n° 10394 | Fiche technique | 12233 caractères | 12233Temps de lecture estimé : 8 mn | 05/05/06 |
Résumé: La suite des aventures d'Evelyne, Frédéric et les autres... Après la tempête... | ||||
Critères: fh extracon parking telnet cérébral noculotte fellation cunnilingu nopéné | ||||
Auteur : Cyber Syr Envoi mini-message |
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J’avais lancé l’idée d’un « cadavre exquis » sur le forum. On m’a guidé sur celui-ci qui était déjà commencé. Je m’en suis donc emparé. J’espère qu’on trouvera des successeurs.
Le mauvais temps de la veille avait laissé place au beau temps. Le vent du nord dégage le ciel tout en refroidissant l’air. Thierry vient juste de poser les deux garçons à l’école. Il suit la voiture devant lui tout en roulant vers son lycée où une nouvelle journée de cours l’attend. Ce ne va pas être simple de se concentrer : la nuit a été dure. D’abord à cause de l’attente d’Evelyne qui ne rentrait pas de son pot au boulot, puis l’angoisse après son coup de fil et ensuite, cette excuse bizarre. Certes, il neigeait hier sur Lyon et sa banlieue, mais de là à être bloqué et avoir peur de la neige. Non, quelque chose clochait et il a passé toute la nuit à chercher quoi.
Le voilà sur le parking du lycée. À côté de lui, la petite Mini de la nouvelle prof d’anglais. Elle n’est là que depuis la rentrée, mais elle lui a tapé dans l’œil assez rapidement. Cette petite Audrey avec ses yeux un peu tristes, mais d’un bleu profond, ses cheveux châtains toujours coiffés en arrière soit libres, soit dans un joli chignon. C’est une chance de la rencontrer sur le parking ce matin, alors que son esprit est occupé par ses pensées conjugales.
8h00 déjà. La Part Dieu approche heureusement. Je vais avoir le temps de passer à l’espace détente de la boîte pour me remaquiller et me recoiffer. Ce Frédéric me rend folle. Ses dernières caresses discrètes sur le parking avant de repartir chacun de son côté m’ont fait fondre. Et moi, comme une nunuche, j’ai craqué et quand il m’a demandé un souvenir, je l’ai laissé descendre ma culotte pour qu’il l’emporte. Je vais être cul nul toute la journée. Pas mon genre, mais je crois qu’il me ferait faire n’importe quoi. On a rendez-vous à 12h00 dans une brasserie de la galerie marchande. J’ai hâte d’y être.
France-Musique passe un concerto de Mozart. La musique remplit l’habitacle de ma Laguna. Combien de temps vais-je tenir à vivre cette vie ? Cette vie remplie de femmes, cette vie remplie de mensonges. Combien de temps vais-je tenir à mentir aux gens que j’aime ? À leur faire croire que je suis directeur régional d’une entreprise alors que je ne suis qu’un chômeur qui cherche depuis des mois un nouveau job. Hier, j’ai compris dans le discours du recruteur de cette entreprise de moutarde que mon CV commençait à sentir le roussi. Trop de trous. Depuis trop longtemps. Heureusement qu’il reste les femmes pour tenir. Audrey et ses enfants ; Caroline et ses séances de pure baise ; Hélène et son romantisme de pacotille qui souhaite avoir un bébé. Et voilà que s’ajoute Evelyne… Rejet de la société dans le monde du travail, mais toujours actif pour mettre de la gaîté dans le cœur des femmes. Je sors la culotte d’Evelyne de ma poche. Je prends une grande inspiration. Certains se droguent à la cigarette ou au boulot. Moi c’est au sexe des femmes.
Le clin d’œil était peut-être de trop. Voilà qu’elle rougit. Ça la rend jolie. Elle me laisse pour rejoindre sa classe. En plus de la fatigue de la nuit, voilà que je pense à elle pendant le cours. Elle est mignonne quand même. De petits seins, mais mignonne.
Enfin la sonnerie. Il y a longtemps que je n’ai pas été aussi mauvais. Tiens voilà la nunuche du premier rang. Dans la famille Gros seins, elle par contre, elle doit être la reine. Mais derrière ses lunettes, ça gâche un peu tout. Moi ? J’ai dit ça moi ? Que Kiev était la capitale de l’URSS en 1988 ? C’est une erreur en effet, je rectifierai cela au prochain cours. Merci, Mademoiselle.
Ouf, je m’en suis vite débarrassé. Je vais aller en salle des profs prendre un café avant d’attaquer la deuxième partie de la matinée. En montant les escaliers, j’aperçois Audrey et son tailleur qui monte quelques marches devant moi. Je l’appelle. Elle se retourne, me sourit en rougissant :
Ça ressemble à une invitation en règle ou je ne m’y connais pas. J’accepte avec plaisir. Les deux dernières heures de cours vont passer vite.
Enfin midi. Je me précipite au lieu de rendez-vous. J’ai hâte de revoir Frédéric. Il a hanté mes pensées toute la matinée. Le voilà, il me sourit. Oh, il a un bouquet de fleurs à la main. Pour le bureau, pas question de l’amener à la maison. On s’embrasse. Il me demande dans l’oreille si j’ai mis une nouvelle culotte. En rougissant, je lui réponds que non. Le repas me semble long et je suis fébrile comme une adolescente. Il me paie la note, grand seigneur. Je lui dis que j’ai quelques minutes avant de reprendre le boulot et que j’ai envie de marcher avec lui. Il me répond qu’il a un rendez-vous à 14h, mais que si j’accepte, je peux le raccompagner à sa voiture dans les parkings souterrains. Il y a plus romantique, mais je veux être AVEC lui.
Nous voilà dans l’escalier qui descend au -2. Il me serre dans un coin sombre après les caisses de paiement. Je n’en peux plus, j’ai autant envie de lui que lui de moi. Il glisse rapidement sa main sous ma jupe pour caresser mon sexe, mon petit buisson comme il dit. Ce sexe qu’il a honoré toute la nuit. Oui, caresse-moi encore. Oui, lèche-moi, mon Frédéric. Il semble comprendre mes pensées, il s’accroupit devant moi, relève ma jupe et approche son visage. Je sens son souffle chaud se mélanger aux courants froids d’un parking d’hiver. Quand sa langue se pose entre mes lèvres, je crois jouir immédiatement. Il me rend folle. Jamais je n’aurais imaginé me faire lécher, peut-être baiser dans un parking souterrain de ce centre commercial. Oui, Frédéric, oui. Oh, oui, il caresse mes fesses, s’insinue entre elles. Je ne peux pas lui résister. Je n’en peux plus. Je fonds littéralement quand il me doigte le petit trou doucement. Un coup de langue plus fougueux, plus appuyé me fait entrer en transe. Je ne peux retenir des petits gémissements. C’est trop bon. Il est merveilleux.
Il me semblait bien l’avoir reconnue. C’est donc avec ce bellâtre qu’elle devait être hier soir quand elle m’a demandé de mentir à Thierry. Pauvre Thierry, baladé par une nana comme ça. Je l’aime bien Evelyne, mais ce qu’elle fait voir à Thierry est dur à accepter. Si encore il était comme mon Sébastien. Mais non, Thierry, c’est un gars doux, sensible, qui s’occupe à merveille de ses enfants et je suis sûre de sa femme. Vu la froideur de ses réactions les quelques fois où je l’ai vu et où j’ai tenté de le draguer, juste pour voir, il ne doit même pas avoir de maîtresse. Le pauvre. Et elle, elle s’envoie des amants à la pelle. Son agenda Outlook au bureau est truffé de rendez-vous privés. Sûrement des amants. Les voilà qui sortent de ce restaurant, je vais les suivre un peu. Je crois bien, ma petite Evelyne, que je vais bientôt m’occuper de ton petit mari. Quand je lui apporterai des preuves, visuelles, de ton infidélité, je suis sûre qu’il appréciera une jolie femme pour le consoler.
Tiens, ils s’arrêtent dans l’escalier. Oups, j’ai failli être repérée. Méfiance et silence. Oh non, il ne va pas la baiser là, dans ce sordide escalier tagué. D’où je suis, je vois bien sans pouvoir être vue. Il la doigte, c’est sûr. Oh, mais le voilà qui s’accroupit. Il ne va pas la lécher là quand même. Si !! Oh, je ne tiens plus. Heureusement que j’ai mis ce tailleur aujourd’hui. Hummm, c’est bon de la voir se dandiner. Je ne peux pas trop en voir, mais j’imagine, c’est encore mieux. Ne pas oublier quelques photos avec mon portable. Clic, Clac. Ma Michelle, tu es la plus sournoise des amies. Vite, remontons avant de se faire surprendre et avant de perdre la tête.
Hummm, quel sexe appétissant ! Elle est vraiment divine cette fille. Merci la neige pour cette rencontre. En plus, elle est chaude sans être vulgaire. Pas comme cette conne de Caroline. Et elle me donne le peps. Hier soir, c’était l’énergie pour larguer Caroline. Ce midi, pour envoler mon coup de blues. Finalement, ma vie n’est pas si mal. Allez ma belle, encore quelques coups de langue et tu vas fondre dans ma bouche. Oui, vas-y, lâche-toi ma belle, jouis. J’adore ce moment où les femmes sont vulnérables. Et vu leur appétit quand elles sont avec moi, je pense qu’elles aiment aussi. Je me relève pour l’embrasser, réajuste sa robe pour masquer son trésor. Elle me glisse des « Je t’aime » dans l’oreille. Je lui réponds « Moi aussi je t’aime » Ce qui est vrai finalement…
Voilà ce maudit portable qui me dérange dans ce moment tendre. Numéro masqué. Bon, allez, je décroche sinon tout le centre commercial va l’entendre sonner.
Non, Evelyne, par pitié. Là voilà qui ouvre mon pantalon et commence à me
sucer le sexe
Je lâche le portable de mon oreille et me laisse aller aux caresses de ma nouvelle amante. Elle sait y faire. Soupèse mes testicules l’un après l’autre. Caresse le haut des cuisses, mes fesses, mon petit trou. Elle est très douée. Je n’en peux plus. Je ne vais pas me gêner pour le faire comprendre à cette conne de Caroline. Je gémis de plus en plus fort. Je vais jouir, je le dis à Evelyne qui ne semble pas s’en offusquer. Elle me garde en bouche tout en me masturbant. Ouiii. De l’autre côté du téléphone, Caroline doit en avoir pour son plaisir, elle qui aime tant nos masturbations téléphoniques. La bouche maquillée d’Evelyne est remplie de mon sperme. Bonne haleine pour cette après-midi au bureau ! Je reprends mes esprits, elle m’a déjà rangé le sexe dans le pantalon. Je reprends le portable. Bip, bip, bip. Visiblement Caroline n’a pas attendu la fin…
Mais c’est l’heure d’une nouvelle séparation…. temporaire sans doute.
A qui d’inventer la suite des aventures de Frédéric et Évelyne ?
Que va faire Michelle de ses photos compromettantes ?
Que va-t-il se passer lors du repas entre Audrey et Thierry les conjoints délaissés ?
Et Sébastien le mari de Michelle ? Et Sophie, l’amie et confidente d’Évelyne ?
Sans parler des amants délaissés Caroline et Antoine ?
À qui le tour ?