaire la route pour venir jusqu’ici ! Tandis que Thibault est toujours en train se dégourdir les jambes, regardant autour de moi, je réponds :



Je fais remarquer un point de détail :



Je me décolle de la selle, un besoin impérieux s’invite soudainement :



Je me précipite vers le premier arbre pour me cacher derrière. Juste avant, j’ai de temps de constater que comme les autres fois, j’ai laissé une petite trace humide sur la selle. Tandis que je m’accroupis et que je me laisse aller, j’ai la surprise de voir Thibault se planter devant moi. Interloquée, je lui demande :



Avant de répondre, il s’accroupit lui aussi :



Je constate au passage que ça ne me gêne pas plus que ça qu’il soit en train de jouer les voyeurs à mon encontre. Ce qui m’étonne de moi…


Alors que je suis en train de terminer, je lui lance :



Curieusement, je lui obéis. J’avance néanmoins d’un pas pour cause de sol humide. Thibault s’agenouille carrément devant moi, ses mains capturent mes hanches, puis sa bouche vient se plaquer sur ma fente détrempée.



Il ne répond rien, il est trop occupé avec sa langue. Je suis à la fois excitée et gênée. Très vite, le côté plaisir l’emporte, bien que je trouve cette situation un peu… comment dire… étrange… C’est alors que d’anciennes images ressurgissent dans ma mémoire, des idées que je pensais enfouies depuis des années…


Je ne sais pas quoi trop penser de tout ceci, mais comme sa langue est trop bonne, j’évite de trop réfléchir…


Soudain, Thibault arrête sa délicieuse torture, puis il se relève en disant :



Revenu à sa moto, il soulève la selle et en extirpe une couverture roulée qu’il vient déposer au sol juste à côté de moi :



Quelques secondes plus tard, Thibault est à nouveau entre mes cuisses à me faire subir des outrages qui me font tant de bien. Allongée sur le dos, jambes largement écartées, je me laisse faire sans aucune difficulté. Avant de me laisser aller, je songe fugacement que mon mari devrait prendre des cours de cunni auprès de mon biker. Mais je vois mal comment lui présenter la chose sans me trahir !


Avachie sur le canapé, jambes bien écartées, je me laisse faire, en poussant de temps à autre un petit soupir de contentement. Pire encore, j’encourage mon débaucheur :



Bien sûr que Thibault continue, il adore que je jouisse sous sa langue ! Il aime m’entendre crier mon plaisir, que sa bouche soit inondée de cyprine ! Il me l’a récemment avoué par mail. Il s’active du mieux qu’il peut, léchant, titillant, suçant ma fente dégoulinante. Puis il se concentre sur mon petit bouton rose très sensible. Il aime le taquiner, le faire vibrer !



Je le récompense par l’abondance de cyprine sucrée qui ruisselle à présent de mon intimité, et dont il se bâfre sans vergogne. J’ai dû mal à me retenir, à ne pas décoller sous sa langue virevoltante et vicieuse !


Soudain, je pousse un premier cri rauque, je sais que je vais bientôt partir vers le septième ciel, et que je vais exploser en plein vol.



Je plonge mes doigts crochus dans ses cheveux, je plaque sa bouche vorace contre ma chatte. Il lèche ma fente encore plus vigoureusement, plus vicieusement. Il presse plus encore ses lèvres sur les miennes, il boit, il léchouille, il aspire, je tremble de tout mon être, mon clitoris en feu, l’esprit en déroute !


Je vibre, je tremble, je tressaille, puis je déflagre en mille petits cris provocants !


Puis je perds la notion du temps, du haut et du bas, de tous mes repères…

Comme si je n’avais plus de poids, je flotte sans entraves…

Rien qu’un monde nimbé de blancheur…

Nuageux, cotonneux…

Puis plus rien…




Suite de pause



Il n’y a pas à dire, mais une bonne léchouille, c’est terriblement bon ! Même s’il faut un peu de temps pour revenir sur terre. Je me dois de récompenser mon lécheur à ma façon. Adoptant un ton un peu provocant, je lui propose :



Je m’exclame spontanément :



Thibault devient exigeant. J’ai quand même un peu peur qu’il aille plus loin, un peu trop loin, même si je pense qu’il ne franchira pas le pas. Je suis tentée, mais soucieuse. Néanmoins, je demande :



Peu après, ma robe remontée au milieu du dos, je suis offerte pour la prochaine lubie de mon pilote. Je ne sais pas comment est installé Thibault, mais j’ai l’impression qu’il a un genou entre mes jambes et son autre pied en dehors, comme à cheval sur une de mes jambes. Je pourrais regarder derrière moi, mais je ne le ferais pas. J’attends…


J’entends que mon biker est en train de s’activer, je suppose qu’il se masturbe. Soudain, il lance :



Je sais tout de suite pourquoi il a dit ça quand je sens sa verge se frotter sur une de mes fesses. Peu après, c’est mon autre fesse qui a de la visite. Je suppose que ça permet d’activer un peu plus les choses.



Le cri du mâle qui se libère ! C’est étrange de sentir ce sperme chaud s’aplatir sur ses fesses. Je crois bien que c’est la première fois que ça m’arrive. Ah non, c’est vrai, je l’avais fait avec un petit ami rencontré en vacances dans le Sud. Mais c’était assez maladroit, improvisé. Avec Thibault, c’est direct, naturel, sans chichi. J’aimerais beaucoup que mon homme (mon mari) emprunte un peu de façon d’être à mon biker, ça serait bien.


Je sens que mes deux fesses sont couvertes de semence poisseuse, une sensation un peu étrange, vulgaire, mais excitante. Avec ce qu’il vient de balancer, Thibault doit avoir les coucougnettes vides. C’est alors que je l’entends dire :



Je sens alors une verge chaude se glisser dans mon sillon, ça me fait tout drôle ! Elle se frotte impudiquement, faisant quelques allers-retours avant de s’immobiliser à l’orée de mon petit trou. J’ose espérer que Thibault ne forcera pas l’entrée.



Il se met à jouir de nouveau, sa verge épousant ma cuvette ourlée, sans toutefois aller plus loin. Je sens à nouveau distinctement son sperme se répandre sur moi, et je jurerai qu’il se répand aussi en moi !


C’est pas possible, il doit avoir trois ou quatre coucougnettes !


Toujours au-dessus de moi, Thibault continue de jouir. J’aime quand un homme me démontre l’envie qu’il a de moi, et la meilleure façon est qu’il éjacule pour moi. Une idée fugace traverse mon esprit : faire des webcams avec des inconnus et les voir jouir après les avoir excités un petit peu. Est-ce tromper son mari ?


Quoique… avec ce qui vient de se passer là maintenant, selon certaines personnes, je suis une grosse salope, mais pour d’autres, je suis une petite coquine.



Ah, mon biker revient un peu sur terre. Je réplique :



Sa verge toujours entre mes fesses, il soupire d’aise :



Je n’avais pas vu venir cette réponse. Je me défends comme je peux :



Pour toute réponse, il se met à rire, puis sans prévenir, il dépose un petit bisou dans mon cou. Ce faisant, je sens sa verge redevenue un peu dure s’arc-bouter sur mon petit trou. Je fais quoi si ça rentre ? Le pire est que… comment dire… je ne serai pas vraiment fâchée…


Heureusement pour moi, mon arroseur se redresse, se mettant debout pour aller chercher de l’essuie-tout dans le petit coffre de sa moto. Il se nettoie, puis il revient vers moi. Thibault se fait un plaisir d’essuyer tout le sperme dont il m’a gratifié. Je le soupçonne de s’attarder un peu trop dans mon sillon, mais je ne dis rien, car… comment dire… j’éprouve une sorte de bien-être à ce qu’il le fasse.


Ce qui m’inquiète un peu, cet homme me fait de l’effet, c’est indéniable…




Fin de boucle



Après le délicat et méticuleux nettoyage, je me redresse pour me mettre debout. J’ai la curieuse impression d’avoir un peu de sperme dans mon rectum, mais je préfère ne pas vérifier, du moins, pas en face de Thibault. Ma robe fuseau étant toujours remontée, je plaisante :



Sans oublier de copieusement me mater et tout en rangeant la couverture, Thibault répond franchement :



À mots couverts, je lui rappelle diverses compensations :



Puis il change de sujet et de ton de voix :



Je m’étonne :



Je m’exécute, je pose mes fesses nues sur la selle en cuir, j’aime ce contact un peu animal. Thibault tourne autour de moi pour bien vérifier ma tenue, puis il abaisse très légèrement ma robe par-derrière.



Je plaisante :



La moto repart peu après. Après avoir zigzagué parmi les maisons et les rues, nous revenons au grand rond-point, puis nous prenons la direction de Douai-Lille. Durant la longue ligne droite, j’en profite pour demander à mon pilote :



Ah, un autre coup de klaxon, on dirait que le spectacle plaît. Même si je me doute un peu de la réponse, je désire éclaircir un point de détail :



Je rétorque aussitôt :



Ça va, ça reste dans mes prix, je me lance :



Amusé, Thibault répond aussitôt :



Mon biker devient moqueur :



Eh oui, c’est déjà la sortie Noyelles-Sallaumines. J’ai néanmoins droit à un double coup de klaxon quand nous nous faisons dépasser sur la gauche par un gros camion tout vert. Nous bifurquons vers notre point de départ. Deux minutes plus tard, nous sommes de retour sur le parking du rendez-vous. Contrairement aux autres fois, c’est moi qui descends la première de la moto, j’ai besoin de me dégourdir illico les jambes.


Tandis que Thibault se met lui aussi sur ses deux pieds, après avoir enlevé mon casque, je réajuste soigneusement le bas de ma robe, cachant mon popotin qui a bien pris l’air. Je constate que la selle est encore plus humide. En regardant du coin de l’œil la tache, j’ai confirmation de ce que je pensais tout à l’heure.


Tête nue, mon pilote me demande :



Ayant sans doute une nouvelle idée en tête, il marque un petit temps d’arrêt, puis il enchaîne :



Thibault affiche un large sourire :



Poings sur les hanches, changeant de sujet, Thibault annonce :



Levant son index vers le ciel, mon pilote rectifie :



Faisant la moue, je hausse fugacement des épaules :



Je nuance un peu :



Je suis prête à parier que ce n’est pas un accident si chacun de ses deux baisers sur mes deux joues s’est mystérieusement plaqué aux commissures de mes lèvres. Mais une fois de plus, ça ne me dérange pas. Je dirais même que ce petit jeu me divertit.


C’est ainsi que chacun est reparti de son côté, lui sur son gros cube et moi dans ma petite voiture. Une petite moto pour moi, ça me tente, et pas forcément pour aller travailler…