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Temps de lecture estimé : 14 mn
12/06/05
Résumé:  Promenons-nous dans les bois...
Critères:  fh fhh hbi inconnu magasin noculotte facial fellation pénétratio fdanus délire fantastiqu
Auteur : Athanor      

Série : Le Bazar

Chapitre 02
Comment en apprendre sur la sylviculture

Le plus dur lors du réveil, c’est de se rendre compte de la réalité. Lorsqu’on se lève de son lit à six ou sept heures du matin pour aller au bureau ou se dépêcher d’aller au théâtre pour une répétition, ce n’est pas la joie. Mais au moins, la plupart du temps on se lève d’un lit, de SON lit. Pour ma part, il s’agissait de manteaux de fourrure que j’avais empilés les uns sur les autres pour me faire un matelas et deux autres pour la couverture. Si la couverture était agréable, le matelas m’avait brisé le dos.




J’étais donc toujours dans ce satané Bazar et franchement, j’aurais préféré un réveil avec, pour l’histoire, une épitaphe du style : « Ce n’était qu’un rêve ».


Ben non.



Difficile… Pas de me rappeler les événements de la veille, ça encore, je pouvais le faire facilement. Mais d’être certain qu’il s’agissait de la veille… Je n’ai jamais porté de montre en week-end et la lumière des néons qui pendaient au plafond ne pouvait pas vraiment m’aider. À la limite, j’aurais pu rechercher le rayon Horlogerie pour me mettre au courant, mais franchement, si j’avais eu le choix, il se serait porté sur le rayon Literie.


Ce sont mes pieds qui ont cédé les premiers. J’avais trop mal pour continuer. Alors lorsque j’ai trouvé cette clairière au milieu de la forêt de manteaux de fourrure, j’ai dit « Stop ». Et j’ai repensé à tout ça. Le moment où Céline et moi avions décidé d’aller nous promener. Pour aller où ? Bof, pourquoi pas une rue piétonne ? Il faisait beau, on serait aussi bien allé à la plage. Je me souviens que la première chose que j’ai vue en entrant dans le Bazar, ce fut la pancarte qui désignait le coin des vêtements. J’aurais dû accompagner Céline, mais je suis parti de mon côté… On s’est perdu de vue. Je me suis perdu. Perdu… Dans un Bazar, en plein centre ville. Dans un Bazar qui semblait si petit et qui pourtant n’avait pas de limites.


Et puis… Il y avait cette idée. Cette idée qui restait coincée à l’intérieur de mon crâne. Je suis certain qu’elle m’avait encore chatouillé le nez pendant mon sommeil, car je restais obsédé par le rectangle rouge que l’on voit au-dessus de certaines portes. Ces rectangles lumineux qui annoncent : « Sortie de secours ». Mais elle restait bloquée, étouffée par des odeurs de sexes. Celui de la charmante vendeuse, de sa collègue. L’odeur de Madame et d’Ambre.


Lassé de me retourner la caboche dans tous les sens, je me relevai en pensant à des choses d’ordre plus pratique. J’avais faim.


Trois solutions s’offraient à moi. Je pouvais faire demi-tour et retourner sur mes pas. Mais je ne savais pas combien d’heures de marche j’avais pu faire parmi les manteaux. Et puis retomber sur cette peau de vache de Madame ne me plaisait guère. Je pouvais continuer dans la même direction ou encore en choisir une autre au hasard. Il me fallait choisir judicieusement.


« Pouf ! Pouf, ça sera toi que je prendrai mais comme le roi et la reine ne le veulent pas ça ne sera pas toi ! Pif, paf, pouf, tiré ! »


Finalement, j’optai pour la même direction que la veille. Alors que je tendais les bras pour écarter les manteaux, je rencontrai une paire de mains !

Nous fûmes deux à pousser un cri (peut-être même un hurlement) de surprise.



Une jeune femme apparut hors des fourrures et me regarda, apeurée. Puis son regard changea du tout au tout !



Je suis toujours de mauvais poil, lorsque je dors mal. Mais dans un sens, je compris son soulagement. Elle était la première personne que je rencontrais et qui ne semblait pas travailler dans ce Bazar. Si elle portait une jupe, comme toutes les femmes que j’avais croisées ici, c’était le modèle mini kilt. Ses cheveux auburn étaient courts et raides, coiffés à la mode « oreiller ». Elle devait avoir vingt ans à peine.



Ce n’était pas l’endroit pour perdre son temps en salamalecs.



Elle s’engouffra dans les manteaux et je suivis son pas. Ma nouvelle compagne de route était entrée dans le Bazar par curiosité. Comme nous, elle était tombée dessus par hasard, comme nous elle n’avait vu aucune publicité parlant de l’ouverture de ce magasin. Lorsque je lui demandai combien de personnes elle avait rencontrées, elle eut un petit temps d’arrêt.



J’avais l’impression qu’elle me mentait. Chose bizarre : si moi je n’étais tombé que sur des femmes, elle n’avait vu que des « crétins ». Lorsqu’elle me demanda en quoi mes rencontres avaient été étranges, je décidai de lui dire la vérité.



Malgré tout elle ne se décida pas à parler et nous continuâmes en silence. Au bout d’un temps, alors que mon ventre criait famine, un mur nous arrêta.



On écarta un peu les manteaux qui nous léchaient le visage et on s’installa.



Je pris son gâteau, la remerciai et je mâchonnai en silence.



« Tu trouves ton bonheur ? »

« Je ne sais pas », j’ai répondu.

« Viens nous montrer ! » a proposé Eric.


C’est comme ça que j’ai commencé à me montrer. Je défilais devant eux et je retournais dans la cabine pour en mettre un autre. J’avais l’impression que le tas de maillots que j’avais choisis ne diminuait pas. On se serait cru dans "Pretty Woman". Je riais bien de leurs commentaires, mais au bout de cinq ou six allers-retours, j’ai remarqué qu’ils se branlaient. Je fis comme si je ne voyais rien, au début. J’ai même pensé que c’était très excitant, deux mecs qui se branlaient en me matant en maillot de bain. En temps normal, je n’aurais jamais pensé une chose pareille. Très vite, ils ont changé de jeu et se sont masturbés mutuellement. Chacun s’occupait de la queue de l’autre. Je suis restée à les regarder bêtement avec mon maillot une pièce.


« Change, me dit Bertrand, il ne te va pas bien celui-là. »


Je suis retournée dans la cabine mais je n’ai pas tiré le rideau. J’ai enlevé mon maillot en les regardant. Ils avaient l’air ravis. J’étais devenue folle. Je le savais, je l’ai pensé. Malgré tout, j’ai refait le défilé. J’avais choisi le maillot le plus petit possible. C’était un maillot deux pièces, très fin. La ficelle du slip me rentrait dans le cul. Ils ont lâché les sexes raides pour m’applaudir et moi, pauvre cloche, j’étais heureuse de ça. Je les ai salués comme si je venais de faire un tour de magie. Bertrand m’a caressé une fesse lors d’un passage. Ce toucher m’a fait frissonner. Alors, je me suis cambrée pour qu’il recommence. Ensuite, je me suis approchée d’Eric et je me suis assise, face à lui, sur ses genoux. Il s’est emparé de mes fesses et me les a malaxées avec douceur.


« Tu veux jouer avec nous ? me demanda-t-il.

« C’est quoi ton jeu ? j’ai demandé en enlevant le haut.

« C’est simple. Bertrand me branle, moi je te branle et tu t’occupes de moi. »


Il me donna un baiser sur chaque sein et je suis partie en courant pour chercher un tabouret et me joindre à eux. Bertrand avait déjà commencé le travail avec Eric. J’ai demandé à ce dernier, qui avait les mains libres, de retirer mon slip de bain. C’est ce qu’il a fait et j’ai senti sa langue suivre le sillon de mes fesses. Je me suis assise toute excitée et la chatte déjà humide. Je m’emparai de sa queue et commençai de longs va-et-vient. Je sentis des doigts de pieds me caresser la chatte. Ce n’était pas très agréable, mais l’ambiance suffisait à me faire mouiller. Rapidement, j’ai délaissé les caresses d’Eric, je me suis penchée sur la bite de Bertrand et je l’ai prise en bouche.


« Elle suce bien ? demanda Eric.

« T’es jaloux ? a répondu son ami. Attends.


Je l’ai senti se baisser et je compris qu’il suçait Eric. J’ai été le rejoindre parce que je n’avais jamais vu la bouche d’un mec pomper une bite. Pendant qu’il s’occupait du gland, je léchais les couilles. Puis nous avons changé de place. J’ai chatouillé le gland avec ma langue un moment, puis je l’ai pompé. Eric gémissait sous nos caresses et nous encourageait.

« Je vais jouir, qu’il a crié.

« Tu prends tout ? m’a demandé Bertrand.


Au même moment Eric a déchargé dans ma bouche. J’ai tout avalé et ce que je n’avais pas pompé directement, je l’ai sucé sur sa queue et sur mes doigts et ceux de Bertrand.

« A moi, a dit Bertrand.


Il m’a prise par les hanches et, avec une force que je n’aurais pas imaginée en lui, il me souleva. Il me fit tourner un moment, ce qui eut le don de me faire rire. Je lui ai roulé un patin d’enfer pour lui faire goûter le sperme de son copain.


« Baise-moi, j’ai dit.


Il m’a allongée par terre, sur le dos et a commencé à me pilonner. Ses coups de queue me rendaient folle. J’en voulais plus, toujours plus. Il s’est retiré pour éjaculer sur ma poitrine puis, sans un mot, a laissé sa place à Eric. Eric s’est mis devant moi pour se branler. Pour l’exciter, j’ai étalé le sperme de Bertrand sur mes seins et tiré sur mes tétons en poussant des petits cris. Je voulais qu’il bande et qu’il me baise. Je l’encourageais comme je le pouvais. Je lui disais que j’étais une chienne en chaleur, une salope qui voulait sa queue, des conneries comme ça. Son sexe était de nouveau raide.


« A quatre pattes, petite pute, qu’il a ordonné.


Le dernier mec à m’avoir parlé comme ça s’est retrouvé à poil devant la porte de mon appart en pleurant pour que je lui rende au moins son caleçon. Mais pour Eric, ce fut différent. Je me suis mise à quatre pattes en me cambrant le plus possible. J’ai eu un peu peur lorsque j’ai senti sa queue caresser mon cul mais finalement, il s’est enfoncé dans ma chatte. Jamais on ne m’avait baisée avec autant de violence. Je ne savais plus si je devais crier de plaisir ou de douleur, si j’étais soulagé ou déçue qu’il ne m’encule pas. Je ressentais ses coups de queue comme de vraies bombes qui venaient m’éclater le sexe. Quelques fois, il me frappait les fesses du plat de sa main. Et moi je criais :


« Continue, continue !


Le sperme de Bertrand coulait sur ma poitrine jusque sur mon cou avant de tomber par terre en gouttelettes et bientôt celui d’Eric fut éjecté sur mon cul. »



Elle voulut ajouter quelque chose mais se retint et baissa les yeux. C’est à ce moment qu’elle dut se rendre compte que sa main droite frottait nerveusement sa chatte sous sa jupe. Je me suis demandé si elle mouillait autant que je bandais. Son histoire m’avait totalement retourné.



Elle se leva à son tour mais cette fois, je pris la tête. Je ne voulais en aucun cas me retrouver derrière son petit cul. Mon sexe me faisait mal à force d’être raide et des images érotiques s’emballaient dans mon esprit. Mes expériences dans le Bazar se mélangeaient avec les siennes. Dans ma tête je ne sodomisais plus Madame, mais je m’occupais fermement du cul d’Irina. Je voulais mettre ma queue entre ses fesses et ça me rendait fou. Mais comment avait-elle pu me raconter tout ça ? En lui racontant mon histoire, je lui avais fait comprendre que j’avais baisé avec trois femmes, mais elle m’avait tout raconté dans le détail. Le Bazar y était pour quelque chose. C’était lui qui me rendait dingue, qui me faisait fantasmer sur Irina.


C’est en arrivant devant les gâteaux que je me suis demandé si elle voulait me sucer autant que moi je voulais la baiser. Un violent frisson me parcourut le corps.

« Si ça continue comme ça, pensai-je, je vais jouir dans mon froc, sans même avoir à me toucher. »


Heureusement, en m’occupant de mon ventre, j’oubliai un peu tout ça.



Je ne savais pas trop où cela allait nous mener mais j’ai toujours aimé être en hauteur. Nous fîmes donc demi-tour en surveillant le mur pour savoir à quel endroit nous pourrions l’escalader.



Je croisai les doigts et elle mit son pied gauche pour monter. Elle s’accrocha au haut du mur mais eut quelques problèmes pour se hisser.



Je me retournai et me préparai à pousser. J’eus un moment d’hésitation. À première vue, après sa dernière expérience, elle avait oublié de remettre son slip. Après avoir plaqué son mini kilt contre ses fesses, je poussai.



Je bandais dur. Une érection apparut d’un coup et elle était assez gênante. Je serrai un peu plus ma prise, une main sur chaque fesse.



Impossible de savoir ce qu’elle voulait réellement. J’arrêtai de pousser pour la maintenir dans cette position.



Je la lâchai et ses fesses apparurent sous son kilt. Cette fois, je pris son cul à pleine main et je poussai fort tout en écartant les fesses. Elle ne semblait faire aucun effort pour monter en haut du mur, bien au contraire. Mon pouce s’approcha de son petit trou et commença un léger massage.



Mon pouce força le passage et elle poussa un petit cri. Ses pieds vinrent prendre appui sur mes épaules et elle plia les jambes jusqu’à ce que son sexe se pose sur ma bouche. La position, n’avait rien d’agréable car ma tête était penchée à l’extrême en arrière mais à ce moment-là, je n’y pensais pas, je lapais sa chatte qui s’humidifiait. Mes mains, écartant ses fesses au maximum, me permettaient de frôler de la langue son petit trou, ce qui eut le don de lui faire lâcher un soupir. Mais au moment où je voulus la faire redescendre, elle fut littéralement aspirée vers le haut. Le cri qu’elle poussa n’avait plus rien à voir avec le plaisir. Je restai un instant interdit, regardant le haut du mur et espérant voir sa tête réapparaître.



Rien. Je fis alors des sauts pour atteindre le sommet, mais sans succès. Me retournant vers les portemanteaux, j’en saisis un pour m’en servir comme appui. La barre de fer verticale se plia, mais le pied refusa de décoller du sol. Je décidai de grimper en haut du portemanteau et de faire pencher vers le mur avec mon poids. Il se pencha un peu trop rapidement et je faillis retomber la tête la première. Heureusement, j’eus assez de réflexes pour me cramponner au mur. Après avoir repris mon souffle, je me hissai.

Un miroir. J’aurais pu traverser un miroir. Même en hauteur, il y avait des portemanteaux remplis de fourrure. Mais pas de trace d’Irina.

J’avançai un moment en l’appelant, puis en silence. Je savais qu’il ne fallait pas chercher de logique. J’arrivai dans une sorte de clairière où je décidai de m’asseoir. Le sol était inégal, bien que la moquette grisâtre l’épouse parfaitement.



Je sautai sur mes pieds, me retournai et tombai nez à nez avec une femme corpulente d’une quarantaine d’années, vêtue d’un treillis et d’une veste de chasseur. Mais le plus impressionnant était sans aucun doute la hache qu’elle tenait dans sa main droite.



La femme se mit à rire.



Elle me tourna le dos et se dirigea vers les portemanteaux.



Elle prit son élan et frappa la barre verticale du portemanteau.



Un autre coup de hache fit trembler le portemanteau et une femme nue en tomba. Elle était étrange. Son corps était d’une pâleur extrême, tout comme ses cheveux d’ailleurs. Lorsqu’elle releva la tête, elle nous montra un visage dépourvu de nez avec des yeux totalement bleu, sans iris. Seules ses lèvres, rouges, dénotaient un semblant de vie. Marala la chassa en faisant jouer sa hache au-dessus de la tête de la femme qui ne demanda pas son reste.



Elle commença à raconter ses aventures, mais je ne l’écoutais pas. Des yeux bleus, inhumains, me fixaient. J’avais du mal à respirer. La créature s’approcha sans bruit pour que Marala ne l’entende pas. Alors qu’elle se mettait debout, je remarquai que ses seins n’avaient pas d’aréoles et que ses poils pubiens étaient grisâtres. Plus elle s’approchait, plus mon érection grandissait, seule partie de mon corps qui acceptât de se mouvoir.


Dans mon dos, j’entendais le son de la voix de Marala, sans bien comprendre ce qu’elle racontait, j’entendais les coups de hache mais je ne voyais plus que la femme aux lèvres rouges. Sans quitter mon regard, elle s’agenouilla et déboutonna rapidement mon pantalon. Elle saisit mon sexe raide et le glissa entre ses lèvres rouges, si rouges. Sa bouche était aussi chaude que son corps semblait mort et froid. Je me cambrai le plus possible pour profiter au mieux de ses caresses buccales et elle s’empara de mes fesses. Je sentais la jouissance venir petit à petit et les coups de langue se concentrer de plus en plus sur mon gland. Mais ce ne fut pas du sperme chaud que ma queue expulsa, mais des braises ardentes. Mon corps jonglait entre la douleur et le plaisir extrême. Ma respiration fut coupée, mon cerveau se liquéfiait. Peut-être pour respirer, la créature relâcha son emprise sur mon sexe. Ce fut comme une libération. Je pus enfin réagir comme n’importe quel mâle viril dans cette situation. Je poussai un long hurlement de terreur.