n° 09148 | Fiche technique | 10970 caractères | 10970Temps de lecture estimé : 7 mn | 23/05/05 |
Résumé: Une belle journée doit se ternminer par une belle fin de soirée...durant toute la nuit | ||||
Critères: ff jeunes frousses couple vacances amour odeurs massage intermast cunnilingu 69 | ||||
Auteur : Sofie (Jeune demoiselle essayant l'écriture) Envoi mini-message |
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Après ce baiser mémorable durant l’éclipse (CF épisode 4), Esden et moi passons une dernière soirée au cœur d’un village en plein cœur de la Tanzanie. Ce soir-là, les villageois organisent une grande fête et nous y invitent naturellement.
L’obscurité gagne peu à peu avec les heures qui défilent au cours de ce très agréable dîner. Un repas dépaysant et aux saveurs inhabituelles. Un repas assez épicé d’herbes dont les noms nous étaient totalement inconnus, cela rajoute à la saveur de cette soirée. Esden et moi assistons assises, en compagnie des autres villageois, tous en cercle autour d’un grand feu à de nombreuses danses et festivités locales. Parfois ce sont des hommes qui démontrent leur agilité, leur force et leur sens du rythme. D’autres fois, il s’agit de belles femmes qui démontrent, elles aussi, qu’elles ne sont pas en restes concernant la souplesse et la danse. Nous regardons le spectacle offert dans cette ambiance de fête et de décontraction. Après, un émerveillement face à ces chorégraphies, musiques et chants, le sommeil me taquine et un bâillement en est le résultat. Esden me regarde contenir mon bâillement puis me sourit amusée. Elle est magnifique, ces yeux verts étincèlent dans le début de cette nuit noire. On aperçoit une légère lueur de passion au fond de ses yeux et le reflet des étoiles. Je m’approche de son oreille et lui murmure que je ne vais pas tarder à aller me coucher. Elle effleure ma main et m’accorde un baiser sur le front et se lève. « Je t’accompagne, mon bébé. Moi aussi, toute cette journée m’a épuisé »
Esden et moi quittons le centre du village pour nous diriger vers notre hutte. Nos pas, nous éloignent de la lumière et de la chaleur humaine. Esden me prend par la main puis me prend par la taille et nous cheminons ainsi en toute quiétude vers notre repos mérité. Enfin, nous voici devant le large tissu coloré servant de porte, puis passons à travers la première moustiquaire. Cette petite chaumière est composée d’un mobilier de bois traditionnel et d’un lit en osier. Je suis face à ma chérie, les yeux dans les yeux. Je la contemple amoureusement. Nous n’entendons que notre faible respiration et le son des divers instruments des villageois, principalement des percussions. Mon cœur semble battre aux rythmes de ces musiques. Dans cette obscurité, seul le sourire de ma bien-aimée et ses yeux perçants osent affronter cette pénombre. Elle est féline et érotique avec cette chevelure rousse. Malgré la moiteur de nos corps, Esden garde un parfum attirant et féminin. Je ne sais si c’est elle ou si c’est moi mais nous nous embrassons tendrement. Ses lèvres sont sucrées, son baiser est embrasé. Nos langues se heurtent puis s’unissent dans une roulade magique. On se serre l’une contre l’autre nos bras créent une barrière vers le monde extérieur. Il n’y a plus que nous. Mes caresses longent son corps, son dos fin, ses épaules parfaites, j’atterris sur ses fesses que je soupèse pour mieux en apprécier leurs formes. Esden pose sa main sur ma poitrine. Elle joue un instant avec les boutons de ma chemisette puis elle les défait un par un. Prenant un savant plaisir à me défeuiller lentement. Ma chemisette se retrouve ouverte, les bras de ma compagne passent en dessous. Ce premier contact entre sa peau et ma petite poitrine me fait frissonner de plaisir et je pousse un tendre soupir. Mes tétons sont déjà en acier et le bout de ses doigts s’en amuse. Elle les pince entre ses phalanges comme une enfant découvrant un nouveau jeu. D’ailleurs tout comme une enfant elle se lasse de ce jeu. Elle fait tomber ma chemisette et dépose une bise sur chacune de mes épaules et sur le haut de mon buste. Je suis captivée par ses câlineries. Elle m’entraîne par la main vers le lit. Nous franchissons la seconde moustiquaire.
Dans cet enclos, il fait une chaleur étouffante, une vraie fournaise. Je m’allonge sur le ventre, les bras pliés me servant d’appui tête. Ma douce me rejoint et nous entendons le lit d’osier craquer légèrement. Esden entreprend l’un de ses délicats massages, sensuels et doux. Ma peau est brûlante, mon soupir se transforme en gémissement discret à chaque passage furtif de ses mains sur les lobes de mes seins. Je ferme les yeux pour mieux savourer cet instant. J’entends un bruissement de tissu et quelques mouvements sur le lit. Impatiente de savoir ce qui se passe j’ouvre les yeux. L’ombre d’Esden s’abat sur le mur et paraît surveiller nos ébats. J’incline la tête, je la vois. Elle est entièrement nue. Son sourire est aussi brillant que ses yeux émeraude. Je me retourne et je suis sur le dos à présent. Mon amante se saisit de mon short et le descend malicieusement. Prenant le temps de me fixer dans les yeux lorsque les premiers contours de ma culotte apparaissent. Ce fin tissu longe mes jambes fluettes, jusqu’à mes pieds. Elle retire mon short et rapproche sa bouche vers mes chevilles. Elle remonte de mille baisers vers ma jambe, s’attarde un instant sur la face arrière de mes genoux, mes cuisses. Mon sexe fulmine dans son carcan de coton. Ses baisers le rendent fou. Ses dents mordent l’élastique de ma culotte. Sa mâchoire baisse ce vêtement bien trop lourd à porter maintenant. Ma culotte est à mi-cuisse lorsqu’elle la retire avec empressement avec ses mains. Ensuite, sa bouche se précipite vers mon sexe transpirant de plaisir. Je me plie de satisfaction quand sa langue atteint mon petit bourgeon. Sa langue cajole mon minou de mille mouvements. Elle s’attarde sur mes lèvres intimes et goûte ma liqueur qui coule avec abondance. Sa bouche épouse la forme de mon sexe et sa langue s’enroule passionnément autour de mon point de plaisir. Ses mains caressent mon ventre qui ondule par tant de bonheur. Parfois l’un de ses doigts tournoie tout autour de mon nombril me faisant frissonner. Je gémis de plus belle lorsque sa phalange s’immisce en moi dans un délicat va-et-vient. Mon ventre fourmille, je bouillonne, mon corps est moite par tant de douceur et de tendresse. Sa silhouette remonte peu à peu dans une cavalcade de baisers fougueux sur ma peau sur mon ventre, mon nombril, mes seins, mon cou, mon menton et enfin ma bouche. Une fois de plus nos langues se rejoignent. Ce baiser est presque violent, elle mord quasiment ma lèvre supérieure. Je suis écrasée par la chaleur de son corps sur le mien. Cet espace clos réservé pour nos ébats devient un four. Une larme de sueur coule de son front. Je l’essuie d’un coup de langue, je goûte cette peau rendue salée par la transpiration. Une mèche de ses cheveux chatouille mon nez. Je l’embrasse encore une fois.
Nous basculons dans une roulade, à mon tour de conquérir sa fleur. Mon fin duvet caresse sa chair puis son sexe. Nos deux sexes tanguent l’un contre l’autre sobrement dans une même cadence menée par nos souffles. Mes mains enserrent sa poitrine généreuse. Ses tétons pointent fièrement et paraissent me provoquer. Il ne m’en faut pas plus pour que ma bouche se rue vers eux. Ses mamelons acceptent mes hommages. Ses tétons sont prisonniers de mes lèvres, de mes dents. Je suçote ses mamelles comme un nouveau-né mais son nectar coule de son sexe. Esden est en proie à de multiples spasmes. Je sais qu’elle est très sensible des seins. Et ils sont si beaux, si bons que c’est un délice réciproque. Sa main se mêle à mes cheveux bouclés, elle miaule par de petits cris poussifs et aigus. Mon index effleure son clito et pénètre lentement en elle. Sa vulve m’est toute offerte. Je la doigte de plus belle et insère deux puis trois doigts tout en continuant de lécher ses seins. Je suis folle de désir de son corps, l’odeur de sa peau est forte en raison de la tiédeur de l’air. Je respire son parfum qui m’émoustille encore plus. Je sens ma compagne céder peu à peu à mes caresses et cela m’incite à aller plus fort pour elle, pour nous. Mes doigts sont prisonniers de sa chair. Soudain, son vagin se resserre, mes doigts en sont presque écrasés. Esden s’attache à mon épaule puis me griffe le haut du bras dans un crie sourd. Elle se paralyse l’espace d’un instant, ses yeux dans le vide, elle profite de sa jouissance. Son bras retombe sur le lit. Elle est vaincue mais pas maîtrisée. Je profite de cette brève accalmie pour déposer un baiser sur sa bouche puis son nez. Ensuite, je me dirige vers son entrejambe et lui présente le mien. Son bouton d’amour est dressé et dès le premier contact de ma langue dessus Esden tremble et semble réagir de nouveau. Elle se faufile au plus près de moi et elle commence par des effleurements sur mes cuisses puis très vite mon sexe. Nous caressons mutuellement tantôt avec les doigts tantôt avec la langue. Quand l’une gémit l’autre lui répond de plus belle sans se forcer juste en se laissant aller. Toute mon attention est portée sur mes sensations. Ma chatte est en ébullition sous les incessants assauts de ma chérie. Soudain, la paume de sa main masse mon clitoris et ses autres doigts fouillent ma petite grotte intime. Une dose de plaisir et d’adrénaline se diffuse en moi. Je délaisse son minou, terrassée par ses caresses. Mon bas-ventre devient brûlant, ma tête fulmine. Je sens mon sang circuler dans chaque espace de mon corps. Un bruit de tambour cogne contre mon front, je ne sais pas s’il s’agit de mon cœur ou des tambours de la fête. Mais ils cognent de plus en fort, mon sexe se transforme en fontaine. Mes mains agrippent le drap et je pousse un puis deux cris venus du plus profond de mon être. Mon ventre s’affole, mon visage se crispe, j’ai l’impression d’une explosion au sein de mon abdomen. C’est puissant et exquis. Je m’écroule sur le lit en tentant de retrouver un souffle régulier.
Esden se love contre moi, frottant ses seins sur ma peau encore toute sensible. Elle pose sa tête sur ma menue poitrine. Je sais qu’elle peut entendre les battements de mon cœur et tous lui sont destinés. Nous restons ainsi le temps d’une éternité. Plus tard, elle se lève. Je regarde sa silhouette fine se déployer devant moi. Son dos, ses hanches, ses fesses portées par de longues jambes, tout est magnifique et parfaitement proportionné. Elle s’empare d’une bouteille et s’assied à côté de moi pour me la proposer. Son visage est à quelques centimètres du mien. Elle sent encore les parfums de l’amour et du sexe, ses yeux scintillent intensément. Elle fixe son regard dans le mien et me murmure tout en sourire :
Je bascule sur elle dans une cavalcade de baisers…