n° 16685	Lire ce texte	9195 caractères   1655 mots   Temps de lecture estimé : 7 mn	09/03/15 corrigé 09/06/21
Résumé:  Comment virer un écrivain mort qui squatte votre cerveau ? Et puis, en a-t-on vraiment envie ?
critères:  nonéro #humour
Auteur : Brodsky

Collection : Chroniques brodskyennes

 

Note générale = 15.95 / 20 (12 notations)

Note des inscrits = 16.29 / 20 (5 notations)

Note des non-inscrits = 8.57 / 20 (7 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 03/12/22 au 30/04/25

46 Lectures partielles

7 Lectures entières

15 %

Intervenant	Lui écrire	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
Lilas (538 notations)		09/03/15	Très bon - 16	Des clins d'oeil partout, à l'histoire, à la littérature, et toujours cette forme d'humour sarcastique qui n'hésite pas à se foutre de la tronche du narrateur. Puis il y a de la tendresse aussi, ça me plaît.
radagast (735 notations)		09/03/15	Très bon - 16	Bourré d'humour, d'autodérision, de références littéraires, peut être même bourré tout court, je trouve cela superbe.
Jakin (251 notations)		09/03/15	Très bon - 16	Toujours aussi déjanté, le Brodsky de Chine, ou le BrodChinansky. De plus en plus déjanté, même... Jusqu'où ira-t-il ? Et tout cela rien qu'avec du whisky ? Même sous acide, je ne lui arrive pas à la cheville !
charlie67 (3409 notations)		29/09/18	Top du top - 20	Serait ce un "voyage au bout de la nuit" façon Brodsky ? Cela en imite le style et la noirceur. Céline n'est sûrement pas un auteur que j'apprécie, mais recréer ce genre d'atmosphère de merde est du grand art
Evelyne63 (250 notations)		22/01/23	Très bon - 16	Ce soir j’étais d’humeur à apporter mon obole, j’ai cliqué sur la ligne « 20 récits peu lus à découvrir ». Découvrons donc ! En fait il n’y en a pas 20, mais 7 dont 5 jaunes. Le premier est celui-ci. J’allais écrire « que je commente », mais qu’ai-je dire ? Pas grand-chose. Si peut-être, les références à Céline et Bukowski. De grands écrivains dont l’auteur revebebien adopte l’approche elliptique, autant que le style parfumé de lucidité désenchantée. Pas mal, distrayant même. Merci.