n° 08474 | Fiche technique | 14912 caractères | 14912Temps de lecture estimé : 9 mn | 16/01/05 |
Résumé: Balade avec mon amie. | ||||
Critères: f ff vacances bain forêt exhib nudisme | ||||
Auteur : Fabienne |
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Après être passée sous la douche et avoir pris un bon petit-déjeuner je proposais à Anne de faire une balade, histoire de profiter du soleil. Elle me dit qu’elle était prête, qu’elle n’avait qu’à mettre ses chaussures.
Oh merde, elle était tombée sur une des pinces que j’avais laissées tomber hier soir. Je devais être rouge comme une pivoine en répondant
Et je passais moi-même un petit short et une petite chemise nouée sur l’avant avant de mettre de bonnes chaussures. Quelques victuailles dans un sac, de l’eau, une carte, et nous voilà parties sur les sentiers. Nous discutions de tout et de rien mais je ne pouvais m’empêcher de penser à la pince qu’Anne avait vue. Elle ne mentionna pas ce petit « incident » et nous continuions notre chemin. La forêt était magnifique, le soleil brillait, et la pluie d’hier laissait un parfum de terre un humide. Nous étions bien, et j’avais l’impression que nous n’avions jamais été aussi proches. Anne avait changé, elle était plus spontanée, elle n’avait jamais été coincée mais je la trouvais plus libre, plus confiante qu’avant. Je lui montrai une petite clairière au milieu d’une sapinière qu’on ne pouvait atteindre qu’en passant à travers les arbres.
Et nous nous installâmes pour nous rassasier et Anne, s’allongeant sur l’herbe se mit à rêvasser. Je fis de même, nous étions allongées sur l’herbe, silencieuses, goûtant la caresse du vent sous un ciel bleu, le bonheur. Après un moment je me retournais pour voir si elle s’était endormie, elle avait effectivement fermé les yeux et je décidais d’en profiter pour bronzer un peu. J’ôtais mon short et ma chemise pour me retrouver en string, me passais de la crème solaire et m’allongeais. Je n’avais pas sommeil et dès qu’Anne se réveillerait il me suffisait d’enfiler ma chemise. Je l’écoutais respirer calmement et m’endormis malgré tout. Je me réveillais en sursaut, entendant un bruit de vêtements qu’on froisse, je me redressais et Anne était devant moi en train d’étaler de la crème solaire sur ses seins. Elle était simplement vêtue d’une culotte.
Je commençais à avoir un peu chaud, à l’idée de ce corps appétissant, mais je ne pouvais pas lui sauter dessus comme ça ! Anne se rendormit paisiblement, mais moi j’étais complètement réveillée, je pouvais maintenant l’observer à mon aise, admirer ses seins qui se soulevaient, ses aréoles sombres et larges, sa bouche entrouverte, les gouttes de sueurs qui perlaient sur son front. Je la détaillais sans scrupules, ses pieds fins, ses jambes impeccablement épilées, seule son entrejambe était masquée par sa culotte mais je pouvais deviner une toison assez fournie, noire comme ses cheveux.
N’ y tenant plus je glissais un doigt sur mon sexe, j’étais trempée, je ne voulais pas la réveiller et je me caressais silencieusement en admirant son corps. J’avais envie d’elle, mais pas comme j’avais envie de Marjorie, c’était différent, j’avais envie de la prendre dans mes bras, de la caresser tendrement, de la cajoler. Je me levais discrètement et pour le prétexte de me caresser, me passais de la crème sur tout le corps, j’étais accroupie en face d’elle, les yeux rivés sur ses seins, sa bouche, son ventre. Je me masturbais doucement, glissant mes doigts entre mes lèvres brûlantes. Soudain elle commença à bouger, et pensant qu’elle ne tarderait pas à se réveiller, je me remis à me tartiner de crème solaire pour me donner une contenance. Je n’avais pas joui et il était manifestement trop tard. Elle venait d’ouvrir les yeux et me sourit.
Je n’avais qu’une envie, voir à nouveau sa poitrine et mon plan me paraissait excellent. Nous nous dirigions vers le bras de rivière et chemin faisant, j’échafaudais un stratagème, une fois arrivée, je me déshabillerai entièrement et ainsi, elle hésiterait peut-être moins. Après une petite heure de marche je la laissais admirer ce paysage et comme prévu en profitais pour quitter tous mes habits et sauter dans l’eau. Un peu moins courageuse, Anne me demanda
Moi ce qui me faisais du bien c’était de voir ses tétons dressés par le froid, pointant vers moi, les gouttes d’eau ruisselant sur son visage, son corps. Et encore je ne voyais pas tout. J’aurai donné n’importe quoi pour pouvoir l’embrasser, mais je n’osais pas trahir la confiance qu’elle me vouait. Nous barbotâmes encore un moment et ensuite, nous retournâmes sur le bord.
Et nous voilà, marchant à travers les buissons, nues, ruisselantes portant nos affaires. Arrivées devant un petit sursaut rocheux, je proposais à Anne de lui faire la courte-échelle pour l’aider à monter. Elle accepta et j’en profitais pour admirer ses fesses rondes et musclées et apercevoir subrepticement ses grandes lèvres entourées de poils noirs luisants. Elle se retourna pour m’aider et s’accroupissant devant moi m’offrit un cadeau superbe, son sexe était à la hauteur de mon visage et j’avais une vue imprenable sur sa toison soyeuse, distinguant l’ouverture de son trésor.
Arrivées en haut, j’étais excitée comme une puce, Anne remit de la crème sur ses seins et me demanda de lui en passer dans le dos. Ce que je fis avec délices, en la massant légèrement.
C’était merveilleux, nous étions tellement bien toutes les 2. Je glissais ma main dans la sienne, elle ne dit rien, aussi je l’y laissais. Je ne voulais pas aller trop vite, et risquer de briser cet instant de bonheur. Mais toute bonne chose à une fin, et nous étions obligée de nous remettre en route. Une fois rhabillées, nous bavardions gaiement, je la regardais souvent, admirant ses formes. Je devenais raide dingue de ma copine Anne, je n’osais pas lui reprendre la main ayant peur de brusquer les choses.
Arrivées à la maison, Anne étant sous la douche, j’en profitais pour consulter ma messagerie. Marjorie m’avait envoyé un cliché où je me voyais lécher le talon de la chaussure d’Anne. J’en étais presque honteuse, comme si je l’avais trahie. Je jugeais mes fantasmes incompatibles avec mon attrait pour elle, qui était si pure, si douce.
J’étais émotionnellement submergée, j’ai commencé à pleurer doucement en maudissant mes folies de ces jours derniers. Puis pour masquer mes pleurs j’entrais sous la douche.
Anne préparait l’apéritif quand le téléphone sonna. Comme Fabi le lui avait dit elle pouvait décrocher sans problème et c’est ce qu’elle fit.