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Temps de lecture estimé : 16 mn
15/02/05
Résumé:  Je m'installe chez Anne et je lui prépare des soirées torrides.
Critères:  f ff vacances magasin sexshop douche revede exhib noculotte lingerie odeurs fetiche chaussures fmast cunnilingu double fdanus jeu ecriv_g
Auteur : Fabienne  (Fabi)

Série : Et pourquoi pas continuer ?

Chapitre 03
Encore dans un magasin...



Nous approchions de notre destination, Anne habitait une petite ville de la banlieue lyonnaise. Elle avait trouvé un logement dans un petit ensemble d’appartements assez coquet. Je garai la voiture dans un petit parking souterrain. Anne m’embrassa tendrement et sortit de la voiture pour prendre nos bagages. Je fis de même et une fois les portes fermées, nous nous dirigeâmes vers l’ascenseur. Seul le bruit de nos talons sur le ciment troublait le silence. Je me disais que ce parking pouvait être le lieu idéal pour nos jeux amoureux. Une fois dans l’ascenseur, nous remarquâmes au même moment l’odeur de sperme émanant de nos poitrines. Anne rougit, je pense qu’elle espérait avant tout que personne n’arrête l’ascenseur avant son étage. Mais notre ascension se déroula sans heurts et Anne me fit entrer dans son appartement.



L’appartement disposait d’une vaste terrasse fermée, les poutres apparentes en bois clair lui donnaient un cachet certain. Le parquet, les moquettes épaisses, une déco sobre, je devais reconnaître qu’Anne avait fait preuve de goût. Elle m’emmena dans la chambre où je déposais mes affaires sur un grand lit carré. Anne me proposa de me faire couler un bain et je la suivis dans la salle de bains. Elle m’enleva mes vêtements et je l’arrêtai au moment où elle voulait les glisser dans la machine à laver.



Anne me sourit et je la déshabillai à mon tour. Lui faisant faire demi-tour, je la plaçai devant la glace et entrepris de la caresser langoureusement en jouant avec les chaînes qui l’entravaient. Anne soupirait d’aise et je la débarrassai enfin de son harnachement, me promettant de l’essayer rapidement. J’ôtai délicatement le scotch noir qui recouvrait ses tétons qui pouvaient désormais darder autant qu’ils voulaient. Nous étions nues et nous nous voyions dans le miroir en train de nous enlacer, de nous embrasser. Le spectacle était émoustillant à souhait. Anne sauta dans la grande baignoire pleine de mousse, alors que je me dirigeais vers les toilettes où je m’assis. Anne me regarda uriner et je me remémorai son attrait pour ce type de jeux. Je saisis un bout de papier toilettes pour m’essuyer quand Anne m’arrêta rougissante.



Je me dirigeai vers elle, posai un pied sur le rebord de la baignoire et présentai mon entrejambe à mon amante perverse. Anne se redressa et me jeta un regard avant de me lécher doucement. Puis, elle aspira mon sexe comme si sa vie en dépendait, je plaquai sa tête contre ma chatte, sa langue me fouillait. Je sentais ses dents sur mes lèvres, je me cambrais pour m’offrir à elle. Anne s’arrêta brusquement.



Et je sortis du tiroir un très long godemiché de latex avec un gland à chaque bout. Il était assez fin et bien dessiné, le gland était bien saillant, les nervures… Pour faire enrager Anne, je restai à distance de la baignoire et me mis à le lécher amoureusement. Je passais ma langue sur le bout du gland, frottais cette bite de latex contre mon visage, ma gorge, mes seins. Puis je le mis en bouche pour une fellation en ut majeur. Anne faisant mine de sortir du bain, je la rejoignis m’installant à genoux dans la baignoire, en face d’elle. Je lui présentai l’autre bout du gode et elle entama elle aussi une démonstration de son savoir-faire. Nos seins se touchaient au rythme de nos fellations. Je retirai le gode et le présentai verticalement avant de me remettre à le lécher. Ainsi, Anne et moi pouvions nous embrasser en partageant cette belle queue. Anne, parfois, enfonçait sa langue dans ma bouche et je suçais sa langue comme s’il s’agissait d’une petite bite.


Je sentais sa main sur ma chatte, notre position ne facilitait pas ce type de caresses et je m’allongeai dans l’eau chaude pour pouvoir écarter les jambes et laisser le champ libre à mon amante. Anne me massa doucement le sexe, glissant un doigt puis deux en moi. Puis elle présenta le gode et l’enfonça doucement. Il était assez fin et compte tenu de la situation, il rentra comme dans du beurre. Anne me masturba un moment, me laissant savourer ces instants, puis elle s’allongea sur moi et enfonça le gode dans sa chatte. Cette sensation était irréelle, Anne m’embrassait, me pilonnait, je sentais ses seins contre les miens, ses cheveux mouillés, sa bouche, ses mains. C’en était trop pour moi et je jouis en me retenant pour ne pas crier. Anne n’avait pas joui et après un instant de repos, je lui demandai de se mettre à quatre pattes.


Son cul était un véritable appel pour moi et je me jetai sur elle pour la couvrir de baisers, de caresses et de coups de langue toujours plus précis. Je glissai un doigt dans son sexe puis j’enfonçai le gode d’un coup, lui arrachant un petit cri de surprise. Ensuite, je me mis dans la même position, nos fesses se touchaient et passant ma main entre mes jambes, j’enfonçai le gode en moi. Si cette position permettait une pénétration optimale, je regrettais de ne pas voir mon amante qui semblait cependant apprécier ce traitement. Je retirai le gode et me redressai en promettant à Anne de m’occuper exclusivement d’elle. Pour toute réponse, elle se cambra davantage. Passant ma langue le long de son sillon, je m’attardai sur son petit trou. Je le massais du bout du doigt en faisant des cercles concentriques, je versai un peu de gel douche sur son anneau palpitant et y glissai un doigt aisément. Anne se trémoussait sous mes caresses. Elle se retourna.



Et je présentai le gland devant son anus. Je l’avais suffisamment fait languir et je lui donnai satisfaction en enfonçant doucement le gode. Anne était impatiente et s’empala elle-même sur la bite de latex. Je la pilonnais vigoureusement et Anne ahanait sous mes coups en m’encourageant. Soudain une idée épatante me passa par la tête, je ralentis la cadence et m’assurais que le gode était suffisamment souple avant de l’enfoncer dans la chatte de mon amante et de reprendre mes mouvements. Le gode étant trop fin pour sa chatte, je décidais d’y ajouter un peu de piment en pinçant son clitoris entre mes ongles. Anne adorait, je m’arrêtai.



Pour toute réponse, je me remis à la goder de plus belle, pinçant son clitoris de plus en plus fort. Après quelques instants, Anne se cabra, terrassée par un orgasme. Je la pris dans mes bras et caressai doucement ses cheveux. Anne était radieuse, j’ôtai le gode et je la lavai tendrement. J’aimais cette alternance de moments de tendresse et de lubricité, elle prouvait que nous étions ensemble plus que pour le sexe. Anne sortit de la salle de bains et pendant que je finissais de m’installer et de ranger quelques vêtements, elle nous prépara un petit repas. Nous discutâmes tard dans la nuit, de notre rencontre, de nos aventures, de nos expériences passées. Vers deux heures du matin, Anne s’endormit dans mes bras. Je déposai un baiser sur ses cheveux et pensai à la journée qui s’annonçait.


Le réveil nous tira du sommeil vers sept heures. Anne m’embrassa, me sourit et se leva en me disant que je pouvais rester couchée. Elle devait être au travail à dix heures et il lui fallait une bonne heure pour s’y rendre. Je lui proposai de lui préparer un petit-déjeuner pendant qu’elle passait à la salle de bains. Une fois la table dressée, je décidai de lui préparer aussi ses vêtements. Elle entra au moment où je lui choisissais un tailleur. Voyant les dessous sur le lit, elle ôta son peignoir et me sourit.



Je lui avais choisi un ensemble de dessous couleur crème, mettant sa poitrine en valeur. Un chemisier de soie blanche et un tailleur couleur sable. J’avais trouvé des chaussures assorties et les lui présentai. Elle s’habilla et je profitai de chaque instant pour admirer son corps, sa peau si blanche. Une fois habillée, nous prîmes un rapide petit-déjeuner, moi nue les cheveux en bataille, elle en tailleur et chignon. Elle me donna son numéro professionnel en cas d’urgence et me montra son bureau où je pouvais trouver un ordinateur. Anne préparait quelques dossiers et je lui demandai si elle avait un stylo. Elle me tendit un beau stylo bille laqué. En la regardant, je mis le stylo devant mon sexe et l’enfonçais doucement mais complètement en moi. Le ressortant, je lui tendis son stylo luisant, Anne le porta à son nez et le glissa dans son sac avant de m’embrasser. Elle alla dans la salle de bains pour se maquiller légèrement et je la suivis. Elle était tellement belle ainsi, un peu inaccessible en quelque sorte, je n’avais pas envie qu’elle parte et je le lui dis.



Nous nous embrassâmes amoureusement et Anne partit après m’avoir donné un double des clés. J’étais seule dans son appartement et je décidai de visiter un peu. L’appartement était vaste mais peu de pièces semblaient occupées. Je passai une de ses robes et m’installai devant son ordinateur. Je consultai mes mails, et en profitai pour me renseigner sur ma prochaine mission qui devait me conduire aux Pays-Bas, à ma grande surprise, car je ne parlais pas le néerlandais. Je téléphonai pour demander des explications et un collègue me répondit que c’était pour de nouveaux produits et que personne n’ayant accepté d’y aller, ils m’avaient désignée volontaire. Je lui demandai de me passer Alain, un collègue sympa avec qui je m’entendais bien. Une fois reliée, il tenta de m’expliquer pour quelles raisons personne n’avait voulu y aller et il sembla un peu gêné de me répondre.



Génial, absolument génial. Cette mission tombait à pic et en attendant je surfai pour trouver des sites de vente en ligne afin de voir le type de produits existants. Je tombai sur des sites où l’on pouvait trouver tout ce qu’il fallait, des dessous sexy, des ensembles en cuir, en latex, des godemichés, des accessoires. Je commençais à être émoustillée par tout ça et ma main ne tarda pas à rejoindre ma petite chatte humide. Je gagnai la salle de bains où je retrouvai le gode, je me branlai doucement, en pensant à tous ces ustensiles, et à l’usage que je pourrais en faire avec mon amante. J’imaginais Anne en tailleur portant un slip en latex ouvert sur son sexe, des pinces, des chaînes… Le démon sous son déguisement d’ange. J’avais rudement envie d’essayer quelques-uns de ces jouets. Je passai sous la douche, toujours munie de mon sexe factice. Je me caressai sous l’eau chaude, un doigt sur mon oeillet savonné. Je glissai ensuite le gode dans mon anus, il rentra facilement et je me donnai du plaisir jusqu’à l’orgasme. Un peu remise, j’envoyai un mail à Anne lui précisant que j’allais faire quelques courses pour la soirée. Je passai une robe, la culotte fendue que Marjorie m’avait offerte, mes sandales à talon et je quittai l’appartement pour Lyon.


Après une série d’embouteillages je garais la voiture près du centre-ville. Ce n’était pas un magasin de lingerie que je cherchais mais carrément un sex-shop. Evidemment, je n’en trouvais aucun et déambulant dans les rues ensoleillées, j’espérais compter sur un peu de chance en empruntant des ruelles plus étroites. Après une bonne demi-heure, mon courage fut récompensé. Je devais être dans la bonne rue, des bars (à hôtesses ?) et plusieurs magasins érotiques. Leurs vitrines étaient sommaires et présentaient des articles somme toutes assez classiques, caraco, porte-jarretelles, strings. Je poussais la porte de celui qui m’avait l’air le plus clean. Une blonde me salua depuis un comptoir. Le magasin était désert. J’étais tout de même un peu hésitante et elle le perçut.



Elle me proposa d’autres modèles identiques, en blanc et crème. Les prix étaient loin d’être exorbitants et je pris les deux. Ensuite, je lui demandai si elle avait des soutiens-gorge coordonnés. Elle me présenta un modèle qui allait parfaitement mais qui masquait un peu trop les seins à mon goût. Elle me tendit un soutien-gorge laissant voir les tétons, je lui demandai où se trouvaient les cabines et, en souriant, elle me désigna deux cabines. Ma question était incongrue, moi qui lui avais dévoilé mon sexe, je me cachais pour mettre un soutien-gorge. Je quittai ma robe et enfilai le soutien-gorge qui faisait saillir mes tétons, je ressortis de la cabine pour avoir l’avis de la vendeuse qui avait à la main un porte-jarretelles et des bas. Je les saisis et les enfilais devant elle. La vendeuse me regardait attentivement et j’étais sûre qu’elle avait envie que j’essaie encore bien d’autres accessoires.



Je quittai mes dessous et, entièrement nue, j’enfilai le body. C’était un peu compliqué et la vendeuse, attentionnée, m’aida. Le contact de sa main sur ma peau m’électrisa. Elle boucla le collier de cuir sur mon cou et ajusta le body sur mon corps. La sonnette retentit, des voix résonnèrent, elle n’était pas seule dans le magasin comme je le croyais, une voix d’homme le confirmait. Sans y prendre garde, la vendeuse ajusta la large lanière fendue sur toute la longueur qui passait entre mes jambes. Elle ne pouvait plus ignorer que j’étais trempée et me glissa un sourire de connivence. Le body m’allait à merveille et je l’informai que je le prenais également. Devant une si bonne cliente, elle ne s’arrêta pas en si bon chemin.



Elle me tendait une robe de vinyle rouge, je la pris, ôtais avec son aide précieuse mon body et me glissai dans la robe moulante ouverte sur mes seins et couvrant à peine mes fesses. J’avais chaud subitement, je me sentais un peu à l’étroit, la vendeuse s’en aperçut.



Elle me montra un arsenal impressionnant de sexe de latex de toutes tailles, de tous diamètres. Elle me proposa de les toucher pour me rendre compte de la texture des différents modèles. Je glissais mes doigts sur ces belles bites factices. J’avais du mal à arrêter mon choix et finalement je pris un ensemble de quatre godemichés de taille croissante, des boules de geisha en métal et des billes plus adaptées à un usage anal. Elle me demanda si j’avais des rapports lesbiens et un peu surprise, je lui répondais par l’affirmative. Elle me tendit une ceinture de cuir permettant d’utiliser les godes que je venais d’acquérir.



Je ne regardais plus les prix, j’étais enivrée à l’idée d’essayer tout ça et j’aurai bien aimé que la vendeuse me propose une petite pause. Au lieu de ça, elle me désigna un autre rayon.



Et elle plaça avec une extrême douceur deux petites pinces sur mes tétons dressés, puis, elle les relia à l’aide d’une chaînette à deux pinces qu’elle plaça ensuite sur mes grandes lèvres.



Je la suivais dans ma robe laissant pointer mes seins et ne cachant rien de mon cul. Mais le magasin était à nouveau vide. Elle me proposa plusieurs modèles et je pris un ensemble de plusieurs bracelets et colliers en cuir et en métal ainsi qu’une paire de menottes. La vendeuse m’offrit des chaînes destinées à être utilisées avec l’ensemble. Je crois que j’aurais aimé qu’elle m’attache et qu’elle me baise, ici en plein magasin mais je n’osais pas lui proposer.


Enfin, après m’être habillée à regret, je passai à la caisse. Elle me fit une ristourne vu la quantité de mes achats et m’offrit un petit vibromasseur de poche ainsi qu’un petit paquet qu’elle me recommanda d’ouvrir une fois chez moi. Je la remerciai vivement et sortis.


Affamée, je passai dans un petit bistro et commandai un croque-monsieur. Le garçon m’apporta rapidement une assiette bien garnie avec un sourire. Je lui rendis son sourire, mangeai rapidement et quittai le bistro après avoir payé.


Je déposais mes achats dans la voiture avant de me balader dans le centre commercial jouxtant le parking. J’entrai dans un magasin de chaussures, décidée à profiter des soldes. Les vendeuses ne semblaient pas spécialement attentives et j’essayais à mon aise les différents modèles de chaussures à talons. J’arrêtai mon choix sur une paire d’escarpins blancs, une paire de bottes en simili-cuir noir montant presque jusqu’au genoux, une paire d’escarpins noirs munis d’un lacet se refermant sur la cheville et enfin des mules à talon haut en bois. Je payai rapidement et partis faire quelques courses.


Au fil des rayonnages, j’imaginais Anne recouverte de crème fouettée, pénétrée par un gros concombre… Mon portable sonna, c’était Anne, sa réunion venait de se terminer et elle me demandait si ma journée se passait bien.



En plus des produits nécessaires, je passai au rayon bricolage où je pris quelques cadenas et un rouleau de scotch souple noir. Enfin au rayon hifi-télé je jetai un oeil sur les caméras. Un vendeur aimable me renseigna pendant un bon moment et je pris une caméra numérique avec le nécessaire pour filmer mes « vacances ».


Je passais enfin à la caisse, mon banquier devait se poser des questions, mais franchement c’était le cadet de mes soucis. Une fois dans la voiture, je ne pus résister à l’envie d’essayer le petit vibro et le glissais dans ma chatte trempée. Un petit fil et un bouton permettaient de l’arrêter discrètement. Je le mis en route et presque immédiatement je jouis. J’étais tellement excitée que je n’avais tenu que quelques instants. Un peu calmée, je mis le contact et rentrai à la maison.