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Temps de lecture estimé : 16 mn
07/11/24
Présentation:  Histoire écrite suite à un échange de mails avec l’inspiratrice et initiatrice des lignes qui suivent.
Résumé:  Avec le recul, mon expérience la plus folle, c’est grâce à mon amie Aline que je l’ai vécue, quelques semaines après les dunes.
Critères:  grp extracon init
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Dans les vignes

Chapitre 05 / 05
Une soirée particulière

Histoire écrite suite à un échange de mails avec l’inspiratrice et initiatrice des lignes qui suivent. Bonne lecture :)




Résumé



Mariée à un homme plus âgé que moi, j’ai fini par céder au démon de midi qui frappe aussi les femmes à la quarantaine. C’est ainsi que Marc est devenu mon premier amant, après vingt ans de mariage pour lui comme pour moi.


Puis, Thomas s’est aussi invité au bal… Il est différent de Marc, et ce n’est pas plus mal ainsi !


Avec ma nouvelle copine avec qui je peux parler de toutes ces choses-là, je commence à explorer d’autres voies…


Côté amant, jamais deux sans trois, ce qui explique l’arrivée de Charles dans ce tiercé, mon gendarme à moi.




Invitation



Avec le recul, mon expérience la plus folle, c’est grâce à mon amie Aline que je l’ai vécue, quelques semaines après les dunes. Que je vous raconte ça comme si nous y étions.


Ce lundi, attablées à une terrasse, tandis que nous discutons autour d’un verre d’un peu de tout et parfois de sujets interdits aux moins de dix-huit ans, Aline me propose :



Aline me relance :



Le fameux jour en question, je pars de chez moi, habillée normalement, allant soi-disant à une réunion. Dans ma voiture, j’ai préparé un petit sac, car Aline m’a demandé de prévoir une tenue sympa (son adjectif favori) pour passer une soirée bien agréable.


J’arrive la première chez elle, personne d’autre qu’Aline. Je me change avec elle, mais quand je découvre ce qu’elle a prévu pour elle, je m’exclame :



J’avais prévu une robe assez décolletée, mais pas aussi courte que la sienne, ni aussi échancrée. En réalité, la partie la plus habillée est composée de ses bas et de son porte-jarretelles, c’est dire !


Et moi, je n’avais pas prévu de lingerie de ce type !



Elle me regarde de la tête aux pieds, puis elle annonce :



Pour une robe sexy, c’est une robe sexy toute noire, avec son décolleté drapé fort plongeant (impossible de mettre un soutif) et sa jupette plutôt courte qui exhibe bien le fait que je porte des bas attachés à un porte-jarretelles ! Dans la foulée, Aline me demande d’échanger ma petite culotte contre un string.



Nous serons bientôt à six. J’ai quand même une petite appréhension, car, jusqu’à présent, je me suis toujours limitée à un seul homme à la fois, sauf dans les dunes, mais c’était un peu particulier. Je ne me fais pas d’illusion pour la suite des événements : je serais consommée, et je consommerai, c’est trop tentant !


Dans un premier temps, ce sont Ninon et Fabrice, le couple d’amis qui arrive ensuite. Si Fabrice est en costume-cravate, son épouse est habillée d’un dos nu qui offre un très mignon sideboob, et parfois plus, si elle se penche même légèrement. Je constate avec amusement que cette femme me ressemble vaguement et qu’elle semble avoir mon âge. Tout comme son mari, je parle de l’âge, bien sûr.


En clair, nous ne sommes pas ici pour causer de philatélie…


Aline a préparé des amuse-bouches, des petits trucs à grignoter style apéro dînatoire. De mon côté, je suis venue avec deux bouteilles de champagne, mon péché mignon. Nous commençons à boire l’apéro avec le couple, tout le monde assis dans le salon avec musique d’ambiance. Durant une demi-heure, nous faisons connaissance.



Aline fait à nouveau les présentations (je connais déjà Antoine, mais pas Nicolas, le plus jeune), nous papotons autour d’un verre. Souvent, je constate que l’homme du couple (Fabrice) égare ses yeux dans mon décolleté prononcé. Idem pour le jeune homme (Nicolas) qui accompagne Antoine. Je reconnais que mes seins sont un piège tabou, un joujou extra qui fait « matuvu », les hommes en tombent à mes genoux !


Seul Antoine n’a d’yeux que pour Aline. Je pense qu’elle devrait quitter son mari et se mettre avec lui, mais nous en avons déjà parlé auparavant.


Nicolas me complimente souvent sur ma tenue, avec quelques allusions sur mon anatomie. Fabrice aussi, parfois, mais de façon moins appuyée, sa femme étant quand même à ses côtés. Vais-je avoir droit à un combat de coqs pour mes lolos ?




En musique



Alors que la conversation semble ralentir un peu, Aline se lève pour accéder à la chaîne hi-fi, elle place un CD dans le lecteur, de la musique retentit, des slows :



Fabrice a été plus rapide que Nicolas, c’est donc avec lui que je danse en tout bien et tout honneur. Enfin, pas tant que ça, si j’en crois une certaine protubérance située plus bas. Mais il vaut mieux faire envie que pitié, n’est-ce pas ?


Nous entamons un petit dialogue :



Je comprends le risque. C’est peu ce qui s’est passé pour Marc. Si je l’avais écouté, nous aurions divorcé, et nous nous serions mis en couple. Les hommes confondent souvent amour et sexe. Je me rappelle une phrase qui résume la différence entre les deux genres : une femme arrive au sexe par l’amour, et un homme arrive à l’amour par le sexe.


Au slow suivant, je me retrouve dans les bras de Nicolas qui est moins flegmatique que mon précédent cavalier. Ses mains sont de plus en plus exploratrices et curieuses de mon anatomie. Sans parler du fait que mes seins sont plaqués sur sa chemise fine. Bientôt, le slow devient très torride, je me laisse faire, entraînée par la musique.


Peu après, Nicolas m’embrasse purement et simplement, me mettant carrément une main à la fesse. En voilà un qui ne perd pas de temps !


Antoine se présente devant nous :



Son autorité naturelle fait que Nicolas me libère. Puis nous commençons à danser. L’amant attitré de ma copine me demande :



Il affiche un petit sourire convenu :



Quand ce slow s’achève ainsi que ma musique, Antoine étant retourné près d’Aline, je me retrouve nez à nez avec Nicolas qui me demande d’un air inquiet :



Il s’étonne :



Il s’étonne encore plus :



Il s’approche de mon oreille :



Il me capture dans ses bras, je proteste mollement :



Quelques instants plus tard, Nicolas commence à s’occuper de moi avec enthousiasme. C’est très agréable de se faire lutiner par un jeune homme plein d’entrain. Un peu plus loin, Aline est dans les bras de Fabrice, tandis que Ninon se fait peloter par Antoine.


Je constate un peu plus tard que la lumière est tamisée avec une musique d’ambiance en fond. Je n’avais pas fait attention. Il est vrai que Nicolas me monopolise et accapare mon attention. Je me demande quelle partie de mon corps n’a pas fait la rencontre d’une de ses mains ! Sa bouche est en train de dévorer mes seins que la robe prêtée par Aline cachait assez mal.


En parfaite maîtresse de maison, Aline met la danse :



Un peu à regret, Nicolas m’abandonne, remplacé par Fabrice qui s’installe à la place de mon jeune soupirant.



En effet, Fabrice se permet bien des choses ! Mais son style est très différent, quasiment diamétralement opposé, et ce n’est pas un mal.


Assez fébrile, Nicolas s’occupe à présent de Ninon, tandis que son mari me conte fleurette. Avec un petit pincement, je constate que le jeunot est assez inconstant, se comportant avec l’épouse de la même façon qu’avec moi. Il est vrai que Ninon a sensiblement mon âge et qu’elle me ressemble vaguement, comme déjà dit.


Fabrice est plus posé, mais on sent qu’il est dans le milieu (comme il l’a si bien dit) depuis un certain temps. Sa façon d’être et de faire est très efficace puisque je me retrouve dans ses bras lors d’un langoureux baiser. Durant ce temps, ses mains ne restent pas inactives. Finalement, cet homme est plus dangereux que le jeunot de la soirée !


Les trois couples marivaudent dans une atmosphère tamisée.


J’ai l’impression d’être hors du temps, c’est très agréable. Je ne regrette pas d’être venue, même si c’était fortement par curiosité. Et être lutinée par un homme comme Fabrice est très excitant, j’en redemanderai plus tard, c’est certain, Aline peut m’inscrire sur la liste de ses fidèles.


Soudain, Aline se lève pour venir se planter au milieu du salon :



Fabrice se lève, il rejoint Antoine qui fait signe à Nicolas de les rejoindre. Puis ils quittent la pièce. Un peu étonnée, je demande à mon hôtesse :



Je me doutais bien que la soirée irait plus loin, mais Aline a l’art de présenter les choses crûment ! J’hésite :



Je tergiverse toujours un peu :



En clair, trois hommes, trois femmes, donc neuf combinaisons possibles.



Ninon pose sa main sur mon épaule :



Aline se met à rire :



Aline et Ninon parlent d’expérience, je suppose. Je n’ai plus qu’à me fier à mes initiatrices en libertinage, et franchir ainsi un nouveau cap.




Triangulaire



Les hommes viennent d’aménager le salon, tandis que les femmes ont abandonné leurs vêtements, à l’exception des bas et des porte-jarretelles.


Allongée de dos sur le canapé transformé en lit, jambes largement écartées, je vais bientôt vivre un scénario inédit : trois femmes offertes et trois hommes en pleine forme. Pour un peu, je chercherai des yeux où est cachée la caméra, mais ce n’est pas le cas.


Ninon est allongée sur le sol, dans la même position que moi, sur la grosse peau de mouton près de la cheminée. Elle est nettement plus sereine que moi, il est évident qu’elle a l’habitude de libertiner depuis un certain temps.


Vautrée sur ventre sur une série de gros coussins carrés posés au sol, Aline est elle aussi en mode self-service. Elle est sereine, détendue, comme si elle était à la plage en train de faire bronzette à la plage naturiste ou pas.


Ainsi disposées, nous formons toutes les trois les sommets d’un triangle quasi équilatéral (si je ne me trompe pas dans la définition). Sous chacun de nos bassins est étendue une serviette, pour limiter des soucis de fluide. Au milieu du trigone que nous dessinons se tiennent les hommes, qui sont en train de négocier l’ordre de passage.


Puis le signal est donné.


C’est mon jeunot qui se présente à moi, la verge bien droite et encapuchonnée par un préservatif translucide, avec une convoitise évidente inscrite sur son visage. Je sens qu’il a envie de plonger tout de suite en moi, mais qu’il se retient. Il s’accroupit pour venir bisouter mon pubis, puis venir lécher un peu ma fente. Sa langue joue fugacement avec mon clitoris déjà bien exacerbé.



Il se vautre entre mes cuisses et me pénètre en une seule étape. Encore heureux que sa colonne est de taille normale. Mais comme j’étais assez excitée par le contexte, je mouillais déjà, ce qui a facilité les choses aussi bien pour lui que pour moi.



Je me suis demandé sur le coup s’il n’avait pas déjà éjaculé ! Non, puisqu’il se fait un plaisir de me pistonner comme un fou, jouant les pistons de locomotive. Voici un jeune homme auquel il faudra expliquer deux-trois trucs. À moins que ce soit l’excitation de me posséder qui le mette dans cet état !


Puis il se retire prestement, pour se mettre au-dessus de mon corps. Je comprends qu’il veut éjaculer sur moi. À peine ai-je le temps de saisir mes seins pour les presser l’un contre l’autre qu’un premier jet s’aplatit sur moi. Un deuxième arrive aussitôt pour continuer à souiller ma poitrine et la base de mon cou. D’autres s’avachissent aussi sur ma peau, avec moins d’intensité.


Nicolas semble complètement crevé, comme s’il avait couru en simple débutant un vrai Marathon d’une quarantaine de kilomètres. C’est assez étonnant pour un jeune homme. Tout au plus a-t-il la force de frotter sa verge ramollie sur un téton. Puis il disparaît de ma vue, s’affalant sans doute sur un fauteuil, si j’en crois le bruit.


Ce jeunot a encore deux femmes à honorer, j’espère pour lui qu’il se remettra vite, sinon je ne pense pas qu’Aline le réinvitera.


Fabrice me tend un rouleau de sopalin, j’en ai grand besoin. Tandis que je m’essuie, mon nouveau partenaire me dit :



En effet, Fabrice est adepte d’un minimum de préliminaires, ce qui est un bon point pour lui. Ce qui ne l’empêche pas de venir plonger en moi assez vite, mais ce libertin sait se servir de son outil : il le rentre, il le sort, il se frotte le long de ma fente pour venir le réenfouir de plus belle. De plus, ses pistonnages sont accompagnés de petites rotations pour mieux envahir mon intimité. Oui, ce type sait s’y faire, contrairement à Nicolas qui est plutôt du genre « écarte les cuisses que je m’y mette ».


C’est durant l’un de ses frottis que je vais me mettre à vibrer de tout mon corps. L’ayant remarqué, Fabrice recommence encore et encore. À ma grande surprise, en quelques secondes, je me mets à jouir sans retenue !



Tandis que je suis parcourue de spasmes, il plonge en moi, j’adore être remplie ainsi quand je jouis ! Ça ne m’aurait pas déplu qu’il n’ait pas de préservatif et qu’il tapisse le fond de ma grotte par son sperme…


Tandis qu’il se retire, je reste alanguie par ma jouissance. Une verge vient se poser sur mes lèvres, Fabrice réclame sa récompense, je la lui offre très volontiers. Quelques instants plus tard, j’ai droit à un dessert crémeux un peu âcre, mais facile à avaler.


Puis je me repose un peu… J’estime l’avoir amplement mérité. Curieusement, je conserve dans ma bouche le goût de Fabrice. À défaut d’avoir inondé mon vagin, il m’a envahi ailleurs. C’est un homme qu’il faudra que je revoie un jour. Je verrais ça plus tard avec ma copine.


Copine… le mot est bien choisi, maintenant !


Durant ce temps, il semble que Ninon profite bien, je l’entends gémir. Un petit coup d’œil me renseigne : son mari est en train de lui offrir un cunni. Une façon pour lui de temporiser avant de repasser à l’attaque. Quelques instants plus tard, Antoine prend le relais :



Il tourne la tête vers une horloge murale :



Il me sourit :



Puis Antoine commence à me lécher autour du clitoris qu’il a déniché du premier coup de langue, pas besoin de mettre une flèche pour lui indiquer où mon petit bouton sensible se trouve !


Souvent, ses doigts remplacent sa langue, et sa verge encapuchonnée s’enfonce partiellement en moi. C’est terriblement efficace ! La supériorité des Anciens qui savent sur les Jeunes. Plusieurs fois, Antoine alterne, sa langue exacerbant à fond mon clitoris, sa verge m’explorant ainsi que ses doigts. Je suis sur le fil de rasoir : à chaque fois que je vais exploser, Antoine change de position, ce qui abaisse un peu la tension. Oui, ce type sait s’y prendre !


J’ai presque envie de le supplier de m’achever en me faisant enfin jouir !


C’est alors qu’arrive la nouveauté, sa verge bien raide vient taquiner mon petit trou, tandis que ses doigts exaspèrent à nouveau ma fente en folie. J’éprouve une envie nouvelle, celle de m’empaler de moi-même sur ce pieu de chair ! Mon gendarme m’a un peu habituée à la sodomie, mais c’est lui qui en prenait l’initiative. Avec lui, je suis dans un rapport dissymétrique de dominée face à dominant.


Là, c’est différent : je veux que cette tige m’explore tandis que mon clitoris est en feu. Ayant compris ma situation, Antoine abonde dans mon sens. C’est avec une science consommée qu’il s’introduit en moi, tandis que je l’aide comme je peux. C’est une situation inédite pour moi, et ce n’est pas la première de cette soirée !


Quand je sens que je suis totalement envahie, quelque chose cède en moi : je jouis comme une petite folle, totalement dévastée par une puissante vague. Une onde différente de celle que j’ai pu avoir avec Fabrice, mais tout aussi ravageuse. C’est tellement puissant qu’aucun son ne sort de ma bouche !


Puis je sombre dans les blancs abîmes, indifférente à tout ce qui m’entoure.


Je flotte… béate…


Quand je reviens à moi, Antoine est en train de se masturber au-dessus de moi, bien décidé à tapisser ma poitrine de son sperme. Ce qu’il fait peu après, maculant mes seins d’un foutre épais et lourd.


Après s’être vidé et avoir récupéré, il me demande flegmatiquement :



Puis sans complexe, il présente à ma bouche sa verge poisseuse. Je me fais un plaisir de le remercier à ma façon. En un rien de temps, il devient à nouveau dur entre mes lèvres. J’aime faire ce genre d’effet aux hommes ! Décidément, je me dévergonde !


Trois hommes, trois façons de faire l’amour, ou plutôt de baiser, car de l’amour, il n’y en a pas eu beaucoup, si on excepte vraisemblablement le couple Nanon-Fabrice et Aline-Antoine. Soit deux sur neuf combinaisons, et donc un peu plus de vingt pour cent.


Je me sens comblée, remplie, saturée, mais heureuse. Certains diront que je suis devenue une salope, peut-être, mais une salope heureuse et satisfaite.


La soirée ne s’est pas limitée qu’à ce triangle, mais je reconnais que c’en était le point fort. Peut-être l’évoquerais-je plus tard. Je suis devenue vraiment libertine assumée durant cet épisode de ma vie, avec la forte conviction qu’il faut bien choisir avec qui. Avec le recul, il vaut mieux la qualité que la quantité.


Décidément, tout est devenu si simple, trop simple, une fois le premier pas franchi…




Nota de l’inspiratrice : j’aimerais échanger avec d’autres femmes qui sont +/- dans le même cas que moi, qu’elles aient franchi le pas ou qu’elles hésitent : emmanuelle (point) dorey (at) gmail (point) com