| n° 08174 | Lire ce texte | 30231 caractères 4876 mots Temps de lecture estimé : 20 mn | 25/11/04 |
Résumé: Dans une lettre ouverte posthume, un homme évoque le souvenir de son dépucelage par une prof de philo très portée sur les travaux pratiques... | |||
critères: init fh fplusag profélève école intermast pénétratio | |||
| Auteur : Arnage | |||
| Collection : Dernier voyage |
Le Maître
| Note générale = 15.50 / 20 (149 notations) |
Note des inscrits = 14.93 / 20 (10 notations) |
Note des non-inscrits = 16.79 / 20 (139 notations) |
| 0 Originalité | 0 Ecriture | 0 Humour | 0 Excitation | 0 Atmosphère | 0 Sentiments |
Promotions :  |
| Période de recueil des lectures = du 01/10/22 au 19/05/25 | 1028 Lectures partielles | 181 Lectures entières | 18 % |
| Intervenant | Lui écrire | Date | Note | Appréciations |
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| Evaluations des inscrits | ||||
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093
(33 notations) |
29/11/04 | Excellent - 18 | C'est décidément pas bien, et même assez mauvais... lol ! je plaisante: un très beau texte. L'écriture m'a parue un tantinet ronflante, mais c'est le style vigoureux, presque conquérant qui donne à cette histoire sa valeur. | |
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Niko
(1509 notations) |
06/01/05 | Sans plus - 08 | Un style propre à distiller l'ennui, un fantasme téléphoné. Encore une fois l'art du phrasé n'est pas le seul ingredient pour réussir un récit érotique, la structure et le rythme compte bien davantage ! | |
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Karl
(2657 notations) |
16/02/06 | Moyen - 10 | La numérotation de cette série est délirante. Ce style, si travaillé qu’il soit, lasse au lieu de délasser, puis il s’en dégage de la suffisance, un mélange de pompeux et de pompant… pour raconter quelques chose d’invraisemblable et de simple. | |
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Zorro
(180 notations) |
16/11/06 | Excellent - 18 | C'est une lyre! Toutefois trop impétueux. Il faut savoir muse-ler sa fougue. Un auteur trop poète et pas assez artiste. L'équilibre de ces deux forces fait l'oeuvre. Sans poésie, il n'y a rien, mais l'étincelle est belle et bien ici produite! | |
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broutille
(13 notations) |
17/11/06 | Excellent - 18 | La culture de l'auteur et ses élégantes allitérations servent magnifiquement un texte tout entier tourné vers la célébration de cette maîtresse. Le style, un brin ampoulé, peut déplaire ; il m'enchante. | |
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OeilCoquin
(1650 notations) |
05/12/06 | Excellent - 18 | Je vais peut-être surprendre, mais au-delà des mots et de la richesse du vocabulaire, c’est le réalisme de ce texte que j’apprécie tout particulièrement. C’est peut-être une jeunesse idéalisée. Voilà j’ai dit… ce que je voulais et ce que j’aime dire. | |
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annie-aime
(2114 notations) |
16/12/09 | Excellent - 18 | Comme c’est si bien dit « Dame Nature vous avait donné une petite longueur d’avance ». | |
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crinoline
(4532 notations) |
30/03/16 | Très bon - 16 | Un 'vousvous' maîtrisé' et un bel éloge ! | |
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Rroberts
(83 notations) |
25/12/22 | Bon - 14 | Comme dans vos autres textes, l'exercice stylistique est admirable mais prive ce texte d'un nécessaire parfum de réalité. L'esquisse d'un dialogue philosophique m'a cependant intéressé | |
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charlie67
(3409 notations) |
14/04/24 | Top du top - 20 | Particulièrement bien écrit. L'auteur use de métaphores on ne peut plus érudites pour insérer ensuite des dialogues à la trivialité marquée et assumée. Un texte rare qui mérite une distinction. | |
| Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé) | ||||
| Amanite | 26/11/04 | Le soin apporté à chaque phrase est impressionnant, aussi bien au niveau de la richesse du vocabulaire que de la pertinence des métaphores. Le fantasme de la prof est ici sublimé par un style impeccable et une habile présentation. Un petit bijou. | ||
| k3 | 06/12/04 | Chers critiques, un langage precieux, un usage (par trop) excessif du passé simple de l'indicatif, un vocubulaire riche et emphatique n'epargne ni le ridicule ni l'ennui. Cela reste l'histoire d'un jeune puceau initié a la res erotica par une femme p | ||
| bertrand.dg | 17/01/05 | Excellent - 18 | Très belle écriture | |
| Lignière | 10/07/07 | Bon - 14 | L'histoire est bien racontée et bien écrite, mais il y a un décalage entre le tutu en forme de vousvous et les dialogues. La conclusion aurait mérité mieux. De la belle ouvrage | |