n° 23012 | Lire ce texte | 29294 caractères 5270 mots Temps de lecture estimé : 22 mn | 19/04/25 |
Présentation: Ouvrez grand les oreilles (et peut-être un peu plus). Laissez La voix vous toucher là où ça gratte, là où ça manque. Et souvenez-vous : sur Revebebe, on bande aussi avec tendresse. | |||
Résumé: Radio Fesses n’est pas un simple récit : c’est une vibration, une caresse textuelle à la frontière du fantasme, de la confession. Un manifeste pour celles et ceux qui veulent encore jouir du verbe sans craindre le regard. | |||
critères: #tutu #revebebe #humour #réflexion #chronique #société #confession #personnages #voyeur #exhibitionniste #masturbation #fellation #lieupublic #internet | |||
Auteur : L'artiste (L’artiste) |
Note générale = 17.73 / 20 (13 notations) |
Note des inscrits = 17.98 / 20 (5 notations) |
Note des non-inscrits = 13.00 / 20 (8 notations) |
3 Originalité | 5 Ecriture | 4 Humour | 0 Excitation | 4 Atmosphère | 0 Sentiments |
Période de recueil des lectures = du 19/04/25 au 17/06/25 | 2536 Lectures partielles | 202 Lectures entières | 8 % |
Intervenant | Lui écrire | Date | Note | Appréciations | |
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Evaluations des inscrits | |||||
calpurnia♥ Évaluations récentes
(125 notations) |
20/04/25 | Excellent - 18 | Je n'ai pas lu ce texte dans le bon ordre des chapitres, parce que je suis une personne très indisciplinée qui fait rarement les choses comme il faudrait. Et ce que j'ai le plus apprécié, c'est que le texte conserve sa saveur malgré le désordre que j'ai provoqué. En ce sens, ce texte est d'une grande poésie (car un livre de poésie possède cet avantage sur un roman qu'on peut le lire en désordre). C'est comme cela que je l'ai aimé. (Originalité, Ecriture, Humour, Atmosphère) | ||
Tirry♥♥♥ Évaluateur très prolifique
(252 notations) |
21/04/25 | Excellent - 18 | Plus qu'une vieille radio, une radioscopie de l'être humain ? Tant mieux si cette voix mystérieuse appaise nos petits couacs internes. C'est à la fois truculent et jubilatoire. A l'image de l'auteur. (Ecriture, Humour, Atmosphère) | ||
Maryse♥♥ Évaluateur prolifique
(129 notations) |
21/04/25 | Top du top - 20 | A nouveau un grand texte, profond traité d'une plume mutine, un poil (pour ne pas dire peton) satirique. Qui n'a pas eu de rêves étranges, dérangeants, ceux qui vous perturbent sans oser en parler ? Radio fesse est là, des fesses galbées parfaitement, de celles avec qui on aimerait passer un peu de temps, se confier, s'alléger. (Originalité, Ecriture, Atmosphère) | ||
nicoli
(1606 notations) |
22/04/25 | Un genre de fond sonore qu'on peut suivre en regardant des pubs à la télé, ou en cherchant son slip dans la salle à manger... un peu comme un écho à une radio de jadis au slogan ... qui vous encule par les oreilles. Bref un récit d'atmosphère qui m'a semblé long , un peu fade, malgrè quelques étincelles. Alors, quelle note ? sans excès d'honneur , ni indignité, je n'en sais rien . | |||
Pitziputz
(29 notations) |
22/04/25 | Top du top - 20 | Je me sens humble...Radio Fesses m'a endormie, ce qui est le plus beau des compliments car insomniaque je suis et dans mon lit, dans le noir, La voix m'a accompagnée, j'en ai rêvé et je l'entendais encore à mon réveil. (Ecriture, Humour, Atmosphère) | ||
Melle mélina♥♥ Évaluateur prolifique
(427 notations) |
03/05/25 | Très bon - 16 | J'ai moins accroché par contre, je reste baba devant tant d'imagination. De très belles images, de métaphores, d'idées ( tout simplement) foisonnent dans cet ovni littéraire ( un OLNI). (Originalité, Ecriture, Humour) | ||
Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé) | |||||
Troï | 19/04/25 | Excellent - 18 | Probablement l'une des plus belles choses lues ici. Tout est dans l'économie et pour une fois l'économie fonctionne. Et les territoires ouverts sont vertigineux. | ||
Lecteur assidu | 20/04/25 | Nul - 02 | Dommage que Revebebe tolère de l’écriture incluse qui vient gâcher cet excellent texte ! | ||
Lilith_Correctrice_69 | 20/04/25 | Bon… Alors objectivement, c’est trop long. Trop verbeux. Trop de “voix”, trop de fesses, trop de fluides narratifs. L’auteur s’écoute écrire, on dirait qu’il se… s’essore le style. Oui, c’est ça. Et ce rythme ! Hypnotique, lancinant… irritant. Enfin… excitant. Non ! Exaspérant, pardon. Un vrai glissement sémantique. Glissant, même. Et puis cette “voix” qu’on retrouve partout, qui s’insinue, qui… qui suinte dans les interstices du texte. C’est insupportable d’être aussi… pénétrant. Non ! Présent. Je voulais dire présent. Bref, un texte dont il faut se méfier. Il fait croire qu’il parle d’écoute, mais il infiltre. Il bande dans le subconscient. Il mouille la grammaire. Il gratte des endroits… syntaxiques. Ça m’a laissé… humide d’agacement. Et ma culotte ? Je… l’ai oubliée, tiens. Pas de note. Je reste critique. Froide. Détachée. Je vais relire. Purement pour traquer les virgules. (Enfin… peut-être aussi pour le passage sur la fellation liturgique.) |
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fan de fam | 21/04/25 | Excellent - 18 | Quelle imagination débridée et avec un bonus en plus. Le café associatif que je fréquente va me paraître fade. | ||
Remarques | |||||
L'artiste | 20/04/25 | À Troï (cheval de Troie dans un site de branleurs) Merci. Pour de vrai. T’as pas juste lu. T’as écouté. T’as tendu l’oreille avec l’âme un peu ouverte, et t’as capté que ce texte-là, c’était pas juste des fantasmes flingués au napalm narratif. T’as dit que “l’économie fonctionne”, et bizarrement, j’ai senti mes neurones se frictionner de contentement. Parce que l’économie des mots, c’est pas une vertu. C’est une tension. Un étirement de la phrase juste avant la rupture. Si t’as senti le vertige, c’est que t’as accepté de glisser sans poser de questions. Alors merci. D’avoir laissé un 18 sans te planquer. D’avoir compris que l’écriture, parfois, c’est aussi ce qu’on se retient de dire. Et que ce silence-là, il brûle. T’as été La voix. Et je t’ai entendu. |
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L'artiste | 20/04/25 | À “Lecteur assidu” (la performance est discutable) Merci d’avoir pris le temps de lire Radio Fesses. Et surtout, d’avoir laissé une empreinte digitale d’aigreur sur un texte que vous qualifiez d’excellent avant de lui coller un 2. Ce niveau de contradiction, c’est presque de l’art contemporain. Quant à votre rejet de l’écriture inclusive, je comprends. Elle vous rappelle peut-être qu’il existe des corps et des esprits en dehors de votre spectre visuel. C’est toujours troublant, les angles morts. |
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L'artiste | 20/04/25 | À Calpurnia (chapitres mélangés, mais cul posé quand même) Tu l’as lu en désordre… et pourtant t’es tombée dedans comme dans un slip chaud sorti du sèche-linge. Merci de ne pas avoir obéi, d’avoir flairé la poésie dans le foutoir. Ce texte, c’est un orgasme chronologique inversé. Tu l’as compris sans que je le dise. Et franchement, t’es la preuve que la vérité a parfois besoin d’un peu de chaos pour bander. |
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L'artiste | 20/04/25 | À Lilith_Correctrice_69 (culotte perdue, style trouvé) Tu dis que c’est trop, que ça mouille la grammaire, que ça bande sous le subjonctif… mais tu relis. Tu continues. Donc j’ai gagné. Pas en style. En infiltration. Merci d’avoir simulé la distance critique tout en glissant un doigt de plaisir dans ton analyse. Tu veux traquer mes virgules ? Moi, j’attends que tu me pointes. |
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L'artiste | 22/04/25 | À Tirry (ou comment la radioscopie devient une petite jouissance entre les lignes) Tirry, t’es arrivé avec ta loupe littéraire et t’as trouvé du truculent entre les plis d’un vieux poste grésillant. T’as vu l’humain là où d’autres voient du bruit, et je te respecte pour ça. Parce qu’entre les couacs internes et les ondes externes, c’est pas un texte que t’as lu : c’est un battement. Merci de m’avoir mis dans le même sac que les trucs qui font jubiler. J’espère juste que c’est un sac en cuir souple, qui sent la lavande et la sueur d’auteur. |
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L'artiste | 22/04/25 | À Maryse (la muse des rêves bizarres et des fesses galbées mentales) Maryse, tu m’as fait rire ET bander. T’as utilisé “mutine” ET “peton” dans la même phrase, et je trouve ça d’un érotisme conceptuel redoutable. Merci d’avoir saisi que ce texte, c’est pas juste un délire lubrique. C’est une oreille tendue vers les inconforts qu’on cache sous les draps. Et toi, tu t’es allongée dans le texte comme dans un lit trop intime pour rester habillée. Respect. |
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L'artiste | 22/04/25 | À nicoli (ou le mec qui a perdu son slip ET sa note) Ah, Nicoli… Toi, t’es le type qui mate un feu d’artifice et dit “bof, trop de lumières”. Mais j’te comprends. T’as envie que ça frappe vite, sec, comme une fessée littéraire bien calibrée. T’as eu un fond sonore. Moi, j’ai voulu une ambiance. Un glissement. Un frisson lent. Ça t’a peut-être saoulé. Ou peut-être que t’as pas encore trouvé le bon slip. C’est pas grave. Tu reviendras. Les fesses, ça laisse des traces même quand on s’en rend pas compte. |
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L'artiste | 22/04/25 | À fan de fam (ou comment un café associatif a pris un shot de cul sensoriel) T’as vu un monde fade se faire épicer par un texte, et ça, c’est beau. Merci de l’avoir dit. Si ton café a désormais un petit goût de sperme poétique et de désir social, c’est que la radio a touché son but. Le bonus ? C’était pour que t’aies une petite surprise dans le fond de ta tasse. |
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L'artiste | 23/04/25 | À Pitziputz (insomniaque convertie à la fesse radiophonique) T’endormir sur Radio Fesses ? C’est pas un bug, c’est un compliment orgasmique. Si La voix t’a bordée pendant que le monde toussait, c’est qu’elle a touché juste. Dormir, c’est bander de l’âme sans effort. Et rêver d’elle au réveil ? C’est signer le contrat d’écoute sensuelle à durée illimitée. Merci pour ta confiance nocturne. |
Nul | Mauvais | Médiocre | Sans plus | Moyen | Assez bon | Bon | Très bon | Excellent | Top du top |
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