n° 08653 | Fiche technique | 29069 caractères | 29069Temps de lecture estimé : 20 mn | 11/02/05 |
Résumé: Après m'être lié avec Sandra, nous nous devons de trouver une troisième personne pour partager le logement... | ||||
Critères: fh jeunes frousses fellation cunnilingu pénétratio fdanus | ||||
Auteur : Ed Benelli (Je disais exercice! Maintenir le rythme!) Envoi mini-message |
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Quelques jours après cette soirée brûlante (jours passés séparés par le travail et les loisirs respectables), Sandra et moi nous retrouvâmes pour commencer les entrevues pour une troisième personne. Ni elle, ni moi n’avions de gens prêts à venir emménager et nous avions placardé de petites annonces, journaux et babillards.
Nous avions eu cinquante trois appels ou messages et nous nous préparions à un week-end long et fastidieux, bien qu’amusant. Je fus heureux d’apprendre que Sandra aurait préféré une fille. Elle trouvait que je faisais bien à manger, mais plutôt mal la vaisselle. Moi je préférais de loin une jeune femme resplendissant à un jeune homme. Et si je pouvais tenter les mêmes expériences qu’avec Sandra ? La perspective était plus qu’enivrante.
Nous nous installâmes au salon, sur les banquettes, allant à tour de rôle ouvrir à notre prochain candidat. Les mimes que nous faisions, de derrière ledit candidat, une fois dans le salon resteront dans mes plus beaux souvenirs. Les joues rouges et les larmes de rire de Sandra alors que je mimais un homme.
Ce fut mon tour et j’allai ouvrir la porte. Une jeune femme que je trouvais un peu bcbg me sourit aimablement. Les cheveux blonds cendrés, ramenés en chignon derrière sa tête, un visage très joli, plus hâlé que ne l’était Sandra. De beaux yeux verts, pleins d’intelligence et de fierté. De magnifiques lèvres, charnues et rouges, pleines et apparemment chaudes. Un nez mutin et je la trouvais bien peu maquillée, d’un grand naturel. J’eus une certaine raideur au bas ventre, rien d’alarmant.
Elle portait un ensemble gris foncé (plutôt sinistre) d’une pièce, dont le col d’un chemisier blanc dépassait et qui lui allait à mi-cuisse. Elle avait une belle peau et je me perdis un instant dans son décolleté, non plongeant mais offrant la vue de sa gorge agréable. Ses jambes fusaient de la jupe, nues et hâlées, délicates et ravissantes.
Je cafouillai presque, lui cédant largement le passage, frôlant débouler l’escalier du sous-sol. Passé la porte, quelque chose changea en elle. Elle me parut moins grise, plus joyeuse et spontanée. Je la devançai, alors qu’elle enlevait ses fins souliers, puis lui indiquai le salon au fond du couloir, pour prendre un peu de recul. Je lui souris un instant et la détaillai rapidement. Des seins, ma foi, d’une grosseur tout à fait parfaite, un peu lourds mais équilibrés à son corps svelte, un ventre que j’imaginais doux et tendre.
Des fesses croquantes et bien plus. La raideur devint plus désagréable.
Dans la cuisine, je ramassai la carafe d’eau et la suivit, ne lâchant son cul du regard que lorsqu’elle passa le coin.
Elle resta droite, alors que j’entendais Sandra lui proposer le fauteuil. Elle s’assit, croisant les jambes élégamment.
Pantelant, je me détournai pour regarder Sandra, qui m’observait, l’air de dire : « Bon, il est vendu lui. »
Je versai un verre à notre candidate et posai la carafe sur la table. Elle le prit et en bue une gorgée. À la voir, je crus qu’elle testait le goût de l’eau. Puis elle nous regarda et nous détailla. À croire que nous étions autant examinés qu’elle. J’en fus content, nous avions une certaine pression et nous n’étions pas en présence d’une cruche.
Sandra s’aperçut bien vite que c’est sur elle que pesait l’entretien, car je perdais mes mots. Au moins, je gardais une bonne contenance, répliquant de temps à autres et surtout écoutant ses réponses avec attention.
Marianne (c’était son nom) était plus jeune que moi d’un an, ce qui m’étonna vu sa classe et sa tenue. (C’est vrai que j’ai tellement peu de classe…). Je fus ravi de cette très jolie jeune femme, intrigante, plein de classe et sympathique, qui étudiait en littérature, tout comme moi. J’avais décidément plusieurs points en commun avec elle et j’en étais très heureux.
Nous lui fîmes visiter l’appartement. Elle s’extasia devant la bibliothèque, piquant droit sur les étagères.
Sandra et moi l’avions garnie de nos livres. (J’en avais une quantité quasi industrielle). Elle n’était toujours pas pleine, mais tout de même. Marianne parcourut les étalages des yeux, s’arrêtant sur certains titres qui l’étonnaient, demandant un résumé presque exhaustif.
Nous lui montrâmes la chambre du sous-sol qu’il lui restait. Elle fut rassérénée en découvrant que pas moins de trois fenêtres, pas très grandes mais tout de même, baignaient sa chambre de lumière.
Marianne se pâmait presque, nous redemandant sans cesse le montant (qui était risible), puis s’exclamait :
Vraisemblablement, elle était enthousiasmée. Et moi aussi.
Marianne nous quitta en laissant son numéro de téléphone et en affirmant pouvoir faire un dépôt dès le lundi. En fait, presque tous les candidats avaient dit la même chose.
Je la regardai partir, observant son dos mince et ses cuisses quand elle marchait.
Je ne notai aucun ton déçu ou désappointé. Sandra avait l’air, elle aussi, sous le charme.
Je lui renvoyai son sourire et le mien me mangeait le visage.
Je fis un sourire en coin. Sandra avait tout de même une certaine avance.
Elle hocha de la tête.
Le soir même, je laissai un message chez Marianne pour lui annoncer qu’elle pourrait passer le lundi pour régler les détails et signer le contrat. Je me frottai les mains dans la cuisine et je calai à longues gorgées mon verre d’eau, pour me faire reprendre mes idées.
Sandra m’observait d’un air amusé, moi tout content et nerveux en laissant un simple message. Ma belle rousse travaillait tôt le lendemain et m’annonça qu’elle allait se coucher. Mais en s’approchant de moi, elle précisa qu’elle devrait peut-être profiter de l’absence de Marianne pour prendre un peu d’avance.
Je ne compris pas dans l’instant, jusqu’à que Sandra pose sa main douce sur mon sexe et le flatte doucement.
Nous n’avions plus baisé depuis la soirée de billard et j’avais une grande envie après l’apparition de Marianne. Mon sexe se mit au garde-à-vous en quelques secondes.
Ma tendre rousse passa alors ses mains sur mon chandail et le tira vers le haut. Une fois le t-shirt enlevé, elle me caressa le torse, me bécotant, passa dans mon dos et me prit les fesses, se frottant le sexe contre le mien tendu comme une barre.
Elle avait une robe d’été très légère et je fis rapidement glisser les bretelles, pour découvrir le buste, la gorge, la naissance des seins. Je me penchai et mordit son épaule, puis la bécotai et mordit l’autre. Je me donnais vraiment l’impression d’être un vampire, mais elle semblait apprécier, rejetant la tête en arrière et gémissant. La robe serrait à peine ses seins, mais ils firent un léger bond très attirant quand je les dévoilai entièrement. J’entrepris de l’émoustiller en les cajolant, les léchant et les mordillant, suçant les mamelons déjà excités et durs.
Sandra me passait sa main dans les cheveux, mais cette fois, elle désira me faire jouir avant elle, me faire plaisir, par défi.
Après quelques secondes, elle me repoussa contre le comptoir de la cuisine et s’agenouilla. De ses deux mains, elle caressa ma queue bien raide à travers mon jean, puis enfin, décida de lui faire prendre l’air.
Elle défit ma ceinture, puis descendit ma braguette. Elle tira un peu mes pantalons et caressa à nouveau mon sexe dur par-dessus mon boxer. Je passai une main dans ses cheveux, l’autre me tenait au comptoir.
Enfin, elle sortit mon sexe qui se tendit sous son nez.
Sandra le prit en main, me branlant lentement et le lécha du gland à la base, puis mit plus d’attention sur le gland. Elle ne s’arrêta pas de me branler ni de donner de petits coups de langue à ma queue et vint jouer avec mes couilles d’une main agile. Je respirais fortement et je serrais le comptoir à m’en faire blanchir les doigts, me retenant pour ne pas presser son crâne dans ma main.
Je ne cessais de la regarder, ne voulant rater la moindre seconde du spectacle et, tout à son jeu, elle plongea ses yeux dans les miens en entrouvrant sa bouche. Je serrai les lèvres et elle posa les siennes sur mon gland gonflé. J’expirai longuement alors qu’elle entrait en profondeur ma queue dans sa bouche humide et chaude. Je sentais ses dents me marquer très doucement tout en l’avalant et je serrai la mâchoire.
Sandra entama une pipe intense, usant de toute son expertise. Elle était très habile, mais j’avais eu droit à des traitements plus terribles d’autres aventures. La situation était toutefois trop excitante et son corps qu’elle m’offrait était magnifique. Je me sentais assez près du point de non-retour, alors qu’elle me massait les couilles, qu’elle me branlait et me suçait profondément en même temps.
Elle ralentit progressivement, sortant mon sexe de sa bouche et le lécha à nouveau sur toute sa longueur. Je respirai profondément, je fermai une seconde les yeux pour me calmer.
Sandra me regardait, me branlant très lentement, se léchant les lèvres. Puis, elle fourra ma queue à nouveau entre ses lèvres et le rythme grimpa immédiatement. J’ai cru qu’elle m’aspirait. Je forçais à peine le mouvement de ma main dans ses cheveux, elle gardait en permanence une main pour jouer avec mes couilles et les malaxer.
Elle me suçait depuis deux minutes au moins et j’avais atteint le point où je sentais mes membres frémir avant la jouissance. Je gardai un brin d’esprit et m’attendais à sortir mon sexe de sa bouche moelleuse, mais elle le garda entre ses lèvres, elle qui sentait très bien que j’allais jouir. Sandra augmenta la pression de sa langue contre ma hampe et la prit en entier, jusqu’à la garde, à plusieurs reprises, plongeant toujours ses yeux bleus pâles dans les miens, avec un regard ardent et vorace.
Je me crispai et je jouis enfin, venant à la rencontre de sa bouche pour me vider en longues giclées épaisses. Ma plantureuse rousse me regarda et déglutit, avalant deux jets lentement, puis sortit mon sexe et le dirigea vers ses seins où je me vidai entièrement. Sandra reprit mon sexe encore assez dur et le nettoya avec circonspection de sa langue. Elle passa ensuite ses mains sur seins qu’elle agaça, les massant d’huile blanche, sans jamais laisser mes yeux, puis elle remonta les bretelles de sa robe.
Sandra se lécha les lèvres et se remit debout. Elle empoigna ma queue au repos pour la caresser et, satisfaite, m’annonça qu’elle allait dormir, elle travaillait tôt le lendemain. Elle posa un baiser dans mon cou et lâcha mon sexe.
J’étais un peu déçu, mais tout compte fait, j’étais fatigué moi aussi.
Je répondis en ahanant que j’allais me coucher et remontai mon jean, alors qu’elle sortait de la cuisine, m’offrant la vue de son cul balanceé par sa démarche chaloupée.
Elle se détourna un instant et me dit simplement :
Elle entra dans sa chambre.
Vidé et l’esprit tranquille, je me rendis à ma chambre où je m’affalai sur le lit pour ainsi m’endormir, la tête pleine de rêves.
Marianne se représenta le lundi, avec une amie, argent en main. Elle fit les présentations – une certain Marise, ou quelque chose d’approchant. Marianne était vêtue d’un jean serré, qui lui allait à ravir, et un chemisier bleu avec un veston noir. C’était la grande mode et bien que je détestai la mode, ça lui allait parfaitement. Elle avait libéré ses cheveux et montrait un sourire resplendissant. Ça lui donnait un look bien plus décontracté que celui de l’entrevue. Ma belle blonde m’annonça qu’elle allait revisiter l’appartement. Je lui dis qu’elle était chez elle et que j’allais moi-même partir en balade.
Avant tout, je lui montrai sa place dans le frigo, dans le garde-manger, lui détaillai vite fait le quartier, épicerie, pharmacie, club vidéo, librairie même, etc. Il nous fallait aussi expédier la paperasse et son amie en profita pour aller dans sa chambre prendre quelques mesures. Lectures, signatures et dates. Les contrats étaient signés, en deux, trois, quatre ; bref, tous les exemplaires.
Je lui remis les clés de l’appart, du garage, de la remise, ses copies et tout le bataclan. Sa main me touchait sans cesse, saisissait chaque chose en frôlant mes doigts. J’attribuai tout cela à la joie et à ses manières chaleureuses. Mais quand je m’assis sur le banc, enfilant mes patins, elle s’adossa au coin du mur, m’observant. Elle était très belle dans cette position et je la vis bien qui me détaillait lentement, les yeux brillants. Elle regarda longuement mes épaules larges, mes bras forts et mes mains puissantes. Mon torse massif couvert de mon t-shirt, mon ventre plat.
Cachant ma satisfaction, je me relevai, roulant sur le parquet, discutai un moment – déménagement, prise de possession des lieux, etc – et l’avertit de bien verrouiller la porte. Je lui souhaitai une bonne soirée, criai à son amie la même chose, j’entendis une réponse diffuse et sortis prendre l’air, roulant sur le trottoir par de lents et puissants coups de patins.
Je réfléchis à cette situation tout à fait étrange et délicieuse. Sans connaître Marianne, je savais qu’elle avait une certaine envie de moi, mais j’ignorais sa réaction par rapport à Sandra. Je me sentais en pleine possession de mes moyens et très bien capable de satisfaire deux femmes. Restait l’une des deux femmes à convaincre…
Elle déménagea la même semaine, le mercredi. Papa et maman, petit frère costaud et petite sœur piaillant et courant partout. Ses parents eurent l’air bien heureux de voir l’état de l’appartement, m’adressèrent des sourires de gens satisfaits et moins inquiets.
Une fois installée, tout ce petit monde la laissa seule et joyeuse. Je l’entendis – et l’imaginai – prendre sa douche après le dur labeur, se frottant consciencieusement. Je l’entendis aussi qui sortait, traversait l’appart, ses pieds mouillés faisant « splitch splitch » et descendre à sa chambre.
Une minute plus tard, elle cogna alors à la porte ouverte de ma chambre. Je me détournai de mon livre et de mon écran pour voir la belle blonde qu’elle était, dans son short moulant et son t-shirt bleu pâle, les cheveux encore humides, le visage radieux. Elle se tortillait les mains, comme nerveuse. Je me demandais bien ce qui pouvait rendre anxieuse une reine pareille.
C’est une question ? Par pitié dis-moi que c’est pour te déshabiller…
Elle leva ses yeux toujours brillants vers moi.
Son rire clair envahit ma chambre – heureusement elle avait compris la blague.
Elle prit un air faussement apeuré et admiratif (une excellente comédienne, bien plus que moi) et dit d’une toute petite voix :
Puis, hilares, nous descendîmes au sous-sol.
Elle me montra du doigt deux boîtes pleines de livres. Je soupesai un instant, m’assurant de ne pas me donner un mal de dos carabiné et m’accroupis. Je saisis les deux boîtes et sans difficulté je me redressai.
Marianne n’avait pas eu une réaction de blondasse stupide, elle ne m’avait pas sorti un « Oh, comme tu es forrrt ». Elle s’était contentée de reluquer mes biceps quand j’étais passé devant elle.
Arrivés à la bibliothèque, je posai les livres sur la table, un peu essoufflé tout de même et ouvris les boîtes, sortant quelques exemplaires. Il y avait : L’Iliade, L’Odyssée, deux ou trois textes de Montaigne et Nietzsche. J’aperçus les classiques du XVIIIe siècle, les Balzac, Hugo, Verlaine, Melville, bien d’autres encore. J’avais moi-même quelques exemplaires et je comparais les préfaces.
Assis à la table, lisant quelques résumés d’œuvres qui m’étaient inconnues, je la sentais bouger près de moi, classant et triant ses bouquins.
Le résumé fut bien vite un prétexte pour avoir la tête penchée et les yeux libres de fureter pour la regarder. Ses fesses arrivaient à ma hauteur, fesses que j’imaginais fermes et douces, bien moulées dans leur short. Je voyais le ventre plat – beaucoup de natation paraîtrait-il – et j’avais bien envie d’y faire couler mes doigts et ma main. Mes yeux arrivés à la naissance du sein, mon sexe commença à se raidir. Je changeai de position et me redressai sur la chaise, me tortillant un instant pour laisser un peu de place à ma queue raide, sans toutefois attirer l’attention.
Elle était plus jeune que moi, je ne la connaissais même pas et je devais faire attention pour ne pas passer pour le vicieux dégueulasse.
Je voyais ses cuisses fermes aller et venir, frémirent quand un courant d’air frais traversait les fenêtres ouvertes. Maintenant je voyais cette poitrine, féminine, fière, droite et parfaite. Elle avait de plus gros seins que Sandra, à peine, et même moins fermes, ils étaient très attirants.
Mon sexe continuait de prendre volume, épaisseur et rigidité.
Je voyais son cou, son visage doux, ses cheveux.
J’avais une soudaine soif, une soif de chair, celle-là très fraîche, douce et soyeuse sous la langue, chaude et palpitante.
Marianne commençait à classer des livres plus près de moi et bien qu’elle eut beaucoup d’espace pour passer, elle venait toujours sur mon côté, me frôlant de son corps. Elle avait un peu le rouge aux joues, ce qui me remplit de fierté.
J’eus une pensée pour Sandra. Même si j’étais content qu’elle voie la chose comme étant une douce compétition, et qu’elle n’avait aucun sentiment envers moi, je me demandais comment Marianne, elle, verrait la chose. Elle avait l’air tout à fait excitée en ce moment et, si je baisais avec elle, je me demandais bien comment elle réagirait en apprenant que je baisais aussi avec Sandra.
Je fronçai les sourcils. Cette réflexion arrivait au moins avant, m’évitant d’éventuels problèmes, mais Marianne continuait de passer tout près, de plus en plus près.
La réponse vint d’elle-même.
Je me tournai vers elle, décontenancé.
Elle était adossée à l’étagère, un sourcil interrogateur relevé.
Je venais de me vendre, mais c’était une bonne chose. Je répondis spontanément :
Marianne rit doucement et se retourna, lâchant un « hum » de compréhension.
Elle prit quelques secondes à répondre.
Sa voix était franche et ne marquait pas de jalousie ou de tristesse. J’en fus soulagé.
Elle posa son adorable cul sur le bord de la table, me fixant de ses yeux verts. Elle avait l’air particulièrement amusée et détendue. Bon signe.
Elle repassa près de moi. Je sentais que malgré tout, je lui plaisais bien. Elle recherchait peut-être simplement, elle aussi, « un peu de sexe ». Ma queue, qui avait diminué pendant ce dialogue stressant, reprit une certaine vigueur.
Je changeai de tactique. Je me levai et prit un autre livre dans la boîte. Elle revint et se mit juste à mon côté. Le bras contre le mien.
Elle frémit et se détourna en retournant vers l’étagère.
Marianne me regarda, avec l’ébauche d’un sourire coquin.
Je restai prudent et toujours flatteur :
Je levai ma cuisse pour frotter la sienne. Je vis ses lèvres bouger doucement.
Les derniers livres en main, elle retourna vers la bibliothèque. Elle me tourna le dos et, étirant les bras et les jambes, le dos courbé, m’offrit la vue d’une cambrure merveilleusement excitante. Je m’approchai et, derrière elle, posai la main sur sa hanche gauche et prenant de sa main droite le livre qu’elle cherchait à placer, je le mis sur l’étagère.
Elle ramena sa main sur le rebord de la bibliothèque, bougea un peu les hanches, comme pour tenter de caler ma main chaude plus près de ses reins. Du pouce, je remontai son t-shirt et caressai la peau de son dos. Elle expira et plaqua ses fesses contre moi, se cambrant encore plus. Marianne tourna la tête vers moi et souffla :
Je ne me fis pas prier. Ma verge dure entre ses fesses, je tirai sur son t-shirt, dévoilant son dos barré du soutien-gorge bleu. Je le dégrafai et l’enlevai, libérant une poitrine délicate à souhait, de belle taille, pour ainsi dire parfaite. Je saisis ses seins en mains et les massai agilement de mes doigts. Elle gémissait et je laissai une main rouler sur son ventre pour rejoindre le short. Je malaxais toujours ce sein et sa main vint se plaquer sur la mienne : elle força mes doigts à pétrir plus fortement. Ce que je fis et ses gémissements se firent alors plus forts et longs.
Mes doigts libres sur son ventre passèrent derrière la ceinture et s’enfoncèrent dans le short, passant sur une touffe de très courts poils, puis glissant sur une culotte que je sentais être de dentelle. Je pris au cœur de ma paume cette chatte chaude et mouillée d’excitation. Les gémissements devinrent ronronnements d’un plaisir profond. J’écartai le tissu et enfonçai un doigt entre les plis de sa chatte. Elle ondula encore plus.
Je la branlais assez rapidement et fortement, sans cesser de caresser ses seins, mais il me fallait la voir nue. Je ralentis ma main et la sortis du sexe, pour attaquer son short. J’en pris les bords et le descendis vivement sur les cuisses. Elle leva une jambe, je la libérai, elle leva l’autre et je lançai le short dans un coin. Je saisis sa jolie petite culotte de dentelle pour la faire courir jusqu’au sol. À nouveau, je lui fis lever la jambe, puis l’autre qui s’écarta du même mouvement.
Je lui caressai puissamment les fesses en remontant mes mains, puis passai devant et me remis à la branler férocement. Elle reprit ses râles, la tête ballottant entre ses bras, au rythme de mes petits coups de doigts. Je léchai longuement ses fesses, la raie, son dos et, quand je fus debout, je léchai sa nuque et vint sur son cou.
Je la pris dans mes bras et la transportai vers la banquette grise qui nous appelait.
Agenouillée sur la banquette, face au dossier, les jambes largement écartées et les mains crispée sur le bord, je l’admirai un instant, massant ses hanches et son ventre avec une grande force.
Puis, j’approchai ma bouche de son sexe qui s’offrait à moi, dans toute la cambrure de ses reins. Je lapai avec application les grandes lèvres dépourvues de poils, les mordillai et recommençai à la doigter rapidement de deux doigts. Elle goûtait bon la femme en chaleur et brûlante de plaisir et j’avalai la mouille qui coulait sur ses cuisses.
Elle râlait toujours, se caressait un sein, moi malaxant l’autre.
Je dégorgeai son clitoris et le titillai de ma langue, le prit entre mes dents et le suçai longuement. Elle vibrait et sa jouissance fut très soudaine, me remplissant la bouche de son liquide chaud.
Marianne, essoufflée, reprit ses esprits tandis que je caressais d’une main moite ses fesses, sa raie et son petit trou, l’autre occupée à me déshabiller.
Une fois ses esprits totalement recouvrés, elle se retourna et avec toute sa force, elle me précipita assis dans la banquette.
Elle me fit quitter d’un coup pantalon et boxer pour mettre immédiatement la main sur mon sexe raide, l’autre massant ma cuisse.
Ma queue, tendue et pleine, fut rapidement serrée et branlée lentement et délicieusement.
Elle s’accroupit entre mes jambes et vint donner quelques coups de langues à mes couilles, pour ensuite remonter le long de ma verge. Sur le gland, telle l’experte qu’elle était, elle se mit à tortiller sa langue, autour, dessus, le mouillant abondamment. Elle ouvrit les lèvres et enfourna ma queue dans sa bouche lentement, mais goulûment. Elle suça pendant quelques secondes, puis ressortit mon sexe et se remit à lécher le gland de sa langue plus qu’agile, sa main recommençant à me branler, puis elle le remit à nouveau en bouche. Cette fois, je gémis sans retenue, alors qu’elle me faisait une pipe fantastique.
Elle fit l’aller et retour pendant encore une ou deux délicieuses minutes où le plaisir montait en moi rapidement. Mais je ne voulais pas jouir. Pas maintenant.
J’enlevai mon chandail si vite que je le déchirai presque.
Puis, je la relevai et, la prenant par les hanches, je la fis avancer vers moi pour qu’elle vienne s’asseoir sur mes cuisses. En s’asseyant, elle avait saisi ma queue, la branlant un peu puis l’avait calée contre sa chatte. J’appuyai sur ses hanches et elle s’empala jusqu’à la garde en poussant un petit couinement de plaisir et de soulagement.
J’avais ses beaux seins sous les yeux, et ils se mirent à bouger doucement, alors qu’elle commençait à coulisser sur ma queue. Je pelotais ses fesses sans relâche et ma bouche vint mordiller ses seins durs et excités.
Moi aussi j’allais bientôt venir, mais alors que je sentais cette chaleur intense monter, elle se releva et sortit ma verge de sa chatte ruisselante.
Elle se retourna, m’offrant son dos et ses fesses et recula pour s’empaler ainsi si mon sexe tendu et luisant. Marianne appuya ses mains sur mes genoux et elle prit la direction des évènements en montant et descendant elle-même sur ma queue, me comblant de plaisir, moi qui pouvait la caresser.
Elle se pencha un peu plus, continuant son mouvement et, à la vue de son anus frétillant, je mouillai un doigt dans sa chatte, agaçant du même mouvement son clitoris tout dur. Je ressortis un pouce bien luisant et lubrifié que j’approchai du petit trou.
Marianne tourna un visage rouge vers moi, se mordant la lèvre alors que je passais mon pouce dans sa raie et que je m’attardais autour de l’œillet. J’insérai lentement le doigt, passant l’ongle entier. Elle se crispa et contracta tous ses muscles qui me serrèrent, cuisses et sexe, agréablement.
La blonde accélérait le va-et-vient tandis que j’enfonçais le pouce entièrement en elle pour le tourner et le bouger dans son fondement, lui arrachant sans cesse de petits couinements. Ébranlée par le plaisir, elle ralentit son va-et-vient et je dus prendre le relais. Je sortis mon pouce malgré son soupir et saisit ses hanches. J’entamai alors moi-même le mouvement, la soulevant de mes bras pour la renfoncer sur mon sexe. Commençant à se malaxer les seins, elle murmura, de sa voix enfiévrée :
Je respirais fortement et je la faisais ainsi s’empaler sur ma queue, ce qui l’amena aussi rapidement que soudainement, à jouir en criant son plaisir et expirant fortement. Elle jouit si longtemps que je pus la rejoindre et alors que ses cris diminuaient à peine, je me répandis en elle. De longues giclées chaudes, accompagnées de grands mouvements secs et puissants.
Marianne s’affala sur moi, collant son dos sur mon torse. Mon sexe se détendait en elle et je la caressais pour l’apaiser. Elle étira le cou et gémissait doucement, tandis que je frottais mes doigts sur la peau tendre de sa poitrine.
Je sentais mon sperme qui s’écoulait de sa chatte le long de mon membre.
Elle se leva, sortant mon sexe de sa fente, et, les jambes écartées, s’étira le dos et les bras. Je voyais les coulisses de ma semence sur ses cuisses. Elle tourna la tête, me laissant toujours voir son dos magnifique. Ses yeux ardents m’observaient. Elle posa une main sur une fesse qu’elle caressa. Elle eut air affamé, insatiable et me lança cette pique :
D’une démarche chaloupée, elle sortit de la pièce, triomphante.