n° 18109	Lire ce texte	11343 caractères   1942 mots   Temps de lecture estimé : 8 mn	03/10/17
Résumé:  Le meilleur moment de l'amour n'est-il pas l'ascension de l'escalier ?
critères:  extracon ascenseur miroir
Auteur : Calpurnia

 

Note générale = 16.74 / 20 (71 notations)

Note des inscrits = 17.04 / 20 (14 notations)

Note des non-inscrits = 14.47 / 20 (57 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 04/10/22 au 19/05/25

623 Lectures partielles

172 Lectures entières

28 %

Intervenant	Lui écrire	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
GLJC (191 notations)		03/10/17	Excellent - 18	Une histoire courte mais une mise en pression savamment orchestrée. Calpurnia est toujours une orfèvre des mots !
charlie67 (3409 notations)		03/10/17	Top du top - 20	Pour Clemenceau, le meilleur moment de l'amour, c'est quand on monte l'escalier. Pour Calpurnia, c'est l'ascenseur. Un texte finement ciselé, du grand art.
anatoile (411 notations)		03/10/17	Bon - 14	Ah non, je ne comprends pas ces notes. Soit l’ascenseur est très très lent, soit les caresses sont très très rapides. Il ne se passe rien, on n'apprend rien sur les personnages. Beaucoup de mots pour rien.
chamallow (50 notations)		04/10/17	Top du top - 20	Quel texte ! Les vingt-neuf étages d'un délicieux enchantement épistolaire. On regrettera seulement que l'érotisme s'arrête à la sortie de l'ascenseur.
julie44 (25 notations)		04/10/17	Excellent - 18	L'érotisme ? Quel érotisme ? Au crédit de ce petit bijou cependant, une écriture parfaite, toute en nuances et en sensibilité.
Catherine (520 notations)		04/10/17	Assez bon - 12	Ha, la plume, la plume, la plume ! On aurait préférè qu'elle lui en taille une, de plume ! Au moins il se serait passé quelque chose et l'histoire serait devenue plausible ! Parce que là, sauf à être dans un ascenseur du Burj Khalifa...
ravatel (3 notations)		04/10/17	Très bon - 16	Bjr, Quelle jolie pièce que cet ascenseur! A présent que tout le monde est sur le pas de la porte, nous allons sans aucun doute...pénétrer...un monde plein de courbes et déliés, au rythme de la plume orchestrant votre jolie écriture...
athanagor (1030 notations)		04/10/17	Très bon - 16	J’aime beaucoup l’idée de focaliser sur un espace-temps restreint qui offre, qui plus est, quelques parallèles intéressantes. Cette lecture friandise est très plaisante. Et puis j’apprends toujours de nouveaux mots avec Calpurnia, le dico est mon ami.
lc88 (637 notations)		05/10/17	Top du top - 20	Superbe moment de lecture où l'érotisme est dans ce que l'on imagine. Quelle maîtrise du texte, bravo
laure topigne (193 notations)		06/10/17	Top du top - 20	On aurait souhaité quelques étages de plus à cet immeuble ou un ascenseur nettement plus lent que la moyenne ! Jusqu’où se serait alors envolé le lyrisme de Calpurnia et dans quel état aurions-nous accueilli ces tourtereaux atteignant au nid.
loaou (108 notations)		09/10/17	Excellent - 18	Un prélude amoureux qui illustre bien la relativité du temps. Un (petit) regret : je trouve que le choix des 4 mots échangés casse l'ambiance exclusivement sensuelle imposée par le reste du récit et l'absence d'autre dialogue.
Trubert (130 notations)		12/10/17	Excellent - 18	J'ai l'impression que ce texte décrit une scène au ralenti.
pessac (14 notations)		04/03/18	Excellent - 18	Ok avec Loaou: muet, ce texte aurait eu + de force encore. Bien sûr, timing pas crédible, mais les gestes, furtifs, le sont. Elle habite le 29e (?), le sycophante du 24 doit posséder un drone puissant pour … On s’en fout. C’est beau ! Atrocement sensuel !
Serafin (73 notations)		24/01/23	Top du top - 20	Excellent !
Remarques
calpurnia		04/10/17		J'avais un temps envisagé de situer l'action dans la tour nord du WTC le 11 sept. 2001, lorsque l'un des 4 ascenseurs express atteignent le 110è étage, à 8h46 (mais c'était un immeuble de bureaux). Mais Catherine est trop sensible pour supporter cela...
catherine		05/10/17		T'aurais du, et pour bien que tu y ajoutes une écriture moins délayée, cela aurait donné la saveur qui manque cruellement à ton texte !