Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 09440Fiche technique24408 caractères24408
Temps de lecture estimé : 14 mn
21/07/05
Résumé:  L'été, propice à toutes les rencontres, toutes les opportunités, toutes les excentricités ? Pour bon nombre d'entre nous, tout le monde en a entendu parler, mais très peu les vivent.
Critères:  ffh inconnu vacances sport collection odeurs fmast fellation pénétratio init
Auteur : Jeff            Envoi mini-message

Série : Petits portraits entre amis...

Chapitre 08 / 11
Un parfum de victoire sur la Grande Boucle...

Série estivale, de portraits, de cartes postales, piqués sur les plages de France et quelques lieux de villégiature estivale. Portraits de femmes et d’hommes à qui, sous prétexte que c’est l’été et qu’ils sont en vacances, tout semble être permis…


L’été, propice à toutes les rencontres, toutes les opportunités, toutes les excentricités ? Bon nombre d’entre nous en ont entendu parler, mais très peu les vivent. Jamais là au bon moment, au bon endroit ! Et vous découvrez, souvent après coup, que vous êtes passés à côté de ce qu’il fallait voir, car vous n’en étiez pas loin… Et cela pourrait presque venir gâcher vos vacances ! Enfin… leurs souvenirs.


Alors, pour vous éviter de rentrer moroses, je vous propose quelques portraits, piqués sur le vif, sur les plages, dans quelques stations balnéaires de nos côtes ou dans quelques lieux touristiques que vous avez peut-être fréquentés… Adaptez-les à vos souvenirs et faites-les vôtres… Ils sont à vous.



Un parfum de victoire sur la Grande Boucle…



Le Barnum de la Grande Boucle… vous le décrire n’est pas dans mes propos. Généralement vous êtes spectateurs, assis dans votre fauteuil ou vautré sur votre canapé en amateur de vélo que vous êtes, et passez des après-midis entières à contempler les efforts de ces sportifs qui suent sang et eau pour votre plaisir. Quelquefois, avec plus de chance, vous êtes sur le bord d’une route, attendant durant des heures, sous un soleil de plomb ou dans le vent glacial d’un col, le trop rapide passage des échappés (s’il y en a) et du peloton qui file à vive allure. Mais avant de voir passer les « forçats de la route » qui filent bon train, vous avez espéré et subi la caravane publicitaire qui vous a cassé les oreilles et inondé de gadgets en tout genre.


Tard dans la nuit, tôt le matin, par d’autres chemins, s’est allongée sur la route du Tour de France une autre caravane, celle de l’organisation et des montages de l’aire d’arrivée, du village, du podium… plusieurs dizaines de camions, voitures, fourgons et des centaines d’hommes et de femmes, qui tirent des kilomètres de câbles, alignent des kilomètres de barrières, déplient des mètres et des mètres carrés de toiles qu’il faut monter, installer, sécuriser, puis démonter, replier, charger et transporter pour le départ et l’arrivée suivante.


C’est aussi ça, le Barnum du Tour de France.


Quelques heures après mon aventure parisienne, je débarque donc à Grenoble d’où, le lendemain, doit partir le Tour de France pour Courchevel. Mon ami parisien, pour se faire pardonner de m’avoir implicitement fait jouer la chèvre, s’est bien rattrapé. Une voiture de l’organisation m’attend et m’amène dans un hôtel chic du centre-ville. Au matin, le chauffeur vient me chercher et muni de mes accréditations, il me dépose dans le parc des VIP au sein même du village des partenaires (entendez par là, ceux qui financent la Grande Boucle). Là, au milieu des préparatifs du départ, la fourmilière de cette énorme organisation, grouille, crie, rit, s’embrasse, se congratule, boit du café, des jus de fruits, picore à tous les râteliers des produits locaux gracieusement mis à disposition et commente en professionnels patentés les exploits de la veille, parie sur ceux du jour en attendant le signal du départ de la caravane et des coureurs.


Seulement voilà, dans ce type d’organisation, même superbement bien préparée, il y a toujours un hic, un grain de sable. Et aujourd’hui, le grain de sable, c’est moi.


Je suis arrivé la veille et mon transfert vers Courchevel semble hypothétique. Alors, une attachée de presse, spécialisée dans l’accueil et la gestion des VIP, avec un adorable sourire, dont elle ne se départit jamais, m’explique que la seule voiture disponible pour moi est celle des hôtesses du podium d’arrivée.



Ma réaction semble lui faire grand plaisir et surtout la soulage d’un problème qui aurait pu devenir insurmontable si j’avais été capricieux… Et me voilà en présence de deux charmantes jeunes femmes, l’une blonde comme les blés, prénommée Annabelle et l’autre brune, répondant au doux prénom d’Armelle. On me recommande chaudement. D’autant plus chaudement que j’accepte d’être « trimballé » dans un véhicule qui va partir en éclaireur de l’étape et non, comme beaucoup l’exigent, dans la caravane des suiveurs, là où ils peuvent se faire voir à la télévision, suivre les efforts en direct, être éclaboussés par la sueur des coureurs en plein effort qui, eux, voient défiler sous leurs nez asphyxiés, quelques dizaines de véhicules de VIP !


Annabelle et Armelle m’offrent un immense sourire, m’embrassent comme du bon pain, rassurent mon mentor sur l’attention toute particulière qu’elles me porteront tout au long de la journée. Puis, elles glissent chacune leur bras dans les miens et, encadré par ces deux très jolies filles, je traverse tout le village, faisant taire les conversations sur notre passage, et les groupes que nous fendons nous suivent avec une certaine envie dans les yeux pour ne pas dire une envie certaine.


C’est bon, de temps à autre, de faire des jaloux et des envieux !


C’est que mes deux accortes accompagnatrices, non seulement sont belles, l’une a les yeux bleus, l’autre les yeux verts ; mais en plus elles sont juchées sur des talons hauts qui mettent en relief leurs fesses, moulées dans des jeans super serrés, et arborent un tee-shirt jaune, aux couleurs du maillot du même nom, dont le nom du sponsor barre en bleu leurs poitrines et en moule à la perfection les formes arrondies et arrogantes. Au point que c’est bien la première fois, me dis-je, qu’une banque peut avoir de tels coffres à offrir à la vue et au su de sa clientèle, au lieu de les cacher dans d’horribles sous-sols !


Rapidement, nous rejoignons le parc des véhicules, immense parking aux véhicules bariolés de stickers pour entamer le trajet vers le point de ralliement de l’étape. Point de chauffeur avec nous. Nous sommes et restons tous les trois.


Armelle s’installe au volant, ouvre largement sa fenêtre, le toit ouvrant. Annabelle se glisse à l’arrière et m’ouvre la porte à côté d’elle. Dans le véhicule, un chaos presque indescriptible !


Sur le plancher, à l’arrière, sur les sièges des centaines d’objets publicitaires, porte-clés, casquettes, bidons, tracts, autocollants…



Et nerveusement, Armelle s’insère dans la file de voitures publicitaires. En experte, conduisant d’une seule main, elle distribue ses objets, les jetant plus qu’elle ne les donne, comme Annabelle puis moi-même qui me prends au jeu du père Noël au mois de juillet. Il nous faut presque trois heures pour rejoindre Courchevel, fendre la foule qui s’accumule aux cols, s’amasse à l’arrivée. Après avoir suivi les fléchages, elles garent la voiture dans un coin du parking, s’emparent de plusieurs sacs, sagement en attente dans le coffre. La voiture est laissée ouverte pour permettre son remplissage pour demain. Et je leur emboîte le pas, sur leur recommandation :



Une fois de plus nous fendons la foule, dense et braillarde qui attend avec impatience l’arrivée, prévue dans moins de trois heures, sous les commentaires nasillards du speaker qui officie depuis la ligne d’arrivée et fait patienter la foule en la tenant en haleine.


Après avoir montré patte blanche à divers contrôles, nous pénétrons dans une petite caravane sans fenêtre, attenante au podium érigé depuis peu de temps et pour quelques heures seulement ; les deux filles branchent, en sourdine, Radio Tour et s’écroulent sur les banquettes.



Je la contemple, un peu ahuri… car en joignant le geste à la parole, elle se déshabille et se dirige vers un des coins du petit habitacle où une cabine de douche est installé – je ne l’avais même pas remarquée à mon entrée.


Annabelle est une vraie blonde. Son corps sculptural, qu’elle me promène sous les yeux, est presque parfait. En tenue d’Eve, elle est un appel au sexe, mais son naturel pour l’instant me désarme. Juste peut-être a-t-elle un postérieur un peu volumineux, mais le ventre, légèrement bombé, les seins bien accrochés avec ses petits tétons pointus et effrontés qui les remontent en virgules, le fuselé des jambes, immenses, une toison pubienne courte, frisée et presque blanche qui laisse voir une vulve rose d’où pend une lèvre un peu brune… De grosses gouttes de sueur me montent au front, une bouffée de chaleur envahit mon corps. J’ai aussi l’impression que mes yeux vont sortir de mes orbites… Armelle, à qui je jette un œil, me contemple avec un petit sourire, plein de sous-entendus.


Délicatement, elle pose sa main sur ma jambe et à son contact, je sursaute. Mon sexe, déjà électrisé par la vue d’Annabelle nue, entre en érection au contact de la main chaude et exploratrice d’Armelle. Car sa main se fait baladeuse, indiscrète, honteusement provocatrice… Et sans me laisser le temps de dire « ouf », sa tête plonge vers mon pantalon, mon sexe raide et excité est sorti de ma braguette et délicatement absorbé par un fourreau chaud, humide et gourmand.


Je rejette la tête en arrière, pour savourer cet instant magique de bonheur… Dans ma vision, à travers la fine paroi de plexiglas de la cabine de douche, la silhouette d’Annabelle qui baigne son corps sous les puissants jets d’eau attise mon érection et j’oublie, dans la bouche d’Armelle, mes déconvenues de la veille, mes expériences acrobatiques, mes frustrations du mont Saint-Michel… et me laisse porter par les vagues de plaisirs qui montent, inexorablement dans ma hampe en fermant les yeux… tant pis pour le spectacle…


Mais je rouvre vite mes quinquets, car un corps frais et humide vient me surplomber, Annabelle, toujours nue, me tend sa généreuse poitrine à suçoter. À califourchon au-dessus de la tête d’Armelle qui ne m’a pas lâché, elle a empaumé ses seins par-dessous et me les présente, frais et durcis par les jets d’eau. Elle les promène sur mes lèvres, les excite, les titille… et je n’ai qu’à entrouvrir ma bouche pour les cueillir l’un après l’autre.


Et ma tension s’accroît de quelques centimètre (enfin c’est une façon de parler !) au point qu’Armelle cesse ses va-et-vient buccaux et qu’une autre bouche vient s’empaler sur mon pénis raide et prêt à exploser. Annabelle, par un jeu subtil du bassin, mouille mon pénis avec son intimité excitée et sans que j’aie à bouger d’un seul centimètre, elle entame une danse du ventre insupportable, tant elle m’échauffe.


Je plaque mes deux mains sur ses fesses et entame mon propre rythme, énervé par le contact de la peau satinée et chaude de la blonde Annabelle qui se laisse faire et semble apprécier mon envol vers des sommets de plaisir. Les yeux mi-ouverts, je peux aussi surveiller Armelle qui a remplacé sa collègue sous la douche. Malheureusement, je n’ai pas assisté au strip-tease et me promets de ne plus fermer les yeux même au moment crucial qui va arriver inévitablement.


Et j’explose ! Je me libère de toutes mes tensions de ces derniers jours. J’ai même la nette impression que cette jouissance n’aura pas de fin, sera inépuisable, infinie ! J’inonde ma partenaire qui se déchaîne, oscillant du buste au-dessus de moi…


Oui, mais les meilleures choses ont une fin.


Surtout quant Radio Tour hurle qu’Armstrong est en train de récupérer le maillot jaune et que simultanément la sonnerie d’un portable interrompt et saborde la fin de votre jouissance, vous rappelle à la réalité des choses.


Immédiatement Annabelle s’arrache de moi pour s’emparer du terrible engin :



Et de la douche, où elle continue à s’asperger, Armelle crie :



Affalé sur la banquette, les jambes étalées, le sexe gluant de nos plaisirs, je contemple les deux filles, sans réellement comprendre. Dois-je demander des explications ? Puis-je être indiscret ? Après tout, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de mieux connaître les petits et les grands secrets de la légendaire caravane, et je me lance (Armstrong, bien entendu !) :



Les deux filles se regardent et pouffent de rire en même temps, mais restent muettes. Ce fou rire, car elles sont en train d’attraper un véritable fou rire, me permet d’admirer le corps d’Armelle. Les seins en pomme, aux larges aréoles marquées dans leur centre par de larges tétons cernés de picots hérissés par la douche, le ventre plat, dégoulinant d’eau et marqué par un profond nombril. Elle offre, elle aussi très naturellement à ma vue, pourtant brouillée par un premier orgasme, une intimité largement offerte à la vue car totalement épilée. Un abricot brun, charnu, aux lèvres finement ciselées et légèrement pendantes. Les cuisses fermes, longues, son corps est parfait. Et sa vue semble faire aussi de l’effet sur mon sexe qui commence à se redresser.



En attendant, Armelle s’approche de moi et vient s’agenouiller devant mon pénis qui est en train de se développer largement, avance sa main, humide et chaude et, du bout des doigts, commence à me masturber. Annabelle à son tour s’approche, se penche vers ma tige qui raidit à vue d’œil, et m’embouche.

Ah ! Quel plaisir total et complet que de satisfaire ce magnifique fantasme de se laisser sucer et masturber par deux magnifiques femmes ! Je me laisse aller. Une fois encore j’en oublie tout… jusqu’au lieu où nous nous trouvons, à moins de quelques pas d’une foule affairée et bruyante qui – je l’espère – ignore ce qui se passe ici.


De temps à autres, j’ouvre les yeux pour me délecter de ce spectacle rare. Cela me permet de voir Armelle m’enjamber, me présenter son dos et sans me lâcher de la main, diriger mon pénis vers ses lèvres imberbes, charnues, largement ouvertes et humides.


Elle aussi s’empale sur moi, les deux mains sur les cuisses, elle entame un rapide va-et-vient qui me mène au bord de l’explosion, d’autant qu’Annabelle, d’une main experte et douce, frotte mes bourses. Je cale mes deux mains sur ses hanches et entame un rythme soutenu qui accroît ma jouissance et la sienne jusqu’à mon explosion finale qui, malheureusement, dure moins longtemps que la première mais me laisse voir un feu d’artifice dans mes paupières closes.


Exténué, à bout de souffle, les jambes en coton, le bassin d’Armelle remuant encore quelques instants au-dessus de moi, je dois avouer être flapi et n’aspirer qu’à une bonne douche réparatrice.


Encore plus affalé sur la banquette, j’attends quelques instant avant de remuer, d’aller à la douche mais Annabelle s’approche de moi, tenant dans les mains une serviette qu’elle sort de son emballage. Avec des gestes précis, doux, rapide, elle m’essuie le sexe de son enrobage de restes gluants de mon plaisir et du plaisir d’Armelle. J’ouvre de grands yeux, intrigué.



Et tandis que mes yeux suivent les gestes d’Annabelle, en vision marginale (enfin, pas si marginale que cela), Armelle s’est emparée d’une des mascottes du Tour, l’un de ces fameux petits lions en peluche et, jambes largement écartées, frotte le ventre de la petite peluche sur son sexe, encore mouillé et dégoulinant de notre union ! Une main ouvrant largement son intimité, elle semble prendre un certain plaisir à ce frottement masturbatoire… Puis interrompt la montée de son plaisir et tend la peluche à Annabelle qui l’échange contre sa serviette. Et Annabelle, accroupie devant moi, jambes écartées, s’aide, elle aussi, d’une main, ouvre sa vulve, encore humide de notre fornication, et frotte les flancs du lionceau avec méthode et application contre ses lèvres intimes.


Devant mon regard étonné, surpris (on le serait à moins) les deux filles finissent leur besogne et rient à belles dents.



Armelle me regarde et sentencieusement me dit :



Et après m’avoir fait promettre de ne rien révéler, elle m’explique que le nouveau porteur du maillot jaune, à l’étape ce soir, aime ceindre autour de son cou une serviette éponge qui porte les odeurs d’une femme qui vient de faire l’amour.



Je reste ébaubi.



Il s’empare aussi de ce petit lion, mascotte emblématique, qui vient de nous essuyer, continue Armelle.



Un instant de silence s’installe. Je reste ahuri par la description de cette gestuelle, de ce rituel.



Voilà comment, la direction de course, pour satisfaire les « caprices et fantasmes » d’un champion de grande classe, sacrifie tous les jours deux de ses hôtesses de podium, choisit un invité, si possible célibataire et beau gosse (hum, les fleurs ne sont pas très chères, je vous l’accorde) pour récupérer, à heure fixe, le mélange d’odeurs de sexes pour qu’ensuite, en grimpant sur le podium et en endossant le fameux maillot jaune, la jouissance du champion soit totale !


J’en reste comme deux ronds de flan.


Quelques minutes après, un interphone rappelle les impératifs horaires à mes deux hospitalières parfumeuses qui m’invitent à les suivre.


D’en bas du podium, sous les applaudissements de la foule, presque en délire, je peux constater qu’en effet, le champion a autour de son cou une serviette éponge blanche, qui semble immaculée, et dont il respire à pleins poumons les odeurs, tout en faisant semblant de s’essuyer avant de se laisser passer un nouveau maillot jaune et s’emparer de la petite peluche qu’Armelle lui tend. Une peluche qu’il embrasse effectivement à pleine bouche sur le ventre et les flancs, se délectant au passage des saveurs laissées par Annabelle et Armelle – et moi.


Les deux hôtesses l’encadrent sagement, effacées, les mains croisées derrière le dos, les talons joints, souriantes envers la foule, attendant quelques secondes avant de descendre du podium pour aller remballer leurs affaires et prendre sagement la direction de leur hôtel, où elles ont bien mérité une nuit de repos, en attendant le lendemain…


Cela me permet aussi de serrer la main du grand champion, longuement et de façon appuyée avec une certaine connivence entre nous, et de recevoir une double bise de la part de sa « fiancée », avec un regard coquin et une lueur de complicité et un « merci » susurré rapidement à mon oreille.


Avant de quitter mes deux accortes hôtesses, en service commandé, j’ai réussi à leur extorquer que, si aucun invité ne correspondait aux critères requis, il pouvait leur arriver, de ramasser un beau mec, sur le bord de la route, qui était alors tout fiérot de sa bonne aventure et pourrait en garder un souvenir plus qu’éblouissant, même s’il ne pouvait pas raconter la course du jour aux copains.


Mais du Tour de France, chacun en emporte les souvenirs qu’il veut (ou qu’il peut !).


Pour ma part, je suis redescendu de Courchevel dans une voiture de presse, en compagnie d’un célèbre animateur de télévision, ancien journaliste, excellent pratiquant du vélo, qui continuait à s’interroger sur « les ressorts psychologiques qui faisaient courir et gagner Lance ».


Ah ! S’il savait…


Mais est-il seulement un lecteur de Revebebe ? Un Revebebe-addict ? Car je ne lui ai rien révélé, à lui.


Seuls, vous, fidèles ami(e)s lecteurs et lectrices, êtes aussi détendeurs de ce grand secret. Ainsi, connaissez-vous la véritable définition du terme « respirer un parfum de victoire ». Mais je sais que vous saurez garder le silence.


En attendant, j’ai rendez-vous le soir même à Divonne-les-Bains, frontière franco-suisse, au casino plus exactement où d’autres aventures m’attendent et que je pourrai vous narrer.