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Temps de lecture estimé : 19 mn
22/10/06
Résumé:  Un voyage impromptu à Lyon, pour découvrir un logement.
Critères:  journal fh fplusag jeunes extracon anniversai voyage train fellation cunnilingu fgode pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : 1976 : un été chaud

Chapitre 05
25 juin - 29 juin

Vendredi 25 juin. Une nouvelle journée calme


Après avoir probablement passé la nuit avec Gwendoline, Sekhmet sur le matin vient me piétiner et me chatouiller le nez avec ses moustaches. Elle doit trouver que je pourrais m’occuper d’elle un peu plus. Mais elle doit comprendre qu’il y a maintenant d’autres chattes dont je dois m’occuper. Surtout qu’il y a d’autres mains compatissantes pour lui gratouiller la couenne. Nous faisons un câlin. Elle met en route son petit moteur. Quand le réveil sonne, elle file vers la cuisine. Tout le monde s’y retrouve, avant que Dominique et moi partions au travail.

Dominique passe un certain nombre de coup de fil pour la préparation de la fête d’anniversaire de sa sœur. Quant à moi, deux seulement. Un pour faire des bisous téléphoniques à Anne, l’autre pour prendre des nouvelles de Maman. Le midi, je pars en quête d’un cadeau pour Gwendoline. Je trouve un pendentif avec deux cœurs enlacés, l’un en or jaune, l’autre en or rouge. Avant de rentrer, je fais un passage par la salle de sport et Dominique à la danse. De retour à la maison, nous passons à table. Avec Gwendoline, nous parlons un peu de ma thèse, dont elle poursuit la lecture. Chacun s’amuse comme il peut. Elle nous annonce qu’elle a porté les photos et qu’elle a demandé pour cette fois un double tirage. Je fais quelques commentaires sur la sagesse de la laisser s’occuper de photos, soutenu pas sa sœur. Gwendoline s’indigne vertueusement et parle de médisance. Dominique est la première à filer vers la salle de bain, suivie ensuite par Gwendoline. Comme elle sort de la douche quand j’y entre, je lui souhaite bonne nuit. Nous échangeons un long baiser, très long. C’est le besoin de reprendre notre souffle qui nous sépare.


Je rejoins Dominique dans la chambre. Elle est en train de lire un livre. Je l’embrasse dans le cou, sur les épaules, le long de la colonne vertébrale pour finir par les fesses. Je prends un peu de recul et contemple le paysage. Je ne m’en lasse pas. Elle se retourne, prend ma bite en main, puis en bouche. Je dois lui faire lâcher prise pour ne pas exploser trop rapidement. Je la fais mettre à quatre pattes et enfile un préservatif. Après avoir parcouru de long en large sa vallée, surtout en long d’ailleurs. J’entre dans sa grotte d’amour. Par un heureux hasard, que j’ai un peu aidé, je peux nous voir dans le miroir de l’armoire. Je suis fasciné par ses nichons qui semblent vivants, tressautant à chaque coup de queue. Je ne peux me retenir plus longtemps. Dominique retire la capote et remet lèvres et langue à l’ouvrage. Elle y met beaucoup de conviction et me redonne une raideur de bon aloi. Elle remet un préservatif sur ce qu’elle a si bien remis en forme. Elle me fait allonger et m’enjambe en me tournant le dos. Elle prend ma queue en main, la pointe vers le plafond, l’ajuste à ses lèvres du bas cette fois-ci, et descend lentement dessus. Je vois mon sexe absorbé par le sien, jusqu’à ce qu’elle se retrouve assise sur mon ventre. Elle marque une pause.

Elle se penche en avant et commence à aller et venir le long de l’axe qui la transperce. J’ai une vue superbe sur son cul. Je tends les mains et m’en empare. Je caresse, pétris, écarte, rapproche les deux adorables globes. Dominique doit s’occuper de son bouton. De temps à autre, je sens ses doigts déraper jusqu’à ma queue. Alors que je lui pelote toujours les fesses, mon regard est attiré par son œillet. Il semble me faire de l’œil. Je vais récupérer du lubrifiant dans la vallée inondée. Je commence à titiller sa porte étroite. Elle est déjà bien partie, aussi la résistance est-elle faible. Tout mon index disparaît. Je ne sais si la mise en route du deuxième cylindre améliore le rendement, au moins ne le ralentit-elle pas. Elle prend son pied, un peu plus discrètement que la dernière fois. Cela dispensera Gwendoline de ses commentaires oiseux et les voisins d’inquiétudes. Quoique je ne pense qu’ils s’inquiètent beaucoup. Plutôt un peu de jalousie chez certains ou certaines. Après avoir soufflé un peu, elle se dégage, retire à nouveau le préservatif qui garnit ma virilité et la reprend dans sa bouche. Elle ne lâche plus le morceau avant de lui avoir fait rendre les armes. Un gros dodo sans problèmes achève cette journée.



Samedi 26 juin. La fiesta.


Après avoir souhaité bon anniversaire à Gwendoline, Dominique et moi prenons le chemin du travail. À peine arrivés à la bibliothèque, le téléphone sonne. C’est Anne. Elle m’annonce que son amie du Mexique a pu avertir sa concierge à Lyon. Il faut cette fin de semaine faire un saut sur place, car après cette dernière retourne dans son Portugal natal pour les mois de juillet et d’août. Je dois la voir elle plutôt que sa remplaçante. Je suis pris de court. Je lui fais de nouveau part de mes scrupules à aller squatter chez des personnes que je ne connais pas. Elle balaie mes objections. Il est maintenant trop tard. Après tout je ne vais pas me plaindre. Je lui demande si elle peut, malgré les préparatifs de la fête, s’occuper de me prendre un billet Lyon-Paris pour demain. Elle accepte.

Le midi je vais récupérer les photos de l’avant-veille, tandis que Dominique va faire de nouvelles emplettes liées à la soirée. Après le travail, tandis que Dominique file rejoindre sa mère, je vais chez moi pour chercher Gwendoline, avec pour mission de ne pas arriver trop tôt, afin que le plus possible d’invités soient là pour lui faire la surprise de l’accueillir. À mon arrivée, elle est déjà sur le pied de guerre. Moi qui me demandais quand lui offrir mon présent, je trouve là une excellente occasion. Je fais d’une pierre deux coups. D’abord et surtout j’ai l’occasion de le faire dans le calme, entre quatre yeux et ensuite cela me permet de retarder notre départ sans qu’elle se doute de quoi que ce soit et sans qu’elle trépigne d’impatience. Visiblement le cadeau lui fait plaisir. Le poème que j’y ai joint, même s’il n’a rien d’un chef-d’œuvre immortel et est très éloigné de Ronsard, la touche beaucoup.


Ce modeste présent,

Pour celle que j’aime tant.

Tous les jours je mesure, et un peu plus chaque jour,

Combien j’ai de la chance de t’avoir près de moi.

Le ciel dans sa bonté vola à mon secours,

Sur mon chemin plaça, un ange qui est… toi

Ta fracassante entrée a bouleversé ma vie,

De nouveaux horizons depuis lors je vis.

Tels ces cœurs enlacés, nos chemins s’entremêlent,

Pour former une route qui ô combien est belle.


Elle me remercie d’un baiser, puis d’un autre et d’un troisième, chacun plus langoureux que le précédent. Si langoureux qu’une certaine partie de mon anatomie se met au garde-à-vous. La coquine ne manque pas de s’en apercevoir. Bref de fil en aiguille nous sommes bientôt tous deux nus, au milieu de la salle à manger, lancés dans un 69… hum ! Gwendoline y met tant d’application que je finis par inonder sa gorge. Je n’en continue pas moins d’œuvrer. Peu après elle aussi prend son plaisir. Elle me redonne un baiser en me disant :



Après avoir effacé les traces de cet intermède, nous nous rhabillons. Ma chérie que cela a plutôt mise d’humeur mutine, demande à porter la « culotte maison ». Pensant à la soirée qui s’annonce, je tente de l’en dissuader. En vain. Je me résigne à procéder à l’installation. Elle se penche sur la table, faisant saillir sa croupe. J’enfonce lentement le gode dans sa chatte ainsi exposée. L’endroit est accueillant, l’opération aisée. Je passe la chaînette et pose le cadenas. Bien qu’elle porte une robe plutôt moulante, on ne distingue pratiquement rien. Les minis cadenas ultra-plats que j’ai trouvés, valent le prix coquet que je les ai achetés.

Il n’y a pas de soucis, nous n’arriverons pas trop tôt. Mission largement remplie, et de la plus agréable manière qui soit. En passant près d’une cabine, j’avertis que nous sommes sur le chemin.


Quand nous arrivons, la surprise pour Gwendoline est totale. Elle reste un moment bouché bée devant les dizaines de personnes réunies pour l’attendre.

La soirée est très réussie. Gwendoline s’amuse comme une petite folle. Bien que modérément amateur de ce genre d’exercice, je danse plusieurs fois avec elle, de même qu’avec sa sœur, sa mère, l’amie Gaëlle et quelques autres demoiselles de la compagnie. La jeune femme devient de plus en plus gaie. La quantité d’alcool qu’elle a dû boire y étant pour beaucoup. Elle est aussi de plus en plus démonstrative. M’est avis, à moins d’être aveugle, que plus personne dans l’assistance ne doit ignorer qu’il y a quelque chose entre elle et moi. Comme à mon arrivée Dominique m’a embrassé d’une manière qui laissait également peu de doute sur nos relations, ça va jaser dans les chaumières. Après une danse où j’ai eu bien du mal à faire se tenir ma petite Gwendoline d’une manière à peu près décente (tandis qu’elle m’embrassait à pleine bouche, j’avais des difficultés à l’empêcher d’ouvrir ma braguette), je fais appel à Anne et Dominique pour l’escamoter, avant qu’elle ne soit plus contrôlable.

Savoir la culotte qu’elle porte n’ajoute pas à ma tranquillité d’esprit. Nous la conduisons dans sa chambre. Je la déshabille, et malgré quelques velléités de protestation, la mets au lit où elle s’endort, tandis qu’Anne et Dominique vont rejoindre les invités. Quand je les rejoins, tout le monde est parti. En voyant ce qu’il y a à ranger, je suis presque pris de vertige. Quand je propose de commencer à remettre un peu d’ordre, Anne me prie d’aller plutôt me coucher, car demain je dois voyager. De toute manière l’aube n’est pas loin et je suis fourbu. Dominique et moi nous écroulons sur son lit. À peine la tête sur l’oreiller, nous dormons du sommeil du juste.



Dimanche 27 juin. Paris - Lyon.


Quand Dominique et moi sortons de la chambre, c’est pour tomber nez à nez avec deux dames commençant à donner une allure décente à l’appartement. À propos de décence, heureusement que j’ai pris la peine d’enfiler un peignoir de bain. Quant à ma chérie, elle porte une courte chemise de nuit, qui n’est pas boutonnée. J’apprends que ce sont une bonne et la cuisinière qui viennent faire des heures supplémentaires pour nettoyer. Je les salue le plus dignement possible, après que Dominique me les a présentées.

Au lever, Gwendoline paie ses libations de la veille. Elle n’a pas tout à fait les yeux en face des trous. Bien sûr, au moment où elle se suspend à mon cou pour me souhaiter le bonjour d’un baiser qui empêche de parler, les deux dames entrent dans la pièce au même moment. Après un petit-déjeuner qui, vu l’heure, fait aussi fonction de déjeuner, elle reprend pied dans la réalité. Quand nous lui racontons quelques-unes de ces facéties de la veille, elle a du mal à nous croire avant de rougir un peu.

Nous partons ensuite vers la maison, afin que je puisse prendre quelques affaires pour la virée à Lyon. J’avais demandé à des dames de me prêter une valise, les miennes étant présentement chez Maman. Je vois alors qu’elles sont chargées de deux valises. Je fais remarquer qu’une seule me suffit, je ne pars que pour moins de deux jours. Anne très didactique déclare qu’elle m’accompagne. La concierge la connaît un peu. Elle a séjourné deux semaines chez son amie avant son départ pour le Mexique. Ce sera mieux si elle est là pour m’introduire. Quand elle parle d’introduire, je pense à autre chose, mais je m’abstiens, pour une fois, de toute réflexion oiseuse.

À la maison, Sekhmet nous accueille par de véhémentes protestations, trouvant qu’il est vraiment indigne de l’avoir abandonnée cette nuit, d’autant plus qu’elle n’a rien mangé depuis hier. Nous sommes des affreux. Une assiette de pâtée modère ses récriminations. Je remplis la valise prêtée par Anne de mes effets.

Nous avons le temps de dîner tranquillement avant le départ. Malgré mes protestations, Anne nous invite au « Train bleu » le restaurant de la Gare de Lyon. C’est un lieu magique orné de quarante et une fresques retraçant le parcours emprunté par la compagnie ferroviaire PLM au début du siècle. Le Buffet de la Gare de Lyon fut inauguré le 7 avril 1901 par le président de la République Émile Loubet et classé Monument Historique en 1972 par André Malraux, échappant ainsi de justesse à la démolition. Il doit son nom actuel, qu’il porte depuis 1963, au « Paris Vintimille ».

Les filles nous accompagnent jusqu’à notre wagon. Anne a réservé deux cabines contiguës. Des singles, comme on les appelle. Ce sera la première fois que je voyage ainsi. Je dis tendrement au revoir aux deux sœurs et leur demande de ne pas oublier de s’occuper de Sekhmet.

Le train démarre. Un dernier signe de la main à celles qui sont restées sur le quai. Je procède ensuite à quelques ablutions et ouvre ma valise qui n’est pas la mienne. Je la referme et vais toquer à la porte de séparation. Pas de réponse. Elle doit être sortie. J’entre pour me trouver nez à dos avec elle. Anne est penchée sur son lit, absorbée par la fouille de son sac à main. Comme elle n’est vêtue que d’une serviette de toilette autour du cou, j’ai une vision saisissante.



Elle se retourne avec un petit « Oh !». Je l’attire vers moi et l’embrasse avant d’ajouter :



Elle prend un air de vierge outragée. Comme elle n’est plus vierge et que je ne l’ai pas encore outragée, si tant est que je l’outrage, je poursuis :



Elle rit :



Elle tire sur la serviette qui me ceint les reins. Fort lâchement elle les abandonne sans résistance. Anne peut constater de visu que je ne suis pas resté insensible. Je l’attire contre moi.



Sur ce dernier mot elle m’enlace encore plus étroitement. Je sens ses seins s’écraser contre mon torse. Elle doit sentir autre chose contre son ventre.



Je lui relève le menton et l’embrasse. Je recule un peu et m’assois sur une tablette. Je m’empare de sa poitrine. La belle se redresse et croise ses bras dans le dos. Je commence par de légères caresses périphériques. Petit à petit elles deviennent plus appuyées et moins périphériques. Je malaxe un peu ses nichons, pince ou étire légèrement les pointes durcies. Parfois j’agrémente d’un baiser, d’un suçon ou mordille tendrement. Après m’être longtemps consacré à sa poitrine, j’égare une main entre ses cuisses. C’est trempé. Son sexe a éclos comme une fleur au soleil. Son petit bouton est déjà fièrement dressé. Elle écarte un peu plus les jambes et tend son ventre en avant.

Je descends de ma tablette. Je plie un peu les genoux et lui prends la cuisse pour la lever jusqu’à ma hanche. Elle comprend l’invite. Elle se suspend à mon cou. Je me redresse, guidant ma virilité vers son sexe offert. Je l’envahis. Elle noue ses jambes dans mon dos. Je passe les mains sous ses fesses pour l’aider à se soutenir. Nos lèvres se soudent, nos langues se trouvent. Je fais quelques pas. Elle se retrouve dos à la cloison. Je la pistonne ardemment. Elle ne s’en plaint pas, au contraire. Nos bouches se séparent. Sa respiration est haletante. La mienne aussi d’ailleurs. Elle se mord les lèvres pour ne pas laisser échapper de bruit trop révélateur. De toute façon si le compartiment voisin n’est pas vide, la manière dont la cloison est secouée ne laissera que peu de doute à son occupant sur la façon dont nous nous occupons pendant le voyage. Je poursuis ma cavalcade rythmée. Elle étouffe difficilement un cri quand le plaisir arrive. Elle se relâche et se fait plus lourde. J’ai du mal à la tenir. Je la porte sur le lit, toujours fiché en elle. Je me prépare à repartir à l’assaut. D’une voie éteinte elle murmure :



Agenouillé devant le lit, je mets ses jambes sur mes épaules. Ses tétons sont toujours gonflés et tendus. Elle ne peut retenir un gémissement quand mes doigts se referment dessus. Je reprends le triture-nichon que j’avais interrompu pour pouvoir la soutenir. Je frôle, caresse, pétris, pince, fais rouler, étire ses seins offerts. Ses lèvres laissent échapper un râle qui ne s’interrompt que lorsqu’elle reprend son souffle. Je complète de temps à autre son traitement de quelques coups de queue. J’en augmente progressivement la fréquence et la puissance. Elle commence à partir. Quand elle prend son pied, son râle se transforme en cri qu’elle ne réussit que partiellement à étouffer. Après être restée quelques seconde inerte, elle retire mes mains de ses seins :



Elle se dégage et s’allonge. J’en profite pour retourner faire un brin de toilette. En regardant l’heure, je m’aperçois que cela fait près de deux heures que je suis entré dans sa cabine. Et pendant les trois quarts de ce temps, sa poitrine a été l’objet de ma sollicitude. Je comprends qu’elle ait crié grâce et demandé que je cesse de m’en occuper. Quand je reviens dans sa cabine avec sa valise, Anne est toujours étendue. Elle s’assoit quand je rentre. L’œil brillant elle dit :



Elle attrape la valise qui est sur son lit pour me la tendre. Les fermetures étant débouclées, elle s’ouvre. Tout le contenu se répand sur le sol. Au milieu de mes effets répandus sur le sol apparaît la culotte « maison » d’Anne et ses accessoires, accompagnés d’un petit mot de Gwendoline disant que les hommes ne savent pas faire leur valise. Je fais la remarque que cette chère Gwendo est très attentive au bien-être en voyage. Anne m’aide à tout remettre dans la valise sans épiloguer sur le sujet. Les couchettes étant un peu étroites pour y tenir à deux, chacun dort dans son compartiment.



Lundi 28 juin. Lyon et retour.


Le contrôleur nous réveille (trop) tôt. Je vais embrasser ma voisine et lui demander comment s’est passée sa nuit. Elle a dormi comme une masse, mais n’a pas pu mettre sa chemise de nuit. Sa poitrine était trop sensible pour en supporter le frottement. Avant de regagner ma cabine pour me vêtir, je lui susurre que ce serait dommage d’avoir transporté ce que Gwendoline a glissé dans mes bagages sans l’utiliser. C’est tout à fait son avis, mais avant elle juge un petit passage aux toilettes nécessaire. Rasé et habillé, je retourne dans sa cabine, munis de l’objet évoqué et du flacon d’huile d’amande douce, si judicieusement glissé dans ma trousse de toilette. Anne est justement en train de l’achever, la toilette pas la trousse. Quand elle a fini, je la renverse sur le lit et lui fais rejoindre ses genoux à ses boucles d’oreille. Je lui bouffe la chatte, égarant de temps à autre ma langue un peu plus bas. Un doigt l’y remplace. L’annonce de notre arrivée prochaine à Lyon m’oblige à brusquer les choses. Je présente un gode à l’entrée de son con où il pénètre sans mal. Je prends le second et l’oint d’huile. Je l’ajuste au trou resté libre et pousse lentement. Il entre sans faire plus de difficulté que le premier. Je fais passer la chaînette qui les maintiendra et pose le cadenas. Elle se lève et finit de s’habiller, tandis que je vais nettoyer un peu la figure.

Le train entre en gare. Je vais récupérer ma valise. Quand j’arrive dans le couloir, plusieurs voyageurs nous séparent. D’autres émergent des compartiments m’éloignant encore de ma belle. Quand je la rejoins sur le quai, je lui trouve un drôle d’air. Je lui demande ce qui se passe :



Elle me conduit jusqu’à l’appartement de son amie. Malgré l’heure matinale, nous trouvons la concierge qui nous remet les clés. Après avoir discuté un moment avec elle, nous montons. C’est un beau quatre pièces qu’Anne me fait visiter. Nous laissons nos bagages pour reconnaître le chemin de l’ENSB. Cerise sur le gâteau, l’appartement est du bon côté par rapport à Villeurbanne. Nous revenons ensuite à Lyon qu’Anne me fait découvrir. Nous déjeunons dans un bouchon. Je vois ma chérie se tortiller sur sa chaise. Elle me glisse à l’oreille que la nature fait valoir ses droits. J’accompagne ma compagne (ce qui est normal) aux toilettes du restaurant (ce qui est moins conventionnel) pour libérer ses orifices. Tandis qu’elle officie, je nettoie les instruments. Heureusement personne ne survient durant cette délicate opération. Je remets ensuite en place tout le matériel. Comme elle se prépare à regagner la salle, je lui demande une petite rétribution pour le service de nettoyage. Elle me donne un baiser. J’accepte cet acompte, mais lui précise que son soutien-gorge est le paiement que je demande. Elle reste immobile quelques instants, aux aguets. Le film brusquement s’accélère. Elle déboutonne son chemisier, le quitte, retire et me donne l’objet demandé, remet son chemiser, me redonne un baiser et remonte l’escalier. Tout a été si vite que j’en reste un moment interdit. Je commence à la suivre, quand je m’aperçois que je vais entrer dans la salle avec son sous-vêtement à la main. Je le glisse dans ma poche qui heureusement mérite son nom de profonde. C’est l’estomac largement lesté que nous sortons du restaurant. Nous baguenaudons dans la ville. De temps à autre, d’une main discrètement indiscrète, je vérifie le positionnement du matériel.

Nos pas nous ramènent à mon futur domicile d’étudiant. À peine rentrée, Anne se suspend à mon cou et m’embrasse à pleine bouche. Le peu de vêtements qu’elle porte vole, sauf, bien sur, ce qu’elle ne peut retirer sans mon secours. Quand je me décide à la décadenasser, je laisse en place les deux godes que je manipule avec entrain. Nous continuons nos petits jeux dans la salle de bain avant de rejoindre une chambre. Anne est suffisamment chaude pour ne plus désirer de longs préliminaires. Je la renverse sur le lit et pénètre dans son nid si doux. Elle croise ses jambes autour de ma taille. Mes couilles viennent heurter ses fesses à chaque coup que je lui assène. Heureusement ses gambettes sont solidement nouées, autrement j’ai l’impression qu’elle serait propulsée au milieu du lit. Je ralentis un peu pour m’occuper de sa poitrine. Elle a dû récupérer d’hier soir, car elle ne proteste pas. Je sens qu’il me faut faire une pause. Je me dégage doucement. Les mains toujours ancrées à ses seins, des lèvres, de la langue et même des dents, je m’occupe de son petit bouton. Anne est complètement partie. Elle soupire, gémit, râle. Je la fais mettre à quatre pattes et replante mon dard dans sa chatte béante. Un certain nombre d’allers et retours plus tard, je sors complètement et glisse un peu plus haut. J’écarte les globes élastiques. Ajusté à son petit trou, je pousse fermement. Le gode accueilli à cet endroit pendant la journée et quelques agacements avec les doigts ont bien préparé le terrain. La conquête en est aisée. C’est maintenant contre sa motte que mes boules viennent cogner. Sachant combien les mots peuvent l’embarrasser, je décide, bien que n’étant pas moi-même un fanatique de la vulgarité, d’un peu la titiller :



Silence.



Je laisse ma phrase en suspens, tout en arrêtant de la ramoner. D’un coup de rein elle essaie de relancer la mécanique, mais je me recule d’autant. Elle a un soupir de frustration. D’une voix rauque elle dit en se tortillant :



Après un temps.



À vrai dire, elle n’a plus besoin d’encouragement, les vannes sont ouvertes.



Elle poursuit sa litanie tandis que je laboure son cul. Tout en s’astiquant la moule, elle va au-devant de ce pieu qui lui ramone les entrailles. Je ne pensais pas aller si fort dans ce passage si étroit, mais elle est déchaînée. Après un dernier « Encule-moi », elle ne dit plus rien d’intelligible. Bientôt elle frissonne et est agitée de soubresauts. Son petit cul si largement ouvert se contracte spasmodiquement. Elle s’effondre à plat ventre sur le lit, tandis que je crache ma semence sur ses fesses et sur son dos. Nous sommes vidés. Après avoir nettoyé les dégâts, nous filons jusqu’à la gare. Durant le trajet je remarque qu’Anne a une démarche bizarre. Elle me souffle qu’elle a le cul en feu. Je lui réplique que c’est une suite logique après avoir eu le feu au cul. Une fois dans nos compartiments, nous nous endormons rapidement, sans même songer à dîner. Cette nuit nous ne gênerons, ni n’inspirerons nos voisins de couchette.