Revebebe - Fiche technique

n° 17395	Lire ce texte	12515 caractères 2114 mots Temps de lecture estimé : 9 mn	27/05/16 corrigé 06/06/21
Résumé: Un journaliste entreprend d'interviewer une star de séries Z des années 70. Il voulait un scoop... Pauvre de lui !
critères: #aventure #fantastique fdomine
Auteur : Brodsky

DEBUT
de la série

Série : Ilsa for ever

Chapitre 01

L'interview maudite

Note générale = 15.70 / 20
(31 notations)

Note des inscrits = 16.09 / 20
(7 notations)

Note des non-inscrits = 11.81 / 20
(24 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 14/10/22 au 19/05/25

159 Lectures partielles

31 Lectures entières

19 %

Intervenant	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
bertolinio (319 notations)	27/05/16	Excellent - 18	Bravo du grand Brodsky pour cet admirable récit
asymptote (386 notations)	28/05/16		Vous nous mettez l'eau à la bouche mais nous attendrons le whisky pour noter. Début prometteur d'une grande série déjantée et parfaitement Brodskyenne.
Arobaz (709 notations)	04/06/16	Bon - 14	Très agréable lecture , un journaliste qui ne cherchait que interview se retrouve parachuté dans un univers fantastique, un scénario qui met en halaine.
Jakin (251 notations)	10/06/16	Très bon - 16	Épisode pilote de la série que je note a posteriori.
Rain (1084 notations)	19/06/16	Très bon - 16	Bonne intro, bonne idée de scénario qui donne envie de lire la suite.
athanagor (1030 notations)	22/06/16	Très bon - 16	C'est du grand portnawak cette histoire ! Je n'ai peut-être pas les références qu'il faudrait pour l'apprécier à sa juste valeur. Quoiqu'il en soit, j'ai lu, ou plutôt dévoré, ce premier épisode les yeux écarquillés. Lecture surprenante, c'est agréable !
OeilCoquin (1650 notations)	04/09/16	Très bon - 16	Une série bien écrite, décoiffante et originale. Je mets la même note (un 16) à tous ses éléments.
charlie67 (3409 notations)	19/01/19	Excellent - 18	Ça commence fort ...! Excellent...!
Remarques
Jakin	31/05/16		Pour avoir une imagination aussi débordante, je soupçonne l’auteur de ne pas tourner qu’au « sky »…