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Temps de lecture estimé : 18 mn
25/06/05
corrigé 30/05/21
Résumé:  Denise raconte son "vrai" dépucelage à Vincent.
Critères:  fh hplusag couplus extracon cousins hotel init
Auteur : Amenophis      

Série : Un parfum d'autrefois

Chapitre 10 / 14
Un parfum d'autrefois (10)

Vincent continue à écouter les souvenirs de jeunesse de sa charmante logeuse…




[…]


Même si Mademoiselle Hortense avait fait craquer mon hymen, ce n’était pas un véritable dépucelage. C’était comme si cela s’était produit de façon fortuite ou accidentelle. Il paraît que ça arrive systématiquement aux filles qui pratiquent le grand écart, en gym par exemple.

Dans ma tête, j’étais toujours vierge.

Comme je te l’ai dit, j’avais choisi depuis longtemps celui qui devait me rendre femme. C’est pourquoi je n’avais jamais consenti à me laisser pénétrer par un sexe masculin, même en me livrant à des jeux sexuels poussés.

Ma patience fut enfin récompensée. Et même si les circonstances furent tout à fait rocambolesques, j’en ai gardé, crois-moi, un excellent souvenir.


Comme je te l’ai dit, mon cousin Rodolphe avait été le compagnon principal de mes jeux pervers pendant ma petite enfance. Nous ne faisions rien de bien important, bien sûr, mais il aimait bien mettre ses doigts dans ma petite fente et il me demandait toujours de caresser son sexe qu’il appelait " sa quéquette ".

Encore une fois, c’est un souvenir qui m’émeut toujours, même avant qu’il n’ait des poils (signe que nous attendions tous et qui marquait, sans que nous le sachions vraiment, le passage à la maturité sexuelle), et son sexe se raidissait quand je le prenais dans ma main. Il ne bandait pas vraiment, mais sa quéquette s’allongeait, se redressait, et devenait assez dure quand même. Surtout quand je passais mes doigts sur le bout, autour du petit gland.

Une année, il me montra un nouveau jeu.

Il se coucha sur moi et frotta son sexe contre ma fente. Il avait dû voir faire des adultes, mais pas suffisamment pour tout comprendre. Il ne chercha pas à me pénétrer, mais le frottement de sa petite bite contre mon petit clito me procura une sensation de bien-être intense, et je lui réclamais souvent de le faire. Nous disions que nous faisions l’amour.


Puis, pendant deux ou trois ans, je ne l’ai pas revu. Quand nous nous sommes retrouvés, il était devenu un bel adolescent. Hélas ! moi je n’étais encore qu’une gamine ! Mes seins commençaient à bourgeonner mais, à la fourche de mes cuisses, il n’y avait toujours pas l’ombre d’un poil.

Quand nous fûmes seuls, je lui proposai de reprendre nos jeux. Il semblait gêné. Après quelques hésitations il fut d’accord pour que nous nous montrions ce que nous avions dans nos culottes. Je fus vraiment surprise de la transformation qui s’était opérée en lui. D’abord, il avait des poils.

Quelle chance il avait !

Le prestige que je lui attribuai d’emblée était à la hauteur de l’idée que je m’en faisais. Mais de plus sa « quéquette » était devenue une vraie belle bite qui, quand je la pris dans la main, se dressa fièrement, dure et grosse. Cette fois, il bandait vraiment.

Je lui demandai de venir sur moi pour le frotter sur ma fente, comme autrefois, mais il refusa. Il me dit qu’il ne fallait pas. Que maintenant son sexe était trop gros en comparaison du mien et qu’il risquait de me faire mal. J’étais très déçue et j’avais envie de pleurer :



J’éclatai en sanglots. Il tenta de me consoler.



En fait, il me montra comment le masturber !

Je m’appliquai à reproduire le mouvement de va-et-vient qu’il m’avait montré. Il ne fallut pas longtemps, même avec mon inexpérience, pour qu’il soit prêt à exploser.



Je n’aurais arrêté mes caresses pour rien au monde.



Pour gicler, ça a giclé !

Je regardai, émerveillée, les longues gouttes de sperme jaillir de sa pine. Je n’étais pas sur la trajectoire et le liquide tout blanc se perdit dans le foin de la grange où nous étions cachés. Mais les dernières gouttes coulèrent sur ma main. Ce fut mon premier contact avec le sperme et je trouvais ça extraordinaire. J’ai porté ma main à mes lèvres pour la lécher, mais mon cousin m’en a empêché.



Ce n’était pas sale du tout. Et j’en ai léché et avalé des quantités depuis. J’adore ça, comme tu l’as vu toi-même. Mais,à l’époque je ne savais pas, alors j’ai obéi. Par contre, je ne me suis pas essuyé la main, et ça a séché. Pendant trois jours je ne me suis pas lavée à cet endroit pour garder ce merveilleux cadeau qu’il m’avait fait.



Ce fut notre dernière rencontre intime cette année-là.

Inutile de dire qu’après ça je guettais avec encore plus d’impatience l’apparition de ma toison et le développement de mes seins. Mais, pour des raisons qui n’ont aucun intérêt, nous n’avons plus eu l’occasion de nous voir. Et un jour j’ai eu des poils et des seins sans que mon cousin soit là pour le constater. Comme je te l’ai raconté avant, j’ai continué à pratiquer des jeux à caractère sexuel en refusant qu’un homme ne me prenne pour conserver intacte cette promesse faite dans la grange.

Enfin, alors que j’avais atteint mes 18 ans, je fus invitée, comme toute la famille, pour le mariage de Rodolphe. C’est avec beaucoup d’émotion que je le revis. L’adolescent était devenu un homme. Il était beau et mon cœur battait très fort quand nous nous sommes chastement embrassés.



Je rougis. Je savais bien que mon corps plaisait aux hommes, mais, venant de sa part, le compliment me faisait fondre. D’autant plus que j’avais vu son regard me détailler et s’attarder sur mes formes rondes et fermes. Il faut dire que j’avais un décolleté qui découvrait mes seins à la limite de ce qu’il est possible de faire sans qu’un faux mouvement ne fasse apparaître un mamelon par inadvertance. Comme je n’avais pas besoin de soutien-gorge, je n’en avais pas mis, et avec mon décolleté cela se voyait, car il descendait assez bas pour laisser nu la totalité du sillon qui sépare mes seins. Pour le bas, j’avais mis une minijupe plissée qui faisait ressortir mes rondeurs culières et un string et, lorsque je bougeais un peu trop, le pli de mes fesses apparaissait fugitivement en haut de mes cuisses. J’étais sexy en diable, à l’extrême limite du "pousse-au-viol ". D’ailleurs certains « tontons » se découvraient un soudain intérêt pour la jeunesse. Enfin la mienne en tout cas ! Mais ils avaient tendance à ne pas me regarder dans les yeux, à loucher plutôt sur mes nénés. Par contre, les autres femmes me lançaient des regards aussi furibonds que la sollicitude de leurs bonshommes. Mais elles pouvaient être rassurées, ce n’était pas leur mec que je visais.


La noce se déroula normalement, sans que j’aie d’autre contact direct et privé avec Rodolphe. Il me présenta sa femme :



La mariée me sourit mécaniquement, mais ne prêta aucune attention à ma tenue sexy.

Pendant tout le repas, mon cousin ne cessa de me regarder à la dérobée, mais sa femme n’y trouva rien à redire car elle-même était très occupée à rire et chahuter avec les garçons d’honneur. L’un d’eux semblait d’ailleurs lui plaire particulièrement.

Je m’étais mêlée à une bande de jeunes, cousins cousines et autres copains, et nous nous amusions bruyamment.

Après le repas, on dansa, et je fis quelques slows avec un jeune gars de mon âge qui me serrait de près depuis le début de la soirée, et qui profita de la pénombre pour me caresser les seins et peloter assez maladroitement mes fesses.

Mais j’étais préoccupée par bien autre chose.

La vue de mon cousin, tout beau dans son costume de marié, m’avait émoustillée. Je revivais notre dernier tête-à-tête intime. Je revoyais son sexe en train d’expulser sa semence, et je me remémorais sa promesse de me faire perdre ma virginité. Sans y croire totalement, je souhaitais que cette rencontre soit l’occasion, pour mon cousin, de tenir sa promesse de me faire devenir une vraie femme. J’en avais marre en effet de devoir protéger ainsi ma « virginité ». D’abord parce que j’avais souvent droit à des colères de la part de certains de mes flirts qui me traitaient d’allumeuse. Certains se contentaient de ma main, de ma bouche ou même de mes seins, mais pas tous. D’autres avaient tenté de détourner le problème en essayant de m’enculer. Mais j’avais aussi refusé cette éventualité, car je pensais qu’étant donné la proximité des deux endroits, je n’étais pas sûre du tout que dans le feu de l’action mon berlingot n’y passe également. D’autant que je connaissais ma faiblesse de caractère lorsque mon corps était en pleine jouissance. C’était aussi la raison pour laquelle ma résolution devenait de moins en moins tenable. Je sentais bien qu’il me fallait ou devenir nonne (et encore !) ou sacrifier mon rêve si je ne profitais pas de cette heureuse circonstance pour obtenir que mon cousin me baise enfin, même si c’était le jour de ses noces.


Vers minuit j’eus le bonheur de pouvoir danser avec lui.

Comme la piste était fort sombre et que nous avions l’un comme l’autre pas mal bu, il n’y eut aucune gêne entre nous. J’écrasai mes seins contre sa poitrine et mon pubis contre sa braguette. Il me caressa immédiatement les fesses, allant même jusqu’à suivre le sillon de ma raie d’un doigt inquisiteur.

L’ensemble dut lui faire de l’effet, car je sentis son érection se développer contre mon ventre.



J’étais sûre du contraire, car j’avais vu la mariée danser avec le garçon d’honneur qui lui faisait du rentre-dedans depuis le début de la soirée. Malgré la pénombre quasi totale, j’avais bien vu qu’ils étaient en train de flirter un maximum. Déjà, au moment de la jarretière, c’était lui qui l’avait emportée. Or, au lieu de la mettre juste au-dessus du genou, elle l’avait placée en haut de la cuisse, ce qui aurait normalement nécessité de relever la robe très haut et de dévoiler sa culotte à toute l’assistance pour que la récupération se fasse au grand jour. Aussi, sous le prétexte de ne pas choquer les enfants, c’est sous les jupes relevées aux genoux seulement, que le beau jeune homme était allé chercher son trophée. La manœuvre avait pris un peu plus de temps qu’il n’en fallait normalement, au prétexte du travail en aveugle. Et il m’avait alors bien semblé que la jeune femme frémissait de plaisir.



J’étais au comble du bonheur : mon Rodolphe avait enfin accepté de me dépuceler.

Le soir même de son mariage en plus !

Il voulait bien baiser avec moi, sa petite cousine qui avait gardé sa virginité intacte (enfin presque) jusqu’à 18 ans. Et ça simplement parce que, quelques années auparavant, elle avait rêvé de faire l’amour avec lui ! Quel bonheur ! Quelle revanche !

Je ne regrettais rien de ce que j’avais enduré comme insultes ou rebuffades de la part des garçons que je faisais jouir sans jamais leur céder ma chatte.


Rodolphe fit croire qu’ils avaient décidé de s’en aller séparément pour que personne ne les suive. Il partit donc seul en voiture et je le retrouvai plus loin. Il m’expliqua qu’une solution de rechange avait été prévue pour le cas où le lieu de leur chambre nuptiale serait découvert. C’est dans cet abri secret qu’il me proposait de m’emmener pour me faire femme.


C’était un bel hôtel style petit château perdu dans la campagne, dans lequel il me dit avoir loué une suite. À cette heure, les propriétaires étaient couchés, mais il avait les clés.

Nous fîmes le moins de bruit possible pour ne pas de les réveiller. Je croyais que mon cousin voulait surtout éviter de leur fournir des explications sur le changement de mariée. Ce qui, mais je ne le savais pas, ne les aurait pas forcément choqués. Je te dirai pourquoi par la suite.

Enfin, nous arrivâmes sans encombre et sans bruit dans le salon attenant à la chambre.

La tension ressentie pendant notre progression dans l’hôtel, la peur d’être découverts ajoutèrent sans aucun doute à mon excitation qui était déjà très forte car, durant le voyage en voiture, nous avions bien entamé les préliminaires.

Conduisant d’une main, il m’avait longuement caressé la chatte, introduisant ses doigts dans mon vagin trempé de mouille, massant mon clito avec art, au point de me faire jouir dans ses doigts.

Puis, au risque d’un accident, c’est moi qui, après avoir sorti sa bite toute bandée, lui avait prouvé mes talents de fellatrice. Je m’étais acharnée à le chauffer un maximum, mais sans jamais l’amener à éjaculer, car je voulais garder sa semence pour ma chatte !

Sans compter que jouir en conduisant aurait pu nous amener à provoquer un accident, même si Rodolphe conduisait très prudemment pendant tout le temps où je lui prodiguais ma caresse buccale.


Bref, nous étions tous les deux totalement chauds et impatients de " conclure ".


Aussi, dès la porte d’entrée refermée sans bruit, je me précipitai pour dégrafer le pantalon et baisser le slip découvrant le sexe triomphant de mon cousin qui se jeta sur moi. Ma minijupe n’était pas un obstacle, et le string fut écarté sans problème pour offrir ma petite chatte à sa concupiscence.

Appuyée contre le mur, je subis avec délice l’assaut de mon bel amant qui n’eut aucune peine à faire entrer sa queue dans mon intimité.

Enfin ! Quel bonheur !

Cela faisait huit ans que j’attendais ce moment. Depuis que j’avais vu sa magnifique queue cracher son sperme dans le foin de la grange !

J’eus la présence d’esprit de crier un " Aïe " un peu sonore, bien que je n’eus rien senti, évidemment. Il fallait bien que je gomme un peu les dégâts qu’avait commis cette salope de Mademoiselle Hortense.

J’eus l’impression que, tout à son excitation, mon cousin faisait à peine attention à ce détail. Il me prit d’ailleurs instantanément les fesses à deux mains et se mit à me baiser avec ardeur.

Dieu ! qu’elle était bonne cette bite dans ma petite chatte presque vierge.

C’était vivant, c’était chaud. Rien à voir avec le gode de la surveillante. Il ne fallut pas longtemps avant que je ressente les prémices d’un orgasme dévastateur.

Mais, tout à coup, des cris de plaisir poussés par une femme se firent entendre, tout proches.



Mon cousin mit quelques secondes à réaliser que ces paroles enflammées venaient de la chambre contiguë, et que c’était la voix de sa femme.



Il me prit par la main pour m’entraîner dans la pièce à côté.

Dans les secondes qui suivirent, nous apparaissions dans l’encadrement de la porte de la chambre. Mon cousin était en pans de chemise, la bite encore bandée et toute luisante de foutre. Mon string en lambeaux laissait voir largement ma chatte, mes seins étaient nus, ma mini et mon chemisier gisaient dans le salon.

Sur le lit, la mariée, qui avait gardé sa robe de cérémonie, était troussée jusqu’à la taille, et le garçon d’honneur, nu, à part ses chaussettes, était planté jusqu’à la garde entre ses cuisses ouvertes à 180 degrés. Tous deux nous regardèrent bouche bée pendant quelques secondes.



À suivre….