n° 14478	Lire ce texte	10552 caractères   1815 mots   Temps de lecture estimé : 8 mn	15/07/11
Résumé:  Un homme, une femme, un jardin sous la pluie
critères:  #lieupublic #internet fh jardin odeurs intermast nopéné
Auteur : Michel W.  (Michel)

 

Note générale = 13.00 / 20 (40 notations)

Note des inscrits = 12.80 / 20 (9 notations)

Note des non-inscrits = 15.12 / 20 (31 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 04/10/22 au 18/05/25

110 Lectures partielles

35 Lectures entières

32 %

Intervenant	Lui écrire	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
Lilas (538 notations)		15/07/11	Assez bon - 12	Ce récit gentillet n'attise pas le désir du lecteur, et n'a malheureusement rien d'autre à proposer. Attention aux expressions comme "des lèvres intimes qui m’accueillirent avec joie." Envie de crier "Yipeee!"
lucien ramier (1111 notations)		15/07/11	Bon - 14	c'est un récit sympatique racontée simplement.quelques fantaisies dans les comparaisons.
favasso (2698 notations)		16/07/11	Très bon - 16	Charmant récit à l'écriture délicate. On en reprendrait volontiers, tant il paraît court !
flesh (19 notations)		16/07/11	Assez bon - 12	Un joli texte qui me rappelle un souvenir de banc, également dans un parc.On était en pleine nuit par contre. J"aime bien la dernière phrase.
natacha torride (310 notations)		17/07/11	Assez bon - 12	Moi aussi ça me rappelle un parc mais la nuit. Un texte doux, poétique, l'auteur est délicat et c'est agréable.
iam.knowbodies (379 notations)		18/07/11	Bon - 14	Bah c’est mignon, quoi…
phil72200 (297 notations)		19/07/11	Moyen - 10	c'est getil mais sans plus il manque la petite étincelle qui fait briller un texte
annie-aime (2114 notations)		20/07/11	Assez bon - 12	Récit sympa et généralement bien écrit.
Mirthrandir (1705 notations)		17/10/11	Bon - 14	Rencontre sur Internet, puis en vrai. C'est bien raconté, en évitant les excès du genre visite par tous les trous dès la première fois. Dommage que les dialogues soient remplacés par du discours indirect et ce pénible « On discutait de tout et de rien ».