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Temps de lecture estimé : 22 mn
23/08/05
Résumé:  Denise poursuit le récit de son dépucelage par son cousin et de la noce de ce dernier.
Critères:  grp jeunes couplus grossexe hotel soubrette noculotte facial fellation cunnilingu 69 pénétratio
Auteur : Amenophis      

Série : Un parfum d'autrefois

Chapitre 12 / 14
Le lendemain de la nuit de noces de Rodolphe

Denise continue le récit de la noce de son cousin Rodolphe.


Didier se réveilla avec la satisfaction de constater qu’il bandait dur. Cela lui arrivait fréquemment, mais ce matin il fut en même temps assailli par les souvenirs du récit de Denise sur les circonstances de son dépucelage. Marjorie et Rodolphe lui semblaient former un couple insolite qui nourrissait sa passion et resserrait son union grâce à l’échangisme. Cette passion commune était si forte qu’ils s’y étaient même adonnés le soir de leurs noces. Didier trouvait ça d’un érotisme torride, et comme Denise avait laissé entendre que la suite était aussi chaude, il était impatient qu’elle reprenne son récit. En attendant, comme il avait sa queue bandée sous la main, il s’octroya machinalement une petite masturbation après avoir repoussé la couette. C’était un réflexe habituel qui se déclenchait dès qu’il avait une érection et qu’il était seul. Avant d’avoir eu la chance de baiser avec Elizabeth puis avec Denise, il se branlait normalement plusieurs fois par jour. C’est dans cette position que Denise le découvrit.



Denise était en nuisette vaporeuse, transparente et si courte qu’elle ne couvrait ni sa chatte, ni ses fesses. Ses seins tendaient le tissu et se dessinaient nettement, bouts turgescents. Elle s’assit sur le lit et, relevant la verge bandée tendue parallèlement au ventre de Didier, elle l’emboucha et commença immédiatement à enrouler sa langue autour du gland. Le jeune homme, dont la masturbation avait duré un certain temps, était déjà très excité. Et comme il ne contrôlait pas encore très bien ses réactions, il ne put résister à cette caresse experte. Denise qui sentait venir la décharge voulut stopper le phénomène. Elle abandonna donc sa pipe, mais trop tard ! La première giclée l’atteignit au visage qui fut maculé de la bouche au sourcil droit, la deuxième vint s’étaler sur la nuisette à hauteur des seins. Surprise au début, la jeune femme eut le réflexe de serrer la verge et de bloquer le canal spermatique, pendant qu’elle relevait son léger vêtement pour glisser le sexe de son locataire entre les deux globes laiteux de ses seins avant de libérer l’éjaculation. Le reste de la semence masculine coula de ce fait sur sa généreuse poitrine.



Didier simplement paré d’un shorty, Denise toujours couverte de sa nuisette maculée de sperme entamèrent avec appétit leur petit-déjeûner.




Cet aparté terminé, sur l’insistance de Didier, la jeune femme reprit son récit.


« J’étais contente j’avais eu ce que je voulais. Je n’étais plus « vierge », mon cousin avait fait gicler sa « jute » dans ma chatte, ce dont je rêvais depuis que je l’avais vu éjaculer dans la grange. Il m’avait même aussi enculée, achevant totalement de me dépuceler. Cette nuit et sa prolongation matinale terminées, je pensais que nous allions rejoindre le reste de la noce, puisqu’il était prévu qu’elle se poursuivrait pendant le week-end. Contrairement à l’habitude, le mariage avait eu lieu le vendredi car certains invités venaient de loin. On leur laissait donc le samedi et le dimanche pour se remettre et reprendre la route. Bien sûr pour ceux qui restaient, il était prévu de se retrouver et de continuer la fête.


Marjorie décréta qu’elle avait faim, et je découvris que, finalement, moi aussi je prendrais bien un petit déjeuner. Rodolphe empoigna le téléphone :



Fabien et moi on était complètement largués. Fidèle à sa tactique, l’étalon ne disait pas un mot, mais il faisait les yeux ronds. Je posai donc la question.



J’étais un peu déçue. Un peu choquée. Mais c’était normal que Rodolphe n’ait pas accordé la même importance que moi à cette vieille histoire.



Marjorie lui jeta un regard faussement courroucé.



Rodolphe fut interrompu par l’arrivée du petit déjeuner. La porte s’ouvrit sur une superbe blonde d’environ vingt-cinq ans, juchée sur des hauts talons, vêtue seulement d’un petit tablier de bonne tout blanc qui cachait juste la foufounette, et d’un diadème de soubrette dans ses cheveux mi-longs. Elle exhibait deux seins superbement fiers et bronzés aux aréoles très pâles et aux pointes à peine dessinées. Sans être siliconés, ils ne tremblaient pas d’une ligne lorsqu’elle marchait.



Docile, la soubrette fit demi-tour, le plateau en mains, exhibant un superbe petit cul tout bronzé et totalement nu !



Marjorie sauta du lit et vint se plaquer nue contre les fesses de la jeune femme. Elle se mit à frotter son pubis contre les fesses rebondies et empauma les deux seins qu’elle pelota avec ravissement.



Marjorie après avoir débarrassé la blonde de son fardeau, la prit par la main et l’amena près de la couche où nous avions dormi et baisé tous les quatre.



Carla enlaça d’un bras Rodolphe debout contre le lit, et entreprit de lui rouler une superbe pelle. Dans le même temps, elle lui avait immédiatement prit la verge de son autre main, et entamé une petite branlette vicieuse sur le gland. Ce qui eut pour effet instantané d’achever de le mettre en érection.



Sans hésitation, Carla était déjà en train de diriger l’engin qu’elle tenait en main sous son tablier brodé blanc.



Et Marjorie se mit à tripoter la bite de Fabien qui était déjà presque au garde-à-vous en contemplant la femme de chambre avec son petit tablier.



Tout en parlant Carla s’était penchée sur Fabien et avait commencé à lui léchouiller la bite, agaçant d’un bout de langue agile et experte les terminaisons nerveuses de la base du gland.



Sans attendre, Rodolphe qui n’avait pas débandé depuis qu’elle l’avait habilement manualisé, vint se placer derrière la soubrette qui, aussitôt cambra les reins, exposant son abricot fendu la tête en bas, entre les deux pommes de ses fesses. Il ne lui fallut qu’une seconde pour s’introduire entre les grandes lèvres et commencer à pistonner la belle chatte blonde.



Marjorie me sourit et me prenant par la main m’attira vers le trio en train de s’ébattre au pied du lit. Pour la première fois elle manifestait une réelle sympathie à mon égard. Je pense que d’avoir participé à ce que sa nuit de noces ne soit pas traditionnelle lui inspirait des liens d’amitié. Sans hésiter, elle se glissa assise sous Carla qui écarta les jambes et abaissa son bassin, mouvement que dut suivre Rodolphe, pour mettre leurs sexes à hauteur du visage de la jeune mariée qui aussitôt se mit à lécher les couilles de son mari et la chatte de la blonde. Je suppose que ça dégoulinait un peu, au moins de mouille, car elle se passait régulièrement la langue sur les lèvres. Comme elle avait pris la meilleure place, je ne savais comment m’insérer dans le trio. Mais Fabien résolut le problème en retirant sa verge de la bouche de la soubrette et, m’ayant fait pencher en avant, commença à frotter son gland dans ma raie, allant de la chatte à mon petit trou rond. C’est d’ailleurs là qu’il finit par stopper, et commencer à pousser pour pénétrer mon anus. Je me redressai vivement en me retournant, et je lui empoignai les couilles de la main droite.



Fabien haussa les épaules sans répondre, et dès que je me fus remise en position, docilement il m’enfonça sa grosse queue dans le vagin. Carla était peut-être frustrée de ne plus sucer cette magnifique queue d’âne, mais moi j’étais comblée ! J’étais à nouveau dans un état pré-orgasmique lorsqu’une nouvelle personne entra dans la chambre. Cette fois, la porte s’ouvrit sur une superbe brune d’environ quarante ans. Juchée elle aussi, sur des hauts talons, vêtue d’un tailleur gris très strict, ses cheveux bouclés d’un noir de jais tombant sur ses épaules. Mais la jupe était fendue jusqu’à la taille, la veste du tailleur était ouverte, et elle ne portait rien dessous. Ses deux seins superbement fiers et bronzés aux aréoles très bruns et aux pointes turgescentes étaient suffisamment gros pour écarter complètement les deux pans de la veste.



C’était un peu surréaliste car l’intrusion de la Comtesse, puisque Comtesse il y avait, n’avait arrêté ni Rodolphe, ni Fabien. La soubrette avait d’ailleurs fourni ses explications sur un rythme saccadé que les coups de queue de Rodolphe avaient rythmé. Quant à moi, l’engin de Fabien avait fait son effet, et je jouissais comme une folle.



Obéissant et obtus, Fabien me lâcha en plein orgasme. Et comme il l’avait déjà fait avec Marjorie quand nous les avions surpris, il se mit à décharger en quittant mon vagin. Il avait une superbe queue, certes, mais elle avait une fâcheuse tendance à s’épancher lorsqu’elle quittait une chatte. Mes fesses et mon dos furent arrosés de deux longues giclées, et en se tournant il envoya le reste dans les cheveux blonds de la soubrette toujours penchée sous les coups de bite de mon cousin.



Elle s’avança juchée sur ses hauts talons, et s’empara de la queue encore bandée. En bonne connaisseuse de la mécanique masculine, elle fit tout pour entretenir l’érection de notre étalon. D’abord elle la prit en mains et flatta la base du gland hyper sensibilisé par l’éjaculation qu’il venait de produire. Puis, en se léchant ostensiblement les commissures des lèvres, elle se pencha sur l’engin, et commença à le titiller d’un bout de langue expert et tout pointu. Puis d’un seul coup, elle ouvrit largement la bouche et engloutit le gland. À voir ses joues creusées, il était sûr qu’elle devait sucer au maximum ce qu’elle venait de gober. Après quelques minutes de ce traitement qui, non seulement nettoyait la verge de Fabien en absorbant les dernières gouttes de jute qui s’écoulaient du méat, mais qui, par une friction de la langue sur la base du gland, entretenait vigoureusement l’érection du jeune homme, l’énorme bite redevint aussi dure que quand il m’avait pénétré la moule.


C’est à ce moment là qu’une partie des qualités exceptionnelles de la dame s’exprimèrent ! Ouvrant largement la bouche, elle engloutit cette queue monstrueuse pratiquement jusqu’à sa base. Inutile de dire qu’elle devait se l’être enfoncée plus loin que la glotte. Nous étions tous fascinés. Rodolphe avait abandonné le sexe de Carla et regardait, bouche bée, le spectacle. Sans débander d’ailleurs. Sa bite agitée de légers soubresauts prouvait qu’il s’était arrêté alors qu’il était près d’éjaculer dans le vagin de la soubrette. Je remarquai qu’une goutte de liquide pré-spermatique luisait au bout de son gland qui encensait comme un cheval nerveux. Carla s’était, du coup, redressée avec un petit sourire de contentement et qui voulait dire : « Vous allez voir de quoi elle est capable la patronne ». Quant à Marjorie, privée des sexes qu’elle gougnottait, elle regardait aussi la performance de la comtesse.


Je n’avais jamais vu faire ça et je pense que peu de femmes en sont capables, mais Charlotte pouvait réellement sucer la grosse queue de Fabien avec le fond de sa gorge. Sans ressortir plus de cinq à six centimètres de chair, elle se mit à pomper le superbe dard du garçon d’honneur. Il venait juste de décharger, et comme je l’ai dit, il y avait encore des gouttes qui perlaient au bout de son gland. Mais cela n’empêcha pas que le traitement que lui infligeait la comtesse fut tel qu’il eut une nouvelle éjaculation en moins de deux minutes. Son visage se crispa, il plongea ses doigts dans la magnifique chevelure brune et pour la première fois de la soirée, je l’entendis s’exprimer :



Fabien avait sans aucun doute envoyé de grandes giclées de sperme. Nous n’en vîmes pas une goutte. La comtesse avala tout. Sans un haut-le-cœur ! Lorsque manifestement la verge de l’étalon fut au bout de sa décharge, elle ressortit lentement l’engin de sa bouche. Il avait perdu de sa superbe, et ne se redressait plus. Mais il restait gros en diamètre, preuve qu’il avait été soumis à une excitation de feu.



Marjorie, après avoir contemplé l’intervention de notre hôtesse avec ravissement, se précipita dans les bras de celle-ci.



Sur ces mots, Carla et sa patronne s’éclipsèrent et nous nous jetâmes sur le petit-déjeûner.


A suivre…