Revebebe - Fiche technique

n° 23037	Lire ce texte	24802 caractères 4274 mots Temps de lecture estimé : 18 mn	06/05/25
Résumé: Il y a des textes qui vous tombent dessus comme un cierge enflammé mal accroché. Et puis il y a ceux qu’on écrit parce qu’on sent que l’univers – ou un plug rose pailleté – nous y pousse doucement. Amen et lubrifiant.
critères: #exercice #humour #pastiche #initiatique
Auteur : L'artiste (L’artiste)

Le Dernier Plugement

Note générale = 18.25 / 20
(9 notations)

Note des inscrits = 18.36 / 20
(4 notations)

Note des non-inscrits = 15.60 / 20
(5 notations)

4 Originalité

4 Ecriture

3 Humour

0 Excitation

3 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 06/05/25 au 23/05/25

930 Lectures partielles

246 Lectures entières

26 %

Intervenant	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
Tirry (240 notations)	06/05/25	Excellent - 18	L'artiste nous met en garde dès le début : un feu d'artifices... ou plutôt d'artifesses... sorti tout droit du paradis, de l'enfer, on ne sait plus trop. Les mots jaillissent, explosent, nous éblouissent encore et toujours... plus haut (ou plus bas à la hauteur des fesses, on ne sait plus). Bref, un voyage hallucinant au pays du Merveilleux Plug... Dieu, quelle imagination, quel art, quel délire ! Et quelle maîtrise... (Originalité, Ecriture, Humour, Atmosphère)
Maryse (114 notations)	06/05/25	Top du top - 20	L’assemblage, c’est ce qui donne au vin sa quintessence, son caractère unique, son millésime, nous disent les œnologues. Eh bien toi, l’artiste, tu sublimes cet art. Tu prends deux contraires que tout oppose, tu les maries dans un texte qui gouleye avec espièglerie et impertinence, qui réjouit nos papilles, et nous conduit tout droit à l’ivresse, grisante, étourdissante, qui remonte à notre esprit tant de choses cachées. Que souhaiter de plus ? (Originalité, Ecriture, Humour, Atmosphère)
Juliette G (351 notations)	07/05/25	Excellent - 18	Le père Antoine. Le père Michel. On s'y père ! Le dentier enragé... Et les chiens de Mme Couders qui hurlent à la mort. Le polissage des cierges ou de je ne sais plus quoi. Le miracle. Tout va crescendo jusqu'à l'apothéose. Un texte mystique ! Et tout ça m’à fait me souvenir de... Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs Reprenez avec nous tous en cœur Pas de boogie woogie avant de faire vos prières du soir Ne faites pas de boogie woogie avant de faire vos prières du soir (Originalité, Ecriture, Atmosphère)
OlgaT (1504 notations)	07/05/25	Excellent - 18	Au risque de me répéter, à la lecture de ce texte drôle et quelque peu blasphématoire, "les voies du Seigneur sont impénétrables"! Bravo l'Artiste pour ce moment! (Originalité, Ecriture, Humour)
Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé)
fan de fam	06/05/25	Excellent - 18	Toujours autant de plaisir à retrouver ces héros pour une nouvelle étude sociologique, liturgique et sexuelle.
Remarques
L'artiste	12/05/25		@Tirry : Artifesses… je l’aurais pas mieux dit. Un peu de feu sacré dans les fesses, un peu de sainteté dans le délire, et bim : transfiguration par le rire. Heureux que le voyage t’ait ébloui, même à hauteur de fessier.
L'artiste	12/05/25		Maryse, si le texte gouleye comme un grand cru, alors je trinque avec toi ! Mélange d’encens et d’insolence, une liturgie à déguster sans modération. À l’ivresse des mots, des corps, et des contradictions joyeuses !
L'artiste	12/05/25		Juliette, ton commentaire est un psaume disco : rythme, groove et extase collective. Le dentier de Mme Dubreuil te salue, tout comme le plug, qui bat la mesure au fond de la nef. Boogie woogie et bénédiction rythmée ! PS J'adore cette chanson d'Eddy Mitchell...
L'artiste	12/05/25		OlgaT : Blasphématoire peut-être… mais avec ferveur ! Les voies du Seigneur restent impénétrables, mais celles du plaisir sacré, on commence à en tracer le plan. Content que le chemin t’ait fait rire autant que frémir.
L'artiste	12/05/25		fan de fam - On garde le cap, entre thèse pastorale et Kama Soutra paroissial. Les fidèles reviennent, les hanches aussi. Nouvelle messe, nouveau miracle : merci pour ta constance de pèlerin sensoriel.