n° 17720 Lire ce texte 10547 caractères   1861 mots   Temps de lecture estimé : 8 mn 03/01/17
Résumé:  Tu passas, belle inconnue, À deux doigts d'être nue...
critères:  #tutu #merveilleux #sorcellerie #conte fh frousses inconnu froid fête amour cérébral voir exhib noculotte nopéné
Auteur : Radagast
Zéphyr

 

Note générale = 16.76 / 20
(68 notations)
Note des inscrits = 17.02 / 20
(8 notations)
Note des non-inscrits = 15.66 / 20
(60 notations)

0 Originalité 0 Ecriture 0 Humour 0 Excitation 0 Atmosphère 0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 30/09/22 au 21/05/25542 Lectures partielles188 Lectures entières35 %


Intervenant Lui écrire Date Note Appréciations
Evaluations des inscrits
ldcc
(384 notations)
  04/01/17 Le coup de foudre, avec fraîcheur, tendresse et volupté. La rose sans épine fit se dresser la sienne... Le monde de Radagast est un enchantement. Je suis cité, donc je ne peux noter le 17 que j'aurais aimé mettre.
Jakin
(250 notations)
04/01/17 Excellent - 18 Une plume aussi légère que ce zéphyr. Ce 17 que tu ne peux décerner, Ldcc, je le mets à ta place (pour toi autant que pour moi).
catherine
(520 notations)
05/01/17 Très bon - 16 Un texte qui serait encore bien meilleur à mon gout si l'écriture vaporeuse n’était pas troublée par ces quelques mots rares ou par ces références à des divinités fumeuses destinés sans doute à épater la galerie mais qui ne font que casser l'ambiance.
favasso
(2698 notations)
05/01/17 Excellent - 18 Je ne peux faire moins que noter comme Ldcc ce petit récit charmant qui sert surtout à nous rendre jaloux, sans doute un bijou pour la St Valentin, le 14 fevrier. Quand à Dame Catherine, ce n'est pas l'ambiance qu'elle casse mais devinez ?
laure topigne
(193 notations)
06/01/17 Excellent - 18 il y a des secondes où le temps se fige jusqu'à atteindre l'éternité. Merci à Radagast de nous avoir offert plusieurs secondes d'éternité en l'an 2016.
justine-
(142 notations)
  06/01/17 Excellent - 18 Toutes les divinités sont fumeuses et n'ont jamais servi qu'à épater la galerie. Dans la littérature elles accèdent heureusement à un autre rôle dont Radagast se fait ici le chantre !
ptilu
(1300 notations)
  08/01/17 Excellent - 18 Je reprends les très beaux commentaires: "Le coup de foudre, avec fraîcheur, tendresse et volupté. La rose sans épine fit se dresser la sienne... Le monde de Radagast est un enchantement" - "une plume aussi légère que ce zéphyr". Il n'y a rien à ajouter.
OeilCoquin
(1650 notations)
  11/01/17 Ah, le vent ! Brassens disait qu'il était fripon sur le pont des arts, là il est aussi quelque peu coquin. Bravo pour ce magnifique exercice de style.
Jeremy-33
(63 notations)
  12/01/17 Très bon - 16 « tu caressais les pavés de tes ballerines… » L’auteur aurait sans doute pu trouver mieux.
Athanagor
(1030 notations)
22/02/17 Excellent - 18 Merci d'avoir su écrire une belle histoire à partir d'un de ces petits moments qui nous font oublier le temps et le quotidien. Les mots rares ne me gênent pas ici, ils collent très bien à l'aspect idyllique et chimérique du récit.
Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé)
  23/08/23 Une superbe histoire tout en nuance, légèreté, et subtilité. Un vocabulaire riche et enivrant. On s'imagine presque être une souris aux côtés de l'auteur.
Remarques
radagast   06/01/17 Merci pour vos commentaires, un poutou à "Tonton" Favasso.
ldcc   07/01/17 "...voici mon cœur qui ne bat que pour vous. Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches. Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux".
Catherine 09/01/17 « Njörd et Shu » : Éole, Dieu connu de tous, ne suffisait pas ? « le dieu taquin amignonnait tes seins » (et autres fantaisies) franchement, ça apporte quoi ? Ravi que ça vous casse les couilles, finalement !
radagast   09/01/17 j'avais songé à Prout comme dieu du vent, mais il faut être raisonnable, nous sommes sur un site de haute tenue morale et culturelle.


Détail des notations du public  (moyenne 15.66 calculé avec 58 notes)
NulMauvaisMédiocreSans plusMoyenAssez bonBonTrès bonExcellentTop du top
200133914206