n° 08679 | Fiche technique | 33746 caractères | 33746Temps de lecture estimé : 24 mn | 14/02/05 |
Résumé: Après avoir testé les performances de Marianne, la situation m'amène à la comparer à Sandra... Puis-je même dire si l'une est meilleure que l'autre ? | ||||
Critères: fh jeunes rousseurs fsoumise strip fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo attache | ||||
Auteur : Ed Benelli (Je continue sans relâche !) Envoi mini-message |
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Voici un bref résumé des épisodes précédents :
J’ai baisé avec Sandra deux fois. L’arrivée de Marianne sembla lui mettre une certaine pression parce qu’avant même que je ne baise avec la blonde, Sandra me fit une pipe démonstrative de son talent, dans la cuisine. Marianne ne me résista pas dans la bibliothèque et nous eûmes beaucoup de plaisir, au milieu des livres et sur la confortable banquette. Maintenant, il me faut comparer, presque pour satisfaire leur volonté, Marianne et Sandra et déterminer laquelle est la meilleure. Une tâche certes intéressante, mais ô combien difficile… C’est néanmoins mon plaisir !
Nous vivions tous les trois ensembles depuis une semaine. Je m’étais abruti dans le travail en remplacement d’un collègue malade et ne revenais que pour dormir.
Alors qu’un soir je mangeais tard, Marianne vint me tenir compagnie, elle avait l’air de s’ennuyer ferme et attendait avec impatience un appel d’une amie. Nous fîmes plus ample connaissance, puisque la dernière fois, j’avais découvert l’aspect physique sans l’aspect mental.
Nous avons discuté d’elle, de ses projets et de ses études. De ses amies. Elle n’avait jamais eu de baise torride et sans sentiment avant la nôtre. Je fus un peu flatté de savoir qu’elle s’était ainsi libérée avec moi, mais je crus qu’elle ne s’accrochait à cette idée que pour la transformer en un amour que je ne désirais nullement.
Au fil de la conversation, je compris qu’elle avait apprécié, mais qu’elle ne pouvait développer de plus sincères sentiments (je me fendis d’un sourire, acquiesçant moi aussi) et qu’en fait, cette libération après une relation d’un an et demie de couple, était à la fois salvatrice et intrigante.
Nous parlâmes sexe plus ouvertement alors. Elle aimait son corps, surtout ses seins qu’elle estimait parfaits – ce que j’affirmai moi-même – et elle aimait les utiliser pendant la baise. Marianne m’avoua que son désir soudain pour moi l’avait troublée et qu’elle n’avait su comment m’approcher et fut soulagée de me voir prendre la direction des évènements.
Elle me dit que dans le futur, peut-être pourrions-nous à nouveau baiser. Elle ne se sentait pas très bien ces derniers jours et repoussa les avances que je lui fis en blaguant. Son dernier regard vers moi confirma qu’elle était réceptive, mais elle alla tout de même se coucher, non sans venir me faire la bise, posant une main sur mon poitrail.
J’étais saoulé de fierté.
Le soir suivant, ce fut au tour de Sandra de m’accompagner dans le salon pour nous avachir sur les banquettes, observant les passants sur le trottoir.
Je sentis un certain malaise dans ses cafouillages alors qu’elle m’avouait que je lui donnais beaucoup de plaisir et que si ce soir elle ne me sautait pas dessus, c’était parce qu’elle n’était pas en état. Je respectai tout à fait cette décision et elle me dit aussi que notre première baise, dans la salle à manger, restait mémorable et qu’elle avait beaucoup apprécié la sodomie, encore plus qu’habituellement.
J’étais très excité et je bandais déjà quelque peu. Le téléphone sonna. Je décrochai et une adorable voix à l’accent américain demanda dans un français presque parfait :
Je passai le combiné à ma belle rousse, en lui annonçant que c’était une suave américaine. Son visage s’éclaira et tandis que je la regardais, toute heureuse, elle se remémorait des souvenirs de ses stages à Boston.
Après quelques minutes, elle dit à son interlocutrice :
Je hochai la tête, elle était chez elle et invitait bien qui elle voulait.
Je dressai un sourcil.
Nous avions aménagé la pièce libre en gymnase, avec mes poids libres et un vélo. La garde-robe y était immense et on s’en servait de débarras.
J’hochai de la tête, me doutant bien de la suite.
Je me crispai un peu. J’avais droit de véto sur le logement et quelle qu’ait été ma décision, il fallait aussi que Marianne dise son mot. Réduire plus encore mon loyer n’était pas sans me déplaire, mais à vrai dire, avoir une américaine pro-Bush dans les pattes ne m’enthousiasmait pas, alors là pas du tout.
Sandra sourit.
Je ris :
Sandra rit à cette remarque.
Elle raccrocha.
Sandra ébaucha un sourire amusé.
Elle traversa le salon en se dandinant, et arrivée sur le coin, commença à ôter son chandail, me dévoilant son dos et ses flancs pâles. Elle disparut pour me laisser seul avec l’érection qui se déployait dans mon sexe, alors que j’imaginais le reste du strip-tease et ce qu’elle ferait ensuite, seule dans sa chambre.
Cette semaine passa donc sans que je voie ni Sandra, ni Marianne plus de quelques minutes. Enfin, ce samedi soir mémorable arriva. Je rentrai vers 18h00 et me fit couler un bain, profitant de ma solitude. J’avais besoin de me détendre, et vite.
Je me servis un plat rapide que je dégustai pendant la bonne heure que je restai plongé dans l’eau. Je sentis mes muscles se détendre enfin et je me relaxai allégrement.
Torse nu – il faisait déjà assez chaud et humide dans ce mois de juin – je sortis de la salle de bain vêtu de mon éternel jean qui commençait à défraîchir. Je marchais pieds nus, vers la cuisine, quand j’entendis la porte s’ouvrir (et se fermer, ça aide). Sandra passa en coup de vent, puis, elle se rendit compte de ma présence et ralentit, me gratifiant d’un bonjour joyeux. Quelque chose s’était allumé dans son regard.
Elle s’avança vers le frigo, mue par une envie qui me parut très soudaine, et se pencha à l’intérieur pour se servir un verre d’eau fraîche. Elle fit étalage de ses fesses rebondies et magnifiques, où j’aperçus sans mal la marque d’un string et même, elle écarta un peu les jambes pour laisser ses survêtements moulants prendre la forme de son sexe. Sandra usa de toute son habileté pour se mouvoir lascivement, la tête plongée dans le frigo.
Une fois sortie – je ne me souvenais pas avoir mis la carafe si loin –, elle but un long verre d’eau, bombant un torse que je vis se soulever à chaque longues respirations. Elle devait déjà être excitée car je vis les pointes de ses mamelons s’hérisser contre le tissu.
J’eus une poussée de chaleur et mon sexe, lui, se tendit à faire craquer boxer et jean. Mais elle ne joua pas longtemps : de sa démarche féline, elle prit la direction de sa chambre, me jetant un dernier coup d’œil avant de disparaître.
L’offre m’apparut claire.
Je me frottai les mains avec satisfaction et prit la direction de sa chambre. Passant devant un miroir, je fus rempli de fierté d’avoir pu baiser avec Sandra et Marianne, deux femmes magnifiques, et je me surprenais à ce que Sandra le désire encore autant.
Mon érection s’était à peine tarie dans mon pantalon et arrivé à sa chambre, je cognai. Un « oui » fébrile, un peu tremblotant mais aux accents soulagés me dit d’entrer.
Je me demandais si nous allions jouer la comédie ou passer vite aux actes, je restais donc aux aguets, toujours prêt à jouer le jeu.
Sandra était assise devant son ordinateur qui démarrait lentement, à droite de l’entrée.
Elle avait un regard de braise et son visage rougissait. Je m’approchai à pas lents, pieds nus sur la moquette. Arrivé derrière sa chaise, je me penchai vers elle et lui demandai ce qu’elle faisait. Je mis une main sur son épaule que je commençai dès lors à caresser délicatement.
Elle me répondit, entre deux frémissements, qu’elle attendait que son dinosaure d’ordinateur daigne s’ouvrir.
Je fis alors glisser ma main vers sa clavicule, puis vers le cou et le centre de la poitrine. Je descendis encore, sentant sa respiration s’accélérer et passai ma main sous son t-shirt fin, entre ses beaux seins ronds et fermes. Je les sentais qui pressaient mes doigts ensemble. Je luttais pour lui écarter les nichons et en gratter doucement l’intérieur du bout des doigts.
Les yeux un peu dans le vague elle s’est reculée sur sa chaise, me laissant plus d’espace et bomba le torse. Elle me regarda, un mélange de stupéfaction, de désir et de soulagement.
Elle me provoqua toutefois, d’une voix chancelante :
C’est à ce moment que ma main vint englober un sein et le malaxa fortement. Elle lâcha une plainte qui se voulait un peu outrée, mais se laissa faire en regardant ma main frotter et masser, puis agacer le mamelon pour ensuite changer de sein. Je narguais ses nichons ainsi, sans retenue, alors qu’elle luttait presque autant pour m’exciter que pour s’exciter elle-même en attisant ma force.
Sandra poussait des couinements plaintifs à chaque caresse. Je posai ma main libre sur son ventre plat et le frictionnai avec application. Elle commençait à bouger du bassin et écarter les jambes ; un bras sur le dossier de sa chaise, poussant sa poitrine à la rencontre de mes doigts forts et, sur le bureau, une main qui se crispait sans cesse. Elle regarda mes mains qui s’activaient sur sa poitrine et son ventre, puis me lança un regard de chatte en chaleur.
Ma main quitta son ventre pour passer dans le pantalon, que je sentais déjà humide près de l’entrejambe. Elle écarta plus encore ses cuisses fermes et je m’enfouis entre elles, découvrant un string tout humide. J’entrai à l’intérieur de sa chatte mouillée dès que j’eus écarté le tissu du doigt. Elle gémit de plus belle, sans pourtant perdre les petits élans pour prendre la fuite. J’allais et venais en elle, augmentant puis diminuant le rythme.
Je bandais dur et mon jean était déformé, ce qui ne manqua pas à son attention et à la secousse suivante que fit mon doigt, alors qu’un autre s’ajoutait dans son sexe, elle s’accrocha à ma ceinture et passa la main sur ma queue. Je m’avançai alors pour accentuer la pression délicieuse de ses doigts, sans m’arrêter de la branler doucement, ni de lui peloter les seins et d’en titiller les pointes excitées et tendues.
Elle reprit une certaine contenance et, toute alanguie, commença à me branler à travers mon jean. J’avais très envie de sa bouche tendre et pulpeuse et je sortis ma main de son pantalon, la faisant courir sur son chandail puis venant caresser son visage du bout de mes doigts visqueux de son excitation. Quand je passai sur ses lèvres, elle les entrouvrit et je pus mettre un peu plus de pression. Elle prit mes doigts dans sa main qui ne serrait pas mon sexe et les suça longuement, en me regardant.
Mon sexe continuait de grossir et je décidai de le libérer. Je lâchai ses nichons durs malgré son air dépité et vint défaire ma ceinture pour l’arracher des passants et la poser sur le dossier. Je descendis ma braguette. Pantalon et boxer sur mes cuisses, je laissai ma queue bien raide jaillir et se tendre sous les doigts qu’elle suçotait dans sa bouche moelleuse. Dès l’apparition de ma hampe, ses yeux devinrent plus gourmands et mes doigts quittèrent sa bouche, laissant un filet de salive s’échapper. Je pris ma queue en main, puis passai une main derrière sa tête et approchai. Elle me jeta un dernier regard mi-affamé, mi-chaste, pour m’exciter encore un peu et sortit la langue.
Elle l’enroula autour du gland et ma respiration s’accéléra aussitôt. Elle le lécha abondamment, le parcourut entièrement, revint et commença à l’englober lentement. Des deux mains dans ses cheveux, je poussai mon sexe en elle et elle le prit plus vite et profondément.
Le tout était de ne pas venir trop vite, je sentais la jouissance monter et je devais me contrôler. De mes mains, je retenais ses mouvements pour qu’ils ne soient pas trop lents et lascifs, ni trop rapides et excitants.
Elle suçait bien et j’eux même l’impression qu’elle me suçait mieux que la fois précédente. J’avais chaud et heureusement, elle fit glisser mon pantalon à terre. Elle retira ma queue de sa bouche chaude pour que je lance jean et boxer derrière moi, mais elle avait toujours sa main douce posée dessus.
Elle me reprit en bouche, non sans avoir fait savamment courir sa langue sur tout mon sexe et sur le gland rouge. J’allais bientôt jouir, il était temps de passer à autre chose.
Je la relevai, essoufflé par cette pipe infernale, et tripotai ses hanches, alors qu’elle se débattait mollement, toujours provocante. Je la retournai et passai mes mains devant pour prendre ses nichons et les malaxai fermement. Elle passa une main derrière elle et vint prendre ma queue pour lui imposer un petit va-et-vient.
J’abandonnai sa poitrine et m’accroupis, fuyant sa main, pour venir déboutonner son pantalon, le tirant sans ménagement vers le bas. Je l’en débarrassai vite fait et contemplai un instant les fesses rondes qui cachaient la ficelle du string noir. Je le fis lui aussi glisser sur ses cuisses, que je ne manquai pas de mordiller au passage et l’enlevai. Elle garda ses jambes serrées et minauda en me regardant comme une vierge apeurée.
Je forçai, avec délectation, ma main entre ses cuisses ; elle soupirait tendrement, râlant parfois, m’indiquant qu’elle allait de plus en plus vers l’extase.
Je finis par prendre son mollet, que je caressai longuement, pour le soulever, comme si elle était privée de force, pour écarter ses cuisses et reposer son pied. Nu entre ses jambes, je posai de suite deux doigts entre ses lèvres luisantes que je connaissais mieux et les fit pénétrer lentement, en les tournant. Je sentis le clitoris qui sortait de son fourreau et, de mon autre main, je vins le titiller et le pinçai entre mes doigts.
Sandra bougea lentement et remplit la chambre de ses râles, tandis je portai ma bouche à son cul de rêve. Je le léchai et passai la langue dans la raie, mordit ces globes charnus. Elle posa une main sur sa fesse qu’elle écarta, l’autre se tenant au bureau.
Je continuais à la branler assez rapidement, la sentant se couvrir de chair de poule. Elle vibrait de plaisir et notre petit jeu était très excitant.
Ma main sortit de son sexe et la mouille coula sur mon doigt, entre ses cuisses et sur mon nez et ma bouche, qui prirent place sur sa chatte. Je pointai la langue et commençai à la boire avec attention, tandis que ma main libre courait sur ses fesses qu’elle pinçait et le pouce juteux vint se frayer un chemin dans sa raie, vers son petit trou qu’il malmena. Je le lubrifiai un instant et quand je passai la première phalange de mon pouce, Sandra poussa un long soupir, l’air de se soulager d’une attente interminable. Elle fléchit un peu les genoux et balança son cul, cherchant à s’enfoncer mon pouce plus profondément.
Elle vibrait sans cesse et râlait, son orgasme de plus en plus près, et s’annonçant puissant. Sandra s’arqua et lança un nouveau long râle qui s’éteignit lentement. Je bus en grandes gorgées son jus goûteux, laissant le reste s’écouler entre ses jambes. Je dégageai mes doigts et m’écartai un peu, le pouce toujours dans son cul. Elle s’affaissa à genoux, privée de force.
Je branlais son cul doucement, sans trop forcer bien que je la sus ouverte et prête. Sa main écartait encore sa fesse, l’autre sur sa hanche. Elle reprenait tranquillement ses esprits. J’eus une idée et tentai quelque chose que je faisais rarement, j’avais toutefois l’intuition qu’elle adorerait. Je me saisis de la ceinture qui pendait au dossier, pour la passer sur son poignet. Je pris son autre main que je croisai et l’attachai.
Sandra reprenait conscience tranquillement et quand elle s’aperçut qu’elle avait les mains liées, une flamme brilla dans ses yeux. Je ne m’étais pas trompé.
Elle joua encore la comédie, agenouillée sur le tapis, elle tenta de prendre la fuite. Elle se retourna, dos à son lit, l’endroit le plus loin de moi, assise sur ses mollets. J’eus, un instant, peur qu’elle détestât ce que je croyais être un jeu, mais je la vis fixer mon membre quand je fus debout et se lécher les lèvres. Je me dirigeai vers elle.
La main sur ma queue, je mis l’autre dans ses cheveux et amenai son visage plus près. Les yeux brillants, elle me regarda un moment, je continuai de pousser doucement se tête vers ma bite tendue et encore luisante de sa salive. En parfaite petite sainte-nitouche, elle vint à sa rencontre et donna un simple coup de langue. Puis, elle s’enhardit, ou délaissa son personnage, pour ouvrir les lèvres et faire glisser ma queue à l’intérieur de sa bouche, salivant et usant de la langue.
Sandra enfournait et avalait maintenant ma queue entièrement depuis deux bonnes minutes, quand la chaleur grimpa encore en moi. Je décidai de ne pas jouir tout de suite, sortant de sa bouche pour m’agenouiller devant elle. Je repris ses seins et les pétris, accompagnant mes caresses de mes dents, mordant ses mamelons ronds et excités à l’extrême.
Elle se redressa, comme pour mieux m’offrir sa poitrine et du même coup dégagea sa chatte, que je pénétrai rapidement d’un doigt.
Sandra était tellement excitée que je n’eus qu’à faire quelques va-et-vient pour qu’elle jouisse à nouveau, d’une plainte intense. Elle coula abondamment et, les yeux clos, respira fortement, secouée de soubresauts.
Au comble de l’excitation, je la retournai et la poussai contre le lit. Elle gémissait à nouveau et, moi, à genoux, la bite au creux de ma paume, je m’approchai.
Ses fesses charnues, furent exhibées à ma vue et leur fente large, mettant à nu son anus attirant. Je posai une main sur le haut de ses fesses et posai ma bite contre son cul, puis je descendis et m’enfonçai dans sa chatte toute juteuse, d’un seul et grand coup. Elle cria de surprise et se laissa défoncer puissamment. Puis je sortis de sa chatte et, branlant mon sexe pour bien le lubrifier, je passai mon gros gland entre ses fesses quelques fois, caressant son anus de mes doigts visqueux.
Elle tourna son visage vers moi, les joues rouge du feu de la jouissance, tout à son désir souffla :
Mais elle en mourrait d’envie, je le savais à ses yeux. J’appuyai mon gland sur son anus et poussai.
Le gland frottant son anus, le guidant d’une main, j’entrai un peu, et à mesure que le passage s’ouvrait et que je fendais son cul, elle poussait des râles et des marmonnements, quelquefois je percevais des « Ça fait du bien » ou « Ooooh, c’est bon ».
J’étais au comble de l’excitation, et je poussai doucement ma queue dans son cul. J’avais passé le gland – elle râla – et j’entamais de la limer par petits coups, de plus en plus profonds.
Quand je fus entré en entier une première fois, je m’arrêtai. Je pris ses hanches et les forçai à bouger. Ses mains attachées dans son dos, s’ouvraient et se fermaient et je voyais qu’elle était plongée dans un plaisir profond, tout près de l’orgasme depuis plusieurs minutes.
À force de lui tripoter les hanches, je lui fis onduler du bassin et elle y mit lentement plus d’énergie, s’avançant et reculant sur ma queue pour se donner du plaisir.
Je me sentais serré en elle, prêt à exploser, et ses mouvements m’arrachaient de longues et bruyantes respirations.
Mains sur ses hanches, je ressortis lentement, puis replongeai. J’accélérai et elle se mit bientôt à crier sans cesser d’onduler des fesses. Je la ramonai longuement, sortant souvent mon sexe en entier, passant ma queue dans la raie, puis replongeai.
La jouissance monta très vite et je perdis un peu l’esprit, concentré sur mes coups de boutoir. Je sentais que ma queue grossissait encore en elle, et alors qu’elle eut un dernier cri et une plainte très excitante, alors qu’elle tournait sa tête vers moi serrant les dents, j’atteignis un orgasme fulgurant.
Me répandant en elle, je lui donnai de furieux coups à chaque jets et elle atteignit elle aussi la jouissance alors que je la bourrais à fond une dernière fois, mes couilles cognant sur ses fesses.
Sandra eut un autre long râle fort qui se perdit dans les couvertures de son lit, alors qu’elle gigotait et qu’elle enfouissait sa tête dans l’édredon.
Je me retirai d’elle lentement, mon sexe devenant rapidement plus détendu. Je m’écartai et elle se laissa alors tomber sur les fesses. Je la détachai et elle ébroua ses cheveux, les yeux mi-clos. Sa main caressait ses fesses. Ma semence se répandait sur ses cuisses et elle me souriait, bienheureuse.
J’étais debout au-dessus d’elle, ma queue gardant une certaine raideur, mais sans plus. Elle s’étendit de tout son long sur le dos, m’offrant la vue délicieuse de son corps perclus de plaisir et ses seins pointant à travers son chandail.
Je ne savais trop comment la laisser, je ne voulais pas paraître brutal ou lui donner l’impression de m’être vidé en elle. À nouveau, elle sauva la situation. D’une voix alanguie et voluptueuse, elle me dit :
Ses yeux brillaient et elle se caressait les seins, langoureuse, tandis que je ramassais mes vêtements et sortais de la chambre. Je me demandai s’il s’agissait d’une invitation, mais je pris néanmoins, rassasié, la direction de la salle de bain.
Il était un peu passé minuit quand j’entendis quelqu’un entrer. Des pieds marchèrent rapidement sur le parquet en claquant et arrivé à la hauteur de ma chambre, je vis les belles courbes féminines du corps de Marianne entrer dans la lumière de ma chambre.
Je lui souris.
Elle décida d’entrer dans ma chambre, d’une démarche tout à fait excitante, faisant raisonner ses talons à chaque pas. Et s’assit sur mon lit.
Marianne était moins sensuelle que Sandra, mais plus sauvage et vorace. Elle s’assit en cuiller sur mon lit, le buste relevé. La jupe beige, courte et fendue sur le côté, laissait à nu sa cuisse, qui était recouverte d’un bas noir et elle était très excitante.
Elle promenait sa main le long de ses flancs, les yeux balayant ma chambre. Son autre bras était étendu sous sa tête. Son gilet noir sans manche et à boutonnière découvrait largement son épaule, son aisselle ; son décolleté plongeait entre ses seins, sans trop en dévoiler et le tissu les comprimait de façon très excitante.
Son visage était rouge. Excitation ou alcool de la soirée ?
Reste-t-il que malgré une jouissance formidable quelques heures plus tôt, dans le cul de Sandra, je sentais mon sexe se ressaisir. Mon jean se déforma encore. Elle y loucha d’ailleurs le bref instant où elle posa son regard sur moi et sourit, l’air satisfaite.
Je me levai et m’assis derrière elle, sur mon lit. Je posai ma main sur ses jambes, que je caressai longuement, mon sexe gonflé contre ses fesses.
Je remontai rapidement sur ses cuisses, puis sous la jupe où je trouvai une culotte douce et humide. Je frottai le bout de mon doigt contre le tissu, le faisant entrer dans sa fente.
Puis elle se leva et sembla vouloir quitter ma chambre, allant vers la porte, elle me lança un regard plus qu’excité avant d’atteindre la sortie. Je la suivis et juste avant le seuil, je saisis ses hanches que je tripotais pour ensuite l’écarter de la porte et me placer devant. Sandra s’était offerte à moi, luttant pour m’exciter, j’avais envie de la même autorité.
Elle approcha. Une fois à ma portée, je saisis ses hanches et l’immobilisai. Mes bras étendus, je posai mes mains sur ses seins et les malaxai avec force, comme elle l’aimait. Les yeux pleins de fougue, elle bombait le torse et amenait ses nichons contre mes paumes, en restant où je l’avais arrêtée, droite, les bras contre ses flancs.
Une main quitta ses seins et défit ma ceinture puis baissa ma braguette. J’en sortis mon sexe raide et dur, avec sa goutte d’excitation sur le méat.
Je fis un pas en avant et lui dit de s’agenouiller. Une main sur sa tête, l’autre tenant ma queue, que je caressais lentement.
Je n’eus pas à lui demander de me sucer pour qu’elle sorte sa langue experte et vienne quérir mon liquide. Je m’approchai encore un peu et elle ouvrit ses lèvres roses et pulpeuses pour que j’y entre. Je pressai sa tête vers moi, m’enfonçant dans cette bouche accueillante. Elle sortit mon sexe pour jouer avec sa langue sur le gland. C’était très excitant à voir. Marianne enroula sa langue autour et revint le laper fortement, ou le pinça des lèvres. Elle faisait des pipes merveilleuses. Je pénétrai à nouveau sa bouche et lui fit accélérer son mouvement de ma main derrière sa tête.
J’avais de l’énergie à revendre et elle me prit en bouche pendant plusieurs minutes et paraissait insatiable, m’amenant rapidement près du plaisir. Elle me suçait avec talent. Je sentais que j’allais jouir bientôt et, confiant de mes capacités, je décidai de forcer le rythme.
J’en étais presque à bourrer sa bouche avec force quand l’orgasme monta le long de ma hampe. Je quittai ses lèvres et, une main sur son épaule, je repoussai son buste vers l’arrière et y éjaculai allégrement. Je couvris son chandail de plusieurs longs jets blancs, qui ressortaient sur le tissu noir.
Elle avait les yeux pétillants et elle tremblait. Je la relevai et pelotai ses seins avec vigueur, puis je défis quelques boutons pour prendre en bouche par-dessus le soutien-gorge, les tétons dressés. Elle gémit et se laissa ainsi manger les seins, perdue dans une vague de plaisir. Je rabattis un bonnet de son soutien-gorge rouge, libérant un nichon ferme que je me mis à sucer avec force, mordillant la chair tendre du sein.
Puis, je replaçai le bonnet et fit reculer Marianne d’un pas. Elle était lascive et désirait encore mes caresses.
Elle se mordillait la lèvre dans une moue hésitante.
Elle capitula.
Pour se mettre dans le bain, Marianne commença à faire onduler son bassin. Face à moi, elle déboutonna son gilet, lentement et sensuellement. Elle le fit rouler sur ses épaules et le lança. Ses seins dans le soutien-gorge se mouvaient magnifiquement. Elle le dégrafa, sans me lâcher des yeux, laissa sa poitrine bondir naturellement, une fois libre. Elle passa à la jupe, qu’elle descendit sur ses chevilles et qu’elle envoya valdinguer dans un coin. Elle dansa un moment, se cambrant, caressant ses seins.
Moi je rebandais à la vue de ce beau corps offert.
Quand elle vit mon sexe dans ma main qui coulissait, elle décida de se débarrasser de sa culotte de dentelle rouge. Elle le fit très lentement, jouant avec les bords, puis descendit la culotte tranquillement à ses pieds, sur ses souliers à talons hauts. Elle leva une jambe, passa le pied, posa son soulier qui cogna le bois, leva l’autre jambe, passa l’autre pied et laissa la culotte tomber là. Elle écarta les jambes et me regarda avidement.
Elle était magnifique debout, en bas et talons hauts, une jambe fléchie pour faire courber son corps.
Je la fis reculer. Elle buta contre mon lit et tomba assise dessus.
J’étais fou d’envie, je voulais son corps et je la désirais jouissante et heureuse. Mais elle suçait trop bien et en tirait trop de plaisir pour que je m’en prive. Je pris à nouveau sa tête dans mes mains et lui fit reprendre ma queue en bouche. Elle serrait ses lèvres douces sur mon sexe, l’embouchant profondément. Elle le sortit et en même temps que sa langue agile parcourait la longueur de mon sexe dur, elle se mit à me masser les couilles. Je m’abandonnais à ses mains qui me caressaient et me branlaient sans relâche, à cette bouche qui me suçait. Le plaisir montait très lentement vu ma jouissance antérieure et je voyais ses seins qui étaient tendus fièrement. Elle me surprit en me prenant jusqu’à la garde dans sa bouche et mû par mes pulsions, je pistonnai cette bouche un instant, ne manquant rien du spectacle de ses seins qui s’agitaient à chaque coup.
Elle me sortit un instant, me branlant lentement, son regard dans le mien tandis qu’elle se léchait les lèvres. Marianne allait me reprendre en bouche, mais la vue de ses seins me faisant trop d’effet, je la fis s’agenouiller devant moi et je passai ma queue sur sa poitrine.
Marianne prit ses seins en main et les écarta, laissant passer ma queue. Puis, elle les comprima l’un contre l’autre. J’ahanais alors qu’elle s’élevait et descendait sur mon sexe luisant. J’agaçais les pointes ou massais cette peau tendre avec application. Elle me regarda, désirable, et sortit la langue pour la passer sur mon gland dès qu’elle le pouvait. Ma queue grandit encore, maintenant pleinement excitée et Marianne ralentit l’allure de sa branlette pour pouvoir sucer mon gland plus longtemps et le mordiller légèrement.
Je découvrais de plus en plus Marianne très gourmande, contrastant avec Sandra qui était plutôt passive.
Mais là, bandé entre ses seins, j’eus envie de la prendre très vite et férocement. Je n’oubliai toutefois pas son plaisir.
Je m’écartai d’elle, libérant ma queue et lui dit de s’étendre sur mon lit.
Elle s’étendit de tout son long sur le dos, les fesses toutes près du bord, les cuisses écartées largement. Je m’installai entre ses jambes et, les saisissant aux chevilles, je lui pliai les genoux.
J’approchai ma bouche de son sexe trempé et l’observai. Elle se caressait un sein fortement, pinçant les tétons, l’autre main caressant son cou. Elle passa son index sur les lèvres et, doucement, le mordit, empêchant à peine ses gémissements.
Je passai ma langue tout au long de son sexe et mordillai ses lèvres douces et goûteuses. Elle ronronnait maintenant comme une possédée, alors que du bout de la langue je heurtais son clitoris et l’excitais. Je ne la léchai pas plus d’une minute pour qu’un violent orgasme secoue son bassin et que sa chatte déverse un flot de cyprine dont je bus quelques gorgées.
Elle ronronnait toujours, dans le vague, se mouvant sensuellement, tandis que je me mis sur les genoux et approchai ma queue raide de son sexe. Elle gémit plaintivement alors que je m’enfonçais d’un coup en elle, glissant jusqu’à la garde tellement elle était prête.
Je tenais toujours ses jambes, qui semblaient privées de force, et je la bourrais lentement, m’enfonçant jusqu’au fond, sentant buter mon gland pour ensuite être serré par ses muscles.
Marianne était en sueur, les gouttes perlant merveilleusement sur sa peau, ses seins étaient tendus à l’extrême, alors qu’elle courbait le dos pour que j’entre encore plus en elle. Elle atteignait elle aussi un nouvel orgasme alors que je la pilonnais sans relâche et que j’accélérais.
Sa jouissance fut magnifique. Elle expira, le souffle court, par petits coups, bougeant à peine les lèvres. Elle fut très silencieuse et je la trouvais d’autant plus troublante.
Toujours dans une brume profonde, je sortis d’elle, le gland luisant, pour la basculer sur le côté. Je gardais l’une de ses jambes dans les airs pour libérer sa chatte et je l’enfilai, fendant son sexe. Je voyais tout son corps se mouvoir, ses nichons remontant à chaque coup de piston. De ma main libre, je vins malaxer son sein droit et tourner le mamelon entre mes doigts, puis le soupesant et le flattant tendrement.
Je la pistonnais à une plus grande vitesse, cognant sur sa fesse mes couilles bien remplies et prêtes à se vider à nouveau.
Elle se redressa sur un coude, sa main venant caresser mon ventre en action. Elle m’offrait la vue de son sein doux et rond que je continuai de malaxer fermement. Marianne gémissait à nouveau et je laissai le sein pour venir lui arracher des gémissements en frottant son bouton gonflé et hérissé. Elle se massait la poitrine et je la vis à nouveau qui jouit silencieusement, offrant sa gorge tendue, se léchant les lèvres. Elle se tendit et ahana doucement, lançant son bassin contre mon ventre une dernière fois. Cette jouissance belle et soudaine m’amena au point de non retour.
Je sentis la chaleur monter, et ma semence envahir ma queue pour se répandre dans la chatte de Marianne, qui soupirait à chaque jet. Vibrant et tremblant, je sortis mon sexe pour laisser s’écraser sur son ventre les derniers jets épais et chauds. J’étais essoufflé et éreinté, mais heureux de notre plaisir. Je caressai sa hanche, tandis qu’elle reposait sa tête sur mon lit, étendant d’une main nonchalante ma semence sur son ventre.
Pantelant, je m’écrasai sur ma chaise de bureau, le sexe vidé, la regardant reprendre ses esprits. Elle se releva lentement, souriant de plénitude et, ramassant ses vêtements, vint me souhaiter bonne nuit.
Pour l’apaiser encore, je caressai un moment ses seins, très doucement, la laissant flotter sur un nuage cotonneux.
Elle me remercia d’une bise et sortit de la chambre, me laissant seul.
J’avais baisé l’une après l’autre mes colocataires, les avait satisfaite pleinement et me demandais bien laquelle était la meilleure. Mon esprit vaporeux ne put trouver une réponse.