n° 09179 | Fiche technique | 20276 caractères | 20276 3359 Temps de lecture estimé : 14 mn |
29/05/05 |
Résumé: La jeune duchesse Jaessa de Kern fait décidément bien des envieux au royaume de Westeros, mais peu sauraient avoir ce fameux privilège : faire les fesses de la duchesse. | ||||
Critères: #historique fh extracon fdomine chantage facial fellation pénétratio | ||||
Auteur : Laemyr Envoi mini-message |
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La vie commençait à se ranger pour Jaessa de Kern, duchesse de Winterfell. Après ces quelques années passées à courtiser, à intriguer sans cesse, et à user de ses charmes pour arriver à la position qu’elle occupait, l’ennui guettait. Son ambition et ses qualités l’avaient servie, et bien servie : elle s’était mariée avec une haute personnalité du royaume, le duc Reoran de Kern, et de ce fait était entrée au sein de la noblesse royale. Elle avait atteint le sommet, et ne désirait plus le quitter.
Sa vie conjugale morne et répétitive contrastait avec sa vivacité, l’éclat de son apparence, le soin qu’elle accordait à sa toilette. Alors qu’elle avait usé de bien des talents physiques pour en arriver là, elle était, depuis, restée fidèle à son mari. Objet de fantasmes à la cour, depuis ce fameux jour où elle s’était présentée au prestigieux Conseil Royal, elle n’en était pas moins un modèle de femme intègre et inaccessible. En privé, on parlait beaucoup de ce « chanceux de Kern », et les conversations allaient bon train quant à savoir si celui-ci profitait comme il sied du délicieux postérieur de sa femme. Dans les milieux de basse extraction, c’est en termes plus crus que les paysans répétaient souvent qu’ils aimeraient bien se farcir l’œillet de la duchesse de Kern.
Elle avait beau savoir pertinemment l’effet qu’elle exerçait sur les hommes - et elle aimait ça - son statut de duchesse mariée la mettait à l’abri de toute convoitise appuyée. Si l’on mettait de côté les répliques pour le moins explicites du comte de Drangard. Ce dernier, à la sortie du premier Conseil Royal déjà, non content de la reluquer sans retenue, avait eu le culot de la complimenter sur ces fesses. Elle ne l’avait pas revu jusqu’à hier. Prétextant un entretien privé sur l’avenir des relations entre leurs duchés respectifs, il lui avait glissé, avant de la quitter, quelques remarques on ne peut plus déplacées, qui l’avaient marquée :
Et le comte avait répondu par ce sourire large qu’elle ne connaissait que trop bien, s’en allant sur ces dernières paroles.
Cette fois-ci certes, elle avait trouvé une réplique cinglante, elle n’avait pas été prise au dépourvu. Toutefois, se remémorant les mots qu’elle avait prononcés, elle ne put s’empêcher de penser que quelque part, ils sonnaient faux. L’attitude et le sourire du comte, qui n’en fut nullement intimidé, ne pouvaient que confirmer ces pensées…
Pourquoi prendrait-elle le risque de tout perdre, alors qu’elle avait eu tant de mal à en arriver là ?
Elle avait conservé sa dignité, son intégrité. Elle avait réagi comme se devait de le faire une personne de son rang, une femme fidèle à son mari. Elle avait envoyé paître ce beau parleur, qui espérait ajouter à son butin de conquêtes féminines une duchesse, mariée de surcroît. Et que dirait-on d’elle, si elle commençait à fréquenter cet homme dont la réputation n’était plus à faire? Les ragots fuseraient vite de toute part, son mariage serait en danger, et, par extension, cette position sociale qu’elle avait eue tant de mal à gagner. Non, décidément, ce bellâtre n’en valait pas la peine, il retournerait dans son fief…
Mais toutes ces excuses, ces justifications qu’elle se trouvait, ne parvenaient pas à calmer l’irrésistible envie qui montait en elle. Ces paroles étaient décidément bien excitantes.
Jaessa ne cessait de tourner en rond dans ses appartements privés. L’envoyé qui lui faisait face, attendait patiemment.
Elle n’avait pourtant pas manqué, quand elle était venue à ce Conseil Royal, de lancer un appel à l’apaisement des tensions avec le royaume frontalier. Elle n’avait pas été écoutée, que ce soit par le roy ou par ses principaux conseillers, tous obnubilés par leur sens de l’honneur aveugle et suicidaire. Aujourd’hui, l’ennemi était aux portes du duché, la débandade était générale, et bien peu nombreux étaient ceux qui croyaient encore à un possible retournement de situation.
La duchesse n’était pas de ceux-là. Elle avait tant lutté, pour gagner sa position d’abord, ensuite pour gérer ce duché… Et voilà que les atermoiements de quelques esprits guerriers menaçaient de tout lui faire perdre. Elle ne se faisait aucune illusion sur son sort si l’ennemi venait à conquérir le duché. Avec de la chance, elle serait retenue comme une prisonnière de choix en attendant une hypothétique rançon. Plus classiquement, elle courrait le risque d’être violée par le premier soldat venu, et on disait que la réputation de son physique ne s’était pas arrêtée aux frontières du royaume. Si c’était le coût de sa loyauté…
Non, elle n’avait pas à regretter son choix, elle était dans son bon droit.
Le silence fut pesant avant que la réplique, brève mais sans appel, ne sorte de la bouche de la duchesse.
Elle eut alors une pensée pour son mari qui, à cette heure, était en train de combattre à l’autre bout du royaume. Mais elle chassa cette pensée aussi vite qu’elle était venue : il ne pourrait que la remercier en temps et en heure, pour avoir sauvé leur position.
Elle savait parfaitement ce que le comte entendait par « compensation naturelle pour ce service rendu », mais elle préférait l’ignorer.
Elle prit soin de se refaire une toilette, et se vêtir de sa traditionnelle robe blanche. D’ordinaire, elle ne portait pas cette robe lorsqu’elle était dans ses appartements, mais n’était-ce pas, après tout, une réception d’importance ?
Trois coups sonnèrent à sa porte. Elle ouvrit rapidement, et se retrouva face à face avec son conseiller personnel, Verkran. Tout conseiller qu’il était, celui-ci n’avait encore jamais eu l’occasion de voir sa maîtresse dans une telle tenue, et il en perdit momentanément la parole.
Le sourire qui s’était dessiné sur ses lèvres était bien trop peu discret pour qu’il puisse échapper à la duchesse. Qu’importe ce qu’il pouvait en penser, il était à son service et garderait le silence. Tous lui sauraient gré, à elle, d’avoir préservé le duché de la guerre. Peu importait le prix à payer quand l’avenir de son fief était en jeu.
Quand la porte s’ouvrit pour la seconde fois, ce fut bien, cette fois-ci, le comte de Drangard qui entra. Vêtu comme à son habitude, il était en outre affublé de son éternel sourire de conquérant.
La discussion prit alors un ton solennel, quand ils discutèrent point par point de la reddition du duché. En vérité, alors qu’elle négociait son avenir et sa position future, son esprit était ailleurs. Toutefois, elle ne pouvait que convenir que l’offre du duc était alléchante. Son avenir assuré, son titre, ses fonctions, même si certains parleraient probablement de « trahison ». Mais ce qui occupait le plus ses pensées, était la fameuse « compensation naturelle ». Le moment vint enfin où le sujet fut abordé.
Le ton était ferme, mais résolu.
Le reste de sa phrase demeura en suspens quelques instants. Elle essayait de se donner une contenance de femme outragée par une telle proposition, mais les mots ne sortaient pas.
Néanmoins, elle se reprit et parvint à articuler les mots qu’elle cherchait.
La remarque la prit au dépourvu, tellement elle semblait hors de propos. Elle se demandait si ce petit jeu allait durer longtemps. Il était temps de mettre les choses au clair.
Une nouvelle fois, ces mots troublèrent profondément Jaessa. Tout, dans les propos du comte, tournait autour sans cesse autour de ça. Elle méprisait cette attitude grossière. Mais cette fixation sur ses formes l’excitait, elle ne pouvait qu’en convenir intérieurement.
Tout en continuant à se rapprocher d’elle, il guettait alors les réactions de Jaessa. Qui restait muette et passive. L’envie, bien plus que la déception, se lisait sur son visage.
Jaessa sentit alors deux mains qui, surgissant dans son dos, empoignaient ses fesses. Une sensation de chaleur l’envahit au contact de ses mains fermes et dépourvues de la moindre trace d’hésitation. Que de différences avec le toucher fébrile et hésitant de son cher mari, n’osant guère qu’effleurer ces parties charnelles ! Levant les yeux, elle lut sur le visage du compte ce regard de conquérant, s’apprêtant à savourer sa victoire proche. Les fermant alors, elle se laissait aller au plaisir de ce toucher, quand elle s’aperçut que le comte l’avait contournée, et se tenait désormais derrière elle. Après avoir copieusement malaxé ses fesses par-dessus sa robe, ses mains rapidement s’en prirent au vêtement. Elle se laissait aller, quand celui-ci en un rien de temps ôta cet habit encombrant.
Désormais presque nue, elle était à sa merci. Habituée par son mari à une certaine délicatesse couplée de timidité, elle fut surprise de l’énergie débordante du comte, qui la pressa contre un mur de la pièce. Il s’était peu attardé sur ses seins, ni même sur ses hanches ou ses jambes ; ses mains s’étaient contentées d’empoigner ses fesses et de la pousser jusqu’au mur. Tel une bête affamée, il avait ôté l’essentiel, et s’était rué sur sa cible sans retenue. Elle se retrouva rapidement blottie contre le mur, tournant le dos au comte, plaqué derrière elle. Quelques secondes de répit lui laissèrent comprendre que dans son dos, le comte ne perdait pas son temps et s’apprêtait déjà à accomplir ce pour quoi il était venu. Seule sa culotte de dentelles faisait obstacle à l’envie grandissante du comte.
Elle se sentit alors prise au piège. Elle sentait ce sexe tendu bloqué contre ses fesses, qui semblait vouloir chercher une entrée, qui voulait forcer le passage ; les mains du comte qui se baladaient sur ses hanches lui firent comprendre que rapidement tomberait sa dernière défense.
Elle en avait envie, et la soudaine variation du ton du comte n’y changea rien. Combien de fois n’avait-t-elle pas souhaité se faire prendre ainsi !
Mais un sursaut d’amour-propre et d’orgueil la poussa à ne pas lui offrir ce privilège.
Aussi, brusquement, elle se libéra de l’emprise du comte, et se retourna tout en s’agenouillant face à lui. En quelques secondes, celui-ci, qui n’avait pas réagi devant ce brutal changement, avait échangé une paire de fesses délicieuses pour une bouche voluptueuse. Il fut surpris de ce retournement de situation, et eut la sensation de perdre la direction des opérations. Mais elle ne lui laissa pas le temps de reprendre l’initiative. Elle avait immédiatement pris en bouche son sexe, se préparant à mettre en œuvre toute son expérience.
Un instant, elle se demanda si sa manœuvre allait réussir. Le comte, quoique surpris et déçu d’avoir été détourné de sa principale envie, apprécia malgré tout très rapidement la nouvelle situation. Il avait porté une main dans les cheveux de Jaessa, qu’il caressait légèrement. Malgré ses nombreuses partenaires passées, il n’avait pas eu beaucoup de fois l’occasion de se livrer à ce genre de pratique, et les quelques expériences qu’il avait eues en ce sens n’avaient rien à voir avec celle-ci. Jaessa était digne de son rang lorsqu’il s’agissait de sucer et le comte venait d’entrer dans le cercle restreint des privilégiés ayant profité de ce traitement de faveur. Il en avait presque oublié ses fesses, se laissant aller à cette bouche délicieuse qui ne cessait d’aller et venir sur son sexe. Le rythme était soutenu, très soutenu, les mains de Jaessa étant parfaitement coordonnées avec l’action de sa bouche, si bien que le plaisir ne tarda guère à venir.
Pour toute réponse, il n’eut qu’un soupir ponctué de bruits de succions. Jaessa s’appliquait inlassablement à sa tâche. Cette technique qu’elle avait travaillée au fur et à mesure des années, allait directement à l’essentiel : elle suçait et suçait encore, presque sans pause, sa main suivant impeccablement le rythme de sa bouche. Sucer efficacement, n’était-ce pas un talent indispensable pour toute duchesse qui se respecte ? Le tout était de l’utiliser au bon moment.
Au bout de quelques minutes de ce délicieux traitement, le comte balbutia quelques mots pour signifier à sa partenaire qu’il était sur le point de lâcher prise. Le plaisir était immense mais il redoutait d’être pris au dépourvu et de devoir s’arrêter là. Si la duchesse ôta alors sa bouche de son sexe, sa main n’en continua pas moins ces incessants va-et-vient, et rien ne semblait indiquer qu’elle avait l’intention d’arrêter. Le comte, envahi par le plaisir, n’eut pas le courage de lutter, et se concentra sur son ultime jouissance.
Jaessa, après avoir accéléré ses mouvements de main, avait dirigé son sexe vers sa bouche, au moment où celui-ci commençait à cracher tout son liquide blanchâtre. Elle savait combien les hommes raffolaient de ce petit détail, qui transformait une pipe banale en une pipe mémorable. Aussi ouvrit-elle grand la bouche, avalant les giclées qui se déversaient au fond de sa gorge. Sans perdre une seconde, elle dirigea ensuite rapidement ce sexe qui se vidait vers ses seins, qui accueillirent ainsi les dernières giclées.
Le comte avait crié tout son plaisir dans ces secondes de bonheur ultime, perdant l’espace d’un instant toute sa dignité en se laissant aller. Epuisé, il contemplait malgré tout avec délectation la vision qui s’offrait à lui : la duchesse de Kern en personne, agenouillée devant lui, continuant à branler inlassablement son sexe, du sperme coulant sur ses seins et sur son visage. Que de différences avec la duchesse rigide du grand monde, avec ses manières, ses tenues ! Et là, cette femme l’avait sucé aussi bien sinon mieux qu’une des meilleures putains du bordel de Port-Réal, et avait avalé sa semence de son plein gré… Du sperme coulant sur ses petits seins, sa langue avalant les gouttes qui avaient réchappé de sa gorge.
Les minutes qui suivirent furent des plus gênantes. Aucun des deux ne dit mot. Jaessa s’était relevée, satisfaite de sa performance. Ce fut elle qui, la première, rompit le silence, un sourire narquois aux lèvres :
Le comte se sentit quelque peu humilié par cette remarque. Il était venu, tel un conquérant, et il n’avait déjà plus de ressources, vaincu à la première pipe, s’étant laissé aller au plaisir en sacrifiant l’essentiel. La duchesse ajoutait à sa gêne en adoptant une posture triomphante, presque provocatrice, tout en restant quasiment nue. Elle s’apprêtait maintenant à reprendre ses vêtements. Mais la vue de ces fesses, protégées par cette unique couche de dentelle, rendit au comte les forces qui lui avaient fait défaut. Il allait donner une leçon à cette petite prétentieuse.
La vigueur ne mit pas longtemps à lui revenir, et c’est d’un pas résolu qu’il s’approcha de Jaessa. Celle-ci, qui s’apprêtait à remettre sa robe, s’aperçut de la reprise d’énergie, et feignit d’être surprise.
Elle n’eut pas le temps d’achever sa phrase, que le comte s’était jeté sur elle, et l’avait renversée sur le sol. Sans ménagements, il avait rapidement arraché cette culotte qui le narguait par sa seule présence, révélant pour la première fois son intimité. Des pulsions sauvages le saisirent, comme une réaction de vengeance. Il était décidé à lui faire son affaire là, à même le sol. Après quoi, il la retournerait et s’occuperait de son cul. Ce putain de cul qui le faisait fantasmer depuis des mois. Puisqu’elle l’avait sucé comme l’aurait fait une putain, elle se ferait baiser comme une putain.
Mais Jaessa, quoique surprise de ce brutal assaut, était décidée à garder les choses en main. La position dominatrice du comte ne dura pas longtemps, puisqu’une nouvelle fois Jaessa réussit le tour de force d’inverser les rôles. Elle se retrouva rapidement sur lui, les genoux de chaque côté de son corps. Elle le regardait de sa hauteur, un sourire triomphant aux lèvres. Le comte se résigna, quand elle dirigea son sexe dans le sien.
Une nouvelle fois, le comte de Drangard eut un cruel démenti, quant aux rumeurs laissant entendre que la duchesse de Kern n’était pas une connaisseuse, une fois au lit. Celle-ci l’enfourchait dans un rythme soutenu, tout en le fixant d’un sourire narquois. À chaque pénétration, elle poussait de très légers gémissements, pas vraiment sincères, mais plutôt parce qu’elle savait que cela ne pouvait qu’exciter son partenaire. Celui-ci, effectivement, apprécia rapidement pleinement la situation, oubliant ses projets de domination et laissant la duchesse diriger leur plaisir. Tandis qu’elle menait d’incessants va-et-vient, il profita de la position pour découvrir un peu plus le corps de sa cavalière. Après s’être brièvement attardé sur sa poitrine et ses hanches, il posa ses mains sur les fesses, nues cette fois-ci, et ne manqua pas de leur prodiguer d’inlassables caresses. À défaut de pouvoir les lui faire, il avait tout le loisir de les toucher et les empoigner. Et Jaessa poursuivait inlassablement ses assauts. Au lit la duchesse n’avait pas la timidité que certains lui prêtaient, même s’il n’en avait jamais vraiment douté.
Enfin il n’y tint plus. Dans un râle, il se déchargea une nouvelle fois, tandis que Jaessa continuait sur son rythme, souriant à la vue du comte une nouvelle fois vaincu. Cette fois-ci, il savait qu’il ne trouverait plus de forces supplémentaires.
Et, lui tournant le dos, elle ne manqua pas de lui présenter une vue impeccable de son cul.
Quelques minutes plus tard, le comte de Drangard était reparti. S’il avait passé un moment des plus agréables, il se maudissait de ne pas avoir forcé le passage quand il en avait eu l’occasion.
Il n’avait pas dit son dernier mot.