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Temps de lecture estimé : 11 mn
11/10/24
Résumé:  Lors d’un déplacement, Julien a repéré une love room bien particulière. Il aimerait y emmener Magali pour lui faire franchir de nouvelles limites.
Critères:  fh extracon fépilée fsoumise lingerie fellation anulingus pénétratio fsodo jouet init
Auteur : Conteurreveur  (Gentleman, les femmes sont belles lorsqu’elles sourient)      Envoi mini-message

Série : L'impertinente

Chapitre 01 / 03
L'impertinente Partie 1

L’été bat son plein, les semaines s’enchaînent, Julien et Magali ne se sont pas vus depuis une longue période. L’attente semble longue et l’envie de se retrouver grandit chaque jour. Surtout l’envie de vivre à nouveau des moments forts, intenses, inoubliables.

Magali a pris des couleurs cet été et elle se sent pleine de charme, désirable et désirante. Elle aimerait en faire profiter Julien au maximum, sans limite. Une fois n’est pas coutume, elle reçoit une lettre au courrier. Plus précisément un Bristol d’invitation. Elle ne se rappelle pas avoir des proches qui avaient annoncé une naissance ou un mariage. Elle ouvre l’enveloppe et immédiatement son rythme cardiaque s’accélère, sa respiration devient lourde, ses tempes bourdonnent. Elle lit le message inscrit :


Chère Madame C.

Vous êtes invitée à vous rendre à Isbergues, au site dit « L’impertinente » et vous demanderez la Red room le 22 août à quinze heures précises.

Il vous est demandé de prendre soin de vous.

Il vous est autorisé de choisir les sous-vêtements de votre choix.

Il vous est conseillé de porter le rosebud offert à Londres.


À quinze heures quinze, vous serez installée sur le fauteuil qui trône au milieu de la chambre. Un masque sera à votre disposition sur l’accoudoir gauche. Vous le mettrez afin qu’il cache intégralement votre vue.


À quinze heures vingt, vous ne dites plus rien, vous ne bougez plus, vous obéissez…



Monsieur J.


Magali est rouge d’excitation en relisant ce message deux fois. Elle sent même des picotements qui animent le bas de son ventre. Elle aimerait pouvoir remonter dans sa chambre, que Julien soit là, entièrement nu et se jeter sur lui pour une étreinte passionnée. Elle décide se calmer et de prendre immédiatement ses dispositions pour se rendre disponible le vingt-deux


Jeudi 22 août.

Magali est arrivée bien en avance pour être sûre de ne pas rater l’exigence de ponctualité. Elle porte une robe très légère par cette belle journée ensoleillée. Une hôtesse très charmante l’accueille à son arrivée et lui explique que Monsieur a tout prévu. Elle n’a plus qu’à se laisser porter.

Elle entre dans la chambre faiblement éclairée et la première chose qu’elle ressent est cette légère fragrance un peu envoûtante qui rappelle les parfums des femmes fatales des années 80, type Shalimar. Surtout elle voit immédiatement le fauteuil qui est le seul mobilier franchement éclairé au milieu la pièce. Comme pour le mettre en valeur. Il est peu commun et curieusement il lui fait penser à un fauteuil de consultation médicale. Magali commence à avoir son imagination qui vagabonde et entrevoit de multiples possibilités pour satisfaire de nouveaux fantasmes.

Mais le temps passe, il est quinze heures dix. Après s’être regardée une dernière fois dans le miroir qui fait face, Magali décide de retirer sa robe et de s’installer en bas et sous-vêtements sur la chaise. Elle positionne le masque et tout devient différent. Privé de la vue, son ouïe scrute les moindres sons, son odorat est captivé par le parfum de la chambre, son toucher l’amène à tapoter des doigts sur l’accoudoir pour s’assurer qu’elle est bien en position sur la chaise, enfin le goût lui est plutôt en berne. En effet, elle sent sa bouche sèche, désireuse de goûter au fruit défendu.


Clac, le bruit caractéristique de la porte annonce l’arrivée de Julien. Magali sent bien une présence mais il ne dit pas un mot. Peut-être attend-t-il quelque chose, peut-être s’habitue-t-il à la pénombre ou encore l’observe-t-il. Sa vue obstruée met en exergue tous ses autres sens mais son imagination aussi. Oh mon Dieu et si ce n’était pas Julien ? Elle aimerait dire quelque chose mais se rappelle les consignes implacables de Julien. Magali se rassure en se disant qu’elle le connaît par cœur et au premier contact elle saura le reconnaitre. En tout cas cette situation l’excite et elle sent que sa poitrine commence à se tendre et son intimité devient brûlante.


Tout à coup la présence se fait très proche. Magali cherche à reconnaître le parfum de Julien, mais l’ambiance capiteuse de la red room l’en empêche pour le moment. Elle sent alors des doigts qui courent le long de son épaule et viennent suivre la bretelle de son sous-vêtement pour ensuite le dégrafer et l’en débarrasser prestement. Le geste est rapide, presque brusque et surprend un peu Magali. Puis rapidement, les mains s’emparent de sa culotte pour faire de même. Magali est quasiment nue. Il ne lui reste que ses bas.

Les mains s’emparent des siennes et les passent dans des bracelets, reliés aux accoudoirs. Magali frémit d’excitation. Jamais Julien ne lui a proposé un jeu de soumission. Puis les mains continuent et elle entend un mécanisme se déplier près de ses jambes. Sa jambe gauche est relevée très haute et les mains placent le genou sur une sorte d’étrier puis attachent la cheville sur le même style de lien que ses mains. L’opération est ensuite répétée sur la jambe droite. En quelques secondes Magali se retrouve pieds et poings liés, dans une position provocante. C’est indécent, obscène presque. Elle s’imagine nue, sans rien pour cacher, ses seins, sa fente déjà humide et surtout son œillet, orné du plug qu’elle a hésité à porter et que décidée à se donner entièrement à Julien elle a introduit en elle avec chaleur fiévreuse. Elle doit être parfaitement mis en lumière par le seul éclairage concentré sur cette chaise.


Elle se sent offerte à quiconque. OFFERTE à quiconque, mais non ce n’est pas possible. Julien n’oserait pas sans lui demander son approbation. Elle est dans ses pensées quand elle sent de nouveau les mains parcourir son corps. Elles passent entre ses seins puis remontent pincer les tétons sans ménagement. Magali ne peut retenir un petit cri de surprise. Puis une main descend sur son entrejambe et passe sur son clito gonflé d’excitation. Elles lui semblent rêches, rugueuses. Pas comme les mains de Julien habituellement. Mais peut-être a-t-il pratiqué des sports spécifiques durant ses vacances. Mais peut-être aussi sont-ce les mains d’un maraîcher du coin que Julien a invité pour l’occasion. Tout cela l’intrigue et l’excite aussi, tout cela lui fait peur mais décuple son plaisir. Elle se sent toute mouillée. Un doigt fureteur entre en elle si facilement qu’un deuxième suit immédiatement. Ils vont et viennent vite et de plus en plus fort. Sa respiration s’accélère et Magali sent qu’elle peut jouir d’un instant à l’autre. Elle ne contrôle pas cette boule de feu qui envahit le bas son ventre et lorsque les doigts viennent jouer avec son point G tout en appuyant avec le plat de la main sur son clito, elle explose littéralement sur la main qui lui donne du plaisir. Son orgasme a été fulgurant, immédiat. Elle est essoufflée mais ne veut pas s’arrêter là…


Les doigts quittent son antre, viennent glisser sur ses lèvres puis forcent sa bouche. Elle joue un peu avec et elle sent une bouche qui se colle à la sienne. L’espace d’une seconde elle est sûre de reconnaître Julien car elle sait qu’il aime partager le goût de sa liqueur. Mais juste une seconde car elle sent immédiatement la barbe du visage qui dévore sa bouche. Pas très importante mais suffisamment pour la surprendre car elle n’a jamais connu Julien barbu. Peut-être s’est-il laisse pousser la barbe durant ces vacances. Peut-être pas…


Magali n’a pas le temps de trop réfléchir car maintenant ce ne sont plus seulement des mains qui s’occupent d’elle mais un homme, un vrai. Elle sent sa virilité qui s’approche de son visage. Elle sent aussi une douce odeur de vanille, comme si le sexe était parfumé. Elle se dit que là c’est sûr il n’y aura pas d’équivoque pour reconnaître son amant. Elle connaît chaque contour de son gland, chaque veine de sa tige, la taille de ses testicules, la raideur et la largeur de son pénis. Ses points sensibles, le parfum du plaisir qui perle goûte après goûte lorsqu’il est prêt à jouir. L’homme manipule le dossier du fauteuil et l’appuie tête pour allonger le buste de Magali, pour son confort, puis positionné derrière elle en haut de son corps, il vient glisser son gland sur ses lèvres. Magali accepte avec plaisir cette caresse car justement elle veut donner du plaisir à l’homme. Son homme ? En effet, le parfum de vanille, agréable au demeurant, l’empêche de déterminer le goût. Cette façon de bouger d’avant en arrière sur sa bouche lui permet juste de lécher le gland, puis la tige. Il lui semble dur, long, gros. Perturbée, elle n’est pas sûre à cent pour cent. Surtout ces manières la troublent. Elle comprend qu’il a baissé le dossier de la chaise pour son confort à lui. Pour venir imposer son sexe sur sa bouche à sa guise.


Il pousse chaque fois un peu plus loin et désormais elle peut lécher aussi ses testicules lisses et l’arrière de son scrotum si sensible. Ce petit jeu excite Magali et elle participe avec enthousiasme, elle mouille de nouveau beaucoup. À chaque mouvement l’homme s’avance toujours un peu plus et Magali découvre alors des terrains interdits. Sa langue est désormais au bord de l’œillet de l’homme. Puis le bassin de nouveau repart en arrière et redonne telle une glace la tige à lécher. Magali est surexcitée par cette position et le sentiment d’être traitée comme un jouet sexuel. Tout cela est très nouveau pour elle. Mais déjà le bassin s’avance de nouveau sur elle et sa langue glisse sur toute la longueur de l’homme qui lui semble interminable dans cette position, puis les testicules, puis l’arrière de son scrotum, puis sans équivoque son œillet. Magali est d’abord interdite par ce qu’elle est en train de faire. Elle n’a jamais pratiqué de feuille de rose sur un homme. Puis le doux parfum de vanille, la peau parfaitement lisse, la sensation de braver des interdits l’emportent sur toutes ses barrières. Elle fait tournoyer frénétiquement sa langue sur la corolle et elle imagine l’homme en train de se masturber tranquillement au-dessus de sa tête. Elle entend même son souffle qui devient rauque, preuve de plaisir intense chez lui. C’est ultra torride, son sexe coule littéralement. Elle a très très envie de lui désormais.


Comme si l’homme lisait dans ses pensées, il se redresse et libère la délicieuse bouche de Magali. Une drôle de sensation lui fait tourner la tête et elle sent une seconde plus tard l’homme la pénétrer puissamment, profondément, bestialement. Elle réalise qu’il ne s’est pas déplacé, le fauteuil est monté sur un pied qui pivote à 180 degrés. En un clin d’œil, il peut la pénétrer là où il le désire. Sa vue cachée lui donne l’impression que deux hommes s’occupent d’elle. Il va et vient en elle, puis recommence l’opération pour amener son sexe à sa bouche. Avec la même puissance, il pénètre la bouche de Magali. Il va et vient en elle toujours plus loin, comme s’il faisait l’amour à sa bouche. Puis à nouveau le siège tourne et son pieu se présente à l’entrée de son vagin et la pénètre à nouveau avec vigueur et endurance. Quelques va et vient puis le siège pivote à nouveau et le sexe est sur la bouche de Magali. L’homme semble beaucoup s’amuser de ce petit manège et cela excite Magali qui désormais ouvre grand la bouche et réclame le membre tendu au plus profond d’elle. Elle veut lui montrer qu’elle l’accepte tout entier et que ce jeu l’excite beaucoup. L’homme continue ainsi pendant plusieurs minutes et Magali sent un nouvel orgasme arriver. Lors du dernier pivot elle a d’elle-même tiré la langue et l’homme est venu au bout de sa domination, s’enfonçant sans vergogne pour profiter de cette magnifique gorge profonde.


Magali est dans tous ses états, prête à jouir à tout moment lorsqu’elle sent que l’homme tire sur le plug resté fiché en elle depuis le début de leur ébats. Toute à sa quête de sensation elle en avait oublié jusqu’à sa présence entre ses fesses. La sensation sur son anus est électrisante. Cela ressemble bien à Julien de vouloir la posséder par tous les orifices. Elle n’est pas inquiète car elle sait qu’il est doux et attentionné, particulièrement lorsqu’il s’agit de son plaisir anal. Le plug glisse facilement car Magali mouille beaucoup et le lubrifie de sa liqueur depuis de nombreuses minutes. L’homme l’extrait de son œillet et vient présenter son pénis à la place. Il l’investit d’une seule poussée et surprend Magali qui laisse échapper un cri de nervosité. Il fait quelques va et vient saccadés, s’impose, prend sa place, limite rustre. Décidément elle doute sur l’identité de son partenaire. Surtout, elle sent le siège qui pivote à nouveau et comprend immédiatement ce qui l’attend. Elle se crispe complètement car elle n’est pas du tout prête pour ça. Mais à nouveau, elle est surprise par le doux parfum de vanille qui émane du sexe de l’homme. Il le fait glisser sur sa bouche et Magali de nouveau se laisse emporter par la peau lisse, le contact doux, ce nouvel interdit à franchir. Elle tire timidement la langue et lèche le sexe qui lui semble on ne peut plus propre et appétissant. Comment est-ce possible. Seraient-ils deux hommes, un de chaque côté du fauteuil ?

D’ailleurs le fauteuil pivote à nouveau et désormais il pénètre à nouveau son œillet avec facilité et entame de profonds va et vient qui font remonter Magali au septième ciel. Il va la faire exploser c’est sûr. Mais l’homme n’en a pas fini avec elle. Le fauteuil pivote à nouveau et le sexe se présente à sa bouche. Toujours doux, parfumé, appétissant. Elle n’hésite pas une seconde et le gobe littéralement pour lui permettre de glisser selon son bon vouloir. Magali réalise qu’après sa première feuille de rose, elle effectue sa première fellation après de l’anal, de l’ « ass to mouth » comme disent les américains. Une star du porno n’aurait pas fait mieux. Décidément cet homme semble l’emmener au-delà de toute limite et faire d’elle ce qu’il en veut. Mais elle ce qu’elle veut maintenant c’est jouir, sans retenue et sentir son amant jouir aussi.


Le fauteuil tourne à nouveau et le sexe vient de nouveau investir sa fente. La cavalcade est effrénée, le pieu la perfore sans relâche et la position offre tout son corps à une saillie brutale, intense, terriblement jouissive. C’est de cela qu’il s’agit elle a le sentiment d’être montée par un étalon en rut qui ne laissera pas d’autre alternative que celle de les faire exploser tous les deux. Son souffle est saccadé, celui de l’homme devient rauque, son bassin s’agite malgré les liens et celui de l’homme vient cogner ses fesses à chaque poussée. Elle le sent loin en elle, plus que jamais, elle veut qu’il crache son foutre brûlant et le remplisse de sa semence. Elle l’entend grogner comme une bête puis le sent s’arquer pour libérer son orgasme et déclencher le sien. Elle n’a pas réussi à se retenir et a crié : fais-moi jouir !

Elle est encore toute tremblante et frissonnante lorsque l’homme se retire d’elle. Elle aimerait un baiser doux et passionné, enlever son bandeau, découvrir son Julien, mais l’homme ne dit rien. Il pose juste un doigt sur sa bouche lui intimant le silence. Puis il défait une seule attache des mains et quitte la pièce en prenant soin de faire claquer la serrure.


Magali comprend que c’est le clap de fin de cette mise en scène. Encore toute émue, elle retire son bandeau puis détache son autre main et enfin les entraves de ses jambes. Mais quelle séance de sexe !!! Elle n’en revient pas de toutes les limites franchies. Elle est presque sûre que seul Julien a pu l’emmener si loin. Elle découvre sur un guéridon juste à côté d’elle une boîte de lingettes nettoyantes, parfum vanille. Tout le film se remet en place désormais et elle comprend les positions, les parfums, les sensations. Quel amant !!!

D’ailleurs il reste une marque son plaisir sur son ventre. Bon sang ne saurait mentir, eh bien le goût de son homme ne pourra pas mentir non plus. Elle récupère quelques gouttes de sperme et les porte à sa bouche. Le goût semble différent, vraiment différent, comme s’il était sucré, ou plutôt fruité. Oui ç’est ça, fruité avec une saveur ananas plus précisément. Oh Mon dieu mais qui était-ce ????