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Temps de lecture estimé : 21 mn
22/10/06
Résumé:  Les deux soeurs me présentent une amie étonnante.
Critères:  fh ffh fffh jeunes freresoeur cinéma douche noculotte photofilm fmast intermast facial cunnilingu pénétratio
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : 1976 : un été chaud

Chapitre 04
22 juin - 24 juin

Mardi 22 juin. Heureusement que j’ai deux bras.


Pourquoi a-t-on transporté mon lit sur un bateau pris dans une tempête ? J’essaie de m’accrocher à quelque chose de solide. Mais ça secoue de plus belle. J’ouvre un œil. Le visage de Gwendoline envahit mon champ de vision. Mais c’est elle qui me secoue comme un prunier :



L’information arrive lentement à mon cerveau. Bon sang, 9h00. Je me dresse comme un diable hors de sa boîte. Gwendoline me regarde :



À côté de moi, Dominique émerge péniblement. Je me penche vers elle et l’embrasse. Cela la motive pour reprendre pied. Cela la motive même un peu trop. Je dois, à regret, batailler un peu pour éloigner ses lèvres des miennes et pourvoir placer quelques mots :



À la manière donc elle reste cramponnée à mon cou, elle s’en fiche comme de l’an quarante. Après un nouveau baiser, je profite qu’elle reprend son souffle pour glisser :



Elle s’étire. Nous nous habillons et rejoignons la salle à manger. Gwendoline est en train d’apporter la théière.



Je m’approche d’elle et l’embrasse, tandis que ma main s’égare sur ses fesses. Je fais mon mea culpa :



Après avoir embrassé sa sœur, elle ajoute :



Je ne sais pas pourquoi, mais je me garde de poser des questions à la suite de cette affirmation énigmatique. Dominique n’a pas ma prudence et demande :



Sa sœur lui répond de son ton le plus suave :



Cela ne lui pose pas de problème. Dominique et moi ne nous attardons pas plus et partons vers le travail.


Dans la journée, j’essaie d’organiser mon futur séjour à Lyon durant ma scolarité à l’Ecole nationale supérieure de bibliothécaires et pour la semaine prochaine avec mes trois copains du magasin d’électronique un dîner pour leur présenter mes chéries, enfin deux d’entre elles. Nous tombons d’accord sur le vendredi 2 juillet, Dominique m’ayant dit que le 27 juin n’était pas possible, car c’est le jour où l’on fêtera l’anniversaire de Gwendoline, quelque chose est en préparation chez elles. Je tombe des nues. Dominique est contrite, elle a vendu la mèche. Ce devait être une surprise pour Gwendoline et pour moi. Samedi est le jour de ses 19 ans. Sa mère et elle invitent pour ce soir-là tous ses amis, alors qu’elle croit à un simple dîner au restaurant en comité restreint.

Je passe un petit coup de fil à Anne pour lui dire que je pense à elle. Je la taquine un peu sur le secret quant à l’anniversaire de sa fille. Dans la conversation, je lui fais part de mes projets lyonnais. Une de ses amies de pensions et son mari, non pas celle à laquelle je pense, ont un appartement à Lyon qu’ils n’occupent pas. Ils sont partis en septembre dernier pour trois ans au Mexique pour le travail de Monsieur. Et lorsqu’ils reviennent en France ils restent dans leur appartement parisien ou vont rendre visite à de la famille. Elle me demande de ne rien entreprendre avant qu’elle les ait contactés. J’ai beau lui dire que cela me gênerait de squatter pour une si longue période leur logis, elle n’en démord pas. Peu avant la fermeture c’est elle qui appelle. J’ai un logement à Lyon. Elle a eu son amie au téléphone qui est enchantée de pourvoir lui rendre service. La concierge va être avertie qui tiendra les clés à ma disposition. J’en reste abasourdi. Je pense quand même à demander le prix du loyer. Elle me répond que c’est à titre gracieux. Quand j’argue que j’utiliserai de l’électricité, du gaz, de l’eau, elle rétorque que ce n’est qu’un détail qui se réglera en son temps. Je serais mal venu de cracher dans la soupe, surtout maintenant qu’Anne a tout mis en branle.

Moi qui avais reproché à Dominique de passer beaucoup de temps au téléphone, aujourd’hui j’ai fait fort. Entre le travail et ma frénésie téléphonistique, nous n’avons guère eu le temps d’échanger, sauf pendant la période du repas. Nous parlons de ces deux derniers jours fertiles en évènements, des réactions de Maman et de mon copain d’enfance. Elle a d’ailleurs elle aussi organisé, profitant d’une des rare fois où je lâchais le téléphone, une rencontre avec sa meilleure amie Gaëlle Sombreuil, pour jeudi prochain, chez moi.

De retour à la maison, nous dînons avec Gwendoline qui, en parfaite petite ménagère, a tout préparé. Elle nous convainc, malgré notre fatigue, d’aller voir le dernier Martin Scorsese qui a eu la Palme d’or à Cannes. Dans le métro les filles sont assises en face de moi. Aujourd’hui leurs tenues sont beaucoup plus conventionnelles, des jupes plissées qui leur arrivent un peu au-dessus du genou. Je ne bénéficie pas des mêmes paysages que la veille. Durant une partie du trajet les filles papotent en gloussant, sans que je puisse, à cause du bruit ambiant, participer à leur si joyeuse conversation. Il n’y pas foule dans la salle. Il faut dire que « Taxi driver » est sorti depuis plus d’un mois, que c’est la dernière séance et qu’étant interdit aux moins de seize ans, on n’y vient pas en famille. Gwendoline m’entraîne presque au dernier rang, avant de rejoindre sa sœur qui a fait un arrêt technique aux toilettes. Elles reviennent de concert et s’asseyent de chaque côté de moi. Nous parlons un peu des derniers films que nous avons vus. Je souris, intérieurement en pensant à la dernière fois que je suis allé au cinéma. C’était avec Dominique pour ne pas voir « Les magiciens » de Chabrol. Après avoir ingurgité une forte ration de publicité et profité d’une courte pause, le film commence.

Cinq minutes passent. Les filles se rapprochent et posent leur tête sur mes épaules. Cinq autres minutes, tandis que Dominique, assise à ma droite, prend ma main pour la porter à ses lèvres, à ma gauche Gwendoline se saisit de l’autre pour la serrer. Encore cinq minutes, avec une simultanéité troublante, elles m’entraînent à poser la main haut sur leur cuisse dénudée. Pour qu’elles soient tant dénudées, les coquines ont dû beaucoup aider à ce que leur jupe remonte. Je ne résiste par à cette double initiative visiblement concertée. Je caresse ces tendres chairs ainsi offertes. Je remonte toujours plus haut. Si haut qu’à un moment je sens des poils. Surpris, je furète un peu plus. Force m’est bien de constater que les slips qui couvraient ce que j’explore se sont volatilisés.

Devant cette invite, je ne rechigne pas à me mettre à l’ouvrage. Les résultats sont rapidement tangibles, brisant le synchronisme de mes aimées. À ma droite, on s’avance pour s’asseoir du bout des fesses sur le fauteuil. À ma gauche, on passe une jambe par-dessus l’accoudoir voisin. Mais un but commun : écarter les cuisses au maximum pour me donner un accès amélioré à leurs trésors, plus du tout cachés. Mes doigts sont aussi humidifiés d’un bord que de l’autre. Je veux faire durer ce petit tripotage de chattes, tout en suivant un minimum le film. Ce n’est pas évident. Si ça chauffe trop, je mets la pédale douce. Si ça ralentit trop, je passe à la vitesse supérieure. Si ça monte plus vite d’un côté, je ramène l’équilibre. Je réussis à les tenir en haleine depuis maintenant plus d’une heure. Bien que mes muscles commencent un peu à tirer je continue bravement.

Je fais un rapide calcul. Le film dure 113mn. Elles ont mis environ 15mn à amener ma main sur leur cuisse. Cela a bien pris autant avant que j’atteigne les points névralgiques. 15+15+60=90. 113-90= 23. Cela laisse le temps de finir tranquillement. Malgré tout je décide de conclure. Je déclenche donc une vigoureuse double offensive, m’acharnant sur les points faibles. Surtout sur certains boutons qui sortent imprudemment de leur abri. Je lance aussi des raids dans les tranchées, maintenant trop ouvertes pour offrir quelque résistance à ces incursions. La multiplication des soupirs m’annonce qu’une capitulation sans condition est proche. Je poursuis mon avantage et intensifie l’action. C’est Gwendoline qui rend les armes la première. Elle se mord les lèvres pour ne pas proclamer sa défaite. Elle s’affale un peu plus dans son siège, sa jambe glisse de l’accoudoir qui la soutenait. Dominique résiste un peu plus longtemps, mais ce n’est qu’un baroud d’honneur. Il ne dure pas. C’est la débâcle. Après quelques soubresauts le calme revient sur le terrain. Un soupir encore plus terrible que les précédents proclame que je viens de remporter la victoire sur le deuxième front.

Le calme revient dans la salle au moment où la violence se déchaîne à l’écran. Le héros joué par Robert de Niro, liquide le proxénète d’Iris, une prostituée de douze ans et demi interprétée par Jodie Foster. Après l’avoir cru mort, la fin plus calme montre le héros retrouvant dans son taxi la dame de ses pensées qui le félicite pour sa bravoure. Avant de sortir nous faisons une halte aux toilettes. Je peux m’y laver les mains. Elles en avaient bien besoin. Je retrouve mes chéries à la sortie du cinéma. J’ai droit au baiser du vainqueur. Dominique y ajoute un :



Quand je peux placer un mot, je les avertis :



Elles finissent par découvrir qu’en bas des fesses, une large tache humide s’étale. En constatant les dégâts, elles piquent un fard. On ne peut rien y faire. Avec la chaleur l’humidité disparaît, subsiste quand même une auréole révélatrice. Malgré cela les filles sont enchantées de leur soirée. De retour à la maison, après l’inévitable passage sous la douche, Dominique rejoint le canapé, sa sœur et moi la chambre. Tout le monde s’endort rapidement. J’ai pensé toutefois avant de sombrer à activer le réveil et, à sa demande expresse, faire un câlin à Sekhmet qui ces derniers jours avait préféré dormir dans la salle à manger. Trouvant probablement là des mains plus disponibles pour la gratouille féline.




Mercredi 23 juin. Une journée calme.



La journée se passe sans incident. Je m’occupe un peu plus de mon travail et un peu moins du téléphone, sauf un petit coup de fil à Anne pour entendre sa voix. Avant de rentrer, je fais un petit passage à la salle de sport, tandis que Dominique fait une apparition à la danse. Elle est plus sérieuse que moi, car elle profite souvent de moments libres pour faire des exercices. J’en fais quelques-uns aussi mais moins régulièrement. De retour à la maison, la soirée aussi est tranquille. Après le dîner nous écoutons deux concertos pour orgues de Haendel.

Dans la chambre avec Gwendoline, une fois couchés, je commence à l’embrasser. Cela tourne rapidement au 69. Elle réussit à me faire partir avant que j’y parvienne. Je poursuis mon action, mais elle aussi. Elle arrive à me faire garder bonne contenance. Je la fais mettre à quatre pattes. J’enfile un préservatif. Je me place derrière la belle, qui comme cela a déjà été mentionné a vraiment un cul magnifique. Je frotte son sexe avec le mien ou le tapote. J’astique son bouton avec le gland. Je la pénètre d’un seul coup régulier et la tringle avec d’amples mouvements que petit à petit j’accélère et intensifie. Son corps est secoué par les coups de boutoirs que finalement je lui assène. Elle ne s’en plaint pas. Ses mouvements se mettent au diapason des miens. À chaque poussée, l’air s’échappe de ses poumons dans un feulement. Quand elle prend son pied, elle a à cœur de prouver qu’elle a autant, si ce n’est plus, de capacité vocale que le reste de la famille.

J’abandonne son puits d’amour et retire ma capote, tandis qu’elle s’allonge. Je m’installe au-dessus de son ventre et lui demande de serrer ma pige toujours raide entre ses seins, lui faisant découvre ainsi l’art de la cravate de notaire. Les vannes finissent par s’ouvrir. Je me répands sur sa figure et ses cheveux. Après ces exercices, nous rejoignons rapidement les bras de Morphée.




Jeudi 24 juin. L’amie.



Au petit-déjeuner pris en commun, Dominique suggère à sa sœur, qui s’inquiète des voisins, qu’au lieu de faire des affichettes, elle devrait en faire la tournée pour leur expliquer les tenants et aboutissants de ce tumulte. Gwendoline ne reprend pas à son compte cette idée.

La journée à la bibliothèque se passe tranquillement, égayée par quelques baisers et mots doux.

Nous retrouvons Gwendoline à la maison. Aujourd’hui elle est peu sortie. Elle a été une fée du logis. Elle a repassé les dernières lessives. Elle a bien du mérite à manier le fer à repasser avec cette chaleur. Elle a fait encore tourner le lave-linge. Entre autre pour deux robes qu’une séance de cinéma avait rendues peu présentables. Enfin la table est dressée et le repas qui me fera connaître la « meilleure amie » de Dominique est prêt. Et tout cela ne l’a pas empêchée d’avancer dans la lecture de ma thèse, là aussi elle a bien du courage, et de faire des gratouillis à Sekhmet.


Nous sommes rentrés depuis peu quand la sonnette retentit. Dominique va ouvrir. Après quelques bruits d’embrassade, elle réapparaît accompagnée de son amie. Elle ne doit pas passer inaperçue. Elle est un peu plus grande que Dominique, et ne doit pas être loin du mètre quatre-vingt. Sa chevelure aux reflets cuivrés lui descend sur les épaules. Son visage aux yeux bleus est moucheté de taches de rousseurs. Elle est vêtue d’une jupe dans le genre de celles que portaient mes chéries pendant la promenade au Trocadéro. Ses jambes n’ont rien à leur envier.



Sans me laisser le temps de placer un mot, elle m’embrasse avant de faire de même avec Gwendoline. Nous passons à table directement, pour y prendre l’apéritif. J’ai pu placer quelques mots pour le proposer avant que la copine reprenne :



Elle me scie un peu la copine. Avec elle on sait tout pour pas un rond. La conversation roule ensuite sur les souvenirs d’enfance, de fac, les voyages… Comme on sert le plat principal, ris de veau au cidre et aux pommes. Gaëlle demande si je suis l’auteur de ce délice. Je réponds :



J’avais peu parlé pendant la soirée, ces demoiselles, surtout Gaëlle, se montrant fort bavardes. J’aurais dû continuer.



Dominique n’avait pas tout dit à son amie. Tout comme moi avec les miens, elle ne savait pas trop comment amener la chose. Je ne pense pas que ce soit une manière qu’elle avait envisagée. Les oreilles un peu rouges elle répond presque nonchalamment :



Pour Gaëlle la réponse est aussi sur le mode humoristique, aussi enchaîne-t-elle :



Leur rousse amie finit par se demander si c’est du lard ou du cochon ou si elles parlent bien de la même chose. Un peu hésitante, pour la première fois de la soirée, elle demande :



Elle a peur de comprendre :



Elle laisse sa phrase en suspens.



Voir sa tête est un spectacle qui dans un guide serait noté « vaut le voyage ». Elle ouvre et ferme la bouche plusieurs fois sans qu’aucun son n’en sorte. Ce qui est apparemment pour la donzelle quelque chose d’assez exceptionnel. Elle finit par retrouver sa voix :



Dominique lui sert le récit auquel ont eu droit Patrice et Claude.



Elle marque un temps avant de demander à Dominique :



Après les explications théoriques la copine se montre très intéressée par les applications pratiques. Elle n’hésita pas à poser des questions précises. Dominique et Gwendoline lui répondent sans réticences. Elle finit par savoir que j’embrasse et pelote en présence de l’autre, que non nous couchons pas trois dans le même lit et que nous faisons l’amour entre quatre yeux. Gwendoline, qui décidément n’en rate pas une quand il est question de l’invention de Nicéphore Niepce, parle photos. Gaëlle trouve là un nouvel os à se mettre sous la dent. Elle apprend comment Gwendoline a trouvé les photos de sa sœur et comment en contrepartie elle a montré les siennes. Je n’en crois pas mes oreilles. Et je ne suis pas au bout de mes surprises. La curieuse de service pense que ce sont simplement des clichés de mes chéries en tenue d’Eve. Gwendoline s’empresse de la détromper. Alors viennent les questions sur comment prendre des photos quand on baise (sic). Je réponds en parlant, trépieds, commandes à distance… etc. Devant son air dubitatif et ses : « Les cadrages ne doivent pas être terribles. » « Ça ne doit pas être pratique. » « Ça doit être un peu flou. »… Gwendoline se lève, prend son album qui traîne sur une chaise et le pose sur la table en disant :



J’hallucine. Je n’ai pas eu le temps de réagir. Il aurait dû être rangé dans le haut de la bibliothèque. Elle a dû le sortir cet après-midi et ne pas le remettre en place. Je suis furieux. Mais c’est trop tard. Il est déjà en train d’être feuilleté avec gourmandise.



Quand elle a fini, elle demande à Dominique :



Dominique hésite.



Dominique, qui a bien senti que l’initiative de sa sœur ne m’a pas ravi, me jette un coup d’œil interrogateur. Je fais un geste d’impuissance et lève les yeux au ciel, signifiant qu’au point où nous en sommes cela n’a plus guère d’importance. Elle va chercher l’objet en haut de la bibliothèque et le passe à sa copine. Nous avons droit à quelques commentaires sur ce que font les fonctionnaires au travail, sur la petite séance au Trocadéro et sur les prouesses acrobatiques de ma chérie à Julouville. Quand il a été question du Trocadéro, évidemment, Gwendoline n’a pu s’empêcher de dire qu’elle a été récupérer les dernières photos chez le photographe. Et d’aller les prendre dans son sac pour poser la pochette sur la table ! Bien sûr, l’album fini, Gaëlle s’en empare :



Je narre l’histoire de la sortie du métro, ce qui la met en joie, surtout la description de la bobine de Gwendoline.



Elle a un petit moment de réflexion :



J’ai dû faire une drôle de tête. Elle s’empresse d’ajouter :



Pour la première fois l’amie a l’air un peu gênée :



Elle a l’air de plus en plus mal à l’aise.



Dominique et Gwendoline ont l’air surprises. La première s’exclame :



Elle opine. Gwendoline en tire la conclusion :



Je crois que la foudre serait tombée à leur pied, que mes deux chéries n’auraient pas été plus stupéfiées. Moi-même après ces quelques moments passés en sa compagnie, j’ai du mal à y croire. Elle qui a l’air si affranchie. Elle fait maintenant presque petite fille quand elle demande à nouveau :



Il est difficile de refuser. J’acquiesce.



Dominique rit :



Je propose que l’on commence par des photos, genre photos volées, en minijupe, avec ou sans slip. Continuer ensuite par la salle de bain, avec une douche. On se met à l’ouvrage. Elle a une petite hésitation avant de quitter sa culotte. Mais une fois lancée nous avons droit à un festival de poses coquines. Nous passons ensuite à la salle de bain. Elle commence par un strip-tease en règle, malgré le peu de vêtement qu’elle porte. Suivit d’une douche où elle n’hésite pas à se savonner complètement. Force m’est de constater que nous avons à faire à un nouveau cas de cul magnifique.



Elles y vont. Et ça chahute, et ça glousse, et ça se savonne mutuellement, et ça se trémousse, et ça éclabousse partout. Bientôt la pièce est transformée en piscine. En continuant à ce rythme, les voisins du dessous aussi en profiteront. Je modère leur enthousiasme. Elles me disent de ne pas m’inquiéter, elles s’occupent de tout et vont réparer les dégâts. La séance d’épongeage me donne l’occasion de quelques clichés charmants. Surtout quand elles sont à quatre pattes, croupe haut levée. Une fois essuyées, la salle de bain et elles-mêmes, nous gagnons la chambre. Gaëlle demande à ce que je continue à taquiner l’obturateur. Ses poses se font de plus en plus chaudes. À la fin, encouragée par ses amies, elle n’hésite pas à ouvrir largement ses cuisses et écarter ses lèvres intimes. Elle leur fait signe de la rejoindre. Pas plus que dans la salle de bains, elles n’hésitent un moment. À dire vrai comme elles ne s’étaient pas rhabillées, je m’en doutais un peu. Je leur fais prendre des poses inspirées des Trois Grâces de Rubens. Ce qui suit quitte un peu les canons du classicisme. Une fois l’initiative laissée, ces demoiselles font preuves d’imagination.

Deux moments retiennent entre autres mon attention. Le premier quand elles s’allongent côte à côte, jambe à 90° se chevauchant. Gaëlle qui est au milieu, ouvre l’intimité de ses deux voisines, puis ce sont elles qui ouvrent la sienne. Le second, quand Dominique se met à plat ventre sur le lit. Gaëlle s’installant sur Dominique et Gwendoline sur Gaëlle. Cette superposition de chattes brune, rousse et blonde est des plus saisissante, d’autant que les exercices précédents les ont rendues un peu luisantes. La fin n’est pas mal non plus. Elles s’installent confortablement sur le lit et commencent à se polir le minou. Chacune s’occupant du sien cette fois. C’est une chevauchée individuelle… à trois.

Elles cravachent. La lutte est acharnée. Elles s’étaient bien échauffées avant cette course finale. Aussi le départ est-il rapide. Pendant un temps Gwendoline tient la corde. Mais elle se désunit et perd le rythme. Elle ne m’avait pas habituée à ce genre de défaillance. Le temps qu’elle se reprenne en main, ses compagnes ont largement regagné le terrain perdu. C’est Dominique maintenant qui mène la danse. Elle accélère la cadence. Elle frémit. Dans un dernier effort elle se cabre. C’est parti, elle est arrivée à ses fins. Elle est suivie rapidement par Gaëlle et Gwendoline qui a fait un gros effort en fin de parcours pour rattraper les autres. Les pouliches récupèrent. Elles ont le souffle court, la crinière en bataille et la toison poisseuse. Le calme revient. Dominique se dresse sur le coude, me fait un clin d’œil et pouffe. Elle s’étire, se lève et disparaît dans la salle de bain, bientôt rejointe par ses deux complices.

J’ai claqué quatre pellicules. Je me demande s’il est bien prudent de les confier à Gwendoline pour les porter chez le photographe. Ces demoiselles ressortent fraîches, disposes et habillées de leur chemise de nuit pour mes chéries, car l’heure est déjà bien avancée. Nous regagnons la salle à manger. Gaëlle fait reprendre à son slip sa place normale. Ceci accompli, elle nous fait ses au-revoirs, et demande qu’on l’avertisse quand les photos seront prêtes. En l’embrassant :



Le plus drôle c’est qu’elle rosit. Quand j’ajoute :



C’est carrément à l’écarlate qu’elle vire. Ce qui me met en joie. Cela ne m’empêche pas une fois la porte refermée d’exprimer ma manière de penser à Gwendoline. Elle se recroqueville, l’air piteuse. Dominique vient à son secours :



Je fais un passage dans la salle de bain et rejoins Dominique dans la chambre. Comme ma chérie a déjà bien astiqué sa tirelire, que l’heure est avancée et qu’il faut que je récupère de temps en temps, si je veux tenir la distance avec trois filles qui aiment bien « ça », nous ne faisons que quelques tendresses avant de dormir.