n° 08412 | Fiche technique | 9179 caractères | 9179 1586 Temps de lecture estimé : 7 mn |
06/01/05 |
Résumé: Lucie continue à se faire enculer, au printemps comme en été... | ||||
Critères: #humour #historique fh hplusag couple vacances sport campagne bateau amour nudisme intermast anulingus fsodo | ||||
Auteur : Antoine (Romancier débutant) |
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Le seize avril jour de Pâques, ni Lucie ni Alexandre n’allèrent pas aux matines . Un reste de pudeur en ce jour sacré, ou bien la saine inclination à varier les plaisirs, ou peut-être la certitude de ne pas engendrer un héritier ce jour-là, un sûr instinct poussa l’amant à pénétrer sa maîtresse par où l’ordonne la vraie foi . Le goût du vice qui est propre aux filles d’Eve, ou bien la saine inclination à varier les plaisirs, incita la maîtresse à se présenter comme la chienne au chien, position littérairement dénommée levrette . Il s’activa ainsi avec une vivacité croissante, faisant de courtes pauses pour retarder le plaisir vers lequel sa compagne s’envolait, perdant toute retenue .
Alexandre que la nature n’avait pas doté des moyens de réaliser une telle fantaisie ne put que redoubler d’ardeur quelques secondes avant de sombrer avec elle dans l’inconscience.
La journée passa en longues promenades au jardin du Luxembourg et l’après-midi sur les quais . Mais le soir un feu mal éteint les conduisit très tôt au lit .
Allongé sur elle dans la pénombre il la couvrait de lents baisers, elle feignait l’indifférence . Il décida de lui faire une proposition inédite depuis les débuts de leur idylle.
Elle consentit. Il lui fit remonter les genoux jusqu’aux seins et visita d’abord la douceur de son sexe pour achever de se raidir. Elle l’aida en écartant ses fesses à deux mains, vision qui accrut l’érection jusqu’à la douleur. Il la prit enfin comme il en avait rêvé depuis longtemps. Le réjouissant spectacle qui s’offrait à lui était invisible quand il l’enculait par derrière. Lucie se caressait le sexe et manifestait une joie sans mélange. Il poussa encore plus loin son avantage avant de s’allonger sur elle pour l’embrasser. Elle croisa ses chevilles sur les reins de son amant. Un observateur distrait aurait pu les croire en train de repeupler la France. Mais ce jour-là, une fois de plus, la conscription de l’année 1917 f ut privée d’un vaillant fantassin. Tant mieux pour lui.
En empruntant ce chemin des dames, trop souvent ignoré, Alexandre en évitait un autre à l’éventuel rejeton. Les parents indignes, en proie à leur passion bestiale, agitaient leurs bassins pour approfondir l’expérience . De temps à autre ils se redressaient pour jouir de la vue sur leurs intimités dilatées . Pour Lucie ce coup d’oeil était plus difficile, mais à genoux Alexandre ne manquait rien .
Malgré tous ses efforts Alexandre ne put accomplir son projet jusqu’au dernier détail, mais il se trouva bien content malgré tout . Lucie, quand à elle, se déclara prête à recommencer .
…/…
Lucie se dirigea vers eux, et Alexandre, confiant sa bicyclette à ses amis, vint à sa rencontre. Il se pencha pour l’embrasser :
…/…
…/…
Ils reprirent la navigation, lui à la barre, elle au milieu du canot, les cheveux au vent, drapée dans ses carreaux. Il aurait voulu la peindre. De temps à autre, après un coup d’œil alentour, elle laissait glisser son vêtement en souriant, découvrant une épaule, puis deux, se dissimulait à nouveau, puis recommençait. Un sein, l’autre, les deux, puis écartant les pans de la nappe elle se dévoilait entièrement pour un instant.
Elle s’exécuta et prit son sexe dans la main.
Ils approchaient du village de Thomery. Amarrés à une racine de saule, ils déjeunèrent à bord du canot protégé du soleil. Quelques promeneurs qui passaient non loin de là les empêchèrent de pousser plus loin leurs jeux. Mais au moment de repartir Alexandre laissa la voile ferlée et lança un avertissement:
Elle fit mine de se réfugier à l’avant, s’adossant au pied du mât et cachant sa tête dans la nappe qui l’enveloppait toujours. Deux libellules accouplées passèrent en volant au ras de l’eau. Le bateau ivre tournait sur lui même en redescendant le fleuve, et Alexandre enjamba le banc de nage pour se rapprocher de sa proie. Elle se pencha en avant , appuyant ses coudes et le haut de son corps sur le pontage, pendant qu’il écartait la nappe et la jetait en boule à l’arrière. Il la pénétra ainsi. Leurs poids additionnés faisaient enfoncer l’avant du bateau, mais celui-ci était assez stable pour supporter cette agitation à bord. Alexandre glissa ses mains sous le buste de Lucie pour la caresser, tout en continuant à la baiser. Bien vite Lucie lui demanda de l’enculer. Très échauffée, elle le provoquait avec une extrême impudeur, en ouvrant ses fesses à deux mains.
D’une seule poussée, il fut au plus profond d’elle. À sa façon de remuer son bassin elle donna le ton, elle exigeait clairement une certaine vigueur. Alexandre glissa ses mains entre les hanches de sa maîtresse et l’arrête de bois du pontage, pour éviter de lui causer des bleus. Cette délicate précaution étant prise il pouvait la défoncer autant qu’elle le souhaitait. Sous les coups elle se mit à pousser de petits cris entrecoupés de «oui» et de «plus fort». À chaque pause de son amant, Lucie prenait le relais pour maintenir l’excitation au plus fort.
Alexandre se remit en mouvement avec toute l’énergie que permettaient la position et l’espace disponible. À grands coups de reins il arrachait à Lucie cris et soupirs de plus en plus continus. Elle jouit intensément dans un râle et , se redressant d’un mouvement incontrôlable elle expulsa son amant de son cul. Cet orgasme à peine fini, elle se retourna vers lui.
Son anus restait entrouvert et la pénétration fut encore plus aisée que la première fois. Lucie était déchaînée, elle voulait le même traitement. Alexandre avait à peine eu le temps de reprendre son souffle, mais il était stimulé par l’ approche de son orgasme. Il n’eut pas à attendre très longtemps car Lucie revint très vite au bord de l’explosion. Ils étaient sur le fil, cherchant à la fois à prolonger l’intensité de ces instants et à plonger ensemble dans l’orgasme. Lucie partit la première, essayant cette fois de garder Alexandre en elle pour recevoir son sperme, mais leurs spasmes les séparèrent encore trop tôt. Un peu de liquide lui coulait sur l’arrière des cuisses quand elle se releva et se retourna pour embrasser Alexandre. Le canot, poursuivant sa trajectoire erratique de toupie vint s’échouer près de la rive gauche, le mât s’accrochant dans une branche. Ils étaient à l’ombre et décidèrent de rester là pour se reposer.
Elle prit tous ses vêtements en boule et , se penchant par dessus bord , les trempa dans l’eau à plusieurs reprises. Alexandre éclata de rire devant l’ingénieuse audace de son amie.