Revebebe - Fiche technique

n° 18030	Lire ce texte	21496 caractères 3777 mots Temps de lecture estimé : 16 mn	04/08/17
Résumé: Souvenez-vous ; vous avez certainement rencontré un jour, par hasard, cette femme si belle, si gracieuse et si radieuse que son image ne vous a plus jamais quitté...
critères: #confession #nostalgie inconnu train amour revede
Auteur : PapaTangoCharlie

La Belle Espagnole

Note générale = 13.38 / 20
(44 notations)

Note des inscrits = 13.38 / 20
(15 notations)

Note des non-inscrits = 13.42 / 20
(29 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 30/09/22 au 05/07/25

165 Lectures partielles

41 Lectures entières

25 %

Intervenant	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
favasso (2698 notations)	04/08/17	Très bon - 16	Un bien joli texte qui me rappelle une jeunesse assez semblable mais dans le sud-ouest...
Doudou01 (55 notations)	05/08/17	Bon - 14	Un souvenir bien conté, bien écrit, tendre, évocateur, réaliste, vraisemblable en un mot.
Arobaz (709 notations)	05/08/17	Sans plus - 08	Une évocation de souvenir mais ca ne parle pas trop, c'est dur de s'identifier et puis il y a des longueurs et cela reference au vilo.
ADaya (76 notations)	05/08/17	Assez bon - 12	Mignon, tendre, bien narré...
CUku (740 notations)	05/08/17	Assez bon - 12	Départ maladroit ; le reste s’apparente à une lente rumination, qui n’est pas sans charme, en rapport avec son pouvoir évocateur. Ceci dit on tourne un peu en rond, sans accoucher de quoi que ce soit.
hidden side (386 notations)	05/08/17		"Peut-être même qu’une nuit de solitude, dans un songe interdit, vous l’avez violée." Sorry, mais ça passe vraiment pas ! (Faut arrêter la culture du viol, ça rend fou...)
minuitdixhuit (5 notations)	05/08/17		Premier degré ? Certes, un viol imaginaire mais là où c'est choquant c'est d'imaginer un train à l'heure. J'aime bien la phrase "Je sortis mon alibi de mon sac". C'est excitant... Et puis aussi " Mais que n’en ai-je profité "... Sinon sympa l'histoire
Francine (51 notations)	06/08/17	Assez bon - 12	Je n’aime pas trop la façon d’embrigader le lecteur (souvenez-vous…), sinon je trouve le récit agréable à lire, et mignon dans son genre.
scarlett o (25 notations)	06/08/17	Bon - 14	J’aime bien les timidités du jeune homme et j’apprécie les circonvolutions d’un texte qui prend son temps. On ne sait par contre pas ce qui vient réactiver ce souvenir. Dans l’ensemble l’écriture est bonne avec néanmoins quelques répétitions abusives.
lc88 (637 notations)	06/08/17	Très bon - 16	Il ne faut peut être pas jeter un joli texte pour une phrase malheureuse. J'ai bien aimé cette situation qu'a connu tous jeunes hommes. C'est emprunt du certainement sensibilité et les rêves qu'il fait....restent des rêves.
Mamadou (198 notations)	06/08/17	Assez bon - 12	Je ne quitte pas l’Espagne, texte un peu plus chaste, physiquement s’entend, pas mal malgré tout.
Dany01 (107 notations)	07/08/17	Bon - 14	La valse-hésitation, qui n’a pas connu ?
AA-Dvabis (22 notations)	09/08/17	Bon - 14	Les premières lignes manquent de charme, mais ensuite le récit est sympa.
Superman (23 notations)	10/08/17	Top du top - 20	Je suis aussi généreux que Charli67 et Hidden Side.
Francis (56 notations)	11/08/17	Bon - 14	Un bon texte, agréable à lire.
charlie67♥♥ Évaluateur prolifique (3459 notations)	22/08/17	Très bon - 16	Texte agréable à lire malgré un passage scabreux. Dans l'ensemble , j'ai bien aimé.
Cloud22 (115 notations)	28/08/17	Excellent - 18	Vous m’évoquez « Les Passantes », ce poème d'Antoine Pol parvenu à la notoriété du fait de sa mise en chanson par Georges Brassens. Merci
Remarques
hidden side	05/08/17		@ldcc : j'ai une lecture toute particulière de cette phrase, et j'ai coché "à censurer". Etrange d'avoir besoin d'exprimer un tel "désir", en le faisant passer pour anodin... On peut donc désirer violer une inconnue en toute impunité sur Rvbb ?
scarlett o	06/08/17		Quant à la phrase incriminée j’y vois plus une maladresse (rien dans le reste du texte ne vient l’appuyer) qu’une référence à « une culture du viol ». On peut me rétorquer que si le langage charrie de telles expressions « toutes faîtes » c’est bien grave.