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Temps de lecture estimé : 36 mn
28/12/06
Résumé:  Aline poursuit ses découvertes amoureuses en compagnie de ses amis.
Critères:  f fh fff 2couples essayage parking collection voir lingerie fmast intermast fellation anulingus pénétratio
Auteur : Nicolas  (Homme de 55 ans romantique)            Envoi mini-message

Série : Nicaline

Chapitre 06 / 07
Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps

Les dernières courses que Mireille avait prévu de faire pour elle les avaient amenées dans une boutique de lingerie où elle avait ses habitudes. La propriétaire était une grande et très belle noire. Elle avait créé une sorte d’écrin pastel où les femmes trouvaient tout ce qui leur permettait de mettre en valeur leurs atouts naturels. Très rapidement, de clientes elles devenaient amies, et certaines même amantes.

Située dans une rue très passante, la boutique n’était pas vulgairement racoleuse mais plutôt très bourgeoisement discrète. Le magasin exposait ce qui se faisait de plus sagement à la mode dans le domaine et l’arrière boutique offrait un espace très propice aux essayages multiples, ainsi qu’une présentation des modèles un peu plus foufous. La présentation de certains d’entre eux était faite sur des mannequins, ce qui la rendait plus troublante encore. Il y avait des cabines spacieuses, mais la séparation d’avec la boutique n’obligeait pas à se rhabiller complètement pour en sortir et choisir autre chose, si le premier modèle ne convenait pas. Et cela arrivait souvent.


La discrétion totale dont les visiteuses étaient entourées les mettait tout à fait à l’aise. Il était très fréquent que quelques dames de la bourgeoisie locale, du genre B.C.B.G., parfois même un peu coincées dans leurs vies publiques, se promènent moitié-nues, ou demandaient à Zaîra, la propriétaire, conseils et avis sur tel ou tel modèle qu’elles étaient en train d’essayer. Il y avait beau y avoir un peignoir léger dans chaque cabine, rares étaient celles qui l’utilisaient pour en sortir.

Mireille aimait et la boutique et celle qui la dirigeait. Les longues séances d’essayages auxquelles elle se livrait à chaque passage, avaient rapproché les deux jeunes femmes qui s’étaient plusieurs fois laissé aller à quelques moments privilégiés. Ce jour là, la jeune pharmacienne avait décidé d’investir dans quelques pièces dont elle savait son amant friand.

Leur arrivée tardive au magasin en faisait les dernières clientes, et Zaîra avait fermé derrière elles.



Présentations, tendres embrassades, et quelques plaisanteries mirent Aline tout de suite à l’aise.

Elles passèrent directement dans le salon d’essayage.



Zaîra regarda son amie d’un air gourmand. Elle aimait chez elle ce côté extraverti, mais toujours de bon goût.



Zaîra se déplaça dans la pièce et revint avec quatre boites longues et plates.

Elle déballa les modèles, qui étaient tous de petits chefs d’œuvre de bon goût, d’un érotisme discret, mais bien réel.



Elle n’en tira pas le rideau et ses deux amies purent la voir faire passer par dessus sa tête son tee-shirt blanc, et faire glisser le long de ses hanches sa jupe droite. En slip, sans autre vêtement, elle se regarda un instant dans la glace qui lui faisait face.



Puis elle enfila la première pièce de lingerie. Celle-ci lui allait comme un gant. Toute en dentelle noire, elle moulait son corps comme une seconde peau. Les balconnets remontaient la poitrine ronde et l’offraient comme des bijoux dans un écrin. Le ventre plat était comme sculpté, et les jarretelles descendaient le long des cuisses en soulignant leur finesse.



Joignant le geste à la parole elle l’enleva.



Le contraste entre la dentelle noire et son corps doré renforçait le côté érotique de la scène. Son sexe naturellement nu et fendu très haut semblait sourire de la situation.



Mireille enfila les bas proposés par Zaîra.



La vendeuse lui tendit un minuscule string de dentelle de la même couleur que la guêpière.

Mireille le porta à la hauteur de ses yeux et le regarda longtemps.



En quelques secondes, elle fut nue. Aline regardait son amie, dans sa tête défilaient des images très précises de leur première soirée. Son corps commençait à réagir et quelques douces démangeaisons lui venaient qu’elle ne pourrait calmer sans rien faire.




Aline sourit. Le compliment lui allait droit au cœur. Après tout Zaîra devait être une experte avec tout ce qu’elle devait voir ici.

Pendant ce temps Mireille avait changé de tenue. Plus sage, du moins en apparence, le second vêtement qu’elle essayait pouvait se porter sans chemisier, sous une veste ouverte. Jusqu’à la ceinture il ressemblait fort à un body. Plus bas bien sûr, ce n’était plus le cas.



À l’examen il s’avéra effectivement que le minuscule morceau de tissu ne pourrait avoir qu’un rôle décoratif.



La cinquième boite recelait un trésor de légèreté. Comme l’avait annoncé la commerçante, c’était un mélange de la transparence et de la troublante sensualité de la première et de la coupe de la seconde.

Mireille se lança dans son troisième essayage. Elle en sortit gainée par un voile de dentelle noire, partant du cou, couvrant ses bras jusqu’aux poignets, masquant ses seins tout en les mettant en valeur sous un empiècement à peine moins transparent que le reste du haut. Le bas reprenait la même transparence et s’ouvrait sur le ventre encadré de longues jarretelles fines. Elle essaya à nouveau les bas noirs et les fixa aux jarretelles. Le slip qui allait avec était du style du second. Elle le présenta devant elle.



Zaîra un peu en retrait regardait les deux complices. Elle s’amusait de leur dialogue tout en sentant bien que ça n’en resterait pas là.



Elle se dirigea vers ses rangements et en revint avec un ensemble slip, soutien-gorge, porte-jarretelles en soie imprimée de fleurs dans les tons verts et fauve.



Elle déboutonna sa longue robe à fleur, la posa sur une chaise, et apparu bientôt en slip et soutien-gorge blancs, presque classiques dans leurs formes. Elle aimait ce genre de sous-vêtements simples et agréables à porter, qui convenaient parfaitement à une tenue légère et estivale. Zaîra apprécia en connaisseuse la silhouette ainsi révélée. Le soutien-gorge rejoignit la robe sur la chaise, elle enfila celui qu’elle voulait essayer. Puis elle ceignit sa taille du porte-jarretelles et présenta le slip devant elle.



Avant qu’Aline n’ait eu le temps de réagir, son slip avait rejoint le reste de ses vêtements. Mireille toujours placée derrière elle lui tenait les hanches.



Mireille se colla contre son dos et lui embrassa le cou. En même temps ses mains se firent plus douces, et remontèrent vers ses seins. Elles les prirent comme dans une coupe et les flattèrent à travers le tissu qui les recouvrait.



C’est de la pure coquetterie si elle met un soutif.



Les trois jeunes femmes rirent de concert. Aline ne cherchait pas à se dégager. Elle sentait contre ses fesses nues le ventre tout aussi nu de son amie. Elle ressentait chacun de ses mouvements comme une caresse, et ne voulait pas en perdre une miette.



La jeune femme s’exécuta. Mis à part ses Dim-Up, la robe en lycra qui la moulait quelques secondes auparavant ne cachait rien d’autre qu’un corps parfaitement nu. Mince et ferme, elle était à l’image, parfaite, des femmes de son ethnie. Ses seins hauts attachés étaient lourds, les bouts longs et tendus, le ventre légèrement bombé se terminait sur une toison crépue et très fournie, mais bien dessinée et ne couvrant qu’une petite surface. Les deux longues jambes aux cuisses nerveuses la faisaient paraître très grande. Juste sous la toison noire comme les plumes d’un merle, les grandes lèvres de son sexe apparaissaient. Cela faisait comme une draperie rose clair ourlée de gris rosé.

Aline en avait perdu la parole. Jamais elle n’avait vu de femme de couleur nue. Pour une première fois elle n’était pas déçue. Le tanagra qui se tenait devant elle lui tendit les mains. Elle en fit autant. Dans son dos elle sentait Mireille qui la poussait vers l’autre femme. Elle se laissa guider. Zaïra l’attira vers elle et la serra entre ses bras. Aline sentit contre elle un corps à la fois souple et nerveux, ferme comme celui d’un homme. Le contraste entre leurs deux peaux était souligné par la couleur flamboyante de ses cheveux.

Les deux femmes se regardèrent, leurs lèvres se joignirent. Comme toujours lors d’un premier baiser celui-ci commença tendrement. Elles devaient s’habituer l’une à l’autre. Leurs lèvres se gouttaient. Elles se trouvèrent à leur goûts, aussi leurs langues se lancèrent elles à la recherche l’une de l’autre. Elles aussi prirent goût à ce contact.


Les mains de Zaïra explorèrent doucement le dos d’Aline, la faisant frémir à plusieurs reprises. Pour ne pas être en reste, elle rendit à sa compagne les caresses qui lui étaient prodiguées. Elle embrassait sa tendre amie sur les épaules, dans le cou, collant tant qu’elle pouvait son corps d’albâtre contre celui d’ébène.

Pendant ce temps Mireille s’était installée sur le canapé du salon d’essayage. Elle ne perdait pas de vue le couple qui était en train de se former devant ses yeux. Elle regardait les mains noires sur les flancs blancs qui tressaillaient, les mains blanches sur les fesses noires. Les caresses qu’elles se donnaient échauffaient les sens de la blonde pharmacienne comme si elle y avait participé. Elle se caressait les seins à travers son léger vêtement, mais trouva très vite que c’était frustrant. Elle finit de se déshabiller, et se réinstalla pour mieux voir. Elle pouvait maintenant se caresser librement et tirait de son corps les prémices d’un premier plaisir, qui serait solitaire. Une de ses mains pinçait alternativement le bout de ses seins, l’autre avait repoussé le capuchon qui protégeait son clitoris si sensible. Elle le faisait vibrer, lui infligeant successivement caresses et agaceries du bout de son majeur.


Elle regardait ses deux amies qui progressaient elles aussi sur le chemin de leur plaisir.

Les deux jeunes femmes s’amusaient à se caresser mutuellement les seins. Mains, lèvres, langues, tout leur était bon. Elles vacillaient et menaçaient de perdre l’équilibre à chaque instant. Pour se donner plus de facilités elles s’allongèrent sur la moquette épaisse et chacune partit à l’exploration du corps de l’autre.

Aline découvrit enfin devant ses yeux le trésor caché de sa compagne. Le contraste de couleur entre les replis roses du sexe de la jeune noire et la couleur de sa peau faisait comme un signal d’appel. C’est là qu’il faut caresser semblait signifier la différence. Elle s’y employa de toute sa science. Ses lèvres, sa langue, ses doigts prirent possession du bijou qui lui était largement offert par les cuisses grandes ouvertes. Son ventre à elle s’ouvrait tout aussi largement au-dessus du visage de son amie qui lui rendait les mêmes services.

Dans la pièce ce ne furent bientôt que gémissements, soupirs, petits cris et mots sans suite.


N’y tenant plus Mireille s’approcha du couple, et se mêla aux caresses données et reçues. Seul un observateur extérieur à la scène aurait pu savoir qui caressait qui. Elles ne savaient pas par contre à qui était la bouche qui suçait si ardemment leurs clitos, à qui appartenaient les doigts qui fouillaient leurs chattes inondées ou leurs œillets brûlants et distendus. Elles atteignirent le plaisir en ordre dispersé, mais chacune mit un point d’honneur à ne pas être la première à cesser ses caresses. Leurs jouissances emplirent la petite pièce pendant de longues minutes. Puis une à une elles abandonnèrent le doux combat. Ce fut leur hôtesse qui cessa en dernier. Elle retira à regrets ses doigts du sexe blond qu’elle fouillait profondément, réussit à extraire sa tête de l’étau d’albâtre qui l’emprisonnait, nez dans une aimable foret rousse, bouche suçant ardemment le clitoris gonflé au bout de sa tige érigée.


Dans le calme profond qui succède au plus fortes tempêtes quelques douces plaintes se faisaient encore entendre, des mains erraient sur les corps assouvis, d’autres se serraient tendrement. Elles reprenaient leurs esprits et leurs souffles, redescendant lentement sur terre.

Sans se lever Zaïra proposa une boisson fraîche et reçu un oui unanime de ses deux amies. Il se passa cependant encore quelques minutes avant qu’elle ne mit sa promesse à exécution. Les longues traces humides qui descendaient le long de ses cuisses prouvaient s’il en était besoin que son plaisir n’avait pas été simulé.



Le plateau était au milieu des trois jeunes femmes qui s’étaient assises. La blonde en tailleur exposait tranquillement aux yeux de ses deux compagnes son sexe encore béant de plaisir. Zaïra avait remonte ses genoux sous son menton, ce qui ne cachait pas grand chose non plus de son abricot, tandis que Aline avait ramené ses jambes sous elle. La noire proposa des cigarettes, mais se trouvant seule à en prendre, renonça.

Lorsqu’elles eurent fini le jus d’orange bien frais, Mireille regarda l’heure à sa montre.



Tout en devisant elles se rhabillaient. Pour Mireille ce fut rapide elle enfila tee-shirt et robe à même la peu, imitée en cela par Zaïra. Aline se vêtit à nouveau complètement. Si elle devait s’arrêter quelques minutes pour voir Nicolas, il était préférable qu’elle le fût. Il était encore trop tôt pour tester ses réactions à de telles fantaisies.

Elles ramassèrent leurs affaires, Zaïra leur remis leurs achats, et elles se séparèrent après avoir payé.

Leurs embrassades furent un peu plus appuyées qu’en début de soirée. Celles de très bonnes copines qui se quittent après avoir passé un excellent moment ensemble. Le retour fut gai dans la voiture.



Elle embrassa son amie dans le cou.



Elles firent une courte halte à la pharmacie. Aline téléphona et obtint la chambre de Nicolas sans difficultés.



Aline raccrocha.



Leurs lèvres se joignirent une dernière fois.




12




La Clio avala rapidement les quelques kilomètres qui séparaient la pharmacie de l’hôtel. Aline conduisait vite, pressée de revoir son amant. Comme convenu celui-ci l’attendait sur le parking derrière l’hôtel.

Ils s’embrassèrent et restèrent un moment serrés l’un contre l’autre.



Bordé de grands peupliers, le parking de l’hôtel baignait dans la lumière blafarde de la lune. Aucune lumière ne brillait dans les chambres. La façade de l’hôtel donnant sur cette partie de la propriété semblait dormir comme tout le reste de la maison. Cependant un observateur attentif aurait pu voir une vague silhouette se profiler, accoudée à une fenêtre du premier étage. Une silhouette féminine, si l’on en croyait les quelques rondeurs mal masquées par la serviette de bain nouée sous les bras. Une femme qui ne pouvait pas dormir et qui prenait l’air à la fenêtre de sa chambre, après avoir pris une longue douche qui ne l’avait pas calmée pour autant.

Aline et Nicolas s’étaient enlacés, Nicolas dos appuyé contre la voiture ; leurs lèvres s’étaient rapidement trouvées et ils échangeaient un long baiser brûlant. Le corps de la jeune femme se frottait lascivement contre celui de son compagnon. Elle ressentait déjà les effets que pouvait avoir sur lui ces caresses pourtant bien sages. Enfin presque sages.

De la fenêtre du premier étage, la spectatrice de cette rencontre pouvait voir très nettement les mouvements des fesses d’Aline. De la même manière qu’elle voyait tout aussi bien les mains de l’homme remonter la robe pour caresser ce qu’il trouverait dessous. Plutôt que d’aller se coucher, elle décida de suivre d’aussi près que possible les développements de la situation.



Ses mains descendirent le long de la poitrine de son compagnon, finissant d’ouvrir la veste du survêtement qu’il avait passé à la hâte avant de descendre l’attendre. Ayant atteint la taille de l’homme, elles se glissèrent sous la ceinture du pantalon.



Elle dégagea l’objet de son désir du pantalon, baissa celui-ci sur les genoux de Nicolas, et approcha sa tète de la colonne de chair dressée vers elle. Ses lèvres déposèrent une série de petits baisers tendres un peu partout sur le membre complaisamment offert. Des ses mains elle caressait la longue hampe et jouait avec elle, découvrant et cachant le gland turgescent. Ses lèvres s’approchèrent du bout découvert et de la pointe de la langue elle agaça le méat. Durant quelques secondes sa langue mena une folle sarabande autour du sexe de l’homme, le léchant comme une glace, enveloppant le gland, descendant dardée jusqu’aux bourses et remontant avant de laisser les lèvres gourmandes le gober.

À la fenêtre, la spectatrice ne perdait pas une seconde de ce charmant spectacle. Elle commençait à ressentir au fond de son ventre quelques signes d’intérêt pour ce qui se passait en bas. Son cœur battait un peu plus fort et sa respiration s’accélérait, ses seins commençaient à se tendre. Dans un mouvement qu’elle fit, la sortie de bain se dénoua et chut sur la moquette. Elle y resta. Nue, l’inconnue se caressait la poitrine. Si les deux amants avaient pu la voir, ils auraient vu une femme sur la fin de sa trentaine, brune, dont les seins pleins et lourds avaient tendance à tomber un tout petit peu. Son ventre légèrement arrondi cachait pour quelques temps encore un début de grossesse. Plus bas encore une luxuriante toison très sombre, aux poils longs et souples, lui faisait un superbe tablier de sapeur. Elle s’aimait comme ça et son mari adorait sa« foret vierge ». Il n’avait jamais voulu qu’elle s’épile, ni même qu’elle se fasse le maillot. Une de ses deux mains avait quitté les seins et abordait la forêt vierge, lentement, délicatement, en connaissant tous les secrets et bien décidée à les exploiter.


Sur le parking, le couple avait changé de position. Nicolas avait saisi sa compagne par les aisselles et l’avait remonté jusqu’à lui. Les lèvres encore pleine de salive et du goût de son amant, elle s’était appuyée sur la voiture à son tour. L’homme avait défait les boutons de la robe, et avait libéré la poitrine arrogante. Maintenant il suçait le bout des seins durcis de désir, se laissant aller parfois à les mordiller, provoquant chez son amie des soupirs et quelques gémissements. Après avoir flatté longuement les seins puis le ventre de la jeune femme ses mains avaient atteint le slip blanc. Il en glissa une le long d’une jambe en direction de la fourrure fauve et l’autre par l’autre jambe en direction des fesses. Aline fléchit un peu les genoux pour permettre cette invasion à laquelle elle aspirait tant. Elle sentait les doigts de son amant qui la caressaient par-devant et par derrière à la fois. Son clito réagissait aux sollicitations dont il était l’objet, elle poussait son bassin vers l’avant pour en profiter encore plus. L’autre main tout aussi active tentait de percer l’œillet de son anus. Elle aurait bien voulu lui faciliter aussi la tache, mais ne pouvait choisir entre les deux caresses. Elle fléchit encore plus les deux jambes, ouvrant la route aux deux mains si tendres avec elle.


Au premier étage, l’inconnue se masturbait tendrement. Sa main avait trouvé sans aucun problème le chemin menant à son sexe, et ses doigts lui donnaient le plaisir qu’à son seul mari elle avait donné le droit de lui procurer. Comme à chaque fois que son travail l’éloignait de chez elle, elle serait chaste pendant son absence. Du moins aucun homme ne la toucherait. Habituellement, ils s’appelaient tard dans la soirée, et se faisaient l’amour par téléphone. Mais ce soir cela n’avait pas été possible. Elle se promettait bien de tout lui raconter en rentrant, ce qu’elle avait vu, comment elle s’était caressée en pensant à lui, comment elle avait joui. S’ils avaient le temps, elle espérait bien qu’ils pourraient eux aussi faire l’amour comme les inconnus du parking.

Aline ne savait plus où elle en était. Déjà elle avait joui, inondant par deux fois les mains qui la fouillaient. Elle avait déjà demandé à son amant de la prendre tout de suite, mais il faisait durer ses caresses, insensible à ses supplications.



Elle saisit le membre fièrement dressé, et sans prendre la peine d’enlever son slip le présenta au bord de son sexe détrempé. D’un seul coup de rein il s’introduisit en elle. Les deux mains de l’homme s’étaient rejointes sur les fesses de sa compagne. Le doigt qui lui fouillait l’anus fut rejoint par un second. C’était comme si deux hommes la prenaient en même temps. Elle sentait à travers ses muqueuses les doigts caresser le sexe qui allait et venait en elle. Elle noua ses jambes autour de la taille de son amant et s’offrit ainsi encore plus à cette double pénétration. Nicolas repris ses lèvres avec les siennes et sa langue força le barrage des dents. De ses mains et de son ventre il lui imposa un mouvement crescendo, accentuant à chaque fois autant qu’il le pouvait la profondeur de sa pénétration.

Au premier étage, la spectatrice se retenait de jouir, elle voulait suivre jusqu’au bout le tendre combat du parking. Elle en connut l’issue lorsque tout mouvement cessa et qu’elle entendit les soupirs étouffés des deux amants. Alors elle accéléra le mouvement de son poignet, pinça un peu plus fort la pointe du sein qu’elle tenait entre ses autres doigts, et jouit longuement, mouillant abondamment la main prisonnière entre ses cuisses serrées. Personne ne l’avait vue, personne hormis son mari ne saurait jamais ce qu’elle avait fait. Mais elle se promettait bien au petit déjeuner d’essayer de deviner qui était le bel inconnu.

Les deux amants ne bougeaient plus tétanisés par la violence de leur plaisir. Mais la nature a de dures lois, et petit à petit Nicolas se retirait. Aline dénoua ses jambes lentement et repris contact avec le sol. Toujours enlacés, à moitié dénudés ils s’embrassaient encore.



Une fois de retour chez elle, elle se doucha longuement avant de se coucher. Elle repensa longuement à sa soirée, et le sommeil la surprit souriante, s’imaginant prise par Pierre et Nicolas en même temps. Elle n’avait pas résolu la question de savoir à qui elle offrirait ses fesses.

Le lendemain matin la spectatrice solitaire ne put en savoir plus sur ce qu’elle avait vu pendant la nuit. Un peu dépitée elle quitta l’hôtel avec quand même une pensée émue pour ces deux inconnus qui lui avaient offert un si beau spectacle.



Le week-end qui suivit, les poissons purent vivre tranquillement leur vie dans les torrents. Nicolas et Aline ne sortirent pas de chez elle. Sauf le dimanche matin pour aller chercher de quoi manger à midi. Ils se racontèrent l’un à l’autre leurs jardins secrets. Elle l’écouta raconter ses expériences et lui raconta ce qu’elle avait vécu lors de ces dernières semaines.



Ils finirent leurs deux jours de repos tranquillement. Promenade en forêt, amour, cuisine rapide furent leurs seules occupations.


Le mardi, Pierre fut absent presque toute la journée. Sur proposition de Mireille, les deux jeunes femmes déjeunèrent ensemble chez elle. Aline raconta à Mireille tout ce qui s’était passé depuis leur +soirée de shopping. Elles en conclurent qu’une grande soirée à quatre semblait quelque chose de concevable. Avec des airs de petites chattes gourmandes devant une grande assiette de crème fraîche, elles montèrent leur plan de bataille.


Le soir, Aline alla rejoindre Nicolas à son nouvel appartement. Il errait comme une âme en peine au milieu des cartons, ne sachant trop par quel bout il devait commencer.



Aline défit son chemisier et enleva sa robe. Elle ne portait ce jour là, comme sous-vêtements, qu’une large culotte en soie, du type « à courants d’air ». Elle enfila une chemise en toile bleu marine qui la couvrait jusqu’à mi cuisse. Elle la ferma à moitié, remonta les manches, et se tourna vers son amant.



Ils travaillèrent d’arrache-pied pendant plus de deux heures. Effectivement Nicolas se comporta comme il l’avait promis. Il ne put malgré tout s’empêcher par moments de contempler son amie. Certaines positions entrouvraient un peu plus que d’autres la chemise, lui offrant à la vue les deux seins qu’il aimait tant caresser. Surtout lorsqu’elle se penchait un peu dans un carton pour en vider le contenu. D’autres fois, par exemple lorsqu’elle montait sur le tabouret pour ranger tel ou tel objet sur les rayons hauts d’une armoire, il pouvait voir un éclair roux par l’échancrure de la culotte.

Elle le surprit en contemplation plus d’une fois. À chaque fois elle le grondait gentiment en riant.



Ce qui n’était pas entièrement faux.

Ils se réconciliaient en général avec un tendre baiser, à peine appuyé.



Elle enleva la chemise que Nicolas lui avait prêtée, la posa sur un carton et se retourna pour prendre ses habits. Qui avaient disparus bien sûr !



Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase, son amant était déjà sur elle, ayant enjambé les cartons qui se trouvaient sur son chemin. Elle lui échappa néanmoins. Ils se poursuivirent pendant quelques minutes à travers l’appartement, jusqu’au moment où, à bout de souffle, elle dut se rendre.



Elle remit son chemisier, mais sans le boutonner, juste passé dans la ceinture de la jupe. Chaque mouvement qu’elle faisait laissait voir son orgueilleuse poitrine.



Ils éclatèrent de rire, s’embrassèrent à nouveau. Elle s’échappa au moment où une main traîtresse tentait de s’emparer de son sein droit.

Ils firent le trajet avec la Clio. Nicolas avait pris un sac avec ses affaires de toilettes et de quoi se changer pour le lendemain. En cours de route il poussa un grand cri :



Le fou rire les prit à nouveau.


Ils dînèrent tranquillement, en faisant quelques projets d’aménagement sommaire pour le studio de Nicolas. Leur couple se formait doucement ; au-delà de la simple attirance physique, il y avait quelque chose de plus profond, de plus viable. Bien sûr ils aimaient faire l’amour, l’un comme l’autre cherchant auprès du partenaire la jouissance la plus grande, mais ils ne le concevaient pas sans une certaine attirance affective.

Aline mit au courant son amant de la conversation qu’elle avait eu avec Mireille pendant le temps de midi.



Nous ne savons encore rien de notre avenir.



Ils rangèrent les restes du repas, la vaisselle, et sortirent de la cuisine.

Ils firent l’amour tendrement, sans excès, presque gravement. Ils partagèrent à la fois le plaisir physique et la joie d’être ensemble. Ils s’endormirent enlacés, et leur nuit bien que courte fut très réparatrice.


Le lendemain soir, ils retournèrent à l’appartement pour finir de ranger. Aline avait amené une combinaison se travail qui enfermait son corps du cou aux chevilles dans un tissus de coton peu agréable au toucher. Nicolas s’en plaignit :



Ils prolongèrent la soirée de rangement aussi loin que possible. Quand ils cessèrent le déballage, il ne restait plus que les lourds cartons de livres à vider.



Après un apéritif, ils optèrent pour des lasagnes fraîches, un morceau de gorgonzola et un tiramisu. Le vin léger et servi frais qui accompagna le repas avait complètement effacé les restes de leur fatigue. Ils devisaient gravement d’un sujet douloureux pour Aline : les enfants. Après avoir perdu son fils en même temps que son mari et ses parents elle se prenait parfois à en avoir envie d’un autre. La peur de le perdre à nouveau lui faisait repousser cette éventualité. Nicolas de son côté aurait bien aimé avoir des enfants. Mais il était encore trop tôt pour qu’ils en parlent plus sérieusement.


13


Le dimanche midi ils se retrouvèrent tous chez Pierre. La journée ensoleillée les avaient tous rendu de bonne humeur, les femmes étaient belles dans des robes de cotonnade légère, les hommes décontractés, Pierre en bermuda noir, Nicolas en pantalon de toile gris souris. Ils portaient tous les deux un maillot de rugby, celui de Pierre aux couleurs rouges et noires du club local, celui de Nicolas à large bandes grises et vertes provenait de la collection Eden Park.

Ils s’installèrent dans la véranda, protégés des ardeurs du soleil par un immense parasol en toile. Les portes grandes ouvertes laissaient passer un petit courant d’air bien agréable.

Mireille avait conçu un repas à base de crudités et de poisson froid, du fromage et une glace maison aux fraises. Mis à part cette dernière, tout était sur la table, les plats posés sur un lit de glace au milieu d’un grand plateau.



Mireille et Aline mettaient la dernière main au service tandis que les hommes parlaient … chiffons. Grand amateur de tenues décontractées, Pierre ne supportait son costume cravate que le minimum de temps pendant la semaine. Ce genre de vêtements était proscrit pendant le week-end. Il trouvait très intéressant le maillot de Nicolas et lui demandait où il l’avait trouvé. Il fallait aller à Paris, ce qui remettait l’achat à plus tard.



Aline et Mireille revinrent de la cuisine avec chacune un plateau de toasts et de petits fours qui ne devaient rien aux industriels du biscuit. Foie gras, magrets fumés et rillettes de canard ainsi que cœurs de palmiers, fonds d’artichauts et mini asperges formaient un tableau très coloré.



La fausse mine piteuse d’Aline ne trompa personne, et le rire qui manqua l’étouffer juste après cette déclaration fut communicatif. Aucun des quatre n’avait pris cet échange au sérieux. Il faut dire aussi qu’ils n’envisageaient pas de se tromper les uns les autres. Donc le débat n’avait pas lieu d’être.


Les toasts disparaissaient les uns après les autres. Ils quittèrent le canapé pour passer à table et la conversation se poursuivit sur le sujet.



Aline regardait les deux hommes en riant. La réponse de Mireille ne les surpris pas beaucoup, ils essayèrent bien d’en savoir plus mais se heurtèrent à une conspiration du silence.

Le repas fut animé et gai. Les taquineries et provocations se succédèrent et les rendirent tous les quatre très complices. Au moment du dessert, Mireille proposa de faire une petite séance de bronzette intégrale. Chacun reconnu que c’était une excellente idée. Ils la mettraient en pratique après le café.

Pendant qu’elles rangeaient la cuisine, les hommes débarrassèrent la table et installèrent le coin pour bronzer.



Tant qu’à faire elles se déshabillèrent, se rafraîchirent, et après avoir pris les précautions d’usage revinrent nues comme au premier jour, se tenant par la taille. Pierre connaissait déjà le tableau et ne fut pas surpris par l’arrivée des deux amies. Nicolas fut saisi par le contraste des deux beautés.



Sans plus prêter attention aux hommes, elles s’installèrent sur le matelas.



La proposition de Pierre donnait une orientation très nette à la suite de l’après midi.



Tête-à-tête, couchées sur le ventre, les deux jeunes femmes se firent un clin d’œil complice. Les deux hommes maintenant nus, s’installèrent à leurs cotés et commencèrent tout les deux par les épaules. Aline retrouvait avec plaisir les mains douces de Pierre, Mireille découvrait de son côté celles de Nicolas. Elle frémit quand il les posa sur son corps. Le doux contact, léger mais insistant, lui fit fermer les yeux. Cela n’échappa pas à son amie qui sourit.


Pierre continuait sa lente descente vers les reins et les fesses d’Aline. Elle s’en trouvait bien et s’abandonnait totalement aux soins de son ami-amant. Lorsqu’il eut fini les jambes, il lui appliqua une petite tape sur les fesses.



Elle se tourna offrant aux regards et aux caresses huilées ses seins arrogants et son ventre fauve. Les mains de Pierre lui procuraient un plaisir doux et apaisant. Ses seins se tendirent un peu, les pointes se dressèrent. L’homme reçu ces signes discrets du plaisir de son amie et accentua ses caresses.

Nicolas avait lui aussi entrepris d’oindre la face jusque là cachée de Mireille. À genoux à côté d’elle, genoux écartés pour plus de stabilité, son sexe se trouvait quasiment sous les yeux de la jeune femme. Elle ne put donc pas ignorer qu’il manifestait une certaine émotion. Discrète encore, soit, mais bien réelle. Elle tourna la tête vers son amie.



Nicolas empêcha Mireille de bouger, en appuyant des mains sur ses épaules. Puis il reprit son lent parcours sur les seins ronds qui eux aussi marquaient le plaisir ressenti par la jeune femme. Pour le remercier de ses caresses elle massa lentement le membre qui se dilatait de plus en plus.

Il arrivait aux cuisses qu’il enduisit également plus que de besoin. Il finit par obtenir qu’elles s’ouvrent un peu et continua ses caresses sur l’intérieur. Comme par hasard, mais celui-ci fait parfois bien les choses, il effleura les lèvres du sexe de Mireille. Elle vibra comme une corde tendue. Il recommença à plusieurs reprises, juste pour vérifier qu’il ne se trompait pas ! Mireille gémit un peu, et regarda Aline.



Leurs lèvres se cherchèrent et alors qu’elles s’embrassaient, Aline sentit un doigt inquisiteur s’infiltrer entre ses autres lèvres, à la recherche de son clito.

Ses cuisses se séparèrent un peu plus, facilitant les recherches de Pierre. Toutes les deux étaient maintenant complètement sous le charme des caresses qui leurs étaient prodiguées. Pas plus l’un que l’autre, les hommes ne cherchaient à cacher le désir qu’ils avaient de ces belles créatures offertes. L’un comme l’autre avait trouvé le discret petit cordon, et ils avaient compris le message. Seules des caresses externes étaient possible pour les emmener au septième ciel.

Les deux amies se laissaient complètement prendre en main, et cheminaient de concert sur la voie de leur plaisir. Elles s’embrassaient parfois, se caressaient le visage ou les seins, faisant partager à l’autre ce qu’elles ressentaient.

Leurs gémissements se mêlaient en un chant païen à deux voix qui allait crescendo. Leurs compagnons d’un regard s’étaient compris. Elles jouiraient ensemble, ils feraient tout ce qu’il faut pour cela.

Ils obtinrent le résultat souhaité, et n’en furent pas peu fiers. Ils s’allongèrent auprès de leurs victimes et les embrassèrent tendrement, passionnément.



Les deux hommes se levèrent et partirent à la cuisine. Elles sourirent en voyant ces deux gaillards, dont les sexes en semi-repos se balançaient devant eux, revenir quelques instants plus tard, l’un avec quatre verres, l’autre avec un pichet de jus d’orange et une bouteille de Perrier.



Le rire général qui suivit prouvait bien qu’ils étaient tous sur la même longueur d’ondes.

Sans se concerter ils adoptèrent tous les quatre la position du lotus pour se rafraîchir. Rassemblés autour du plateau de boissons, leurs corps se touchaient. Chacune des deux femmes avait le contact avec les deux hommes. Chacun pouvait voir les trois autres. Ils étaient biens, détendus, heureux de leur après-midi.



Aline se pencha vers Pierre :



En disant cela elle le coucha sur le ventre, attrapa le flacon de crème solaire et lui en étala une bonne couche sur les épaules. Pour être plus à l’aise elle s’installa à califourchon sur ses fesses, et repris son activité. Elle étalait la crème de haut en bas, accompagnant le mouvement de ses mains de tout son corps. Ses fesses roulaient contre celle de Pierre et son sexe s’ouvrait et se fermait suivant la même cadence. Elle se faisait plaisir tout en le caressant. Une fois qu’elle eut atteint le creux des reins elle se tourna dans l’autre sens pour s’occuper des jambes et des fesses. Toujours à califourchon sur l’homme, elle caressa longuement son fessier, introduisant ses doigts entre les cuisses musclées jusqu’à toucher les bourses qu’elle flatta longuement.



Le traitement qu’elle lui faisait subir depuis un moment avait eu sur Pierre un effet certain. En se mettant sur le dos il présenta un sexe de taille respectable, tendu, le gland semi découvert.



Elle s’installa de façon à ce que leurs deux sexes soient en étroit contact. Ses grandes lèvres enveloppaient le membre durci, le gland touchait son clito. Chaque mouvement qu’elle faisait entraînait un frottement de leurs deux intimités. Elle y prenait autant de plaisir que lui. La crème solaire ne fut bientôt plus pour eux qu’un prétexte. Ils cherchaient à atteindre le plaisir, et rien d’autre. Aline frottait son abricot largement ouvert contre le gros sucre d’orge de son compagnon. Ils voyaient très nettement le gland apparaître au milieu des plis des lèvres, puis disparaître pour ressortir à nouveau quelques instants plus tard.

Mireille et Nicolas les rejoignirent. Placé derrière Aline il lui prit les seins et les caressa jusqu’à ce qu’elle commence à gémir. Elle sentait dans son dos le désir que son homme avait d’elle. Elle se laissait caresser, embrasser, mais ne perdait rien du mouvement rythmé qu’elle imposait au sexe de Pierre.

Mireille de son côté avait pose sa tête sur le ventre de son futur mari, et des lèvres et de la langue elle caressait à la fois le sexe de son homme et celui de son amie. Il ne fallut pas longtemps d’un tel traitement pour que Pierre explose. Il déversa sa liqueur à longs jets puissants, arrosant le visage de sa bien-aimée, et le sexe de son amie. Pratiquement en même temps Aline laissa échapper un long soupir de bonheur. Mireille s’approcha d’elle et l’embrassa longuement. Elles partagèrent le bonheur d’être aimée et d’aimer, se frottant longuement l’une à l’autre.

Pierre se reposait, Nicolas contemplait les deux jeunes femmes en se masturbant lentement. Ne voulant pas le laisser en reste, elles s’approchèrent de lui, le renversèrent sur le dos, et déclenchèrent autour de son sexe dressé une tornade de succions, baisers, caresses de la langue et des mains. Il ne put tenir longtemps devant un tel assaut, et lui aussi explosa. Elles récupérèrent jusqu’à la dernière goutte le liquide opalescent, leurs lèvres jointes sur la source. Les baisers et les caresses qu’elles échangèrent ensuite entre elles furent brûlants et tendre à la fois, les submergeant toutes les deux en même temps sous une nouvelle déferlante de plaisir.


Assouvis, ils se laissèrent aller dans un demi-sommeil. Le soleil dardait toujours ses rayons à travers la véranda. La séance de bronzage commençait enfin.


Le soir les trouva devisant gaiement entre eux de choses et d’autres, sans importance, grands gosses heureux de leur vie et bien décidés à n’y rien changer.

Ils se quittèrent à la nuit tombée, après avoir dîné légèrement des restes de midi accompagnés d’une grosse salade.




À suivre…