n° 20255	Lire ce texte	29669 caractères   5258 mots   Temps de lecture estimé : 22 mn	13/05/21
Résumé:  Ma première petite copine, un autre me l'a prise.
critères:  init #confession #candaulisme fh jeunes cocus enceinte école hsoumis fdomine nopéné
Auteur : Micro7

 

Note générale = 17.18 / 20 (38 notations)

Note des inscrits = 17.41 / 20 (6 notations)

Note des non-inscrits = 15.88 / 20 (32 notations)

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0 Ecriture

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0 Atmosphère

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Période de recueil des lectures = du 30/09/22 au 28/05/25

2083 Lectures partielles

311 Lectures entières

15 %

Intervenant	Lui écrire	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
charlie67 (3409 notations)		13/05/21	Excellent - 18	Très joli texte... Je croyais que les auteurs amateurs de candaulisme avaient fait le tour du sujet, mais là, c'est surprenant. l'ambiance douce amère aurait put déraper, mais non, cela reste fin et délicat. La manière d'aimer la femme d'un autre est tout à fait crédible et tire presque une petite larme sur la fin. Par contre, je n'ai pas compris cette mise en exergue du filet qui occupe une bonne part de l'intro sans que je ne comprenne le pourquoi du comment… La barre a été mise haut, pour ce premier texte, j'attends le suivant.
Amarcord (555 notations)		13/05/21	Excellent - 18	Un texte touchant, bien observé, à la fois doux et cruel.
L'artiste (1859 notations)		13/05/21		Oui, la confession est touchante, et même émouvante sur la fin. J’ai eu de la peine pour le narrateur qui m’a attendri… Ce n’est pas toujours facile d’être un mec romantique et respectueux ! Tout comme Charlie, j’ai trouvé l’intro avec le filet un peu long… Bon, j’ai bien compris que c’était une source d’excitation et de complicité entre les deux tourtereaux, il en faut pour tous les goûts, mais ce n’était peut-être pas nécessaire d’insister autant sur ce détail qui n’était pas la pièce maîtresse de l’histoire. Quoi qu’il en soit, bravo pour ce premier récit, j’espère qu’il y en aura beaucoup d’autres !
Carla.moore (1643 notations)		14/05/21	Top du top - 20	Ce texte m'a touchée. Premièrement par sa verite entre le jeu fuel et les émotions amoureuses des adolescent(e) s. Il m'a fait comprendre combien j'ai dû faire mal à un copain qui m'aimait et qui était mon confident. Nous aimons les romantiques mais nous y préférons le plaisir...
OeilCoquin (1650 notations)		18/05/21	Bon - 14	Un récit original et émouvant. Ce n'était pas une petite copine, mais un flirt. A être trop timide et pas assez entreprenant, c'est là que le renard arrive et s'échappe avec la proie. C'est le jeu de la vie, quelque peu triste et cruel...
ptilu (1300 notations)		04/06/21	Excellent - 18	En voilà un joli texte, charmant et plein de fraîcheur ! Et de franchise. Un grand Merci à l’auteur pour ce joli moment.
The Lounge Lizard (3 notations)		13/07/22	Excellent - 18	Cette perversion subtile, qui ne dit pas son nom, décrite avec beaucoup d’adresse et de délicatesse, est tout simplement divine. Le mélange de vice et de tendresse, aussi romantique que plausible, à la fois érotique et symbolique, est résolument envoûtant. Peut-être un tout petit regret que la dernière scène ne soit pas plus « sexuelle », qu’elle ne pousse pas le vice un peu plus loin, car la grossesse la rendrait encore plus malicieuse et désirante, mais aussi parce qu’elle saurait que la maternité signera le véritable point de non-retour vers la candeur de son adolescence, et qu’elle veut une dernière fois goûter le plaisir de transgression avec le complice de ses jeux, dont le désir faussement innocent lui servirait, une dernière fois, d’alibi…
Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé)
		21/09/21	Très bon - 16	Joli texte qui surprend par une retenue presque contagieuse pour le lecteur. On est avec Fred, sans aucun doute, dans cette hésitation et cette pudeur. La question du filet reste entière et l'on croit un moment à un fétichisme qui va faire déraper le récit, mais non. On aimerait retrouver Fred dix ans plus tard, virginité envolée, en souhaitant que ce sens du partage lui ait procuré quelque plaisir :)
		13/07/22	Excellent - 18	Cette perversion subtile, qui ne dit pas son nom, décrite avec beaucoup d’adresse et de délicatesse, est tout simplement divine. Le mélange de vice et de tendresse, aussi romantique que plausible, à la fois érotique et symbolique, est résolument envoûtant. Peut-être un tout petit regret que la dernière scène ne soit pas plus « sexuelle », qu’elle ne pousse pas le vice un peu plus loin, car la grossesse la rendrait encore plus malicieuse et désirante, mais aussi parce qu’elle saurait que la maternité signera le véritable point de non-retour vers la candeur de son adolescence, et qu’elle veut une dernière fois goûter le plaisir de transgression avec le complice de ses jeux, dont le désir faussement innocent lui servirait, une dernière fois, d’alibi…