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n° 22744Fiche technique18521 caractères18521
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Temps de lecture estimé : 14 mn
06/11/24
Présentation:  Histoire écrite suite à un échange de mails avec l’inspiratrice et initiatrice des lignes qui suivent.
Résumé:  Aujourd’hui, je fais causette avec trois gendarmes, dont l’un d’eux qui n’arrête pas de mater mon décolleté.
Critères:  fh extracon hdomine pénétratio fsodo init
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Dans les vignes

Chapitre 04 / 05
Gendarme de charme

Histoire écrite suite à un échange de mails avec l’inspiratrice et initiatrice des lignes qui suivent. Bonne lecture :)




Résumé



Mariée à un homme plus âgé que moi, j’ai fini par céder au démon de midi qui frappe aussi les femmes à la quarantaine. C’est ainsi que Marc est devenu mon premier amant, après vingt ans de mariage pour lui comme pour moi.


Puis, Thomas s’est aussi invité au bal… Il est différent de Marc, et ce n’est pas plus mal ainsi !


Avec ma nouvelle copine avec qui je peux parler de toutes ces choses-là, je commence à explorer d’autres voies… et parfois avec des inconnus…




L’un des trois



Aujourd’hui, je fais causette avec trois gendarmes, dont l’un d’eux qui n’arrête pas de mater mon décolleté. Un grand classique pour moi, d’ailleurs, je fais un peu exprès d’être habillé ainsi.


Les semaines suivantes, j’ai l’occasion de le recroiser diverses fois, surtout lorsqu’on reçoit des plaintes pour dépôt sauvage d’ordures, ce qui n’est pas rare dans le canton, hélas. Ce (plutôt beau) gendarme avait toujours un sourire à mon égard, un petit jeu de séduction s’est installé entre nous deux.


Oui, un petit jeu comme au début avec Marc, mais autrement, car Charles est nettement moins timide. J’en sais un peu plus sur lui : il est célibataire, assez connu pour avoir ci et là des aventures souvent assez épiques. Rumeurs ou vérités ?


Aujourd’hui, il est venu tout seul pour nous donner les adresses, pour donner suite au dépôt des plaques d’immatriculation. Nous sommes en train de papoter. Le prestige de l’uniforme, son beau sourire, je suis un peu sous le charme. De son côté, il est captivé par mes courbes. Je me décide à faire le premier pas :



Il ne fait aucune difficulté pour me le communiquer. De mon côté, je réponds aussitôt :



Mais, curieusement, il ne rebondit pas sur cette ouverture. Il repart peu après. Une fois qu’il est parti, je n’attends pas plus de dix minutes pour recevoir un SMS de sa part, ce qui me rappelle quelque chose de pas si ancien, les hommes sont-ils tous faits à partir du même moule ?



Puis plus rien. Je replonge dans ce que j’ai à faire, ça ne se fera pas tout seul, c’est certain ! Je bosse dans une petite mairie, mais ça ne veut pas dire qu’il n’y ait rien à faire. Dix minutes plus tard, j’ai la surprise de voir mon beau gendarme à nouveau face à moi :



Sauf erreur de ma part, il est en train de me faire du rentre-dedans. Je réponds :



Visiblement, ma réponse lui plaît. Aussitôt, il enchaîne :



Première fois que j’entends ce nom :



Mon gendarme ne perd aucune occasion pour arriver à ses fins. Je me demande combien il a pu avoir d’aventures et de maîtresses. A-t-il été marié, je n’ai pas eu cette info. Par curiosité, je décide d’accepter. De plus, quelque chose me dit que mon beau gendarme peut se révéler intéressant. Mais jusqu’où, jusqu’à quel point ?


Après le boulot, nous sommes attablés dans un petit café situé à deux villages plus loin. Une fois nos verres sur la table, mon gendarme se lâche :



Entendant cette explication, je respire intérieurement, je pensais à autre chose de moins flatteur. Charles poursuit sur sa lancée :



La réponse fuse aussitôt :



Il fronce momentanément des sourcils :



Charles est assez fonceur et souvent allusif. Marc est plutôt situé à l’opposé, et Thomas au milieu. La conversation se déroule agréablement, avec parfois des sous-entendus, mais pas trop lourde. Mon beau gendarme n’utilise pas de bulldozer, il est plus aérien, et ça me convient très bien.


Il ne se passe rien lors de cette prise de connaissance, comme si nous nous jaugeons l’un l’autre. Mais je dois reconnaître que c’est un bel homme, même si l’uniforme aide. Avec une conversation un peu leste parfois…


Marc, Thomas… Charles ? Presque un signe de télé ! L’avenir me dira quoi…




Mon gendarme



Puis les SMS se sont enchaînés, il me fait vite comprendre qu’il a furieusement envie de moi. De mon côté, je lui fais comprendre que je ne suis pas insensible à ses approches. Ces échanges deviennent de plus en plus coquins et torrides. Nous sommes vite passés du « vous » au « tu », sauf quand nous nous rencontrons en mairie où nous conservons le vouvoiement. Nous sommes à présent passés à des échanges de petits scénarios croustillants.


Puis arrive un scénario qui me titille :



Je cogite à la chose, pourquoi pas… J’ai envie de tester Charles, je sens que ça sera différent. Si je fais le point : Marc est parfois lassant, trop amoureux, Thomas n’est pas très disponible. L’épisode de la dune ne compte pas, mais je sais que c’est une possible alternative. Et comme on dit : jamais deux sans trois.



Le jour J, Charles arrive à la mairie, mais juste avant la fermeture. Comme il y a encore un élu présent sur place, il s’excuse pour son arrivée tardive, expliquant qu’il doit visionner tout de suite les dernières vidéos.



Visiblement convaincu, l’élu s’en va. Quand j’y songe, il y a quand même une petite faille dans ce raisonnement : pourquoi vouloir visionner les vidéos sur place à la mairie, plutôt que de les emporter et de les regarder à la gendarmerie ?


Je ferme les portes de la mairie, puis nous allons dans la salle technique. Au début, il reste très professionnel, me demandant de lancer la vidéo. Charles est debout derrière moi. Peu après, il se penche par-dessus mon épaule pour mieux regarder la vidéo, sa main droite posée en haut de mon bras.



Le passage du « vous » au « tu » m’indique dans quel contexte nous nous trouvons. Mais je sais fort bien que ce n’est pas la vidéo qu’il souhaite mieux regarder, mais mon décolleté. Je souris. Puis je sens ses deux mains venir capturer mes seins, tout en les soupesant.



Je me laisse caresser et peloter par ses bons soins, lui dans mon dos, et moi assise face à l’écran. Il me tripote fermement, mais agréablement, je devine qu’il est un homme d’expérience. Il m’émoustille fortement, rien qu’en jouant avec ma poitrine.


Je décide d’arrêter la vidéo, je me lève, puis je me retourne. Aussitôt, nous nous embrassons, lui dans son uniforme très sexy, ses mains qui se promènent avidement sur mon corps.


Quelques instants plus tard, je m’assieds à nouveau, je le caresse sans complexe entre les cuisses, puis j’ouvre lentement la fermeture-éclair de son pantalon. Très vide, je révèle un autre type de verge, plus trapue, mais pas moins intéressante.



Après quelques petites agaceries et autres frôlements, agenouillée devant Charles, je le suce, tournant le dos à l’écran.



Je continue mon petit jeu autour de sa colonne de chair, un gros morceau quant au diamètre.



Intriguée, je le retire de ma bouche :



Je m’exécute. Il relève le bas de ma robe et abaisse aussitôt ma petite culotte. J’ai droit à quelques bisous bien appuyés sur mes fesses et une furtive caresse de mon entrejambe.



Il continue de me titiller, aventurant ses doigts à l’orée de ma fente bien mouillée. Il joue un peu avec mes lèvres intimes. Soudain, il ordonne :



L’instant d’après, il me pénètre avec avidité, sans capote, directement. Il me pistonne comme un fou, ses mains agrippées à mes hanches, ses coups de rein désirant plonger à chaque fois encore plus profondément en moi. Je peux dire qu’il est en train de prendre comme une chienne, ce qui me fait un effet étrange, mais fou. Il est insatiable, il n’arrête pas d’aller et de venir en moi, son machin me dilatant encore plus. Je n’en peux plus, il est terriblement endurant ! Ce n’est pas un gendarme, c’est une sex-machine !!


Mon esprit vrille, mon cerveau est en déroute, c’est la première fois que je suis dans ce genre d’état. Pourtant j’ai déjà eu droit à des fortes jouissances, mais aujourd’hui, c’est différent, c’est autre chose… D’habitude, je monte vers le septième ciel. Là, c’est comme si je redevenais animal, proche de la terre… Je ne sais pas comme expliquer…



À ma grande surprise, j’enchaîne deux orgasmes qui me retournent complètement, qui m’abrutissent, qui me dévastent, qui me ravagent, avant qu’il ne se vide totalement en moi, me faisant complètement sienne, en m’inondant de partout !


Hébétée, je m’enfonce sous terre, vers le royaume d’Hadès, la terre se refermant sur moi pour m’accueillir dans sa chaleur boueuse. Une sensation différente, mais renversante, puissante, l’impression immense que je rétrograde, femme, ado, enfant, bébé, fœtus…


Puis, du plus profond de l’obscurité, je réémerge au grand jour !


Fortement surprise par ce que je viens de vivre à l’instant, je tente tant bien que mal de reprendre mon équilibre. Je suis épuisée, vidée, il l’est tout autant ! Nous nous regardons fixement dans les yeux, comme pour une conversation muette.


Si ce type se marie et qu’il se comporte ainsi avec sa femme, il va la tuer en quelques semaines, ce n’est pas possible autrement ! Charles est un futur Landru en puissance, la fameuse cuisinière en moins !


Nos yeux se détachent. Charles ouvre la bouche, disant simplement :



Secouant la tête, il regarde sa montre, puis il me fait un petit bisou sur les lèvres :



Assez épuisée, je réponds lentement :



Tandis que nous nous séparons, je reste assise, je suis comme cassée, brisée en mille morceaux. Charles vient de me baiser comme jamais je n’avais été baisée auparavant. Puis, quand j’ai pu le faire, je repars chez moi. Avant que je n’arrive, je reçois un SMS :



Je me dévergonde un peu. Sa réponse arrive aussitôt :



Je comprends alors que je viens de tomber toute rôtie dans sa bouche de grand prédateur. S’il existait des Jeux olympiques du Sexe envers ma petite personne, Charles aurait incontestablement la médaille d’or !




Toujours un peu plus loin



Sans doute par goût du risque, plusieurs autres fois ont lieu à la mairie, et une fois à sa caserne, mais ce fut une séance assez risquée. Très vite, Charles montre un côté plus autoritaire qu’il tempère par un côté charmeur et gouailleur. Je pourrais fuir, mais j’ai envie de savoir jusqu’où je suis capable d’aller.


Et je suis capable d’aller assez loin, comme en témoigne la fois où Charles a décidé de changer de chemin, en argumentant :



Il se met à rire. Une fois de plus, debout, les mains en appui sur la table, je lui présente mon popotin, mais cette fois-ci, ce n’est pas ma fente qui va déguster. À ma grande surprise, je sens une langue humide me taquiner l’entrée interdite. Peu après, des mains écartent mes fesses pour mieux accéder à mon puits sombre. J’apprécie cette caresse assez particulière, je sens que je m’évase peu à peu. Sa langue ose même s’introduire un peu en moi.


Ce petit jeu dure un certain temps. Un doigt sans doute lubrifié plonge légèrement en moi. Je m’étonne :



J’ai droit à diverses explorations, toutes assez douces. C’est un peu étrange, mais désagréable. Mais le plus dur est à venir quand je sens que son gland est maintenant en appui contre ma cuvette ourlée. Une partie du gland semble avoir franchi la porte, je me cabre autrement, pour être dans le bon axe.


Soudain, j’écarquille les yeux :



Pourtant, il ne l’a pas petit, mais c’est quand même en moi. Je suppose qu’il a dû mettre une tonne de lubrifiant. Tant mieux ! Je ne tiens pas à me retrouver aux urgences avec un cul fendu en deux !



Charles continue sa lente progression en moi, se retirant un peu pour mieux replonger en moi. Je commence à me masturber, mes doigts déjà chargés de cyprine. Je commence à voir des étoiles, et non des moindres. Ce n’est pas la première fois qu’un homme passe par là, j’y ai déjà eu droit, ça n’a pas toujours été une franche réussite, mais aujourd’hui, c’est autre chose !


C’est toujours autre chose avec mon gendarme !


L’instant d’après, je suis en train de glapir de plaisir, tant la sensation est puissante, mais jouissive. Charles est en train de me posséder complètement, entièrement !



Pour un peu, je serais presque déçu, mais la suite m’offre une énorme compensation quand il commence à me pistonner. Il m’informe :



C’est alors que je vis un moment totalement épique de ma vie : être totalement enculée, défoncée, possédée par un homme viril qui veut me posséder complètement, moi son objet, son bibelot, sa chose. Et le pire, c’est que j’adore !



Les sens hagards, ma chatte en feu, mon cul détruit, je flotte au-delà de tout ce que j’ai pu vivre jusqu’à présent. Je ne sais pas si j’arriverai un jour à décrire correctement cet état de fait, je me contente de le vivre !


Alors que je suis ailleurs, je sens que Charles me remplit, qu’il m’inonde, déposant sa marque en moi, sa proie. Et je me sens encore plus heureuse.


Puis vient le néant blanc…

Cette vaste plaine cotonneuse sans frontière, avec ni haut ni bas…


C’est étrange, vu l’endroit utilisé aujourd’hui, j’aurais plutôt pensé à une descente souterraine, comme il m’en arrive très souvent avec mon beau gendarme. Peut-être que les choses s’inversent avec lui, qui sait…


Oui, moi, sa proie…


Oui, avec le gendarme, c’est souvent très animal, bestial, primal. Avec mon accord tacite, il me traite parfois comme une femme-objet, et cela me plaît beaucoup, une facette que j’ignorais de moi, soumise et ouverte à ses envies… Je peux dire que Charles m’a aidée à explorer une partie sombre et frissonnante.


Décidément, tout est devenu si simple, une fois le premier pas franchi…




Nota de l’inspiratrice : j’aimerais échanger avec d’autres femmes qui sont +/- dans le même cas que moi, qu’elles aient franchi le pas ou qu’elles hésitent : emmanuelle (point) dorey (at) gmail (point) com