Denise continue le récit de la noce de son cousin Rodolphe.
Didier se réveilla avec la satisfaction de constater qu’il bandait dur. Cela lui arrivait fréquemment, mais ce matin il fut en même temps assailli par les souvenirs du récit de Denise sur les circonstances de son dépucelage. Marjorie et Rodolphe lui semblaient former un couple insolite qui nourrissait sa passion et resserrait son union grâce à l’échangisme. Cette passion commune était si forte qu’ils s’y étaient même adonnés le soir de leurs noces. Didier trouvait ça d’un érotisme torride, et comme Denise avait laissé entendre que la suite était aussi chaude, il était impatient qu’elle reprenne son récit. En attendant, comme il avait sa queue bandée sous la main, il s’octroya machinalement une petite masturbation après avoir repoussé la couette. C’était un réflexe habituel qui se déclenchait dès qu’il avait une érection et qu’il était seul. Avant d’avoir eu la chance de baiser avec Elizabeth puis avec Denise, il se branlait normalement plusieurs fois par jour. C’est dans cette position que Denise le découvrit.
- — Bonjour mon Didier ! Tu es déjà en train de te masturber ? Tu veux un coup de mains ? Si je puis dire…
- — Si tu veux… Tiens ! Prends-là, elle est à toi !
Denise était en nuisette vaporeuse, transparente et si courte qu’elle ne couvrait ni sa chatte, ni ses fesses. Ses seins tendaient le tissu et se dessinaient nettement, bouts turgescents. Elle s’assit sur le lit et, relevant la verge bandée tendue parallèlement au ventre de Didier, elle l’emboucha et commença immédiatement à enrouler sa langue autour du gland. Le jeune homme, dont la masturbation avait duré un certain temps, était déjà très excité. Et comme il ne contrôlait pas encore très bien ses réactions, il ne put résister à cette caresse experte. Denise qui sentait venir la décharge voulut stopper le phénomène. Elle abandonna donc sa pipe, mais trop tard ! La première giclée l’atteignit au visage qui fut maculé de la bouche au sourcil droit, la deuxième vint s’étaler sur la nuisette à hauteur des seins. Surprise au début, la jeune femme eut le réflexe de serrer la verge et de bloquer le canal spermatique, pendant qu’elle relevait son léger vêtement pour glisser le sexe de son locataire entre les deux globes laiteux de ses seins avant de libérer l’éjaculation. Le reste de la semence masculine coula de ce fait sur sa généreuse poitrine.
- — Et ben mon cochon ! Tu pars vite dis donc ! Va falloir que tu apprennes à te contrôler si tu veux faire bonne figure à la partouze d’Elizabeth ! C’est dommage, j’aurais préféré que tu me la donnes dans la chatte.
- — Euuh ! Je suis désolé mais… C’est de ta faute aussi ! Je repensais à ton dépucelage et à tes partouzeurs de cousins. Et comme je bandais en me réveillant : réflexe, j’astique ! Ça chauffait bien, et toi tu me la suces super bien ! Alors c’est parti…
- — Ok ! Tant pis ! Ça sera pour plus tard ! Tu petit-déjeûnes avec moi ? J’ai fait chauffer du café. C’est le jour de sortie de Valérie.
- — Super ! On est tous les deux ? Tu vas pouvoir me raconter la suite de cette nuit de noces et de ton dépucelage ? J’ai l’impression que les ébats ont continué, non ? Et en plus on a tout le temps, je n’ai pas cours aujourd’hui.
- — T’es terrible, hein ? Tu trouves ça intéressant toi, mes souvenirs de jeunesse ?
- — Ben, ça dépend lesquels. Mais tes expériences sexuelles, je veux oui ! Jusqu’ici mon horizon se bornait à abuser des branlettes en solo. Je croyais qu’il était impossible de baiser sans avoir une relation sérieuse avec une fille. Et puis Vincent me fait dépuceler par Elizabeth. Ils parlent de partouze. Ils parlent de toi. On fait l’amour et tu me racontes des trucs où le sexe est considéré comme un plaisir à prendre sans tabou. Et qu’il y a des gens qui sont prêts à faire ça avec des tas d’autres partenaires. Je découvre un monde tiens ! Et il me plaît bien ce monde-là !
Didier simplement paré d’un shorty, Denise toujours couverte de sa nuisette maculée de sperme entamèrent avec appétit leur petit-déjeûner.
- — Mais dis-moi, avant de me raconter la suite, j’ai une question qui me turlupine. Marjorie et Rodolphe, sur une aventure comme ça, ils étaient réellement complices, ou pas ?
- — Totalement bien sûr ! Même si au départ ils ne s’étaient pas concertés, ni organisés pour en arriver là. Pourquoi tu demandes ça ?
- — Ben, parce que ! D’abord si je comprends bien ils s’aiment et pourtant ils n’ont de cesse d’aller baiser avec d’autres ou en partouze. Je ne voyais pas l’amour et le mariage comme ça.
- — Tu sais Didier, l’amour entre deux êtres humains, c’est quelque chose d’extrêmement complexe et aussi divers qu’il y a sans doute d’humains sur la terre. Il y a des gens qui sont jaloux comme ce n’est pas permis, et qui deviennent fous à l’idée que l’autre regarde une tierce personne. Et d’autres qui développent leur amour dans la vision du conjoint en train de se faire baiser par d’autres. Marjorie et Rodolphe, c’est leur cas, et ils se sont trouvés. Ça n’est pas toujours aussi idyllique. Pour eux ça marche parce qu’ils sont sur la même longueur d’ondes.
- — Mais on dirait qu’ils se font des reproches. Qu’ils sont fâchés l’un contre l’autre. Rodolphe, d’après ce que tu dis, traitait sans arrêt sa femme de salope parce qu’elle a fait l’amour avec Fabien. C’est pas sympa, et lui alors ? Avec toi ? Il a fait la même chose, non ?
- — Oh ! Là mon chéri tu abordes un point très particulier ! Pour Rodolphe, le fait de traiter sa femme de salope n’était absolument pas une injure ni un jugement négatif ! Au contraire ! C’était même un hommage ! Un compliment ! C’était carrément « Merci de ce cadeau que tu me fais en étant aussi portée sur le sexe ». Il aimait (et je sais qu’il aime toujours) que sa femme soit sexuellement libérée. Il en a besoin. Il a besoin qu’elle ait tout le temps envie de baiser, et qu’elle se livre complètement avec un ou plusieurs partenaires. Ça lui amène plus de sentiments pour elle. C’est très paradoxal, mais c’est comme ça ! Et pour l’un comme pour l’autre, cette qualification de « salope » était un puissant excitant. Je te traite de « salope » parce que j’aime que ta sexualité soit libre et débridée. Tu aimes m’entendre t’appeler « salope » parce que ça t’excite et que c’est ce que tu as envie d’être. Tu sais, l’amour est complexe et la valeur des mots est totalement différente pour chacun. Et tout ça c’est encore plus vrai à propos des relations sexuelles…
- — Ouh ! Là on est en pleine philo. Moi je retiens simplement, que pour eux, le mot « salope » n’était pas une insulte, mais un mot d’amour, c’est ça ?
- — Eh oui ! Pour eux et pour des tas d’autres couples. Tu es pile dans le sujet. Il y a mille façons de s’aimer ! Il y a dix mille façons de le dire. Voilà !
Cet aparté terminé, sur l’insistance de Didier, la jeune femme reprit son récit.
« J’étais contente j’avais eu ce que je voulais. Je n’étais plus « vierge », mon cousin avait fait gicler sa « jute » dans ma chatte, ce dont je rêvais depuis que je l’avais vu éjaculer dans la grange. Il m’avait même aussi enculée, achevant totalement de me dépuceler. Cette nuit et sa prolongation matinale terminées, je pensais que nous allions rejoindre le reste de la noce, puisqu’il était prévu qu’elle se poursuivrait pendant le week-end. Contrairement à l’habitude, le mariage avait eu lieu le vendredi car certains invités venaient de loin. On leur laissait donc le samedi et le dimanche pour se remettre et reprendre la route. Bien sûr pour ceux qui restaient, il était prévu de se retrouver et de continuer la fête.
Marjorie décréta qu’elle avait faim, et je découvris que, finalement, moi aussi je prendrais bien un petit déjeuner. Rodolphe empoigna le téléphone :
- — Allo ? Charlotte ? Oui, c’est moi ! Tu vois on a fini la nuit chez toi ! On a bien fait hein ? Tu peux nous faire apporter un petit déj ? Ah ! J’allais oublier, on est quatre… Non, non il n’y a pas eu deux mariages en même temps. C’est seulement mon garçon d’honneur et ma cousine qui nous ont tenu compagnie, quoi… Ça ne te surprend pas ? Bravo ! Merci ! Quelle réputation ! Ouais je sais bien que tu nous connais, mais quand même ! Bon d’accord !
- — Qu’est-ce qu’elle a dit, demanda Marjorie ?
- — Elle dit qu’elle n’est pas surprise qu’on ait été à quatre pour notre nuit de noces. Elle est même étonnée qu’on ne soit pas plus nombreux. Tu vois la réputation ?
- — Chéri ! Tu sais bien que Charlotte a toujours dit qu’on devait faire le mariage dans sa boîte avec tous les habitués… Et nous, on a longtemps hésité, non ?
- — Toi, tu as hésité. Moi pas ! On ne pouvait quand même pas faire un mariage avec la famille ici !
- — Ça c’est sûr ! Avec TA famille ! Ça aurait été particulier comme cérémonie ! Mais bien qu’on se soit éclatés à quatre, je regrette quand même qu’on n’ait pas fêté notre mariage avec les habitués de la boîte… Aujourd’hui c’est samedi, il doit y avoir une soirée. On pourrait y venir, non ?
- — Euuh ! Je ne sais pas ! Faut voir ! T’en aurais envie ? Tu remettrais ta robe et tout ?
- — Pourquoi pas ?
Fabien et moi on était complètement largués. Fidèle à sa tactique, l’étalon ne disait pas un mot, mais il faisait les yeux ronds. Je posai donc la question.
- — Vous êtes gentils les jeunes mariés, mais nous on est perdus là ! C’est quoi ce délire ? On est où ici ? Vous parlez de quoi ? On a partagé pas mal de choses cette nuit, alors on peut peut-être en savoir un peu plus sur votre trip et pourquoi on est dedans ?
- — Ben, c’est simple ! Ici on est chez Charlotte. C’est une amie et une parente du côté de Marj. Elle est propriétaire de ce château. Elle fait un peu hôtel, quoi ! Et puis elle a aussi une fermette dans laquelle elle organise des soirées échangistes. C’est là qu’on s’est rencontrés avec Marjorie.
- — Dans la boîte à partouze ? Vous vous êtes connus dans une boîte à partouze ? Mais alors, toute cette histoire est bidon ! Vous nous avez fait croire des trucs à Fabien et à moi, mais c’était monté d’avance pour faire votre partie carrée !
- — Pas du tout ! intervint Marjorie. C’est pas ça du tout ! Mais alors là, pas du tout !
- — Non ma cousine ! Juré ! Si tu réfléchis c’était impossible à prévoir ! Moi je ne t’avais pas revue depuis que tu étais gamine et je ne pouvais pas savoir que tu rêvais de coucher avec moi !
- — Tu ne te rappelais plus de ta promesse de me dépuceler ?
- — Franchement non ! Et puis, pour moi il n’y avait aucune chance que tu sois encore vierge ! Mais c’est pas seulement ça ! Souvenirs ou pas, je n’ai jamais pensé qu’on baiserait ensemble. Surtout pas le soir de mes noces… Ni même plus tard d’ailleurs !
J’étais un peu déçue. Un peu choquée. Mais c’était normal que Rodolphe n’ait pas accordé la même importance que moi à cette vieille histoire.
- — Quand à moi, dit Marjorie, je ne connaissais pas Fabien ! C’est la première fois que je le vois. C’est un vieux copain de Rodolphe, mais d’avant notre rencontre. Et moi, je marche au coup de cœur !
- — Coup de cœur ma chérie, coup de qu… cœur t’es sûre? ironisa Rodolphe.
Marjorie lui jeta un regard faussement courroucé.
- — Oui mais vous aviez bien réservé une suite ici ? Et ici, c’est bien une boîte à partouze ? dis-je encore soupçonneuse.
- — Ouais, mais… En fait tout au départ quand on a parlé mariage, la question ne s’est même pas posée. C’était forcément « dans la tradition ». Mais je te l’ai dit, c’est ici qu’on s’est rencontrés. Nous étions accompagnés chacun de notre côté. Moi j’étais la maîtresse d’un industriel qui m’a fait faire le tour des boîtes échangistes de la Région. Quand à Rodolphe, il se traînait une espèce de pouf…
- — Dis pas de mal de Bénédicte ! Elle n’avait pas inventé la lune, mais je pouvais l’emmener n’importe où, elle était toujours d’accord ! Et en plus je pouvais amener des copains.
- — Ouais ! Enfin bref, ça a collé tout de suite entre nous, et on s’est mis ensemble. Depuis on revient régulièrement. On connaît tous les habitués. Quand on a révélé à Charlotte qu’on voulait se marier, elle nous a tout de suite dit que notre mariage devait se faire ici. Avec nos meilleurs copains. Elle nous a même proposé de faire ça au château plutôt que dans la fermette.
- — Marjorie était pour ! Ça lui disait bien ! Mais moi, sans être opposé au principe, au contraire, je savais que c’était impossible à cause de la famille… De la mienne en tout cas. Même s’il n’était pas question de faire une partouze de noces, il y aurait eu beaucoup trop de risques. Je suis sûr que certains n’auraient pas pu s’empêcher d’avoir des attitudes équivoques. On se connaît trop, c’était couru, tu parles ! Alors on n’a pas retenu l’idée. Par contre quand on a cherché une chambre de secours pour la nuit de noces, Charlotte nous a proposé à nouveau ses services et là j’ai dit OK. Mais c’était comme juste comme ça… On était certain de ne pas l’utiliser. Et puis tu vois, on est là finalement… Chassez le naturel, il revient au galop ! Hein ma chérie ? ajouta Rodolphe.
- — Oh, dis ! C’est toi finalement qui a changé d’avis. Moi j’étais partante pour faire ça ici ! Pas question de partouze évidemment. Mais on aurait eu tous nos potes. Même s’il y avait eu quelques petits bisous et quelques mains aux fesses, ça n’aurait pas gâché la noce ! Ça aurait même mis de l’ambiance, dit Marjorie désinvolte.
- — Tu parles ! Vu de ton côté c’est sûr… Dans sa famille, il n’y a aucun tabou pour tout ce qui est sexe. Ses oncles vivent tous des vies de patachons, et sa mère…
Rodolphe fut interrompu par l’arrivée du petit déjeuner. La porte s’ouvrit sur une superbe blonde d’environ vingt-cinq ans, juchée sur des hauts talons, vêtue seulement d’un petit tablier de bonne tout blanc qui cachait juste la foufounette, et d’un diadème de soubrette dans ses cheveux mi-longs. Elle exhibait deux seins superbement fiers et bronzés aux aréoles très pâles et aux pointes à peine dessinées. Sans être siliconés, ils ne tremblaient pas d’une ligne lorsqu’elle marchait.
- — Bonjour les jeunes mariés ! Bonjour Mademoiselle, bonjour Monsieur, dit-elle en nous saluant Fabien et moi d’une inclinaison de tête. Bienvenus dans cette maison. J’espère que vous avez bien dormi ? La nuit de noces a-t-elle été bonne ?
- — Bonjour ma Carla ! dit Marjorie joyeuse. Tu as mis ta tenue de femme de chambre ? C’est superbe ! Je parie que t’as pas de culotte ? Tournes-toi pour voir !
Docile, la soubrette fit demi-tour, le plateau en mains, exhibant un superbe petit cul tout bronzé et totalement nu !
- — Si Madame veut bien constater !
- — Avec plaisir !
Marjorie sauta du lit et vint se plaquer nue contre les fesses de la jeune femme. Elle se mit à frotter son pubis contre les fesses rebondies et empauma les deux seins qu’elle pelota avec ravissement.
- — Tu as toujours la peau et les seins aussi doux ma Carla. J’adore te peloter !
- — Que Madame Marjorie fasse attention, elle va me faire renverser ! C’est lourd vous savez !
- — Pose ça, là sur la table. Et viens que je te présente !
Marjorie après avoir débarrassé la blonde de son fardeau, la prit par la main et l’amena près de la couche où nous avions dormi et baisé tous les quatre.
- — Celui-là, je ne te le présente pas, tu connais ! Ou plutôt si ! Je dois te le présenter avec son nouveau statut : Carla, je te présente mon époux Rodolphe ! Nous sommes mariés depuis hier, et ces messieurs-dames peuvent confirmer que le mariage a bien été consommé !
- — Bonjour Monsieur Rodolphe. Enchantée ! Je peux embrasser le marié ?
- — Bien sûr, ma chérie !
Carla enlaça d’un bras Rodolphe debout contre le lit, et entreprit de lui rouler une superbe pelle. Dans le même temps, elle lui avait immédiatement prit la verge de son autre main, et entamé une petite branlette vicieuse sur le gland. Ce qui eut pour effet instantané d’achever de le mettre en érection.
- — Huum ! Que Monsieur Rodolphe bande bien, comme d’habitude ! La nuit de noces ne l’a pas épuisé à ce que je vois.
Sans hésitation, Carla était déjà en train de diriger l’engin qu’elle tenait en main sous son tablier brodé blanc.
- — Hep là, vicieuse soubrette. Je n’ai rien contre le fait que tu te tapes mon mari, mais je n’ai pas fini les présentations.
- — Excusez mon ardeur Madame ! Vous savez que pour moi une belle queue bien bandée ne doit jamais rester longtemps à l’air. J’ai toujours envie de la mettre à l’abri dans ma chatounette, dit-elle en soulevant son tablier et en exhibant une toison blonde taillée en forme de papillon dont les contours étaient soulignés d’un trait vert fluo.
- — Arrêtes ton cinoche petite dévergondée, et rabats ton tablier pour être présentable… Voilà ! Tu es prête ? Je te présente également Denise, la cousine du marié, que mon salaud de mari chéri voulait, et a réussi d’ailleurs, dépuceler cette nuit même. Alors que nous avions convenu, à sa demande, que pour notre huit de noces, nous ne baiserions avec personne d’autre !
- — Vous étiez encore pucelle hier Mademoiselle? demanda Clara.
- — Oui, dis-je fièrement.
- — Comme je vous plains ! Etes-vous choquée par ce que vous vivez depuis hier soir dans cette maison ? Pour quelqu’un d’innocent, la soirée a pu paraître un peu « hard » non ?
- — Pucelle, certes je l’étais ! Innocente, pas du tout !
- — Vous me rassurez Mademoiselle ! Mais vous avez du temps à rattraper ! Encore pucelle à votre âge, breuuu ! Quelle galère ! Moi j’ai perdu ma rondelle bien jeune, et je suis quand même convaincue d’avoir perdu du temps…
- — Moi aussi, j’ai perdu du temps, dis-je. Mais j’avais fait un vœu…
- — Ah ! Alors là je ne dis rien. Un vœu ça se respecte.
- — Bon c’est assez avec l’ex-pucelle ! Maintenant je te présente Fabien. C’est le garçon d’honneur de Rodolphe, et il est monté comme un petit âne. Regarde !
Et Marjorie se mit à tripoter la bite de Fabien qui était déjà presque au garde-à-vous en contemplant la femme de chambre avec son petit tablier.
- — Oh ! La belle chose que voilà ! Ça faisait longtemps que je n’en avais pas vu de si grosse… Et de si longue surtout… Comme vous le savez, Mademoi… je veux dire Madame Marjorie, mon Fifi est très bien équipé ! Mais là ! J’espère que vous amènerez votre ami au club Monsieur Rodolphe ?
Tout en parlant Carla s’était penchée sur Fabien et avait commencé à lui léchouiller la bite, agaçant d’un bout de langue agile et experte les terminaisons nerveuses de la base du gland.
- — Fabien est mon ami, mais c’est surtout ma femme qui l’a découvert si je puis dire. Moi je connaissais l’homme, mais c’est elle qui a fait les fouilles nécessaires pour découvrir le superbe engin que tu suces ma belle Carla ! Ceci dit tu as toujours un cul superbe. Et penchée comme ça, tu ne vas pas y couper…
Sans attendre, Rodolphe qui n’avait pas débandé depuis qu’elle l’avait habilement manualisé, vint se placer derrière la soubrette qui, aussitôt cambra les reins, exposant son abricot fendu la tête en bas, entre les deux pommes de ses fesses. Il ne lui fallut qu’une seconde pour s’introduire entre les grandes lèvres et commencer à pistonner la belle chatte blonde.
- — C’est bien ça ! On les régale durant toute une nuit… de noces, et la première petite salope qui passe, ils nous abandonnent pour se la faire ! protesta Marjorie.
- — Venez les filles, dit Rodolphe. Joignez-vous à nous. Vous trouverez bien de la place !
Marjorie me sourit et me prenant par la main m’attira vers le trio en train de s’ébattre au pied du lit. Pour la première fois elle manifestait une réelle sympathie à mon égard. Je pense que d’avoir participé à ce que sa nuit de noces ne soit pas traditionnelle lui inspirait des liens d’amitié. Sans hésiter, elle se glissa assise sous Carla qui écarta les jambes et abaissa son bassin, mouvement que dut suivre Rodolphe, pour mettre leurs sexes à hauteur du visage de la jeune mariée qui aussitôt se mit à lécher les couilles de son mari et la chatte de la blonde. Je suppose que ça dégoulinait un peu, au moins de mouille, car elle se passait régulièrement la langue sur les lèvres. Comme elle avait pris la meilleure place, je ne savais comment m’insérer dans le trio. Mais Fabien résolut le problème en retirant sa verge de la bouche de la soubrette et, m’ayant fait pencher en avant, commença à frotter son gland dans ma raie, allant de la chatte à mon petit trou rond. C’est d’ailleurs là qu’il finit par stopper, et commencer à pousser pour pénétrer mon anus. Je me redressai vivement en me retournant, et je lui empoignai les couilles de la main droite.
- — Dis-moi, gros vicieux ? Tu n’aurais pas l’intention de m’enculer subrepticement et sans me demander la permission ? Parce que si c’est le cas, oublie ! Et n’essaye pas de recommencer, sinon gare à tes bijoux de famille. Ta bite est trop grosse ! Et mon trou du cul est trop petit ! Voilà ! Déjà avec Rodolphe, c’était douloureux alors avec toi ! D’ailleurs t’as pas honte de vouloir enculer une presque vierge avec ta monstruosité ? Prends ce qu’on te donne ! Mets-la moi dans la chatte, ça te fera du bien et à moi aussi.
Fabien haussa les épaules sans répondre, et dès que je me fus remise en position, docilement il m’enfonça sa grosse queue dans le vagin. Carla était peut-être frustrée de ne plus sucer cette magnifique queue d’âne, mais moi j’étais comblée ! J’étais à nouveau dans un état pré-orgasmique lorsqu’une nouvelle personne entra dans la chambre. Cette fois, la porte s’ouvrit sur une superbe brune d’environ quarante ans. Juchée elle aussi, sur des hauts talons, vêtue d’un tailleur gris très strict, ses cheveux bouclés d’un noir de jais tombant sur ses épaules. Mais la jupe était fendue jusqu’à la taille, la veste du tailleur était ouverte, et elle ne portait rien dessous. Ses deux seins superbement fiers et bronzés aux aréoles très bruns et aux pointes turgescentes étaient suffisamment gros pour écarter complètement les deux pans de la veste.
- — Eh bien bravo les amis ! Je pensais que la nuit de noces avait été suffisamment agitée pour vous rassasier. Je vois que ce n’est pas le cas ! Carla, est-ce vous qui avez déclenché ce début d’orgie ?
- — Oh Madame la Comtesse, quand vous saurez le pourquoi, vous serez indulgente j’en suis sûre! Nous en étions aux présentations, et Mademoiselle… je veux dire Madame Marjorie m’a présenté Monsieur Fabien. Oh ! Madame la Comtesse, il a une queue comme j’en ai rarement vu ! Je n’ai pas pu résister à l’envie de l’emboucher, lorsque Monsieur Rodolphe, profitant de ma position, est venu me la mettre…
- — Et bien sûr Marjorie est venue vous lécher la jonction ! Mais qui est ce Monsieur Fabien ? Je suppose que c’est celui qui pistonne la jeune personne qui est en train de jouir.
C’était un peu surréaliste car l’intrusion de la Comtesse, puisque Comtesse il y avait, n’avait arrêté ni Rodolphe, ni Fabien. La soubrette avait d’ailleurs fourni ses explications sur un rythme saccadé que les coups de queue de Rodolphe avaient rythmé. Quant à moi, l’engin de Fabien avait fait son effet, et je jouissais comme une folle.
- — Quand vous aurez terminé, Monsieur Fabien, vous serez assez aimable pour me montrer ce qui a émerveillé ma femme de chambre.
- — Fabien, montre ta bite à Charlotte, dit Rodolphe sans cesser de baiser Carla.
Obéissant et obtus, Fabien me lâcha en plein orgasme. Et comme il l’avait déjà fait avec Marjorie quand nous les avions surpris, il se mit à décharger en quittant mon vagin. Il avait une superbe queue, certes, mais elle avait une fâcheuse tendance à s’épancher lorsqu’elle quittait une chatte. Mes fesses et mon dos furent arrosés de deux longues giclées, et en se tournant il envoya le reste dans les cheveux blonds de la soubrette toujours penchée sous les coups de bite de mon cousin.
- — Aaaah ! Ouiiii ! s’exclama la comtesse. Quelle belle pièce ! Et qui canonne sa décharge très loin ! Je comprends votre surprise et votre admiration ma fille. Puis-je l’évaluer de plus près ? Est-elle encore en état de marche après cette démonstration d’arrosage ?
Elle s’avança juchée sur ses hauts talons, et s’empara de la queue encore bandée. En bonne connaisseuse de la mécanique masculine, elle fit tout pour entretenir l’érection de notre étalon. D’abord elle la prit en mains et flatta la base du gland hyper sensibilisé par l’éjaculation qu’il venait de produire. Puis, en se léchant ostensiblement les commissures des lèvres, elle se pencha sur l’engin, et commença à le titiller d’un bout de langue expert et tout pointu. Puis d’un seul coup, elle ouvrit largement la bouche et engloutit le gland. À voir ses joues creusées, il était sûr qu’elle devait sucer au maximum ce qu’elle venait de gober. Après quelques minutes de ce traitement qui, non seulement nettoyait la verge de Fabien en absorbant les dernières gouttes de jute qui s’écoulaient du méat, mais qui, par une friction de la langue sur la base du gland, entretenait vigoureusement l’érection du jeune homme, l’énorme bite redevint aussi dure que quand il m’avait pénétré la moule.
C’est à ce moment là qu’une partie des qualités exceptionnelles de la dame s’exprimèrent ! Ouvrant largement la bouche, elle engloutit cette queue monstrueuse pratiquement jusqu’à sa base. Inutile de dire qu’elle devait se l’être enfoncée plus loin que la glotte. Nous étions tous fascinés. Rodolphe avait abandonné le sexe de Carla et regardait, bouche bée, le spectacle. Sans débander d’ailleurs. Sa bite agitée de légers soubresauts prouvait qu’il s’était arrêté alors qu’il était près d’éjaculer dans le vagin de la soubrette. Je remarquai qu’une goutte de liquide pré-spermatique luisait au bout de son gland qui encensait comme un cheval nerveux. Carla s’était, du coup, redressée avec un petit sourire de contentement et qui voulait dire : « Vous allez voir de quoi elle est capable la patronne ». Quant à Marjorie, privée des sexes qu’elle gougnottait, elle regardait aussi la performance de la comtesse.
Je n’avais jamais vu faire ça et je pense que peu de femmes en sont capables, mais Charlotte pouvait réellement sucer la grosse queue de Fabien avec le fond de sa gorge. Sans ressortir plus de cinq à six centimètres de chair, elle se mit à pomper le superbe dard du garçon d’honneur. Il venait juste de décharger, et comme je l’ai dit, il y avait encore des gouttes qui perlaient au bout de son gland. Mais cela n’empêcha pas que le traitement que lui infligeait la comtesse fut tel qu’il eut une nouvelle éjaculation en moins de deux minutes. Son visage se crispa, il plongea ses doigts dans la magnifique chevelure brune et pour la première fois de la soirée, je l’entendis s’exprimer :
- — Oooh ! La salope ! Oh que je jouiis ! Oh qu’elle me pompe bien ! C’est sublime…
Fabien avait sans aucun doute envoyé de grandes giclées de sperme. Nous n’en vîmes pas une goutte. La comtesse avala tout. Sans un haut-le-cœur ! Lorsque manifestement la verge de l’étalon fut au bout de sa décharge, elle ressortit lentement l’engin de sa bouche. Il avait perdu de sa superbe, et ne se redressait plus. Mais il restait gros en diamètre, preuve qu’il avait été soumis à une excitation de feu.
- — Je crois Carla que vous n’aviez pas sous-estimé les capacités de Monsieur Fabien. Je confirme que son organe est de tout premier ordre !
Marjorie, après avoir contemplé l’intervention de notre hôtesse avec ravissement, se précipita dans les bras de celle-ci.
- — Oh ma Charlotte. Je suis contente de te voir ! Tu es magnifique ! Quelle douceur tes seins, dit-elle en les caressant des deux mains. Comment as-tu trouvé Fabien ?
- — Comme je l’ai dit, ma chérie, il est de tout premier ordre. C’est toi qui l’a découvert ?
- — Ouais ! C’est moi qui l’ai trouvé ! C’est le garçon d’honneur de Rodolphe, et il m’a tout de suite semblé qu’il devait être intéressant. Alors je l’ai un peu dragué. Et puis j’ai fait en sorte qu’il gagne ma jarretière. Je l’avais placée en haut de ma cuisse. Et en plus j’avais promis à Rodolphe de ne pas mettre de culotte pour l’exciter…
- — Je ne t’ai jamais vue avec une culotte, chérie, dit Charlotte tout sourire.
- — Ouais, bon chez toi d’accord ! Mais j’en mets des fois ! Bref, quand il est allé la chercher sous ma robe, il n’a pas hésité à me mettre deux doigts dans la chatte et à me masser le clito avec le pouce. J’ai cru que j’allais jouir là, debout sur la table. De ce moment j’ai décidé que je baiserais avec lui. D’autant qu’en descendant, sous prétexte de l’embrasser… Sur les joues, hein ! Tout le monde nous regardait. J’ai pu, dans le froufrou de ma jupaille, lui saisir sa virilité à travers ses vêtements. Ce fut rapide, mais suffisant pour me rendre compte qu’il avait là un membre exceptionnel. Après on a dansé, et comme la piste était sombre, j’ai pu l’extirper de son pantalon. Comme nous sommes de la même taille, en l’abaissant à l’horizontale, j’ai pu, en relevant ma robe de mariée, le prendre entre mes cuisses et frotter ma chatte, et surtout mon clito, sur la hampe. Sans qu’il me la mette, bien sûr… Mais ce fut divin. J’eus un orgasme en quelques secondes. Je sentais ce gros gland qui se frottait de ma vulve à ma raie du cul, et forçait l’écartement de mes cuisses. Pour lui ça a dû être excitant aussi car, après mon orgasme, j’ai senti que sa queue éjaculait. Il m’a tout juté là entre les cuisses, et sur le bas des fesses. Ça m’a coulé le long des jambes. Heureusement que ma robe était longue et qu’il faisait noir… Quant à Rodolphe, il était occupé un peu plus loin à peloter le cul de sa cousine comme un malade… Dis pas le contraire, je t’ai vu ! C’est comme ça que j’ai décidé de l’amener ici. Je parle de Fabien naturellement ! J’avais trop envie d’avoir cette superbe queue dans ma chatte, et de ne pas me limiter à sentir son sperme me couler sur les cuisses… Effectivement quand il me l’a mise… Sublime ! Et puis, j’étais en pleine extase, lorsque Monsieur mon mari déboule avec sa cousine nue et manifestement en train d’être sautée. Et lui qui arrive, la queue flamboyante, comme d’habitude. Tu le connais, quelles que soient les circonstances, il ne débande jamais tant qu’il n’a pas éjaculé deux ou trois fois… et encore. Et voilà qu’il me reproche de le tromper le soir de nos noces. T’imagines ! On a vite trouvé un compromis, et on a fêté le mariage en partie carrée. Voilà toute l’histoire et comment ce superbe étalon est ici, chez toi.
- — Tu m’en vois ravie ma chérie. J’ai beaucoup apprécié la petite séance de « gorge profonde » que nous venons d’avoir. Je vous verrai plus tard jeune homme, dit la comtesse en flattant d’une caresse sur le bout de la virilité de Fabien. En attendant votre petit-déjeûner refroidit. Venez Carla, vous n’êtes pas supposée empêcher les clients de se restaurer.
- — Bien Madame !
- — Quel est votre programme, mes amis ?
- — Ben ! On n’a rien prévu dit Rodolphe en se grattant la tête.
- — On n’a rien prévu ! On n’a rien prévu ! Parce que t’étais trop obnubilé par tes noces en famille ! dit Marjorie. T’as bien dit tout à l’heure que tu ne serais pas mécontent de rester ce soir ?
- — C’est vrai, mais… Qu’est-ce qu’on fait des autres ?
- — Je suis sûre que Fabien et Denise seront d’accord pour venir avec nous.
- — Vous parlez de quoi là ? De la soirée dans la boîte à partouze ? Moi ça me va ! Maintenant que je suis dépucelée, comme l’a dit Carla, je dois rattraper le temps perdu. Alors une partouze, c’est tout bon ! Et toi Fabien ?
- — D’accord ! dit-il laconique comme d’habitude.
- — Superbe ! dit la Comtesse. J’avais un peu prévu que vous accepteriez. Alors ce soir, vous ferez le spectacle. C’est d’accord ? Marjorie et Rodolphe je compte sur vous pour venir en tenue de mariés. Pour Fabien, son organe suffira à lui donner la vedette. Quant à Denise, son récent dépucelage devrait aussi lui valoir une certaine notoriété. Comme nous aurons peu de couples, je vais voir comment j’organise, peut-être ferons-nous la fête au château plutôt qu’à la fermette…
- — Oh ! Oui, dit Marjorie. Je n’ai pas eu l’occasion de participer aux rares soirées au château et c’est un de mes rêves. C’est un merveilleux cadeau de noces. Merci Charlotte, tu es un amour !
Sur ces mots, Carla et sa patronne s’éclipsèrent et nous nous jetâmes sur le petit-déjeûner.
A suivre…