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Temps de lecture estimé : 21 mn
03/07/04
Résumé:  Cathy et son amie Marie sont parties dans les îles, et, après un casting, Cathy est enrôlée. Phil, le petit ami de Cathy, débarque.
Critères:  f fh ff fbi jeunes asie couple vacances plage bain douche amour volupté voir lingerie fmast cunnilingu 69
Auteur : Incubus

Série : Casting I

Chapitre 02 / 07
Les débuts de Cathy 02


Ils s’installèrent sur la plage à peine quelques secondes avant que Marie n’arrive. La blonde était diablement sexy, moulées et légèrement couverte par un bikini blanc aux liens noués. Cathy se sentit un peu jalouse en apercevant le regard admiratif de Philippe posé sur ce corps superbe, mais elle se rassura en faisant tomber sa serviette et en révélant son joli deux pièces, dont le haut gonflait très efficacement sa poitrine. Elle fut heureuse de voir revenir le regard de Phil vers elle et de constater que Marie lui lançait un regard où on lisait la fierté. Oui, Cathy venait de se l’avouer, Marie faisait d’elle une fille bien plus formidable qu’avant. Il n’y avait qu’à voir les regards des baigneurs autour d’elle.

Phil se pencha à son oreille.

« Tu n’as pas honte ? »

Cathy rougit. Phil la trouvait trop provocatrice ? Etait-elle en train de ne devenir qu’une pute ?

« Tu n’aimes pas mon maillot ? demanda-t-elle, un peu inquiète. »

« Oh, si, mais tu devrais avoir honte de me mettre dans un état pareil devant tant de monde. »

Il se serra contre elle et Cathy comprit la gêne de Phil quand elle sentit au travers du short noir la rigidité d’une érection séduisante. Elle envoya alors Philippe se calmer dans l’eau fraîche, ce qui la laissa seule avec Marie. La blonde ne tarda pas à engager la discussion.

« Bravo, pour le maillot, il te va vraiment bien. »

« C’est à toi que je le dois, c’est toi qui me l’a conseillé. »

« Oui, mais tu le portes très bien…et Phil a l’air d’apprécier tes nouveaux sous-vêtements. »

Cathy fit une moue soupçonneuse.

« Tu nous a espionné ce midi ? »

« Tu gémissais tellement fort que tout l’hôtel a du savoir quel plaisir tu prenais. »

Cathy rougit aussitôt. Elle espérait que Marie extrapolait.

« C’est vrai, j’ai crié si fort ? »

« Oui, c’était très bon… »

Aussitôt, Marie regretta ses paroles et affronta le regard amusé de Cathy. La blonde s’attendait à un reproche, mais la brune se contenta de rire.

« Contente que ça t’ait plu. »

Ce fut Marie, cette fois, qui se mit à rougir. Elle venait d’avouer sans retenue à sa meilleure amie qu’elle venait de se masturber en l’entendant jouir. Certes, il y avait déjà eu ce premier moment, où elle leur avait fait face en se caressant, les yeux dans les yeux avec Cathy, mais Marie pensait qu’il ne s’était agit que d’un instant, pas qu’elle et Cathy y prendrait goût. La blonde préféra changer de sujet.

« Au fait, pour demain, si tu veux aller au casting, j’emmène Phil à un cours de planche à voile. Je sais qu’il rêve d’en faire, ça te laissera les mains libres pour le casting… et peut-être pour autre chose. »

Elle leva un sourcil pour guetter la réaction de son amie, mais Cathy ne fit que se tourner vers elle.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? »

« Je dis juste que Franck est un gars plutôt mignon, qu’il ne t’a pas sélectionné juste parce que tu étais photogénique et que tu devrais tenter ta chance. »

Cathy se contenta de secouer sans grande volonté la tête et se redressa pour aller rejoindre Phil. Elle sentit le regard de Marie suivre sa plongée dans les eaux, puis les jeux gamins du couple dans la mer azurée. Phil et Cathy revinrent près de leur amie en pleine bronzette et se séchèrent. Ils plièrent bagages tous les trois et rentrèrent à l’hôtel, où le réceptionniste lâcha un regard séduit sur les deux jeunes femmes si charmantes. Une fois les escaliers montés, Marie annonça que, ce soir, elle voulait emmener le couple dans un petit restaurant au bord de la plage, histoire de goûter les spécialités locales et de s’inscrire, tout comme Philippe, aux cours de planche à voile. Phil remercia Marie d’avoir pensé à lui – Phil était un fan de planche à voile sans pour autant en avoir fait, un rêve qu’il espérait concrétiser enfin. Mais cela laissait deux heures à attendre, Phil se demandait ce qu’ils allaient pouvoir faire. Puis, en regardant les fesses de sa petite amie se balancer vers sa chambre, il se dit qu’il allait être plus facile que prévu de s’occuper.

Il attendit que Cathy passe sous la douche pour y entrer également, complètement nu. La brune se doutait bien de la raison de la présence de Phil derrière elle et vint aussitôt l’embrasser. Il se mit à la chatouiller et à lui murmurer à l’oreille :

« Tu sais que tu m’as beaucoup excité sur la plage. Tu devrais t’habiller comme ça plus souvent. »

Il lui mordilla l’oreille et ceignit ses mains autour de ses hanches. Cathy se pressa contre lui, sentant le sexe dur frôler le sien, tout humide.

« C’est vrai, tu aimes ? Tu aimerais que je m’habille un peu comme Marie ? »

Il la plaqua contre le carrelage froid couvrant le mur de la douche et la saisit par les fesses.

« Oui, pourquoi pas ? Tu as un corps de rêve, j’aimerais en profiter au maximum. »

« Alors, profites-en maintenant, je t’en prie. »

Il obéit et se mit à genou, plongeant sa tête entre les jambes de Cathy. Sa langue vint s’attaquer à son intimité humide de l’eau de la douche et de ses envies. Cathy, les mains à plat sur le carrelage de part et d’autre de son corps, tentait de s’agripper à quelque chose pour parer au déséquilibre qui la gagnait avec la jouissance, et elle assura sa stabilité en posant une jambe sur l’épaule de son petit ami. Phil ne remarqua quasiment pas ce mouvement et continua ses investigations. Les gémissements sensuels de Cathy envahirent la cabine de douche. Lorsqu’il eut assez goûté au plaisir de sa petite amie, Phil fit remonter sa langue sur le corps de Cathy, léchant son nombril, le val de ses seins, son cou puis ses lèvres. Peu à peu, il se colla à elle et entra en elle. Il la pénétra sans grande douceur, mais Cathy y prit beaucoup de plaisir et, tout en le sentant aller et venir en elle, elle le suppliait de continuer, de lui faire du bien et de la faire jouir. Phil continuait à donner de violents coups de bassin, excité, mordillant les seins de Cathy, sa peau et sa chair, comme un sauvage. Il s’enivrait de sentir leurs corps en fusion et poussa un grand cri en jouissant en elle. En même temps, Cathy poussa un hurlement orgasmique qui résonna dans la douche, mais apparut comme le plus doux des sons aux oreilles de Phil.

Exténués, ils sortirent de la douche et s’écroulèrent sur les serviettes posées au sol. Phil ferma les yeux, mais Cathy ne tarda pas à se relever. Par curiosité, elle avança à pas de loup jusqu’à la porte communicante et l’entrebâilla pour vérifier ce qu’elle imaginait. Elle ne put s’empêcher de sourire en découvrant, allongée sur le canapé, son amie Marie, un peu fatiguée, une main glissée entre ses jambes, ses doigts ressortant de son string tâché. Satisfaite sans pouvoir savoir pourquoi, Cathy revint dans sa salle de bain pour se rallonger auprès de Phil.


Ils se retrouvèrent tous les trois dans un petit restaurant côtier une heure plus tard. En fait, Phil et Cathy arrivèrent un peu en retard, le jeune homme ayant essayé de convaincre la brune de refaire l’amour avec lui avant le départ. Mais Cathy était restée sage, même si elle s’était bien amusée à séduire son petit ami avec sa tenue de soirée : une grande robe fendue noire, qui dissimulait une paire de bas, un brésilien et un soutien-gorge sans bretelles noirs eux aussi. Elle avait rarement mis des bas, et Phil ne l’avait jamais vu en mettre, aussi s’était-il précipité pour embrasser ces jambes si joliment lissées et galbées, avant de tenter une remontée, que Cathy avait fait échouer en le repoussant gentiment. Elle lui avait promis son corps pour après le repas, mais pas avant.

A l’opposé, Marie avait choisi une robe de soirée blanche lui laissant le dos nu. Le tissu moulait sa poitrine volontaire et montrait presque innocemment l’absence de soutien-gorge. Cathy nota que Phil n’était pas indifférent au charme de son amie, mais s’aperçut également qu’elle aussi était sous le charme de la blonde. Mais Marie semblait un peu soucieuse et demanda à Phil de les excuser un instant, entraînant Cathy vers les toilettes. Une fois dans l’endroit désert, Marie s’expliqua.

« En arrivant, j’ai aperçu Franck et Lucy en train de dîner. S’ils te voient, ça risque de mal se passer avec Philippe, tu ne crois pas ? »

Cathy sentit la chaleur lui monter au visage. Comment allait-elle faire ? Pourquoi n’y avait-elle pas pensé ? Les bungalows du casting n’étaient pas si loin.

« On a plus qu’à espérer qu’ils ne me verront pas… Et puis, sinon, tant pis, de toute façon, je crois que Phil apprécie mes exhibitions ? »

« Ah ouais ? Sans blague ? »

« Oui, il adore ma nouvelle collection de sous-vêtements et… »

« Tu me montres ce que tu as mis ? »

Sans réfléchir, Cathy fit remonter le bas de sa robe, dévoilant sa paire de bas et son brésilien noir. Marie caressa les jambes un long moment, puis se releva. À son tour, elle leva sa robe et dévoila un porte-jarretelles blanc et un string de même couleur.

« Très joli, lâcha, admirative, Cathy. »

« Merci. »

Un peu soulagées de cette discussion, elles retournèrent dans le restaurant et retrouvèrent Phil, en train de consulter la carte. Elles l’imitèrent et, bientôt, les fruits de mer défilèrent sur la table. Entre deux crustacés, Cathy lançait un regard discret et inquiet sur une table, vers le fond de la salle, où Franck et Lucy finissaient leur dessert. Elle s’aperçut de la finesse et de l’apparente fragilité de l’asiatique, moulée dans un haut à dos nu noir, sans manche et laissant découvert une partie d’un ventre plat à couleur d’orient, et une petite jupe noire d’où sortaient deux jambes extrêmement fines et longues, sur lesquelles Franck posait parfois une main. Cathy s’en sentit un peu triste, mais se réconforta en se disant que, si Franck et Lucy couchaient ensemble, cela ne voulait pas dire que le photographe n’était pas libre. Etrangement, elle ne parvenait pas à en vouloir à Lucy, pourtant apparemment sa concurrente directe… Marie et Phil s’en donnaient à cœur joie, Cathy n’avait pas trop faim. Elle simula un accès de toux pour se dissimuler dans sa serviette au moment où Lucy et Franck quittèrent le restaurant, puis annonça qu’elle voulait aller prendre un peu l’air. Marie lui lança un regard interrogateur, mais Phil se concentrait trop sur le décorticage d’un crabe pour remarquer le trouble qui envahissait les yeux de sa petite amie.

Cathy suivit de loin le couple qui s’en allait à travers les buissons bordant la plage. Une lumière diffue égrainée par les lampes du port et du restaurant créait des jeux d’ombres splendides, mais les couverts de feuillus dissimulaient l’espionnage de la brune. Cathy ne savait pas pourquoi elle suivait le couple. Elle tenta de mettre ses idées au clair lorsque Franck s’arrêta et, retenant Lucy par le bras, embrassa l’asiatique dans le cou. Cathy se figea sans un bruit et s’agenouilla derrière un buisson. Les mouvements lumineux se reflétaient sur la peau de Lucy, qui, avec des gestes sensuels, guidait les baisers de Franck sur son corps. Cathy devina le chemin des lèvres du photographe sur le corps de son assistante : le cou, le menton, les oreilles, les lèvres, le cou, les épaules, le haut des bras… Les mains de l’homme caressaient les parties nues du corps de l’asiatique. L’une s’était accrochée à sa taille, l’autre lui glissait sur le visage, puis peu à peu, se dirigea vers ses petits seins bien moulés sous le haut. Franck avançait, poussant progressivement son amante jusqu’à un arbre contre lequel il la colla. Cathy avait, depuis sa cachette, un excellent point de vue et ressentait jusqu’à la chaleur montante du couple qui l’envahissait elle aussi. Elle sentit un frisson d’excitation remonter son échine en entendant le premier geignement de Lucy, lorsque Franck commença à lui saisir plus durement un sein à travers le haut noir. L’autre main du photographe avait quitté la taille de guêpe de l’asiatique pour tirer la jupe, dévoilant le haut de cuisses magnifiques et un bassin souligné dans l’ombre par le contraste d’un string vert pomme. La main qui avait révélé ce détail aguichant vint écarter les fines cuisses et masser le sexe à travers le tissu vert. Lucy poussa un autre gémissement, à moitié étouffé par une série de baisers de Franck. Son assistante le saisit à la nuque et enfonça son visage dans le creux de son cou. Cathy, honteuse de sa position de voyeuse, mais trop sous le charme pour faire volte-face, ouvrait de grands yeux pour ne rien manquer des ébats du couple. Le pantalon de Franck tomba avec son caleçon, et Cathy eut alors l’occasion d’observer ce fessier musclé qui lui avait toujours plu. Le photographe recula d’un petit pas, laissant à Lucy assez de place pour faire remonter au-dessus de ses seins son haut noué au cou. Une fois que ces deux petits dômes furent révélés à la lumière de la lune, Franck plongea son visage dedans et, aux petits cris sauvages que poussait Lucy, Cathy sut qu’il lui mordillait les tétons et pinçait la peau sensible de ses seins. Leurs deux corps se collèrent davantage contre l’arbre et s’apprêtèrent à n’en faire plus qu’un seul. Le t-shirt de Franck atterrit non loin du buisson de Cathy, qui retint son souffle et croisa, d’instinct, ses bras sur sa poitrine. Mais le couple restait concentré sur sa fusion et Cathy repéra un morceau de tissu vert glisser le long d’une des jambes de Lucy. Ce détail acheva de lui faire prendre conscience de son état et du fait que ses mains étaient en train de jouer avec sa poitrine à travers le tissu noir de sa robe. Cathy ne tenta même pas de retenir ses gestes masturbatoires. Elle rêvait de découvrir le corps de Franck en prenant du plaisir. Les premiers cris de Lucy tintèrent dans la nuit. Elle criait comme une jeune fille découvrant pour la première fois l’amour, mais ses gestes montraient une certaine expérience des jeux de l’amour et du sexe. L’asiatique noua ses jambes autour des fesses en mouvement de Franck et le serra contre lui plus profondément, en accentuant ses mouvements. La tête de Franck s’attaquait à ses seins, à son cou, à son visage, ne tentant même pas d’étouffer les gémissements de plaisir de Lucy. Cathy, elle, devait faire plus attention. Elle avait laissé une de ses mains sur sa poitrine, qu’elle trouvait trop serrée dans son soutien-gorge, mais l’autre main s’était glissée par la fente de la robe jusque sur ses cuisses, remontant progressivement jusqu’aux bordures en dentelle des bas, puis aux prémices de son bassin en chaleur. Lucy rejeta la tête en arrière, et ses cheveux dénoués cinglèrent l’air avant de revenir sur son visage en sueur. Franck ne cessait pas ses coups de bassin et Cathy imaginait en se mordant les lèvres la dureté de son sexe et sa longueur dans son intimité. C’était si bon à imaginer qu’elle glissa sa main sans prévenir dans son brésilien et flatta son sexe humide. Lucy desserra l’étau de ses cuisses et descendit du corps de Franck pour se retourner, les mains posées sur l’arbre, sa croupe offerte au sexe de son patron. Le photographe la saisit par l’épaule et le sein et s’enfonça à nouveau en elle, lui soutirant de nouveaux cris de plaisir, qui furent une musique des plus douces aux oreilles de Cathy, dont un, puis deux doigts vinrent se glisser dans son sexe, la faisant définitivement tremper son brésilien. Son rythme respiratoire s’accélérait au rythme de celui de Lucy et, bientôt, elle dut glisser des doigts entre ses lèvres pour s’obliger à ne pas crier son plaisir. Lucy, qui ne possédait pas d’un tel rempart, poussa un ultime hurlement avant de s’écrouler au sol, alors que Franck se retirait d’elle en titubant. Il s’allongea sur le sable à côté d’elle, sur le dos, son membre encore luisant de semence tendu vers le ciel. Remise de son orgasme, Cathy resta un instant les yeux rivés sur ce membre si vigoureux qui ne semblait que l’attendre, et elle dut se faire violence pour ne pas céder à ses désirs sexuels et se replier vers le restaurant, sa culotte pleine de plaisir, sa tête pleine de fantasmes.

Elle retrouva Marie et Philippe en train de rire autour des restes du plat de fruits de mer, et ils commandèrent les desserts. La blonde n’essaya pas de savoir ce qu’il s’était passé, et Phil semblait avoir oublié qu’elle était partie pendant une petite demi-heure sans trop prévenir. Il semblait assez excité, peut-être à cause du vin, peut-être à cause de la tenue de sa petite amie. Il ne cessait de glisser sa main sur la cuisse de Cathy par la fente de sa robe, et, puisqu’elle avait déjà les nerfs à fleur de peau, il lui causait des frissons de désir qui ne faisaient qu’amplifier sa gêne. Elle se sentait mouillée comme jamais, l’humidité de son brésilien la rendait malade de honte et d’envie à la fois. Ils rentrèrent à pied, mais le chemin lui parut long, très long.

Dès que la porte fut fermée, Phil et Cathy se jetèrent l’un sur l’autre et s’embrassèrent, se léchèrent, se frottèrent et se mordirent de désir mal contenu. Ils se tenaient réciproquement à la nuque pour enfoncer plus profondément leur langue et ne parvenaient pas à se détacher l’un de l’autre. Tout à leurs embrassades, ils vacillèrent jusqu’au bord du lit et se séparèrent assez longtemps pour que Phil enlève son pantalon et son t-shirt, et pour que Cathy défasse sa robe. Ils roulèrent ensuite sur le lit en continuant à se goûter. Cathy tira violemment sur le slip de son petit ami et vit avec joie le membre jaillir, droit, dur, face à elle. Elle s’en empara d’une main et le branla, pour le plus grand plaisir de Phil. Elle en embrassa l’extrémité alors que son petit ami, à force de tirer dessus, abaissait les bonnets de son soutien-gorge, offrant enfin aux assauts de sa langue les tétons roses et tendus. Il les prit entre ses dents alors qu’une de ses mains s’emparait de l’entrejambe du brésilien noir pour l’écarter. Cathy devança ses désirs en vint s’empaler furieusement sur le sexe dressé. Elle le chevaucha avec une ardeur nouvelles, trémoussant son corps pour tirer un maximum de plaisir de leur passe d’armes. Phil la retenait tantôt par les fesses, tantôt par les seins, et la regardait avec un plaisir et une admiration croissante. Il n’aurait jamais cru que Cathy, la sage, douce et pure Cathy, devienne un jour une aussi ardente amante. Lorsqu’elle sentit l’orgasme monter, la brune se colla entièrement contre Phil, maintenant sa tête dans sa poitrine, et poussa un dernier cri de plaisir alors qu’il se répandait en elle. Leurs corps fiévreux, en sueur, un peu tétanisés par la débauche de plaisir, restèrent soudés pendant un moment où le temps parut se figer. Puis, ils s’écroulèrent l’un à côté de l’autre. Cathy souffla un peu et retira ses sous-vêtements souillés de salive et de sperme. Avant qu’ils ne s’endorment, Phil lui murmura à l’oreille :

« Cathy, je crois que je t’aime. »

La brune lui sourit, l’embrassa langoureusement, et se serra contre lui pour s’endormir contre sa poitrine.


Ses rêves furent doux et reposant malgré l’orage qui grondait dehors. Il faisait chaud dans la chambre, un mélange du climat orageux et des émanations des corps enlacés. La chaleur, le désir, la gêne, les fantasmes, menèrent Cathy vers les demeures de son inconscient et ses rêves se firent plus sensuels et plus doux. Dans ses délires oniriques, elle se retrouvait enfin seule avec Franck. Il ne cessait de la prendre en photo alors qu’elle se trémoussait sur une plage déserte, vêtue d’un petit maillot deux pièces rouge qui laissait si bien deviner ses formes sensuelles. Elle ne cessait de l’allumer de toutes les façons possibles. Elle passait sans cesse sa langue sur ses lèvres, glissait un doigt évocateur dans sa bouche, moulait de la main les rondeurs de sa poitrine, laissait un doigt descendre le long du val de ses seins, passait une main entre ses cuisses, galbait de ses mains ses jambes interminables, se cambrait au maximum pour faire ressortir sa poitrine et son fessier extraordinaire… Franck appréciait visiblement, mais restait à distance avec un sourire complice.

Puis, son rêve la porta non loin des bungalows du photographe, dans une douche en extérieur, près de la piscine et des fleurs. Il n’y avait plus personne hormis elle, complètement nue, abandonnée aux caresses de l’eau venant de nulle part. Puis, il y eut Franck, qui arriva par derrière elle et la saisit par la taille. Il était nu lui aussi et irradiait le désir de l’amour et de la passion. Il l’embrassa dans le cou doucement en remontant jusqu’à ses lèvres, lorsque leurs langues se rencontrèrent. Leurs corps se frottaient et Cathy sentait l’excitation de Franck battre contre ses fesses, intense et rude. Il s’empara de sa poitrine en passant ses mains sous ses bras, et vint jouer avec les extrémités de ses seins, pinçant les tétons en fièvre, sans arrêter ses baisers. Cathy poussa ses premiers gémissements avant qu’une des mains de Franck ne descende jusqu’à son bassin, où il s’empara de son sexe avide.

Philippe fut réveillé à la fois par un coup de tonnerre, mais aussi par doux gémissement à son oreille. Il sourit avant d’avoir ouvert les yeux et se dit qu’il était d’aplomb pour satisfaire à nouveau sa décidément insatiable petite amie. Puis, lorsqu’il découvrit qu’elle dormait, il s’étonna de la voir encore gémir et bouger légèrement. Le sourire de Cathy était des plus clairs et Phil se trouva un peu gêné de voir Cathy en plein rêve érotique, à gémir auprès de lui. Il hésita à la réveiller – peut-être pour s’assurer que c’était de lui dont elle rêvait – mais se ravisa. Il fut soudain séduit par la beauté de cette femme endormie et il embrassa ses omoplates, puisqu’elle dormait à plat ventre.

Elle sentit Franck la pénétrer par derrière, donner son premier coup de bassin, et elle accompagna le mouvement. Il la pénétrait très fort, mais elle aimait ça. Elle noua ses bras par derrière elle autour de la nuque de Franck, abandonnant définitivement la protection de sa poitrine et de son sexe. Les mains du photographe n’avaient de cesse de les palper, de les pincer, de les caresser avec une vigueur rendue douce par le rêve.

Philippe s’enfonçait sans vergogne dans le corps de Cathy, sans parvenir à la réveiller. Peut-être était-ce encore meilleur, d’ailleurs. Il avait glissé ses mains sous elle à la recherche de ses seins et humait comme une drogue le parfum des cheveux de la brune. Cela l’excitait encore davantage et il lui semblait qu’elle répondait de plus en plus à ses caresses.

Franck accélérait toujours plus et Cathy le sentait toujours de mieux en mieux en elle, au point que le rêve commença à tomber en lambeaux. À demi éveillée, encore secouée des spasmes liés à ses délires oniriques, Cathy continua à gémir, puis à crier de plus en plus fort. Son esprit en chaleur vint réintégrer son corps tout aussi excité, et, entre ses paupières essayant en vain de s’ouvrir, elle comprit que le sexe entre ses jambes n’était pas celui de Franck, mais celui de Philippe. Elle n’eut pas le temps de savoir si elle était déçue ou non, car son corps fut soudain agité des prémices d’un orgasme et elle cria en sentant le feu l’envahir. Elle se redressa sur les genoux, le sexe de Phil toujours en elle, et elle lui offrit un dernier baiser avant qu’il ne jouisse à son tour. Ils s’écroulèrent sur le lit et décidèrent de se rendormir, avec un sourire complice.


Cathy se réveilla avec cet étrange sourire au visage. Elle se souvenait du bonheur qu’elle avait connu cette nuit, dans les bras d’un Franck illusoire et entre les cuisses d’un Philippe n’ayant pas eu peur de la posséder durant son sommeil. Cathy ne lui en voulait pas du tout, elle avait pris beaucoup de plaisir, et, si elle avait osé le raconter à Marie, elle se doutait que leurs ébats ensommeillés l’auraient rendu jalouse. Ce n’était pas donné à n’importe qui que de réaliser ce grand fantasme que d’être possédée en demi-sommeil. Cathy s’aperçut qu’elle prenait de plus en plus conscience de ses fantasmes, de ses désirs et de ses envies. Elle embrassa son petit ami endormi et passa sous la douche. Elle se sentait libérée.

Elle enfila un de ses brésiliens préférés, un noir, tout en dentelle, que Marie avait trouvé très craquant. Cela moulait parfaitement son petit derrière et mettait en valeur ses hanches. Elle se mira quelques instants, prenant plusieurs positions un peu suggestives, puis enfila sur son corps presque nu une robe rouge. Elle s’empara de son sac à main et sortit.

Elle fut un peu déçu en ne voyant pas arriver Franck à sa rencontre, mais se consola en faisant la bise à Lucy. L’asiatique était en beauté, moulée dans un jean serré et dans un chemisier assez décolleté et assez transparent pour laisser deviner les traces d’un soutien-gorge blanc dissimulant une paire de mignons petits seins. Lucy entraîna Cathy jusqu’à une volée de marche menant à un bungalow. Pendant la montée, une torsion de bassin de la part de l’asiatique révéla le coloris blanc d’un string qui contrastait joliment sur sa peau d’orient. Au bungalow, elles s’installèrent sur un canapé profond, qui obligea Cathy à tirer sa robe pour ne pas paraître impudique. Lucy la regarda faire avec une moue amusée, puis lui montra les premiers développements des photos. Ensemble, elles sélectionnèrent quelques clichés vraiment prometteurs, puis Lucy aborda le problème de l’habillage : elle proposa à Cathy de l’accompagner le lendemain après-midi dans une boutique de vêtements que – c’était incroyable – Marie n’avait pas encore montré à la brune. Cathy accepta avec le sourire : ce serait Lucy qui paierait, alors… Soudain, deux mains se posèrent sur ses yeux et Cathy sursauta. Les mains repartirent et le visage de Franck apparut pour lui faire la bise. Cathy fut heureuse de sentir son parfum de mâle et de savoir qu’ils étaient devenus assez amis pour s’autoriser de petites plaisanteries comme celle-là. Lucy donna les photos choisies à Franck et celui-ci expliqua à Cathy qu’il devait s’absenter. Elle fut déçue, mais Lucy lui annonça qu’il y avait encore du travail. Franck partit, puis Lucy prit Cathy par la main et l’emmena dans une chambre décorée avec des motifs locaux. C’était très joli, et la lumière, tamisée par les rideaux de perles, rendait l’endroit merveilleux et reposant.

« Je dois prendre tes mesures, pour demain. »

Lucy sortit un mètre d’un tiroir et le déroula, avant de se placer derrière Cathy. Celle-ci se tendit au contact du corps de l’asiatique, tout collé contre le sien. Elle sentait jusqu’aux durs boutons du jean et pressentait les petits seins appuyés contre son dos.

« Ne sois pas aussi nerveuse, chuchota l’asiatique. »

Cathy sourit et se laissa faire. Le mètre fit le tour de sa taille, puis se posa contre ses omoplates pour prendre le tour de poitrine. La bande de plastique vint chatouiller la pointe de ses seins et les doigts de Lucy, qui lissèrent le mètre, passèrent sur sa poitrine avec douceur et précision. Lorsque le mètre descendit, Cathy s’aperçut que les pointes de ses seins apparaissaient sous la robe et elle avala lentement sa salive, consciente de l’inflammation progressive de son corps. Et Lucy s’empara de ses seins à travers la robe pour les soulever et faire glisser le mètre, pour prendre le tour de dessous de sein. Cathy ferma les yeux un instant en sentant les pouces de Lucy si proches de ses tétons dressés. Puis, Lucy se mit à genou derrière la brune et la fit se retourner. Lentement, l’asiatique étendit le mètre des pieds de Cathy au haut de ses cuisses, pour les mesures de jambe. Enfin, Lucy demanda à Cathy de remonter sa robe, pour qu’elle puisse prendre son tour de bassin. Le brésilien que la brune avait choisi pour Franck était maintenant dévoilé à l’asiatique, qui eut un murmure d’approbation, qui fit rougir la jeune femme. Le mètre froid vint s’enrouler autour du bassin, juste au-dessus du brésilien, et Lucy fixa le compte. Cathy était figée, tétanisée. Puis, elle sentit une caresse sur sa culotte, une touche douce et humide, ensuite, une deuxième, et une troisième. La langue de Lucy se posa une quatrième fois sur la dentelle du brésilien noir, et Cathy gémit. Pour l’asiatique, ce fut comme une supplique pour la suite. Lucy s’empara doucement des fesses de Cathy, les pouces glissés aux portes de la raie de ses fesses, et commença à inspecter la culotte avec sa langue, ses lèvres, son nez et ses dents. Cathy se laissait faire, à peine consciente du fait que cette femme créait en elle un trouble jamais encore ressenti. Elle se mordait l’intérieur de la lèvre en geignant, puis se retrouva poussé sur le lit moelleux qui trônait au centre de la pièce. Cathy gisait sur le dos, les jambes un peu pliée et écartée, la robe relevée, son brésilien offert sur son ventre plat et parcouru d’envies. Lucy grimpa sur le lit et vint à quatre pattes entre ses jambes.

« Je ne désire que de te faire du bien. »

Cathy comprit qu’elle aussi la désirait ardemment.

« Fais-moi l’amour, parvint-elle à murmurer. »

Lucy remonta sur son corps et vint l’embrasser. Leurs langues vinrent jouer ensemble, puis se séparèrent en dégoulinant de la salive de l’autre. Lucy redescendit vers le brésilien et recommença ses caresses sur la dentelle. Cathy ne cessait se tortiller en geignant de plaisir : les petites caresses de Lucy étaient douces, excitantes, mais la condamnait à de simples petites étincelles de plaisir. Elle allait supplier Lucy d’en faire plus lorsqu’elle sentit les doigts de l’asiatique écarter l’entrejambe de son brésilien et venir poser ses lèvres sur son sexe. Cathy crut qu’elle allait jouir à l’instant, mais elle parvint à se retenir. Ensuite, l’asiatique vint lécher son jus intime, se délectant de chaque goutte qui venait à perler sur son sexe. Les mains de Lucy rampèrent le long des côtes de son amante et vinrent agripper les seins durcis par le plaisir de Cathy, sans arrêter ses coups de langue divins. La brune, rendue folle de désir par des caresses si abouties, finit de retirer sa robe et accompagna de ses propres mains les massages de Lucy sur ses seins. Leurs doigts se croisèrent un temps sur les seins, puis l’asiatique s’en servi pour retirer définitivement le brésilien noir, offrant toute entière la fente humide de Cathy à l’asiatique. Mais Lucy préféra remonter sur le corps de la brune avec sa langue, ressentant un besoin irrésistible de goûter à nouveau à ses lèvres. Leur baiser fut intense et parfumé de plaisir.

« Tu es délicieuse, Cathy. »

« Lucy, tu m’excites comme une folle. »

Elles s’embrassèrent à nouveau et, du coin de l’œil, Cathy aperçut le fessier cambré de Lucy révéler entièrement le string blanc hors du jean. Ce détail mit le feu aux poudres et Cathy se décida à agir. Elle glissa sa main entre les jambes de Lucy et entama de déboutonner le jean. La photographe ne réagit pas, continuant à l’embrasser, mais elle tressaillit lorsque la main de Cathy vint se poser contre son string blanc. L’autre main de la brune suivit la colonne vertébrale de l’asiatique et vint s’emparer de la ficelle qui protégeait les fesses de Lucy. Avec une vigueur suggérant toute son excitation, Cathy tira sur les deux côtés du string et Lucy dut lâcher les lèvres de son amante pour pousser un cri de surprise mêlé de plaisir. Cathy continua à tirer et se délecta des gémissements de plaisir de l’asiatique. Cathy connaissait le plaisir que de telles caresses pouvaient provoquer chez une femme : elle avait souvent joué avec ses slips lorsqu’elle se sentait trop seule et avait appris à se donner du plaisir en faisant glisser l’entrejambe d’une culotte entre ses lèvres intimes. Puis, elle relâcha sa prise et glissa sa main dans le string, flattant le sexe devenu poisseux de l’asiatique.

« Eh bien, ça te plaît, on dirait ? »

« Petite chienne, tu veux que je te dise comme tu mouillais tout à l’heure, répliqua Lucy. »

Elles s’embrassèrent à nouveau et Cathy aida Lucy à ouvrir son chemisier. Les petits seins de l’asiatique excitaient la brune, qui se mit à embrasser la peau non couverte par le soutien-gorge. Lucy la laissa faire et l’y aida, nouant ses mains derrière la nuque de la brune pour qu’elle aille plus profondément dans sa poitrine. Bientôt, elle quitta la nuque de son amante pour chasser son propre jean, alors que les mains de Cathy s’acharnaient à décrocher le soutien-gorge blanc. Celui-ci céda et fut projeté à terre, alors que Cathy continuait à goûter le parfum de la poitrine de l’asiatique. La brune fit ramper une main jusque dans le string de Lucy et enfonça un doigt en elle. La photographe gémit.

« Oh, c’est bon, continue ! »

Cathy n’avait pas besoin d’une telle supplique pour continuer, mais elle accentua sa masturbation. Le bassin de Lucy bougeait sous ses caresses saphiques, mais Lucy cherchait avant tout les lèvres de son amante. Puis, Cathy fit glisser ses mains jusqu’aux côtés du string de Lucy, derrière élément de tissu qui les séparait, et l’asiatique fit en sorte de s’en extraire, avant de se placer face à son amante. Elles emmêlèrent leurs jambes de sorte que leurs sexes se touchent et laissèrent leurs bassins répondre à l’appel de la chair. Leurs cuisses s’activèrent, leurs intimités communièrent et, la main sur le sein de l’autre, elles furent assaillies de plaisir jusqu’à ce qu’elles jouissent ensemble en un chœur de cris sensuels.

Lucy hoqueta un peu avant de se retirer de l’entrejambe de Cathy, puis vint glisser contre elle. Elle lui déposa un baiser sur la joue et Cathy rougit.

« Tu sais, c’était ma première fois. »

« Tu t’es très bien débrouillée, mais repose-toi, maintenant. »

Elles s’endormirent dans les bras l’une de l’autre.