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n° 03921Fiche technique17072 caractères17072
Temps de lecture estimé : 11 mn
31/03/02
Résumé:  Initiation, deuxième demi-étape.
Critères:  hh piscine intermast facial fellation hdanus hsodo init
Auteur : Domi DUPON  (Homme du bon côté de la cinquantaine)            Envoi mini-message

Série : Noël-Noëlle

Chapitre 02 / 08
Noël-Noêlle (2/8) Autour de la piscine


NOËL-NOËLLE


EPISODE 2: AUTOUR DE LA PISCINE


Vendredi soir, 19 h 50. La porte-fenêtre franchie, Noël se précipite dans la piscine. Son rapide plongeon m’éclabousse de fines gouttelettes translucides. Avant de le rejoindre, je l’observe. Je ne cesse d’admirer ce jeune corps si féminin malgré cette atrophie entre les cuisses. Mon cœur bat étrangement. Ses pâles globes jumeaux si appétissants qui affleurent à la surface de l’eau à chacun de ses battements de pieds, les reflets du soleil sur ses omoplates bronzées, la fluidité de ses gestes fendant l’onde provoquent en moi un plaisir paisible. Je n’ai pas d’érection parce que ma jouissance est trop récente mais il émane de ce spectacle qu’il me donne involontairement un érotisme certain. J’apprécie, cette jeunesse ainsi offerte, conscient de la chance qui m’échoit. Je n’ai jamais été l’aise dans la flotte, j’suis plutôt du style: j’trempe un pied dans l’eau et c’est largement suffisant. J’entre donc avec précaution dans le bassin où je patauge lamentablement. Comme à l’habitude, je me trouve ridicule à la limite du grotesque. À ce moment, j’ai peur de son jugement et je prends conscience que ce que je ressens pour lui dépasse le simple désir charnel. Noël papillonne autour de moi. Ses mains effleurent mes cuisses, mon ventre, mes fesses. L’eau le rend plus hardi, elle gomme nos différences. Dans cet élément, il m’est supérieur. Sous cette forme ludique, il peut oser. Il passe entre mes jambes frôle au passage mes testicules, y déposant même des petits baisers farceurs. De sa voix juvénile, il m’incite à nager, à le retrouver dans ses jeux aquatiques. Devant mes réticences, son visage s’assombrit. Manifestement, il craint de m’avoir blessé, de s’être montré trop entreprenant. Je le rassure et lui explique mes démêlés avec l’élément liquide. Aussitôt, consolateur, il vient se coller à mon dos. Je sens ses petits seins durs se plaquer contre mon épiderme et aussi, et surtout, sa bite dressée qui s’insinue effrontément dans ma raie culière. Prérogative de la jeunesse: quelque dix minutes plus tôt, nous maculions nos ventres de nos foutres et déjà, lui est opérationnel, prêt à remettre le couvert. Il m’embrasse dans le cou, ses doigts s’aventurent sur mon abdomen. Mon bas-ventre réagit à tous ses attouchements et ma queue commence de se redresser. Percevant et goûtant mon trouble, il se colle encore davantage, frotte ses mamelons à mon échine, fait aller sa queue entre mes fesses. Sa main maladroitement se hasarde à toucher ma bite qui réagit en conséquence. Encouragé par le résultat de cette première approche, il emprisonne mon pieu en anneau entre ses longs doigts. Je tourne la tête pour chercher sa bouche. Qui cherche trouve !… Une sonnerie … deux sonneries… Merde, merde, merde… Le téléphone…. À cette heure… Sans doute, Josette…J’avais complètement oublié qu’elle devait m’appeler… Il faut que je réponde sinon elle risque d’ameuter le quartier.



Je m’affale dans un fauteuil de jardin mon verre à la main. Noël fait des longueurs. Dès qu’il m’aperçoit, il sort du bassin et s’ébroue comme un jeune chien. Il s’assoit par terre entre mes jambes entrouvertes. Dans cette position, sa tête se trouve sur la même horizontale que mon pénis qui, pas encore remis de ses émotions téléphoniques, repose flasquement sur ma cuisse gauche. Il place ses mains en plateau sous mes bourses, les referment sur mes testicules qu’il fait rouler doucettement entre ses doigts effilés; sa bouche dépose des petits baisers furtifs sur mon vit qui profite de l’aubaine pour enfler. Prenant peu à peu de l’assurance, il lui donne des petits coups de langues comme un chaton faisant sa toilette. Je reste totalement immobile m’abandonnant à la félicité de l’instant. Je ne vois que son visage, sa longue chevelure, ses merveilleuses épaules: c’est à nouveau Noëlle que j’ai en face de moi. J’imagine sa petite fente humide, son petit bourgeon émergeant de son capuchon au milieu de sa toison follette. Ma bite sous ce savant léchage, sous les agaceries prodiguées à mes testicules, et aussi avec le cinéma dans ma tête, devient de plus en plus raide. J’agrippe mes jambes et les remonte haut sur le fauteuil dégageant ma raie. La jeune délurée comprend illico mon problème. Sa menotte gauche abandonne la droite toujours occupée, elle s’introduit frauduleusement dans mon sillon fessier. Elle arrive vite à ma rosette qui se contracte dans l’attente du contact. Je suis sidéré par son instinct car, tout de suite, du bout des doigts, il masse mon petit trou en composant des petits cercles concentriques. Les coups de langues ne lui suffisant plus, sa dextre abandonne provisoirement mes couilles pour venir délicatement décalotter mon gland. Du bout des ongles, elle le caresse doucement adoptant le même rythme que pour mon anus tandis que sa langue ôte une petite larme préspermatique qui perlait à la commissure de mon méat. Pendant tout ce temps, son regard cherche une approbation dans le mien. Regards intenses. Sourires de connivence. Plaisir partagé. Elle s’agenouille, ce qui lui permet de présenter sa bouche au-dessus de mon nœud. Ses lèvres capturent mon gland, sa langue titille mon méat. Je ferme les yeux et me laisse porter sur cette vague de plaisir. En douceur, sans heurt aucun, elle absorbe mon membre. Impression de toucher sa luette. Elle reste ainsi immobile, lèvres collées à mon pubis. Seule sa langue agit : elle virevolte autour de mon mat. Elle s’active avec délicatesse car aucune morsure ne vient perturber ce difficile exercice. L’envie de poser ma main sur sa tête et de lui donner de l’allant est forte. Je la réprime. Au contraire, je savoure la douceur de cet instant qui ne pourra durer éternellement tant les sensations provoquées par ses mouvements de langue font augmenter la pression. La vilaine émoustillée par la situation en remet d’ailleurs une couche. Très lentement, sa bouche libère mon sexe pour le réinvestir tout aussitôt. Pour la première fois son index forçant mon intimité y pénètre d’un petit centimètre. Pourquoi n’ai-je jamais permis à Josette d’attenter à ce lieu? J’ai réellement raté quelque chose car c’est jouissif ce doigt qui me baise le cul. Mes muscles se contractent autour de lui et je sens une montée de liquide séminal. Elle enfourne encore quelques centimètres et bientôt, c’est tout son index que j’ai dans le fondement. Soit, elle est très douée, soit, elle est plus expérimentée qu’elle a bien voulu me l’avouer car pendant que le suce-dit index pérégrine aux environs de ma prostate, son majeur et son annulaire, ouvrant mon sillon, presse fortement sur mon anus. Je ne sais pas ce qui m’échauffe le plus : ce qu’elle fait à ma queue, ce qu’elle fait à ma rosette, ce qu’elle fait à mes couilles ou tout simplement la vision de cette magnifique jeune femme avec ma queue dans sa bouche, son doigt dans mon trou du cul, sa main qui tripote mes couilles.

L’explosion n’est pas très éloignée. Encore une fois la tentation de me laisser aller est forte. Mais tout à l’heure, Noëlle n’a pas voulu de cette jouissance égoïste pour elle. Je me dois de faire de même. Ignorant sa protestation, je me désengage. Je me laisse glisser du siège pour m’asseoir par terre en face d’elle/lui. Quand mon regard rencontre sa queue fièrement dressée, Noëlle redevient Noël sans que cela me pose réellement de problème. Envolées les frayeurs de mon cauchemar. Mes mains retracent les contours de son fin visage, apprécient le velouté de la peau, ébouriffent ses cheveux humides, se rejoignent derrière sa nuque. Nos lèvres se retrouvent. Noël, Noëlle, je ne sais plus ! Quelle importance d’ailleurs ! Pendant ce temps, mes jambes passent sous les siennes, je le soulève, l’attire à moi. Nos queues se mêlent à nouveau, nos poitrines se connectent, tétons contre tétons. Après quelques instants, elle rompt notre baiser, s’agenouille et vient proposer sa raie à ma raideur. Sans aucun état d’âme, mes mains agrippent ses fesses. Du bout des doigts, j’entrouvre son sillon et positionne mon gland. Mes cuisses se placent de part et d’autre des siennes de telle sorte qu’il sente la pression de ma queue contre sa rosette mais sans que pour autant elle en viole l’entrée. Mon intention à cette seconde étant de me masturber contre son anus, de jouir entre ses fesses tandis que je ferai de même pour lui avec ma bedaine. Il passe ses bras autour de mon cou, ses mains caressent mon dos. J’ai la figure à hauteur de ses tétons que je me hâte d’exciter avec ma langue. Mon sexe donne des petits coups de bélier contre l’entrée de son temple fermé, appuyant plus ou moins fortement contre cette issue encore inexplorée. Soudain, il me chuchote au creux de l’oreille :



Je n’ose pas bouger de peur de lui faire encore plus mal. Egoïstement, je suis étrangement bien. Ma queue est chaudement enserrée dans son étroite gaine. J’ai pratiqué de nombreuses fois la sodomie avec Josette mais ici, la sensation est encore différente. Je ne saurai l’expliquer. Peut-être parce que sodomiser ma femme demandait une longue préparation et quand je la pénétrais, elle avait sa rosette aussi ouverte et aussi mouillée qu’un vagin. Peut-être, également, que cette bite qui s’incruste dans mon ventre procure d’autres émotions: je l’ai sentie tout d’abord se ramollir sous la douleur pour maintenant se redresser, retrouver toute sa vigueur et venir me chatouiller le nombril.

Ses doigts se font plus insistants sur ma colonne vertébrale. Subrepticement, il commence à remuer son joli petit cul. L’étrange mélopée déjà entendue tantôt s’échappe à nouveau de sa bouche entrouverte. Prenant appui de ses bras sur mes épaules, il se décolle très légèrement de mes cuisses puis s’y laisse retomber lentement. Il/elle fait cela tendrement sans brusquerie, lascivement. Sous l’effet de ces infinies douceurs, mon sexe ne tarde pas à enfler, il se gorge de sang. La complainte bizarre se modifie, monte dans les aigus. L’amplitude et la fréquence des va-et-vient augmentent graduellement. Mes mains ayant agrippé fermement ses hanches accompagnent ses déplacements pour maintenir la trajectoire et éviter toute sortie de route. Elle plante ses ongles dans mon cou, frotte sa joue contre ma barbe. Ses fesses claquent de plus en plus violemment contre mes muscles. J’entre dans la zone rouge. Plus rien n’existe à cette seconde, sinon ma queue en ébullition qui laboure ses entrailles, son clito raide comme la justice qui creuse un sillon de mon abdomen à ma poitrine. Malgré l’inconfort de ma position, mon bassin entre lui aussi en vibration et dessine le contrepoint de ses mouvements J’en peux plus, mes spermatozoïdes sont chauffés à blanc. Ils s’élancent dans une course inutile et mon foutre telle une vague dévastatrice déferle dans son intesvagin qu’il inonde. Lorsqu’elle s’en rend compte, elle accélère encore son rythme. Elle frôle le déculage à chaque tour. Son chant se métamorphose en un long râle jouissif. Sa cyprine gicle jusqu’à mon visage. Quelle abondance ! Intarissable! Impression qu’elle n’arrêtera jamais de décharger. J’ai la face pleine d’elle. Enfin, elle se calme. Elle se blottit contre moi, pose sa tête au creux de mon épaule. Je suis haletant comme si j’avais fait un 100 mètres olympique alors qu’elle est à peine essoufflée. Par contre c’est de concerts que nos deux cœurs battent la chamade.

Nous restons ainsi enlacés de longues minutes ( je sais « cliché »). Expression tendresse. Baisers presque chastes. Echanges de regards. Moments où l’agitation physique cède la place à quelque chose de plus ambigu, moins racontable et en tout cas non descriptible. Dans un même mouvement, nos sexes rabougrissent. Je suis maintenant au large dans cette cavité qui me paraissait si étroite quelques minutes auparavant. Je n’ai toujours pas d’état d’âme. La seule chose qui m’inquiète un peu ( ou plutôt m’intrigue beaucoup) c’est cette confusion Noël/Noëlle qui se produit à tout moment dans mon esprit. Je sais pertinemment que c’est avec un homme que je viens de faire l’amour alors pourquoi la ( – tiens donc- pardon), le ressentir comme une femme. Bizarre. Quoiqu’elle ( encore une fois ! C’est grave docteur ?), il ait l’air de se prendre lui ( du premier coup) aussi parfois pour une fille. Mais il/elle est tellement féminine: sa démarche légèrement chaloupée, le satiné de sa peau, la finesse de ses traits, même cette poitrine anormalement développée pour un mec. Sa voix également, grave pour une voix féminine mais cependant aucunement masculine. Reste son phallus, comme il dit. Là aucun doute, les filles n’ont pas des clitoris de 18 cm. J’en suis là de mes réflexions lorsque sa voix flûtée me ramène à la réalité :




EPISODE 3: VISITE GUIDEE



hors texte : Dites à Jeanette que mes parenthèses sont mon moyen de ne pas me prendre pour un écrivain