Revebebe - Fiche technique

n° 21804	Lire ce texte	34025 caractères 5875 mots Temps de lecture estimé : 24 mn	26/05/23
Présentation: Comment Julie, actrice de renom, est allée faire un film avec un réalisateur sulfureux.
Résumé: Julie, va tourner avec un réalisateur très connu, mais aux méthodes extrêmes. Malgré son expérience, elle va se mettre en danger.
critères: #adultère #occasion fh fhh couleurs inconnu collègues travail photofilm fellation préservati pénétratio double sandwich fsodo
Auteur : ChrisM

Les amours créoles

Note générale = 14.67 / 20
(30 notations)

Note des inscrits = 14.64 / 20
(11 notations)

Note des non-inscrits = 15.16 / 20
(19 notations)

1 Originalité

4 Ecriture

0 Humour

1 Excitation

2 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 26/05/23 au 18/07/25

15186 Lectures partielles

4523 Lectures entières

30 %

Intervenant	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
fish43 (59 notations)	26/05/23		Peu crédible.A la lecture,je me suis demandé si Florian n'était pas homosexuel au vu de sa froideur,et c'est fatigant cette histoire de femmes au ventre plat.ça n'existe heureusement pas,vive le petit ventre rond,qui correspond à toutes les rondeurs féminines qui font la sensualité des femmes
Melle mélina ♥♥ Évaluateur prolifique (436 notations)	26/05/23		Je ne suis pas allée jusqu'au bout. Ça commence super bien, c'est original, c'est immersif, j'ai l'impression que je vais en apprendre sur les arcanes du cinéma et patatra ! L'acteur demande à une femme qu'il ne connait pas de le masturber, bin quoi ? C'est normal, tout le monde fait ça. Et elle, elle accepte, bin quoi ? C'est normal. Puis le lendemain, il lui demande une turlutte, pas de problème... Là, j'ai abandonné.
brutus (300 notations)	26/05/23	Excellent - 18	Cette note plus pour la morale que pour le texte ne lui même. Dommage que peu de gens dans ce milieu ruen (t) dans les brancards .
Patrick Paris♥ Évaluations récentes (344 notations)	26/05/23	Bon - 14	La fin rattrape les incohérences trop nombreuses. Julie trompe son mari sans aucun scrupule, ni aucun remords. Deux histoires en une : une femme qui baise avec qui lui demande (cette soirée avec les deux blacks, ridicule), et une actrice manipulée qui se rebelle contre le système. Il aurait fallu choisir.
OlgaT♥♥ Évaluateur prolifique (1561 notations)	26/05/23	Très bon - 16	Julie a pris tous les risques et est tombée dans le piège qui lui était tendu. j'ai aimé sa révolte à la fin, contre la manipulation dont elle a été victime (Originalité, Ecriture, Excitation, Atmosphère)
Charlie67♥♥ Évaluateur prolifique (3464 notations)	27/05/23	Excellent - 18	Un texte au scénario tout à fait original. À un moment, je me disais que c'était un prétexte pour introduire l'énième histoire de baise, mais la machination était plus subtile. J'ai surtout aimé la réaction de l'héroïne après s'être rendue compte qu'elle avait été manipulée. Un bon texte intéressant à lire.
Harpie (103 notations)	27/05/23	Top du top - 20	J'ai réellement été captivée par ce récit qui plane très au-dessus de ce que je lis ici habituellement; tout est à la hauteur, le récit, l'écriture et surtout l'impression de réalisme de la situation (en tout cas je perçois ce texte comme tel bien que béotienne en ce qui concerne ce milieu) Bravo !
Jacques du Canada (571 notations)	27/05/23	Bon - 14	Julie était bien contente de trahir don conjoint pour la préparation des mises en scène. Elle était bien contente aussi lors de sa soirée a la plage de trahir son conjoint avec ces deux inconnus. Maintenant qu’elle sait qu’il y a eu une certaine manipulation pour la réussite du film, elle est effondrée. Pourtant, ses actions ont été les mêmes sauf les raisons ont changées Pierre ne devait pas être trop joyeux. Une suite a la saveur de JA, Briard ou Patrick serait certainement agréable à lire. (Ecriture)
Briard (87 notations)	27/05/23	Sans plus - 08	Le scénario était, somme toute, assez original; c'est son traitement qui m'a déplu. Votre style, tout d'abord, narratif mais nullement argumentatif, qui plus est pétri de sophismes, de lieux communs et de clichés, d'ailleurs tous exclusivement masculins. Que dire de votre conclusion? Le mari, le bon cocu, totalement absent du texte, semble accepter sa déconvenue avec une telle facilité que s'en est désopilant. Cette histoire ne restera pas dans les anales, si je peux me permettre ce jeu de mot. ChrisM, vous nous devez une revanche, une compensation, une histoire plus admissible et acceptable que celle-ci. Avec regret, Briard
laetitia♥♥ Évaluateur prolifique (513 notations)	29/05/23	Très bon - 16	Belle écriture, belle construction. Description réussie d’un certain milieu. Portrait réussi d’une femme pleine de contradictions et aux indignations à géométrie variable. Certes la scène de la fellation filmée est peu réaliste, mais peu importe.
EdenPlaisirs (106 notations)	03/06/23	Moyen - 10	C'est écrit par un mec et ça sent vraiment bien cette fois. Encore une énième nana à côté de la plaque question sexualité. Une paumée qui ne sait pas trop où elle en est. Ça change des salopes nympho qui poussent un peu partout. C'est dingue, il doit y avoir un nid de ces nanas obsédées sur revebebe. «Tu as un beau cul ! C'est son premier compliment.» Ben moi un compliment comme çà, il se prend une beigne et je pense que ce serait valable pour la grande majorité des femmes. Je trouve dommage c'est bien écrit. (Ecriture)
Bridge (107 notations)	20/06/23	Mauvais - 04	Elle n'est pas tombé dans un piège, c'est elle qui va le voir dans sa chambre pour baiser, et quand il ne veut plus, elle va en boite se faire sauter par deux grands blacks. Pauvre mari. Je ne comprends pas les notes données par les lectrices. Avant, on reprochait aux hommes leurs pulsions, maintenant cela parait normal pour les femmes.
Amarcord (554 notations)	04/07/23	Très bon - 16	Avec pas mal de retard, je lis ce texte. Et il est bon. Je m'étonne de 2 choses. La première c'est qu'on le trouve peu réaliste alors que "Andrei Z.", c'est presque un texte à clefs. Ensuite, tout comme Harpie, je ne comprends rien aux reproches "moraux" faits aux personnages de fiction. Ceux-ci ne sont pas là pour édifier, on n'est pas au théâtre de Guignol. Ils doivent avoir une forme de cohérence, cette Julie en a, et peu importe si ce n'est pas la vôtre. La vraie morale quand on écrit, c'est davantage une question de style. Moins l'histoire que comment on la raconte. (Ecriture, Atmosphère)
Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé)
	26/05/23	Excellent - 18	C'est la fin de cette histoire qui m'a fait lui mettre un 18. Si je me souviens bien, il y a quelques réalisateurs qui "cassent" les actrices et acteurs pour avoir ce qu'ils veulent. Cette histoire en est le reflet. Bravo!
lecteur assidu	26/05/23	Top du top - 20	excellent scénario on se croirait dans le tournage du film et c est tres bien écrit bravo
Lecteur	27/05/23	Très bon - 16	Pierre se sentant trahi je ne comprends pas pourquoi faire un enfant ?
Remarques
Patrick Paris	28/05/23		Très surpris par les commentaires des lectrices et des auteures, j’ai relu cette histoire pour confirmer, ou non, ma première impression. Comme tout le monde, j’ai applaudi lorsque Julie, courageuse, se rebelle à Cannes, les salauds vont payer. D’accord, elle a été manipulée, mais on est loin de @metoo et des femmes agressées. Florian n’a pas eu besoin de la séduire. C’est elle qui le drague, elle qui le rejoint dans sa chambre. Une femme en chaleur qui en veut toujours plus. Elle le suce, se fait baisser et enculer comme on prend un verre, entre deux portes. « Pierre comprendra », « Une petite branlette, ça n’engage à rien ». Sans parler de la soirée avec deux blacks, une caricature. Inutile dans le récit. Le réalisateur non plus ne l’a pas forcée. Julie savait très bien ce qu’elle faisait. Elle a baisé et sucé son partenaire face à la caméra et s’étonne que ces scènes soient gardées au montage. Quelle naïveté ! Après la projection, j’aurais aimé une explication avec son mari qui se sent trahi. L’ultime fin, le beau happy end, pose la question : Julie a-t-elle tout dit à Pierre ? Est-ce un mari compréhensif aux besoins sexuels de sa femme, ou même un cocu content ? ou Julie l’a-t-elle manipulé en se faisant passer pour victime, quand il s’est aperçu qu’elle l’avait trahi ? Aucun état d’âme, aucun remords. Et à bien y réfléchir, n’a-t-elle pas refusé son Prix uniquement pour se dédouaner vis-à-vis de son mari ? c'est elle la manipulatrice. Pauvre Pierre, lui ne peut pas refuser l'enfant comme prix de sa complaisance ! Un mois c’est long, elle est en manque de sexe, elle ne peut pas contrôler ses pulsions. Les mêmes excuses que tous les agresseurs sexuels.… Quelles images de la femme ! Ce n’est pas la mienne, je dois être vieux jeu.
Harpie	28/05/23		En relisant certaines critiques, je m'interroge sur le sens que recouvre pour certains lecteurs la notion de "fiction". On est en droit d'espérer - pour eux-mêmes en premier lieu - des capacités de discernement plus affûtées dans la vie de tous les jours entre le réel et l'imaginaire faute de quoi leur quotidien doit être bien compliqué. Quant aux incohérences pointées ici où là elles me semblent plutôt dues à la faiblesse de l'analyse critique de leurs auteurs qu'au texte lui-même. Par ailleurs, à bien examiner les choses, je ne suis pas certaine que l'existence ne nous réserve parfois - toutes choses égales considérées - des situations tout aussi étonnantes et alambiquées. ;-) NB : De manière assez inattendue, la seule personne à qui cette notule n'était pas destinée (pour n'avoir pas lu entièrement le texte au moment où je rédigeais celle-ci) se sent piquée et s'emploie à bâtir en quelques mots tracés d'une main revancharde ce qu'elle croit pouvoir nommer "fiction". Je crois que votre démonstration a besoin de quelques retouches pour être un tant soit peu crédible mais ne vous donnez pas cette peine on ne vous en demande pas tant ! Je vous embrasse.
Melle Mélina	28/05/23		Finalement je l'ai lu en entier et maintiens mon commentaire. C'est une "fiction" soit! La prochaine fois, je vais écrire "un homme se balade dans la rue, il est moche, il pue , il se demande, "tiens qu'est ce que je vais pouvoir faire de ma journée ? oh, bin, je vais baiser une pouff. " Il se trouve que deux belles femmes se baladent également. Aussitôt, il sort sa bite et demande, "Mesdames, ca vous dit de baiser ?" les femmes se disent, 'Tiens, pourquoi pas ? " et hop, ils partent à trois dans un hôtel pour faire ce qu'ils ont à faire. Normal quoi! Super scénario crédible, mais on s'en fout, c'est une fiction !! ici, dans ce texte, les actrices sont des putes manipulables. Moi, je veux bien : c'est une fiction. j'espère avoir des qualités de discernement suffisamment affûtées à présent.
Patrick Paris	28/05/23		Merci Melle Mélina. Je croyais être le seul à penser que toutes les femmes ne sont pas des salopes, ou des putes (au choix) A moins que ce ne soit que les actrices et le mouvement @metoo une fiction !