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Temps de lecture estimé : 15 mn
07/04/02
Résumé:  Féminisation, première étape.
Critères:  hh hplusag lingerie travesti intermast anulingus hdanus hsodo
Auteur : Domi DUPON  (Homme du bon côté de la cinquantaine)            Envoi mini-message

Série : Noël-Noëlle

Chapitre 03 / 08
Noël-Nöelle (3/8) Visite guidée


EPISODE 3 : VISITE GUIDEE


Ludovic veut que nous visitions sa maison. Si ça peut lui faire plaisir. Je ne suis pas encore descendu de mon nuage. Sa verge me brûle encore l’anus. Son sperme réchauffe toujours mes entrailles. C’était géant ! Alors sa baraque ! Et oui maman, je suis homo, du moins j’aime les hommes. Ce n’est peut-être pas la même chose. J’ai pris un pied gigantesque à me faire mettre. Tout à l’heure, j’ai omis d’expliquer à Ludovic que lorsque je me masturbais, c’était souvent sinon la plupart du temps sur des photos de mecs et dans les récits érotiques, je m’imaginais dans la peau de la fille. Quand je l’ai vu lundi, j’ai tout de suite été frappé par la prestance de son visage : traits énergiques, lignes pures, nez légèrement tordu qui rompt heureusement une symétrie presque parfaite ; ses cheveux bruns bouclés à la Pierre Perret, sa moustache luxuriante adoucissent sa physionomie et le rajeunissent (par cette commère de Philippe, j’avais appris qu’il fêterait prochainement ses cinquante-deux ans). J’ai été attiré par la force, la calme autorité qui émane de son regard d’azur. Ce qui m’a fait craquer c’est la gourmandise, la sensualité que révèle chaque moue, chaque mouvement de ses lèvres. Pourtant ce n’est pas Musculator ! Les abdos, il a abandonné depuis longtemps ! Mais il a un charme, un charisme… J’ai très vite compris qu’il me désirait. J’ai également enregistré que, le premier jour, il m’avait pris pour une femme. Ça m’a fait je ne sais quoi. Dès ce moment, j’ai su que je voulais que ce soit lui. Mais je n’avais pas osé envisager que ce serait si bon la première fois. Encore une pièce, une de plus ! Nous sommes déjà passés dans toutes celles du rez-de-chaussée : cuisine, bureau, salon, etc… Ne me demandez pas de les décrire, j’en serai incapable et de plus je m’en fiche. Y’a du brouillard dans ma tête. Dire que j’ai failli refuser ce boulot. Je navigue à vue entre les réminiscences de nos précédents ébats et les pauses câlins.

Entre chaque commentaire, ce ne sont qu’enlacements, caresses, baisers. Et comme il n’a pas voulu que nous nous rhabillions, il a tout à portée. Je recommence à bander. Faut dire qu’il sait s’y prendre.

Enfin, nous montons à l’étage. Il veut me faire visiter les chambres. Si nous continuons les arrêts toutes les deux marches pour nous en rouler une, nous ne sommes pas encore en haut. C’est fou ses baisers ! Ils me mettent dans un état pas possible. Tout me chavire en lui ! J’aime son ventre rebondi qui s’enfonce dans mon estomac ! Son haleine dans mon cou ! Son odeur de mâle ! Sa moustache qui picote délicieusement mes tétons. Même son sexe qui pour l’instant pendouille contre mes testicules m’émeut. Je ne parle pas de l’effet produit par les agissements de ses mains sur et entre mes fesses, dans mon dos…

Nous arrivons enfin devant la chambre conjugale. Un dernier baiser avant d’entrer. Je retiens mon rire : pensée délire, passer le seuil dans ses bras en robe de mariée dans la plus pure tradition des films hollywoodiens. Je le ravale. Je ne connais pas son sens de l’humour. Je ne voudrais pas le vexer. On sent que madame n’est pas là car le lit n’est pas fait. Comme dans les autres pièces, il se lance dans une explication que j’écoute d’une oreille distraite. Je suis plus intéressée par mon image reflétée par les miroirs d’une armoire à quatre portes qui occupe tout un pan de mur. Je me détaille des pieds à la tête. C’est vrai que j’ai un drôle de corps pour un mec : des longues jambes finement galbées, un ventre plat, raffermi par des séances d’abdos, des fesses de garçon bien rondes et bien fermes et, pour parachever le tout, mes petits seins aux pointes tendues par l’excitation. Mon délicat visage n’est pas des plus déplaisant. J’ai toujours trouvé mes cheveux magnifiques et même humides, ils le restent. Je parviens presque à comprendre que Ludovic puisse avoir envie de moi. Tout entretient l’ambiguïté. Qui suis-je ? Dommage que cette excroissance au bas de mon ventre vienne briser l’harmonie et fournit une réponse qui ne me satisfait pas entièrement. Je suis tout à ma contemplation et je n’ai pas du tout suivi son discours. Je sursaute presque lorsqu’il pose la main sur mon épaule et me dit :



Il me laisse seul face à l’armoire et à mes interrogations. Je n’ai vu sa femme qu’à deux ou trois occasions mais à chaque fois, elle était habillée très sexy. Je suis sûr qu’elle doit avoir de la lingerie affriolante. Je te jure maman : lorsque j’ouvre la double porte, mon seul mobile est la curiosité. Et beh ! Je ne me suis pas trompé ! J’en reste baba pendant quelques secondes ! J’ai eu l’occasion de voir le contenu de l’armoire de maman, réellement par hasard et sans qu’il me vienne l’idée perverse d’enfiler ses sous-vêtements. Je trouvai qu’elle avait pas mal de lingerie coquine. Mais alors là, maman t’es enfoncée ! C’est à plein rayons ! Plusieurs rayonnages pour les culottes et autant pour les soutiens-gorge ! Et encore d’autres avec porte-jarretelles et des accessoires dont je ne connais même pas le nom. Les culottes ce ne sont pas des « petits-bateaux », ce ne sont que frou-frou et dentelles, soie et satin. De coquins brésiliens en satin bicolore côtoient de mignonnes soieries, le noir string ficelle repose sur d’immaculés mini-slips. C’est vrai que maman, elle travaille à la Poste et que n’ayant pas de mari, il ne peut être patron. Ludovic ( je n’arriverai jamais à dire Ludo) a raison, sa femme n’est guère ordonnée. Manifestement, elle a « rangé » n’importe comment culottes, soutiens-gorge et autres affaires prises par erreur en oubliant de les replier. Le premier moment d’étonnement passé, j’examine de plus près ces empilements. Machinalement, je me saisis d’une culotte de soie dans les tons bordeaux. D’abord, j’apprécie la douceur de l’étoffe, son bruissement sous mes doigts. Dans un mouvement irraisonné, je plaque le slip contre mon corps. Du bout du pied, je repousse la porte pour pouvoir m’admirer dans la glace L’image renvoyée par le miroir est frustrante. Aspect d’inachevé. Et puis zut ! Je ne résiste plus, je le passe. J’ai un peu de mal à maintenir mon sexe sous la mince étoffe. Surtout que cette situation l’excite et qu’il a une nette tendance à vouloir s’échapper. Mais heureusement ce n’est pas de l’article de supermarché : toute tentative de fuite est instantanément annihilée par la bonne tenue de l’étoffe. La bonne surprise est que Josette et moi devons avoir sensiblement la même taille. Le reflet que m’offre alors le miroir est saisissant : la soie épouse parfaitement mes fesses, pour tout dire les moule, et en fait ressortir la rondeur. La couleur s’accorde avec la carnation de ma peau. Je n’avais jamais ressenti le désir de porter ce genre de sous-vêtements et je suis tout à fait incapable de dire ce qui s’est produit en moi quand j’ai palpé cette étoffe soyeuse : le besoin soudain de sentir sur moi cette douceur. Complètement aberrant !



Immédiatement après, il passe aux actes. Il fouille dans les rayons et y pêche l’objet de son fantasme. Il m’aide à le passer. Comme pour le slip, il est parfaitement à ma taille.



Ludovic est allé chercher une paire d’escarpins. Il veut que je les essaie. Je proteste arguant que mes pieds sont trop grands.



Que ne ferais-je pas pour lui être agréable ! La bonne volonté ne suffit pas. Après plusieurs tentatives infructueuses, nous abandonnons. Je vérifie la pointure. C’est du 37. C’était un combat perdu d’avance.



Je commence à marcher, suivant mon image dans les glaces. D’abord timide, je me risque à quelques petits pas devant l’armoire. Je me trouve gauche dans cet accoutrement inhabituel. Peu à peu, je me libère. Ma démarche devient plus fluide. Mes hanches oscillent au rythme de mon avancée. Je me prends au jeu. La féminité émerge en moi. Je me sens FEMME. Je suis une FEMME. Je m’aventure jusqu’à la porte-fenêtre. La combinaison des frottements et glissements des différents textiles sur ma peau génère des sensations très agréables. Vraiment enivrant. J’en ai la chair de poule. Mon sexe, cet idiot, ne peut se tenir tranquille et me rappelle ma condition originelle. Je jette un œil dans la glace : Encore heureux ! Ça ne se voit pas. La soie tient bon. Je ne suis pas le seul à être "sensibilisé". Ludovic, pour plus de commodités, a ôté son bermuda et caresse son pénis redevenu très performant. Provocante, je viens me planter devant lui. Je me cambre, je fais saillir cette poitrine que je n’ai pas vraiment ( très bien, ces wondertruc !). Je remue mon petit popotin bien dessiné par le tissu collant. Juste sous son nez.

Ludovic ne résiste pas longtemps à ce petit manège. Il s’éjecte du lit. Je me retrouve emprisonnée entre ses bras. À pleines mains, il me pelote les fesses à travers la jupe. Bouches à nouveau rejointes. Il retrousse la jupe et me la roule sur les hanches. Sexe à sexe. Mains qui s’égarent sur les bas. Crissement soyeux au passage de ses paumes. Baisers dans mon cou. Baisers dans son cou. Mots murmurés sans grandes significations. Mains sur son derrière. Dextre et Senestre dans ma culotte qui écartent mes deux globes. Elles s’insinuent dans ma raie, joue avec mon anus encore entrouvert. Deux doigts s’engagent dans le chemin obscur.



Il me prend par les hanches et me retourne comme une crêpe. Ainsi, je suis face à la glace. Dans cette position, je ne peux plus rien faire. Je n’ai plus qu’à subir cette délicieuse agression. Je le vois s’agenouiller derrière moi. Il dégringole la culotte jusqu’à mes genoux. Ses fortes paluches d’homme ouvrent largement mes fesses. Sa tête disparaît à ma vue. Il lèche ma raie. Contact humide contre mon rectum. Pour lui faciliter la tache, je prends appui contre l’armoire. Quelques acrobaties pour me débarrasser de la culotte. Ouf ! Enfin, je peux écarter mes jambes, me cambrer au maximum et tendre vers lui mon petit cul. L’offrir à sa dégustation. Ses lèvres baisent mon anus tandis que sa langue s’y enfonce profondément. Il en profite pour bien lubrifier mon conduit avec sa salive. Dans le miroir, sa verge me semble encore plus énorme que tantôt. La mienne me fait mal à force d’être roide. Maintenant qu’il est bien installé, ses mains changent d’objectifs. Mes testicules ! Qu’est-ce qu’il leur fait ? C’est bon ! Il les presse avec douceur entre ses paumes ! Deux doigts, puis trois viennent remplacer sa langue. Il les enfonce entièrement puis les retire. Il répète plusieurs fois cette manœuvre. À chaque passage, de l’extrémité des doigts, il titille ma prostate et dilate un peu plus mon entrée. Depuis un moment sans même que je m’en sois rendu compte, j’ai commencé de gémir. Une longue plainte que je ne peux contrôler. Pas plus que je ne vais pouvoir me contrôler très longtemps. Quelques gouttes de sperme se sont déjà échappées de mon phallus. Ma respiration se dérègle vraiment quand Ludo m’introduit un quatrième doigt. Il le retire aussitôt. Il se relève. Je sens qu’il se présente contre mon trou. La pénétration a lieu sans aucune difficulté. Mes chairs s’ouvrent largement pour l’accueillir. Les poils de son pubis me chatouillent les fesses. Il reste immobile quelques secondes. Nos regards s’accrochent à travers la glace. Dans ce qui va suivre, à aucun moment, nos yeux ne vont se quitter.

Après cet instant de recueillement, il débute sa chevauchée par quelques coulissages gentillets. Il est rattrapé par mes gémissements de plus en plus lancinants. Son excitation galope dans le même tempo que la mienne. Ses mouvements deviennent plus rapides. Je les sens plus lourds. À chaque fois, plus profond. Accélération. Prostate qui s’enflamme. Respiration pantelante dans mon oreille Ma voix s’envole, déraille. Sa dextre empoigne ma bite. Branlage au même rythme que ses pénétrations. Surchauffe. Avec Maxwell, une seule cuillère suffit ! Là quelques allers et retours suffisent ! Je pars ! Je gicle ! J’éclabousse ! Ludo m’inonde. Il me remplit les entrailles ! Maman, c’est hyper super génial de se faire baiser par une grosse bite bien pleine. Désolée cela m’a échappé ! Ludovic décélère. Ma voix aussi. Il arrête de remuer en moi mais il continue de me masturber. Mon sexe ne s’est pas ramolli. Mon dieu. Mes gémissements reprennent de plus belle. Nouvelle montée en puissance. Ludovic s’acharne. Sa main se déchaîne. Il secoue violemment ma bite. Finalement, il a gain de cause. Je jouis encore une fois longuement. Petite giclée mais grand pied. Mon pénis daigne baisser la tête. À la suite de cet exercice de style, nous restons quelques secondes immobiles puis Ludovic me conduit jusqu’au lit où nous nous affalons. Il est toujours en moi. Manifestement, sa verge aussi a du mal à retrouver une position de repos. Je la devine encore bien rigide et prête à l’emploi.

D’où ma surprise quand il se retire. Mais ce n’est que pour mieux…Avec une certaine tendresse, il me place sur le dos. Il remonte mes jambes contre le chemisier et pointe son engin. J’avais raison : son sexe est vraiment très raide. Il me pénètre tranquille. Il me baise de nouveau tout en me regardant en souriant. Ses mains cajolent mon visage. Je suis bien. Maintenant, il prend son temps, il se montre très doux. Il déboutonne le chemisier, passe une main dans les bonnets, agace mes tétons. Son sexe circule librement dans cette gaine qu’il a déjà si bien ointe. J’apprécie cette sensation que je ressens à chacune de ses pénétrations mais plus de plaintes, plus de gémissements, je suis apaisée, vidée. Je voudrais qu’il soit aussi heureux que moi alors mon bassin bouge, va à sa rencontre, mes mains étreignent ses fesses. Je lui offre ma bouche qu’il embrasse passionnément. Tout à coup, sans signes précurseurs, alors qu’il est enfoncé en moi profondément, il s’immobilise et devient tout raide. Ses ongles se plantent dans mes épaules et il éjacule abondamment. Il s’écroule sur moi en marmottant. Nous ne bougeons pas jusqu’au moment où son sexe recroquevillé s’extirpe seul de mon vagin.

Nous nous relevons. Regard dans le miroir. Un mot : destroy. Déjà, son torse est tacheté par ma semence. Quant à moi. Indescriptible. La jupe a perdu toute élégance : un sac froissé roulé sur mon ventre. Sans compter les souillures. Le chemisier idem. Les bas n’ont pas résisté, ils sont bons pour la poubelle. Les larmes me viennent aux yeux. Il me prend dans ses bras et me cajole.




EPISODE 4 : CHAUDE SOIREE