n° 09372 | Fiche technique | 29132 caractères | 29132Temps de lecture estimé : 18 mn | 05/07/05 |
Résumé: A la demande de Didier, Denise continue le récit de son dépucelage. | ||||
Critères: 2couples grp couplus extraoffre cousins hotel fellation échange partouze | ||||
Auteur : Amenophis |
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Dans les secondes qui suivirent, nous apparûmes dans l’encadrement de la porte de la chambre. Mon cousin, était en chemise, la bite encore bandée et toute luisante de foutre. Mon string, en lambeaux, ne cachait rien de ma chatte, mes seins étaient nus, ma mini et mon chemisier gisaient dans le salon.
Sur le lit, la mariée, qui avait gardé sa robe de cérémonie, était troussée jusqu’à la taille, et le garçon d’honneur, nu – à part ses chaussettes – était planté jusqu’à la garde entre ses cuisses ouvertes à cent-quatre-vingt degrés. Tous deux nous regardèrent bouche bée pendant quelques secondes.
La jeune femme ne semblait manquer ni de sang-froid ni d’à-propos.
Le plus gêné c’était incontestablement le garçon d’honneur. Se trouver coincé en train de baiser la mariée, alors qu’on est garçon d’honneur de l’époux, c’est un peu gênant quand même. De plus, la porte s’était ouverte pile au moment fatidique des orgasmes. Notre irruption lui avait fait perdre son contrôle, et il avait lâché la purée alors que, du fait de la surprise, il se retirait du vagin de la jeune mariée. Son sperme avait alors giclé un peu partout. Sur le ventre de la jeune femme d’abord, sur la robe de mariée ensuite. Avec les dernières gouttes il avait maculé la moquette. Quel dommage de perdre tout ça ! Maintenant sa verge marquait ostensiblement six heures trente. Il amorçait d’ailleurs un mouvement de repli stratégique, mais Marjorie était décidée à ne pas céder.
Puis, à l’adresse de son mari.
En effet, le Fabien n’était pas dans une forme éblouissante. On croyait Marjorie sur parole, mais faut reconnaître que nous n’avions pas l’évidence devant les yeux.
Là, elle était vacharde la mariée ! Elle savait bien que les hommes sont très sensibles sur la taille de l’engin qui leur pend entre les jambes.
Il avait raison mon cousin. La plupart des femmes te diront la même chose. Ceci dit, il y en a certaines qui aiment vraiment les grosses queues. Mais je suis sûre que sa femme disait tout ça uniquement pour le mettre en difficulté et retourner la situation en sa faveur. D’ailleurs il était plutôt bien monté, mon cousin. En tout cas, moi il avait bien rempli ma petite chatte, et je sentais venir l’orgasme juste au moment où sa salope (c’est elle qui avait commencé en me traitant de pouffiasse !) de femme ne se signale à notre attention en gueulant qu’elle jouissait. Avec une vie sexuelle vachement débridée, qui était-elle pour nous donner des leçons ? Et me traiter de pouf ?
En attendant que mon cousin se décide à me faire parvenir à un orgasme bien mérité, j’avais déjà pris la bite de Fabien dans ma bouche. Ce qui m’évita de répondre à la question de Rodolphe. La verge du garçon d’honneur avait le goût du sperme, dont il avait en partie honoré la mariée, et du foutre dont elle avait dû l’enduire copieusement. Hormis ses accès de timidité, il semblait être assez performant, car il ne fallut que quelques coups de langue bien placés à la base du gland pour que son sexe retrouve une belle vigueur. Et Marjorie avait raison : un vrai petit âne !
Pendant ce temps ma nouvelle cousine avait voulu enlever sa robe de mariée, mais son mari l’avait empêchée d’un geste.
Et mon cousin, après avoir fait mettre sa nouvelle épouse à genoux sur le bord du lit, lui rabattit la robe et les jupons sur le dos et la tête, et vint enfiler sa queue dans la chatte encore dégoulinante du sperme de son garçon d’honneur. Sa bite était certes moins impressionnante que celle de Fabien, mais il n’avait pas débandé une seule seconde. Je suis sûre que la situation l’excitait et qu’il avait été vachement émoustillé rien qu’en voyant sa femme emmanchée par son copain. Marjorie devait aussi apprécier la situation car, malgré ce qu’elle avait fait comme commentaires sur la supériorité de Fabien, il ne fallut que quelques allées et venues de Rodolphe dans son vagin bien lubrifié pour qu’elle recommence à chanter Manon.
Pendant ce temps, moi je continuais à tailler ma pipe au garçon d’honneur.
C’est vrai qu’il était grand ce lit ! Un « King Size » comme disent les Américains. À peine étais-je assise sur le bord où j’avais amené Fabien en le tirant par la queue, que Rodolphe suggéra :
C’était bien parti ! Les garçons avaient décidé de nous prendre à leur guise et de passer d’une chatte à l’autre sans nous demander la permission. Ceci dit, j’étais contente de retrouver mon Rodolphe. Je m’allongeai sur le dos, et j’écartai largement les jambes comme la mariée le faisait tout à l’heure en se faisant pistonner par le garçon d’honneur. Ce faisant, mon mollet vint s’appuyer sur le fessier de ma voisine qui se faisait à nouveau emmancher en levrette par cette queue qu’elle trouvait si bonne. Mon cousin contempla un instant ma chatte avant de s’avancer, le membre viril pointé vers sa cible. Sa pine toute maculée des sécrétions de sa femme et du garçon d’honneur n’eut aucune peine à réinvestir ma crevasse. Il se mit à me baiser à grands coups de queue, s’appuyant d’une main sur le lit, tandis que de l’autre il me massait le clitoris. Je suis vaginale et clitoridienne, et je peux jouir indifféremment de l’un ou de l’autre. Mais si on me stimule les deux en même temps, ça devient formidable. Non seulement je ne mis pas longtemps à jouir, mais ce fut très violent. Rien à voir avec les petites secousses que j’éprouvais à la suite de mes masturbations ou des léchouilles qu’on m’avait faites. Je criai très fort et les vagues de plaisir durèrent longtemps. Surprise par cette violence, Marjorie, toujours prise en levrette par Fabien, retrouva ses réflexes de partouzeuse expérimentée. Toujours solidement emmanchée, elle se déplaça latéralement vers moi pour m’embrasser à pleine bouche. Je lui rendis son baiser avec fougue, et presque violemment, j’empoignai ses seins qui pendaient au-dessus de moi et me mis à les malaxer, torturant les pointes à lui faire mal. Ce fut sans doute cette sollicitation, jointe à l’action de la grosse queue de Fabien, qui déclencha sa jouissance. Elle aussi cria et se mit à agiter la tête en tous sens, balayant mon visage de ses cheveux.
Mon cri vint du cœur en même temps que je m’agrippai à ses hanches pour le retenir en moi.
Je voulais recueillir en moi cette bonne jute que j’avais vue sortir de sa verge et se perdre dans le foin. J’en rêvais depuis, comme d’une chose merveilleuse. Bien sûr, au cours de toutes ces années, j’avais vu des dizaines d’éjaculations. J’avais reçu des giclées partout sur le corps. J’en avais même avalé souvent. Mais aucune goutte de sperme n’avait pénétré dans ma chatte dans l’attente de la jute de mon cousin. C’était ma deuxième virginité et je tenais aussi à ce que ce soit lui qui la prenne. En le maintenant bien enfoncé en moi, je me mis à tortiller des fesses et à contracter mes muscles intimes pour resserrer mon vagin et masser le plus que je pouvais le pieu de chair qui me clouait.
D’instinct, je lui suggérai de s’exciter en regardant sa femme se faire baiser. Avec ce qu’ils avaient dit avant, j’étais sûre que c’était pour lui un stimulant puissant. Rodolphe ne se fit pas prier. Tout en continuant à aller et venir dans ma chatte, il se mit à peloter le cul de Marjorie, les fesses d’abord, puis la raie, et je le vis nettement introduire un doigt dans l’anus offert.
Ce salaud de Rodolphe mit alors sa main à la jonction des deux sexes pour tâter le con de sa femme et la queue de son copain et voir si tout ça était bien mouillé.
Rodolphe avait dû s’exécuter car sa femme ne tarda pas à jouir à nouveau à grand bruit. Ce fut la cascade !
Sentant Marjorie jouir, Fabien ne se reteint pas et éjacula violemment.
En lançant ce dernier qualificatif, l’excitation de Rodolphe atteignit son point culminant. Son attention revint un peu à moi. Prenant conscience que c’était dans ma chatte que sa bite était en train de baiser, il agrippa mes hanches à deux mains pour me pistonner plus durement. Sa première giclée vint frapper mon utérus avec force, déclenchant mon orgasme. Elle fut suivie de nombreuses autres giclées de sperme qui se mêlèrent à ma cyprine. Pendant tout le temps de la décharge, je m’accrochai aux hanches de mon cher cousin pour qu’il garde sa bite enfoncée en moi le plus longtemps possible et décharge le maximum de jute au fond de moi.
* * * * *
Denise, visiblement émue et pensive à l’évocation de ce moment si intense, cessa de parler. Didier respecta un instant son silence, puis demanda un peu timidement :
* * * * *
On a fait une pause, parce qu’on en avait besoin tous les quatre. On a bu du champagne. Il y avait plusieurs bouteilles dans un frigo. On les a toutes liquidées. Pour la dernière, les garçons se sont amusés à verser le liquide sur nous pour le boire. Fabien versait entre mes seins et Rodolphe, la bouche sur mon sexe, lapait ce qu’il pouvait au passage. J’avoue que c’était très agréable. Le froid, les bulles, et la langue de Rodolphe, hum… Ils ont ensuite inversé les rôles, puis sont passés à Marjorie. Mais comme elle avait toujours sa robe (Rodolphe voulait toujours qu’elle la garde), ils l’ont faite se pencher en avant, lui ont rabattu la jupaille sur la tête et lui ont versé le champagne en haut de la raie pendant que l’autre buvait, le nez dans la chatte, la langue lapant le sexe de la mariée.
Après ça, on était tout poisseux. On est allé prendre une douche. Avec l’eau chaude et le savon, on les a bien tripotés et la virilité de nos partenaires s’est réveillée. On a baisé à quatre dans la salle de bains. Les garçons ont échangé nos chattes je ne sais combien de fois, et nous les filles, on s’est pelotées, et embrassées pendant tout le temps où ils nous ont prises. On a éclaboussé de partout. On a failli tomber plusieurs fois tant le sol était mouillé. Mais qu’est-ce qu’on a bien baisé et bien rigolé ! Puis on est revenu dans la chambre, et comme les garçons ne pouvaient plus bander, Marjorie et moi on s’est fait un soixante-neuf d’enfer. C’était super de la sucer parce qu’elle avait un clito tout gonflé et qu’elle était épilée. J’ai avalé autant de sperme que de foutre, car sa chatte dégoulinait. Les deux dernières décharges des garçons avaient été pour elle. C’était Rodolphe qui avait monté le dernier scénario. Il nous avait mises toutes les deux en position de levrette, les mains appuyées sur la baignoire. Il avait offert sa femme à Fabien, et côte à côte, ils nous avaient pistonnées. Fidèle à la technique qu’il avait employée sur le lit, il avait mis la main à la raie, et le doigt dans le cul de sa femme pour bien la sentir se faire baiser et se faire arroser. Je pense qu’il prenait plaisir à sentir la chatte dilatée par le gros manche de Fabien, mais je me demande s’il n’y avait pas aussi un certain côté bisexuel qui lui faisait apprécier de tenir entre ses doigts cette grosse bite. En tout cas, Fabien resta indifférent. Il ne protesta jamais, mais n’encouragea pas non plus, et les choses en restèrent là. Rodolphe me baisait, mais un peu distraitement. Et dès qu’il sentit que Fabien avait déchargé, il réclama la place. Il s’enfonça d’un seul coup dans le vagin encore tout ouvert de la mariée, et presque aussitôt il éjacula lui aussi, mêlant son sperme à celui du garçon d’honneur. Un peu frustré de n’avoir pu s’attarder dans le ventre de Marjorie, Fabien qui n’avait pas débandé vint me mettre sa grosse queue dans ma petite chatte encore béante. Je lui en sus gré, car sans éjaculer à nouveau, il resta bandé le temps de me faire jouir. Ce qui demanda peu de temps, car il est vrai que la taille de sa bite était vraiment un moyen presque infaillible pour qu’une femme un peu portée sur le sexe arrive rapidement à avoir un superbe orgasme, pour peu qu’elle fantasme sur le sujet.
Après on s’est mis au lit tous les quatre. Les femmes au milieu et les hommes calés chacun contre nos croupes.
Ce qui m’a réveillé le lendemain matin, c’est le balancement du lit et en même temps la sensation d’avoir un gros truc qui essayait de pénétrer entre mes fesses. Pas très lucide, je m’imaginai que Fabien qui s’était endormi contre mon cul la veille avait « le petit (sic) bâton du matin » et qu’il voulait le mettre au chaud. Sans ouvrir les yeux, j’écartai suffisamment les cuisses pour qu’il puisse me la mettre. Je la sentis déraper sur mon anus et glisser dans mon vagin. Immédiatement, il se mit à aller et venir en moi. Je savourai cette prise de possession tout en me disant qu’on s’habitue à tout et qu’elle me semblait un peu moins grosse que la veille. Et puis les mouvements du lit m’ont intriguée, car ils ne s’accordaient pas vraiment avec le rythme imposé par celui qui me baisait. J’ai ouvert les yeux. J’ai alors vu Marjorie, le nez dans l’oreiller, dressée sur ses genoux, la croupe haute, qui se faisait prendre en levrette par un Fabien dont la longue queue entrait et sortait avec régularité de sa chatte. C’était donc la bite de mon cousin qui s’était introduite en moi. Je tournai la tête et je vis mon Rodolphe qui, tout en me baisant contemplait sa femme en train de se faire niquer à nouveau. Ç’avait l’air d’une vraie passion chez lui.
Marjorie s’était remise à jouir en gémissant fortement, et je vis les mains de Fabien se crisper sur les hanches de sa partenaire, tandis qu’il émettait un son de gorge profond en fermant les yeux. J’imaginai qu’il devait lui aussi décharger à fond.
Rodolphe se mit alors à genoux, et s’approcha du couple en train de jouir.
Il était vraiment de bonne composition, le garçon d’honneur, car il se retira, la verge encore bandée, une grosse goutte blanche perlant au bout de son sexe. Le marié prit alors sa place, entrant et sortant sa bite quatre ou cinq fois dans le vagin dégoulinant, puis il enduisit ses doigts de sécrétions en les introduisant profondément. Il revint ensuite vers moi et, après m’avoir fait mettre sur le dos, jambes écartées et fesses relevées, il m’introduisit un doigt bien mouillé, puis deux, dans l’anus. Comme je l’ai dit, je ne m’étais jamais fait enculer, mais on m’avait mis souvent des doigts dans le cul, et Mademoiselle Hortense s’était même permis de me prendre par là aussi avec son gode. Aussi, étant bien lubrifiée par ses doigts, sa verge étant bien enduite de sperme et de mouille, il y avait toutes les chances pour qu’il soit possible si ce n’est facile, de forcer mon anus. Il fallut néanmoins qu’il pèse de tout son poids pour entrer. Car comme je l’ai dit, Rodolphe avait une belle grosse queue. J’eus très mal sur le coup, et je dus me branler le clitoris pour anesthésier un peu la douleur. Il se mit à aller et venir, mes sphincters s’assouplirent. Mais c’était serré quand même !
Il déchargea longuement dans mon cul. C’était vraiment la totale. Je venais de perdre toutes mes virginités en une nuit.
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Didier était toujours fasciné par le récit de sa logeuse. Sa dernière révélation lui ouvrait un horizon de plus.
A suivre…