n° 00349 | Fiche technique | 18224 caractères | 18224Temps de lecture estimé : 13 mn | 05/05/00 corrigé 14/02/23 |
Résumé: En vacances avec deux copains, il va se baigner prés d’une rivière. Là une jeune fille blonde, Caroline sort de l’eau et retirera d’abord le haut, puis le bas. Le lendemain ils retourneront sur les lieux. | ||||
Critères: fhh rousseurs vacances intermast init | ||||
Auteur : Elros Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Caroline et la rivière Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Je passe mes vacances, chez nous, à la montagne, la plupart de mes journées avec mes deux copains, Joël et Alexandre. Cet été, nous parcourons la campagne à la recherche d’aventures…
Il fait vraiment beau aujourd’hui. Nous avons pour habitude d’aller nous baigner dans un bras de la rivière. L’eau y est froide, comme dans toutes les rivières de montagne, mais c’est tellement rafraîchissant. Le chemin par lequel nous arrivons surplombe la rivière d’un ou deux mètres. Parfois, nous l’utilisions comme plongeoir.
En arrivant, nous entendons quelqu’un rire. Accroupis dans les fourrés, nous approchons et observons ce qu’il se passe.
Là, une jeune fille blonde, aux cheveux mi-longs, se baigne vêtue d’un maillot deux-pièces bleu. Elle est seule, a priori, et s’amuse à plonger d’un rocher émergeant de l’eau. La fraîcheur du torrent ne semble pas la déranger. Au bout de quelques minutes, elle nage jusqu’à la rive et s’allonge sur une serviette posée là.
Elle est tout au plus à cinq mètres de nous. Nous voyons son visage éclairé par les rayons du soleil. Elle est plutôt jolie, avec un petit nez en trompette, quelques taches de rousseur sur le nez et les pommettes, une bouche plutôt petite, ourlée de lèvres fines. Elle paraît avoir une vingtaine d’années. Les yeux fermés, elle profite de la chaleur diffusée par le soleil pour se faire bronzer. Sa respiration fait monter et descendre sa poitrine qui me paraît opulente.
Elle ouvre alors les yeux, s’assoit et se met à regarder autour d’elle. Nous croyons alors avoir fait un bruit qui lui aurait permis de nous repérer, mais, alors que nous allons nous éclipser, elle dégrafe son soutien-gorge et le retire. Ses seins apparaissent en pleine lumière. Je me retrouve, assis, la bouche ouverte, les yeux rivés sur cette poitrine. Ce sont les premiers que je vois depuis bien longtemps. Ils sont fermes, de la taille de bon pamplemousse, avec deux petits tétons. Elle nous apparaît alors encore plus belle.
On se regarde en ricanant et en se tapant du coude. Elle s’allonge. Au bout de quelques minutes, elle se relève. Une fois debout, de dos, elle défait les nœuds des cordelettes retenant son slip de bain. Celui-ci tombe lentement sur le sol. Elle le ramasse. En se baissant, elle nous montre complètement ses fesses, fermes et rebondies. Elle se rallonge sur le dos. Ses jambes sont légèrement écartées, ce qui nous permet de distinguer vaguement son sexe. Il est entouré d’une toison claire. Nous sommes trop loin pour distinguer plus que cela. J’ai une érection terrible. Je n’ose pas me toucher devant mes copains. Nous attendons pendant longtemps, espérant en voir plus, mais comme il ne se passe plus rien, nous choisissons de faire demi-tour. Sur le chemin du retour, nos commentaires sont unanimes. Demain, retour à la rivière en espérant la revoir !
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Le lendemain, le déjeuner à peine englouti, nous voilà partis à la rivière, espérant secrètement qu’elle soit de nouveau là. Espoir bien vite récompensé. Dans l’eau, elle nage tranquillement sur le dos, assez près de nous. Nous pouvons alors constater qu’elle nage complètement nue. Tout de suite, je sais qu’il faut que l’on se déplace pour pouvoir la voir correctement lorsqu’elle sortira de l’eau. Nous faisons alors le tour, de manière à nous rapprocher de ses vêtements, qu’elle a suspendus à une branche d’arbre. C’est alors que Joël me surprend. Alors qu’elle est un peu éloignée, il sort de sa cachette, s’approche tranquillement, ramasse tous les vêtements, puis les cache dans les fourrés. Ensuite, il attend, accroupi, qu’elle revienne plus près de nous en nageant pour lui crier :
Elle s’arrête de nager, totalement surprise. Voyant Joël, elle s’enfonce un peu plus dans l’eau.
N’y tenant plus, et ne partageant pas la conception de Joël, je me lève. Je ramasse alors les vêtements et je me dirige vers la fille en criant :
Joël me bondit dessus et nous tombons tous les deux à l’eau. Je vois alors Alexandre plonger. Il attrape Joël, il le ceinture. Joël parvient à s’échapper, sort de l’eau et part en courant tout en nous insultant et en promettant de se venger. Je sors alors de l’eau, suivi par Alexandre.
Je serre toujours les affaires de la fille qui sont maintenant totalement trempées. Je constate, en me retournant, que la jeune fille s’est éloignée et nous regarde de loin.
Nous éclatons tous de rire. Je lui demande alors :
Elle réfléchit un moment, puis dit.
Pendant que nous lui tournons le dos, je retire mes baskets, mon tee-shirt et mon jean. Je me retrouve alors en slip mouillé. Pour ceux qui connaissent, cela ne cache pas grand-chose de notre anatomie. Alexandre avait fait de même. Nous entendons la fille sortir de l’eau, passer ses sous-vêtements, puis un bruit de feuilles.
Elle est allongée sur le ventre, ses affaires à nouveau suspendues sur la même branche. Il y a là une jupe et un tee-shirt. Nous nous allongeons à côté d’elle. Je lui demande comment elle s’appelle.
Nous sentons bien qu’elle nous croit à peine, mais nous continuons à bavarder. Elle vient de Saint-Michel, à vingt-cinq kilomètres de Nantes. Elle est là en vacances. Je lui avoue que nous venons régulièrement nous baigner dans la rivière et que cela nous ferait plaisir de la revoir.
Nous parlons de la région. Elle nous dit qu’elle est arrivée avec ses parents en vacances. Elle a découvert la rivière depuis peu. Tout en parlant, je sens le soleil me cuire le dos.
J’accepte une si gentille proposition. Lorsqu’il s’agit de s’en passer dans le dos, voyant mes difficultés, elle me dit :
Bien entendu, j’accepte. Elle a les mains douces. Elle a une façon très douce de passer cette crème. Parfois, elle descend jusqu’au début de mes fesses. Je sens son souffle dans mon dos, et parfois, le frôlement de ses seins (Enfin, je pense que c’étaient ses seins). Alexandre nous regarde plein d’envie.
Alexandre dit tout de suite, oui. Elle se met donc à lui badigeonner le dos puis lui dit de se retourner pour lui protéger le ventre. Je remarque alors, et Caroline aussi, au vu du petit temps d’arrêt qu’elle a marqué, l’érection d’Alexandre. Elle continue quand même. Je vois les petits à coup du sexe d’Alexandre contre le tissu du slip. Caroline penche alors son visage et regarde le slip. Elle hésite, puis dit :
L’heure du départ est là et nous nous séparons.
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Le lendemain après-midi, nous partons à la rivière avec Alexandre, sans avoir revu Joël. Arrivés là-bas, nous retirons nos vêtements pour pouvoir passer nos maillots. Une fois nu, je dis à Alexandre :
Pour toute réponse, j’écarte un peu les cuisses. L’air un peu plus frais au bord de l’eau est agréable. Se sentir nus, en pleine nature, est une sensation agréable et nouvelle. Alexandre est déjà en maillot et plonge dans l’eau froide. Toujours nu, je le suis. Très vite, Caroline apparaît. Elle porte une robe rouge, attachée dans le dos, il me semble. Elle porte des sandales et un sac en bandoulière d’où dépasse sa serviette. Je suis un peu gêné, nu dans l’eau avec mes affaires sur la berge.
Je ne sais pas si cela se voit, mais je me sens con. Elle est là, au bord de l’eau, nous regardant en souriant. Elle tient sa vengeance. En plus, elle pourrait ramasser toutes nos affaires et partir avec, me laissant nu, sans rien.
Elle éclate de rire, puis pose son sac. Tout en nous regardant, elle défait le nœud de sa robe qui s’ouvre sur l’arrière. Elle fait glisser lentement les bretelles en continuant à nous fixer. Sa robe glisse le long de ses bras, puis de ses jambes. Elle est alors là, devant nous, nue comme un ver.
On se regarde avec Alex.
Puis elle plonge. À peine la tête sortie de l’eau, elle nage droit vers moi, pose ses deux mains sur mes épaules, et m’enfonce la tête sous l’eau. Je bois la tasse, me déplace un peu et remonte hors de l’eau. Elle me regarde avec un grand sourire aux lèvres. Nous jouons un moment comme cela, nos corps se frôlant fréquemment. À un moment, une de ses mains essayant de m’attraper saisit ma verge. Surprise, elle ne lâche pourtant pas, enserrant mon sexe dans son poing. Je la regarde. Elle sourit, et me regarde en disant :
En effet, il est assis sur la berge et nous regarde.
Pendant tout cet échange, elle ne lâche pas ma bite qui, bien sûr, manifeste sa satisfaction. Sentant mon sexe se gonfler entre ses doigts :
Nous battons des pieds pour nous maintenir hors de l’eau. Sa main tient toujours mon sexe, en érection, honorable malgré la fraîcheur de l’eau. Je caresse un de ses seins. Il semble plein et lourd, doux au toucher, son téton bien dressé. Elle se met à me branler un peu, lentement. À mon premier soupir, elle me lâche, plonge et se dirige vers la berge. Je la suis aussitôt.
Ce n’est pas bête. Nous sortons donc de l’eau. Alexandre, au vu de mon sexe, me regarde. Caroline lui dit :
Il s’empresse de s’acquitter de sa tâche. Elle lui demande de lui en passer un peu sur les fesses pour « protéger son capital », comme elle dit. Il le fait en rougissant. Elle se retourne et nous dit :
Pendant que l’on s’installe, elle se met à genoux entre nous deux, Alex à sa gauche et moi à droite. Sous les caresses de ses doigts dans mon dos, je me détends. Soudain, je sens un doigt passer entre mes cuisses, tentant de toucher me sexe. Machinalement, j’écarte un peu les cuisses. Le doigt se sauve, puis revient, caressant mes bourses.
En nous retournant, nous constatons tous les deux que nous avons une belle érection. À mon avis, elle ne s’est pas amusée qu’avec moi.
Elle prend la verge d’Alex de sa main gauche et la mienne dans la droite. Elle se met à nous branler lentement. Pendant que sa main gauche remonte sur la verge d’Alexandre, elle descend sa main droite le long de ma bite, jusqu’aux couilles, et réciproquement. À chaque descente, elle décalotte légèrement mon gland pour le recalotter à la remontée suivante. Ce mouvement introduit un effet de balancier. Ses seins se balancent au gré de ses caresses. Je saisis alors son sein droit. Alexandre, me voyant faire, saisit l’autre. Elle soupire. Par moments, elle nous saisit les bourses et les caresses. Avec son pouce, elle caresse aussi le frein de notre gland.
Elle me regarde, sourit, décalotte totalement mon gland et dit :
Ma verge est tellement dure que j’en ai mal. Je me mets alors à penser que je suis là, allongé sur le dos, baigné de soleil, avec une belle fille blonde en train de me branler pour la première fois. J’entends les oiseaux chanter, le vent dans les arbres, l’eau qui coule doucement et les halètements d’Alex.
Je tourne la tête. Alex a les yeux fermés et respire bruyamment. Caroline sert sa bite dans sa main et s’active plus fort. Elle tient toujours la mienne, mais ne me branle plus. Elle laisse alors ma verge et saisit les couilles d’Alex qui lâche un nouveau « ah » de plaisir. Je les regarde. La main gauche de Caroline tient maintenant ses couilles et, de sa main droite, elle le branle. Son pouce caresse le frein du gland en passant. Soudain, Alex pousse un râle et se redresse. De sa bite, un jet de sperme jaillit et va s’écraser sur les seins de Caroline penchée au-dessus de lui. Les autres spasmes projettent des jets de sperme sur ses avant-bras. Alex se rallonge et souffle. Caroline poursuit son va-et-vient, mais très lentement. Elle appuie avec son pouce sur le canal afin de faire sortir le maximum de sperme. Au bout de quelque temps, seule une petite goutte perle au sommet du gland d’Alex. Sa verge commence à se ramollir. La mienne aussi, n’étant plus sollicitée. Caroline caresse alors le bas-ventre d’Alex et se tourne vers moi.
Et, sans me laisser le temps, elle me saisit la bite. Dans la précipitation de son geste, elle me saisit le gland à pleine main. Cela me fait mal et je laisse échapper un petit cri de douleur.
Elle se penche alors sur ma verge. De sa main droite encore couverte du sperme d’Alexandre, elle me prend les couilles et les masses légèrement. Immédiatement, ma verge retrouve sa vigueur et se redresse. Elle approche sa bouche de mon gland et crache un peu de salive pour humecter mon gland. Avec son index, elle répand délicatement cette salive sur la totalité du gland. Elle recommence cette opération à plusieurs reprises. Soudain, elle dépose un baiser sur le sommet du gland. Cela me fait lâcher un cri de plaisir.
Elle entreprend alors d’humecter sa main gauche et se remet à me branler. Elle se penche et pose sa tête sur mes cuisses, regardant mes couilles qu’elle se met à embrasser. Elle les avale et les lèche avec sa langue. Ce traitement me fait un tel effet que je ne tarde pas à sentir monter mon plaisir. Je me redresse sur les coudes et je tente de la prévenir.
Trop tard. De mon gland jaillit un jet de sperme blanc qui monte droit vers le ciel. En retombant, ce jet vient s’écraser sur le joli visage de Caroline qui s’occupe encore de mes couilles. Elle approche immédiatement son visage de mon gland et reçoit les autres jets sur son nez, ses yeux et ses cheveux. Sept ou huit spasmes me secouent et je vois maintenant le visage de Caroline zébré d’éclairs blanchâtres. Elle fait à nouveau le nécessaire pour extraire toute ma semence, mais, cette fois, elle prend le soin de lécher les dernières gouttes en passant la langue tout au long de ma verge, en partant des couilles et en remontant jusqu’au gland. Elle crache ensuite dans l’herbe le mélange de sperme et de salive…
Enfin, elle se relève, nous regarde gentiment et nous dit :
Et elle plonge dans l’eau. Pas tout à fait remis, nous mettons un peu de temps à réagir. Elle ressort de l’eau, prend sa serviette, s’essuie puis se rhabille. Elle dépose sur nos lèvres un baiser et dit :
Une fois partie, je regarde Alex, et pousse un « Pfiouuu » ébahi. Nous nous rhabillons, comme dans un rêve.