n° 12943 Lire ce texte 10272 caractères   1816 mots   Temps de lecture estimé : 8 mn 22/10/08
Résumé:  Je ne sais pas quand je vais revoir Marie...
critères:  nonéro #journal bizarre
Auteur : Harold B  (Harold)
Dead end street

 

Note générale = 10.62 / 20
(20 notations)
Note des inscrits = 10.67 / 20
(10 notations)
Note des non-inscrits = 8.29 / 20
(10 notations)

0 Originalité 0 Ecriture 0 Humour 0 Excitation 0 Atmosphère 0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 05/10/22 au 22/05/2541 Lectures partielles6 Lectures entières15 %


Intervenant Lui écrire Date Note Appréciations
Evaluations des inscrits
favasso
(2698 notations)
22/10/08 J'ai fait l'effort de lire jusqu'au bout mais je n'ai pas compris grand-chose ; je ne dois pas être assez intelligent pour apprécier ce genre de littérature.
Pattie
(23 notations)
22/10/08 Intéressant, mais moi non plus je n'ai rien compris. Si l'auteur nous lit, ce serait bien qu'il vienne nous expliquer en forum !
OeilCoquin
(1650 notations)
  22/10/08 Médiocre - 06 Quand je lis un texte, qu’il soit érotique, historique ou scientifique, j’ai envie de comprendre. Ce n’est pas le cas ici. Comme le texte n’est pas vulgaire, je ne mets pas 2, mais 5. Rappel : un auteur doit au moins faire l’effort d’être compréhensible…
patoche
(184 notations)
  23/10/08 Très bon - 16 Rien compris non plus. En effet il doit manquer une donnée. Cela dit, ça rend aussi le texte intéressant : on peut dès lors tout imaginer, un enfermement psychiatrique, un coma... que sais-je encore. Bref, à lire, je trouve. Je suis loin de détester.
Patrick R. D.
(245 notations)
23/10/08 Une histoire d'anticipation dans un univers inquiétant, dont on a malheureusement trop peu de clés pour en ouvrir assez de portes. Je n'ai pas tout compris (voire rien compris), mais j'ai quand même été accroché. Une suite pour donner quelques indices ?
toman7
(96 notations)
  23/10/08 Top du top - 20 Moi je trouve ça super génial. Autant je n'aime pas la musique minimaliste, autant là... C'est vraiment efficace ! Le sujet ? La société qui va droit dans le mur, "ils" ? Les cons. Et toujours ce besoin de se raccrocher aux femmes pour vivre un peu.
LFEUDY
(205 notations)
  23/10/08 Moyen - 10 euh....comment dire....Il manque peut etre des lignes ou des paragraphes ?
Sofie
(108 notations)
  24/10/08 Beigbeder et Houlebecq pour l'inspiration. Style hésitant parfois maladroit.
Zébulon
(381 notations)
11/08/09 Excellent - 18 Un texte exceptionnel par bien des côtés, à commencer par le risque qu'a pris l'auteur de ne pas être compris. Le titre parle de lui-même, et Toman7 a compris bien avant moi. Une critique cependant: les " sont inutiles, ou pour le moins maladroits.
ANNIE-AIME
(2114 notations)
  26/09/09 Sans plus - 08 Les « ils » : ne sont-ce pas aussi les Johan, Pauline, Nathalie, Lauriane, Marie, Nicolas, Benjamin, Eric, Anaïs, Phil, Stéphanie, Aurélie, Cyril, Lisa, …et l’auteur lui-même. Ne fait-il pas dans le genre nihilisme destructeur. Grand bien lui fasse !
Philipum
(48 notations)
  04/01/10 Bon - 14 Un sentiment d'à quoi bon, de malaise social, de perte de repères se dégage de ce texte.
lucius
(1198 notations)
  28/01/10 Sans plus - 08 Le récit se veut impressionniste. Malheureusement cette succession de courts passages mis bout à bout donne quelque chose d'artificiel.
bertolinio
(319 notations)
  29/02/16 Médiocre - 06 Texte minable
charlie67
(3409 notations)
23/04/17 Assez bon - 12 Un texte vraiment difficile à saisir ...!
Remarques
Gufti Shank 22/10/08 Un récit d'art et d'essai, peut-être ?
favasso 23/10/08 Dans la mesure où la littérature est un art, c'est peut-être de l'art contemporain ?
favasso 23/10/08 Traduction (libre) du titre : "Le rut dont la mort est au bout"


Détail des notations du public  (moyenne 8.29 calculé avec 7 notes)
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