n° 09643 | Fiche technique | 18302 caractères | 18302Temps de lecture estimé : 11 mn | 04/09/05 |
Résumé: Antoine teste ses nouvelles connaissances. | ||||
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Auteur : Zébulon Envoi mini-message |
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Antoine est encore sous le coup de ce qu’il vient d’entendre. Il a à cœur de remercier Carole de ses explications en lui faisant l’amour du mieux qu’il peut, mais il a aussi très peur de la décevoir. Il regarde ce sublime corps de femme allongé nu à côté de lui. Il sent la pression monter en lui. La sensation qu’il connaît si bien d’avoir une boule dans le ventre lui revient. Voilà qu’après avoir conquis de l’assurance auprès des filles, il redémarre sa vie sexuelle en ayant l’impression d’être un petit garçon.
Carole s’aperçoit de son trouble et lui dit :
Antoine est sensible au compliment. Il se rengorge. Il se souvient qu’une de ses conquêtes lui avait effectivement dit qu’il avait un bel engin, mais, dans le feu de l’action, il n’y avait pas prêté attention. Sa fierté de mâle s’en trouve flattée.
Après un tel discours, Antoine n’est pas plus rassuré. Mais Carole trouve qu’il a grosse queue, et elle pourrait en avoir envie. Il l’imagine le suçant, passant sa langue experte sur tout son membre, le prenant en bouche en lui massant les couilles. Hummm, cette pensée lui redonne le moral et une grosse érection !
Il regarde à nouveau le corps de Carole. Il la dévore des yeux, partant du bout des doigts, remontant lentement le long des bras, soulevant légèrement la tête pour passer sur les seins, plongeant sur la longue clairière plane de son ventre, évitant la dépression si tentante entre ses cuisses, surfant sur la crête des jambes jusqu’aux pieds puis remontant encore plus doucement le long de l’intérieur pour enfin s’arrêter sur le triangle touffu et fermé. Qu’il aimerait que ce sésame merveilleux s’ouvre pour y plonger son regard !
Carole, qui l’observait, l’encourage :
Ainsi encouragé, Antoine reprend confiance en lui. Il pose maintenant sa main là où son regard avait commencé, sur la main de sa partenaire. Sa main à plat suit le même chemin. Il peut sentir sur sa paume la douceur de la peau de la fille. Arrivé à la base des seins, il les contourne. Puis il entreprend de les escalader lentement en tournant autour. Il va le plus lentement qu’il peut, mais il a hâte d’arriver au sommet et de toucher les tétons. Il se force à ralentir. Il arrive enfin sur les mamelons. Il les caresse de sa paume. Ils sont incroyablement durs et tendus ! Aussi durs que sa bite en ce moment ! N’arrivant plus à se maîtriser, il les prend entre ses doigts et les pince violemment. Carole pousse un cri.
Une bouffée de fierté l’envahit. Il descend maintenant ses mains sur le ventre. Il commence à décrire des cercles autour du nombril. Il peut sentir la fermeté de l’abdomen. Là non plus, pas un gramme de graisse ! Ses cercles s’élargissent progressivement. Quand il touche la première fois la lisière de la toison, il a un frisson. Il continue à agrandir ses cercles. Il passe sur le Mont de Vénus. Il entend un « Hmmmm » bref. Sa main s’avance maintenant aussi loin que lui permettent les cuisses serrées. À chaque passage sur cet endroit sensible, Carole émet un petit son. Il regarde ses seins. Il a l’impression que les tétons se sont encore allongés.
Il quitte ce terrain de jeu pour glisser sur les jambes. Il fait aller et venir sa caresse sur toute la longueur, interminable, de ces membres. Les cuisses toujours serrées lui interdisent l’accès au saint des saints. Il pense à juste raison que ce n’est pas encore suffisant au goût de Carole.
Il reprend donc ses caresses au début, mais avec, cette fois, juste le bout des doigts. Il sent la peau frémir à son passage. La chair de poule recouvre bientôt les bras de la belle. Antoine s’arrête.
Le jeune homme continue ses caresses, toujours avec le bout des doigts. Quand il passe sur les seins, Carole soulève son torse pour aller à leur rencontre. Il s’attarde sur cet endroit que semble particulièrement apprécier la jeune femme. Puis il passe sur le ventre. Quand il atteint la toison touffue, le bassin se soulève légèrement. Les cuisses s’écartent, puis se referment aussitôt. Ses doigts continuent à parcourir le corps comme un archer qui explorerait toute la longueur des cordes du violon pour voir quels sons en sortiront.
Antoine a alors une idée.
« Puisqu’elle aime sentir une queue sur sa peau, je viens lui en donner ! »
Il s’allonge au-dessus d’elle en restant en appui sur ses bras pour que son corps ne la touche pas. La position n’est pas très confortable, mais, bon, il fait avec. Il descend son bassin pour que son sexe touche la peau des cuisses de la fille. Le contact sur son gland lui procure un frisson de plaisir. Sa bite touche les cuisses à l’endroit de leur jonction. Il s’avance pour que son sexe parcoure le ravin dessiné par les jambes jointes. Ouh, ça brûle le gland ! Il ralentit le mouvement pour que le frottement soit supportable.
Il fait remonter sa queue vers le ventre. Son passage laisse une petite trace humide. En s’en apercevant, il imagine que le sexe de Carole est mouillé lui aussi, maintenant. L’image de la chatte ruisselante de Catherine lui traverse l’esprit. Sa bite gonfle encore un peu plus. Il passe et repasse sur le ventre, appuie sur le nombril comme pour le pénétrer.
Tout à coup, Carole ouvre les yeux. Elle a dans les yeux une expression qu’il ne lui connaissait pas. On dirait de la folie. Elle s’adresse alors à lui :
Avant qu’il ait eu le temps de faire quoi que ce soit, Carole attrape son membre dressé et le porte goulûment à sa bouche. Elle lui masse fébrilement les couilles avec une main. Mais ses mouvements, qui paraissent désordonnés, font en fait montre d’un art consommé des caresses. À aucun moment, elle ne lui fait mal en pressant trop fortement ses testicules. Ses lèvres enserrent sa queue dans un mouvement de va-et-vient jubilatoire. Elle l’enduit de sa salive, la ressort de sa bouche pour donner des petits coups de langue sur le gland, puis l’enfourne à nouveau entre ses lèvres gourmandes.
La fellation qu’elle est en train de lui faire expédie Antoine dans des sphères de plaisir qu’il n’avait pas encore explorées. La pipe de Catherine est reléguée au rang de jeu pour enfant. Les sensations sont tellement intenses qu’il a tôt fait de sentir venir l’éjaculation.
Carole ressort prestement la bite de sa bouche et lui pince fermement la base du gland entre deux doigts.
La pression des doigts sur le canal séminal a stoppé net l’envie d’éjaculer d’Antoine. Il s’émerveille d’une telle connaissance de la physiologie masculine de la part d’une fille. Voilà un truc qui peut être fort utile, pense-t-il.
Antoine est terriblement excité par la situation. Mais en même temps, il ne peut s’empêcher d’être un peu effrayé par l’attitude de Carole. Elle est complètement transformée. Elle qui était si calme, si posée, qui a pris le temps de lui expliquer en long et en large comment faire jouir une fille, voilà qu’elle est déchaînée, vulgaire, méconnaissable. Il se dit que le plaisir chez une fille doit être terriblement bon pour la transformer de la sorte.
Carole se retourne pour se mettre en position. La voilà maintenant allongée sur le ventre, les bras sous la tête. Antoine découvre ses fesses, qu’il n’avait pas encore vues jusque-là. Mon dieu, quelle beauté ! Quelle perfection ! Elles sont rondes, bien fermes et rebondies. Elles dessinent un sillon profond, prolongement naturel de celui qui commence à la nuque. Il ne peut s’empêcher d’y poser les mains pour en apprécier la douceur et la fermeté.
Carole tourne un peu la tête.
Antoine s’exécute. Il s’allonge sur elle et pose sa queue entre ses fesses. Les bras de Carole quittent sa tête, ses mains viennent se poser sur ses propres fesses pour les écarter. Le sexe du jeune homme descend au fond du sillon. La jeune femme resserre ses fesses l’une contre l’autre pour empêcher le membre de s’échapper par le haut.
Il fait aller et venir son sexe entre la chair ferme des fesses de Carole. C’est bon, mais, au bout de quelques instants, la sécheresse de la peau rend le frottement douloureux. Il s’en ouvre à sa partenaire.
En disant cela, elle écarte les cuisses pour lui faciliter le passage. Il fait glisser son sexe pour le passer du bon côté. Et là, il découvre qu’elle a dit vrai. Dans un premier temps, il ne sent rien d’autre que la mouille chaude qui recouvre toute la chatte. Ce n’est plus mouillé, c’est inondé, noyé, dégoulinant ! Puis Carole soulève un peu son bassin pour y passer ses mains. De deux doigts, elle écarte ses petites lèvres, saisit la queue et la plaque dans sa fente.
Antoine est submergé de sensations. Il sent la brûlure de la fente sur sa queue, la mollesse de la chair ouverte, l’incroyable humidité glissante qui tapisse le tout. Il sent distinctement les lèvres qui bordent sa bite.
Le jeune homme s’applique à faire ce qui lui est demandé. La main de Carole plaque toujours sa queue entre ses lèvres. Il se met à aller et venir doucement dans la fente trempée. En passant, il sent le trou du vagin. Deux fois, avec la pression que lui imprime la main, il manque de s’introduire. Mais il dérape juste sur la zone dure de l’os pubien. Quand il arrive en haut de la fente, il sent la pression de la main se relâcher. Il peut sentir malgré tout le petit point dur du clitoris glisser sous son gland.
La main de Carole s’empare de la bite d’Antoine et l’amène devant son vagin béant et ruisselant de plaisir. Antoine s’enfonce en elle. Son vagin est brûlant. Il est aussi inondé. Il a l’impression de tremper sa queue dans un bol d’huile chaude. C’est la première fois qu’il pénètre une fille par derrière. Les sensations sont plus intenses. Le trou lui semble plus serré, il sent mieux les parois du vagin. Le frottement dans cette position est divin ! Ses couilles lui envoient un signal d’imminence.
Carole, qui a senti sa queue durcir d’un coup, lui lance :
Antoine s’immobilise. Il laisse passer l’orage. La main de la jeune femme, toujours sous son ventre, se met à s’agiter. Antoine n’est pas sûr de ce qu’elle est en train de faire, mais les gémissements qu’elle se met à pousser ne lui laissent aucun doute. Elle se masturbe ! Elle se touche le clito alors qu’il est en train de lui faire l’amour ! Il est terriblement vexé. Si elle a besoin de se masturber, c’est qu’il ne lui donne pas assez de plaisir, pense-t-il. Il est blessé dans son amour-propre.
Il est rassuré de lui entendre dire que sa pénétration est bonne. Et de toute façon, il a trop envie d’aller jusqu’au bout pour mettre sa menace à exécution. Et puis, en y réfléchissant, il trouve que voir une femme se masturber est terriblement excitant. Il ravale donc son amour-propre et ouvre tous ses sens pour profiter au maximum de ce moment d’intimité qu’elle lui offre.
Les gémissements de Carole se font de plus en plus bruyants et de plus en plus rapprochés. Antoine a repris son va-et-vient délicieux dans la chatte trempée. Puis brusquement, elle s’arrête et écrase son bassin sur le lit. Cela a pour effet de faire sortir le sexe d’Antoine du sien.
Antoine obéit à son ordre, une nouvelle fois dépassé par les évènements. Carole regarde son sexe dressé.
Disant cela, elle se penche et lui gobe la bite. Elle se délecte de ce qui est manifestement pour elle un nectar. Elle se relève brusquement.
Elle passe une jambe de l’autre côté du corps d’Antoine et descend son bassin. La queue bien raide trouve sans difficulté l’entrée du vagin, qui semble l’aspirer. Carole descend le plus bas qu’elle peut. Elle sent la bite énorme toucher le fond de sa chair. Elle pousse un long gémissement de satisfaction.
Puis elle se penche en arrière. Ses bras prennent appui derrière son corps. Elle commence un mouvement de frottement d’avant en arrière. À nouveau, Antoine est submergé de sensations. Sa queue frotte divinement fort sur la paroi ruisselante du vagin. Il sent les lèvres de la chatte, tout aussi ruisselantes, frotter sur les poils de son pubis. Il sent la mouille de Carole couler le long de son membre et se répandre sur ses couilles. Il croit percevoir la dureté du clitoris se presser contre lui. Carole accélère son mouvement, s’arrêtant juste à temps pour que le membre dur et très lubrifié ne sorte pas d’elle.
Ses gémissements s’arrêtent. Elle ferme les yeux encore plus fort, son front se plisse, tout son visage se crispe dans une expression qu’on pourrait croire de douleur. Ses mains serrent les draps. Puis elle pousse un cri assourdissant, un "Aaaah" qui dure quelques secondes.
Antoine sent sa bite recevoir un déluge de mouille. Il sent le vagin se contracter, on dirait qu’il veut lui écraser la queue. La pression se relâche puis reprend. Le vagin de Carole le pompe ! C’en est trop pour lui, il ne peut plus se retenir, il jouit dans un long cri, lui aussi.
Ils restent tous deux quelques instants comme ça. Puis Carole vient s’allonger à côté de lui.