n° 11293 | Fiche technique | 23623 caractères | 23623 4149 Temps de lecture estimé : 17 mn |
09/04/07 |
Résumé: Souvenez-vous du Chapitre 2. Pierre, mon mari, m'a offert des cadeaux très particuliers pour mon anniversaire. À utiliser en son absence. Sans modération.
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Critères: f telnet hmast fgode fdanus | ||||
Auteur : Karine2x Envoi mini-message |
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Laura sentait que le sexe qui s’emparait d’elle était d’un tout autre calibre que celui de son mari. Il la remplissait totalement, écartant délicieusement les parois de son vagin, glissant entre ses petites lèvres, ouvrant et élargissant l’étroit passage et surtout il bougeait divinement, rien à voir avec la molle agitation de son mari qui la laissait de marbre.
Son amant la prenait avec art, alternant de manière aléatoire des petites intrusions d’une amplitude calculée pour stimuler son point G, avec des pénétrations profondes qui arrachaient à Laura des râles de plaisir. Elle qui n’avait jamais joui autrement qu’en se caressant avait la sensation qu’une boule de feu envahissait progressivement son sexe. Des ondes voluptueuses naissaient au fond de son ventre, enflaient à chaque coup de rein de son amant en ondes concentriques et gagnaient tout son ventre et même ses seins et ses cuisses…
Je tourne la page du bouquin avidement.
J’explique : je suis sur le canapé du séjour en train de lire un livre érotique – cadeau de mon cher époux parti travailler à New York –, une main glissée dans ma petite culotte.
Je dois être une intellectuelle type. Autant un film porno ne me fait pas flipper, autant un livre érotique me fait un effet terrible à condition que le scénario ne soit pas débile et qu’il soit bien écrit. Comme la plupart des femmes, voir un mec body-buildé limer comme un automate une pétasse siliconée poussant des cris de souris me dégoûte plus qu’autre chose tandis que, plongée dans un bouquin, je fantasme à mort. Mon imagination travaille. Je suis dans la peau de Laura. C’est moi qui accueille son amant entre mes cuisses. Un vrai transfert.
Laura se mit à jouir. Une révélation. Quand son corps arqué par les spasmes retomba enfin, elle se rendit compte que son amant imperturbable n’avait jamais cessé de la besogner et ne l’avait pas accompagné. À peine remise de son étonnant orgasme, elle sentit que son sexe répondait de nouveau aux sollicitations de celui de son amant. La boule de feu qui renaissait au fond de son sexe était encore plus ardente que celle qui venait d’éclater.
Laura sut alors que ce premier orgasme n’était qu’une première étape, que son amant allait la transporter vers l’extase absolue, lui faire découvrir le paradis. Sans s’en rendre compte, pour la première fois de sa vie, elle se mit à onduler pour venir à la rencontre du sexe qui la transperçait…
Punaise… Cette Laura qui découvre le nirvana me rappelle mon premier véritable orgasme dans la piscine. Quel souvenir !… Et puis, ma première sodomie dans la foulée… nettement moins agréable (voir Chapitre 1, texte n°11114). En fait j’étais comme elle ! Pierre, pourquoi pendant plusieurs années je ne ressentais rien quand ton sexe s’agitait dans le mien ? Rien… enfin… j’exagère, bien sûr, mais rien de terrible. Oui. Je n’étais pas mûre ? Sûrement.
L’image de Laura besognée puissamment par son amant a mis ma chatte en émoi. La caresse de deux doigts sur mon bouton sensible n’est qu’un début. C’est le moment de me déshabiller et de déballer mes autres cadeaux. Pierre ne m’a pas laissé l’énorme gode taille XXL, il veut être présent le jour de son inauguration. C’est son fantasme : me voir m’enfiler King Kong. Les mecs sont bizarres. Il peut toujours attendre, je n’ai aucune envie de m’éclater la chatte avec ce truc monstrueux.
Heureusement, il y a l’autre, celui que j’ai choisi moi-même, le long et fin, terminé par une ventouse.
Et le vibro ?
Non, j’ai donné hier. Terrible ! Trop facile de jouir avec ce truc. Trop violent.
Retour en arrière. Hier matin.
Bizzzzzzzzzzzz. Bizzzzzzzzzzzzz.
La sonnerie stridente du réveil me tire d’un sommeil réparateur car la soirée d’adieu a été chaude et épuisante. Debout. J’accompagne Pierre à Roissy et nous devons arriver au moins une heure trente avant le décollage. Je m’habille classique pour aller à mes rendez-vous en clientèle : petit tailleur mi-long très prout-prout, chemisier blanc pas trop transparent, talons raisonnables.
Au moment de partir Pierre me montre le petit vibro en forme de scarabée acheté avec lui sur le Net (voir Chapitre précédent, texte n°11143).
Je râle pour la forme car je suis curieuse de voir l’effet que peut me faire cet engin. Un peu inquiète, je le glisse à l’intérieur de mon petit boxer, positionnant le petit scarabée vibreur sur le haut de ma fente, et j’ajuste les petites sangles transparentes pour le faire tenir en place.
Il me tend les clés de la voiture.
Un prétexte, bien sûr. Je ne suis pas dupe.
Le périph est déjà embouteillé. Nous avançons par petits bonds. Nous sommes arrêtés quand je sens le petit scarabée se mettre à vibrer. Je regarde Pierre qui arbore un sourire espiègle.
J’obtempère… pour voir. Les vibrations m’envahissent le bas-ventre. Bizarre.
Pour toute réponse, je le vois bouger le curseur de la télécommande. Les vibrations augmentent de fréquence, la sensation en quelques secondes devient tout autre, agréable, même franchement agréable. Si agréable que je ne tiens plus sur le siège. Je commence à me trémousser.
Je gémis en me mordant la lèvre, mais Pierre stoppe tout car la file repart.
Frustrée.
Je passe la main sous ma jupe pour bien caler le scarabée à l’endroit stratégique. Les vibrations reprennent, avec en quelques secondes la même montée de plaisir. Une vague de ouf se prépare, je me cambre en prévision de la déferlante mais… plus rien. Insupportable.
Hélas, la file se débloque. Nous repartons. Pas question de prendre mon pied en conduisant. Perte de contrôle garantie. Pierre range la télécommande dans la boîte à gants et commente :
Vu comme j’étais coincée, il n’a pas tout à fait tort.
Je dépose mon mari au terminal d’embarquement.
Gros bisou d’adieu.
Je reprends le volant, songeuse. Ce scarabée vibrant est capable de m’envoyer en l’air en quelques secondes. Il faut que je réessaye. Pourquoi pas tout de suite ?
Envahie par une pulsion irrésistible, je me gare au fond du parking d’un hôtel, récupère la télécommande, puis passant ma main dans mon petit boxer, tirant et écartant ma vulve, je positionne le petit vibreur pile poil sur mon clito. Je le remets en marche, curseur à fond.
Aïe ! Trop puissant. Trop violent. Mon clitoris agressé n’est pas d’accord. Je repositionne le petit engin un peu plus bas et je baisse légèrement la fréquence jusqu’à trouver la bonne. Du délire ! Je sens mon clito devenir une tige dure comme de l’acier. Je ne sens plus que lui.
À peine le temps de me sentir venir.
Ouiiiiiii…
Je crie toute seule dans ma voiture, prise par un orgasme fulgurant, qui me vrille le corps et me décolle du siège.
Juste le temps de reprendre mes esprits et je me recolle le petit scarabée au même endroit. Pour voir…
Aussitôt, cela recommence. Les vibrations me déclenchent des ondes croissantes, ça revient, ça monte… ça monte… et nouvel orgasme tout aussi fort.
De la folie ce truc !
Dire qu’il existe des femmes frigides. Qu’elles essayent ! Ça devrait être prescrit par tous les gynécos, les sexologues, les conseillers conjugaux. Pourquoi il n’y a pas de pub télé ? C’est un gadget pour télé-achat. Essayer c’est l’adopter… Orgasme garanti par huissier… Ce n’est pas possible de ne pas jouir avec ça entre les jambes ! J’ai perdu huit ans de vie sexuelle en me croyant frigide, faute de fréquenter les sex-shops !
Je suis perdue dans mes pensées, mais ma pulsion n’est pas apaisée. C’est purement clitoridien, court, aigu, mais c’est génial.
Voilà ! Vous savez tout ! Ivre de jouissance, j’ai dû m’envoyer en l’air cinq à six fois avant que mon clito demande grâce. C’était hier matin. Revenons au présent.
À poil dans mon lit, avec le gode.
Et si je prenais le miroir de la salle de bains ? Je verrais s’enfoncer dans mon vagin ce sexe infatigable, et ma chatte couler de désir en étant pénétrée avec le rythme et la profondeur idéale. La gorge sèche, je décroche le miroir de la salle de bains, je me réinstalle dans le lit jambes écartées, les pieds posés sur le mur avec le miroir au milieu.
Messieurs, je ne vais pas vous décrire comment une femme se masturbe. Demandez plutôt à votre épouse ou votre petite amie de le faire devant vous, vous allez apprendre bien des choses qui vous seront utiles pour l’envoyer en l’air efficacement. Quant à vous, Mesdames, vous pratiquez toute la chose et les rares qui n’ont jamais essayé ne sont pas en train de me lire. Sachez juste, Messieurs, que chaque femme a sa manière. Moi je commence par me caresser les seins, puis ma main droite se dirige dans mon entrejambe, les cuisses plus ou moins ouvertes, sur le dos ou à plat ventre. Tout marche… avec de la pratique.
Par contre le gode, pour moi, c’est la nouveauté. À 26 ans, à part mes doigts, je n’ai encore jamais utilisé un tel ersatz, ni même une banane, carotte, concombre, courgette, épis de maïs ou tout autre légume plus ou moins phallique. Je n’en avais même pas l’idée puisque je n’avais pas de besoin. Au rythme où se développe ma libido, j’imagine que dans peu de temps dans tous les supermarchés, je ne pourrais m’empêcher de comparer avec ce que vous devinez.
Encore une question de maturité sexuelle, pensez-vous ?
Sûrement.
Je suce le gland en jelly pour l’enduire de salive et le positionne à l’entrée de mon vagin. Je pousse doucement. Aucune résistance. Il rentre avec une facilité déconcertante.
C’est moins gros que ta zigounette, mon chéri, c’est moins doux aussi. Moins de sensation lors de la pénétration. C’est un engin pour les petites filles, j’aurai dû prendre plus gros, taille adulte.
Je creuse le ventre et je continue de l’enfoncer doucement dans ma chatte toute humide d’excitation. La sensation devient autre, très agréable. Je suis pénétrée très profondément, si profondément que je finis par buter douloureusement sur le col de mon utérus. Aïe… ce truc est trop dur et trop long. Ne pas aller si loin. Pierre tes seize centimètres me conviennent parfaitement. Pas besoin de fantasmer sur les vingt-quatre centimètres de Rocco. À fuir, Mesdames. Au lieu de grimper en l’air vous risquez l’hosto.
Je commence à donner au gode des petits mouvements synchronisés avec des ondulations de mon bassin. Je suis un peu déçue car je ne retrouve pas la sensation habituelle de plénitude et de douceur dans le va-et-vient que j’aime avec le sexe de Pierre. Ce truc est trop fin, trop dur, trop long, ça ne va pas, je n’arrive à rien.
Normal. Je vous l’ai déjà avoué. Je ne suis pas vaginale. C’est comme ça. Le nirvana passe par mon clitoris.
La suite, je vous la laisse imaginer…
Je me caresse, et je me ramone le vagin. Les deux ensemble, c’est… divin !
Oui, ça vient… ça monte… ça monte… ça va éclater… ça éclate… Ouiiiiiiiiii…
Je me cambre, puis je me contracte sous le spasme. Je me recroqueville sur le gode que je continue de remuer. Plusieurs vagues de plaisir déferlent, s’enchaînent décrescendo…
Oh ! Punaise… Avec ce truc, c’est un plus. C’est une jouissance plus complète.
Un peu calmée et un chouia honteuse, héritage de mon éducation psychorigide, j’hésite à me replonger dans mon bouquin érotique. Je file grignoter quelque chose à la cuisine pour me remettre les idées en place.
Pour m’adonner de la sorte aux plaisirs solitaires, suis-je sur la pente savonneuse et fatale de la nymphomanie ? Suis-je déjà une fille perdue comme dirait ma chère mère qui, elle, devait faire l’amour dans le noir en récitant des prières ?
Vais-je griller en enfer ?
Conneries.
Une journée sans orgasme est une journée de perdue. Voilà la vérité. En l’absence de mon mari, comme je n’ai nulle envie de le tromper… eh bien je fais l’amour avec moi-même. Il n’y a pas de mal. Pourquoi Dieu nous a dotées d’un clitoris, organe uniquement dédié au plaisir si ce n’est pour en jouir ? Pourquoi s’en priver ? L’utiliser le plus souvent possible, c’est lui rendre gloire, c’est le remercier.
Forte de ce constat, si ce soir je me masturbe encore plusieurs fois, quelle importance ? Et même tant mieux ! Le gode va me permettre de connaître mon vagin aussi bien mon clito, savoir ce qui lui fait le plus d’effet, quel rythme, quelle longueur de pénétration. Je vais réveiller les zones endormies, booster toutes les terminaisons nerveuses. Du coup je sentirai mieux mon homme et je lui ferai mieux l’amour.
Tout bénef pour notre couple… et la procréation.
Dieu, c’était le but, non, quand tu nous a créés ?
Compte tenu du décalage horaire, j’ai encore deux heures à attendre avant mon rendez vous sur Messenger avec Pierre à New York.
Que devient Laura ? Je replonge dans le bouquin.
Aïe… Elle déconne. Plus moyen de m’identifier à cette pauvre fille.
Elle divorce de son mari bien trop gentil et trop mou pour elle. Son amant (marié deux enfants) l’installe dans une chambre sordide à deux pas de son propre domicile. C’est un homme pratique. Il veut avoir sa maîtresse à disposition, ou plutôt son vagin pour être plus précise.
Chapitre suivant : il l’offre (en la tabassant un peu) à ses copains puis à des inconnus. Comme elle continue de prendre son pied, il la trouve digne d’être traînée dans une soirée libertine. Une sorte de secte lubrique pour partouzeurs friqués.
– Je vais te présenter au Grand Maître, explique son amant. Tu vas passer un examen, il va vouloir goûter tes charmes et tester tes aptitudes. J’espère que tu seras à la hauteur.
Je vous saute l’épisode où ce Grand Maître (vieux cochon de soixante balais) s’en donne à cœur joie, pour vous dire que la novice a été déclarée apte malgré un anus trop étroit pour les goûts (et la rigidité) du Grand Maître (qui a, bien sûr, demandé qu’elle soit plus ouverte lors de la prochaine réunion). En suite de quoi, la pauvre Laura se fait enfiler de tous côtés par la vingtaine d’adeptes (80% d’hommes, comme c’est bizarre…) ravis de baiser une jeune nymphomane au lieu des trois putes habituelles payées pour la soirée. Elle s’aperçoit avec effroi qu’elle adore être traitée en objet sexuel, qu’elle est ravie de satisfaire autant d’hommes, qu’elle n’a jamais autant joui et qu’elle est une vraie salope.
Je poursuis avidement l’épisode suivant. Elle est à genoux sur un mec monté comme un âne enfoncé jusqu’à la garde dans sa chatte, elle branle en plus deux sexes tendus, un dans chaque main, elle suce avec gourmandise un quatrième quand un dernier sexe arrivant par derrière… Oui, ça fait cinq !… bien lubrifié, tout luisant et de taille plus que respectable, force son petit trou et s’enfonce avec facilité entre ses reins.
J’ai beau imaginer, je ne me représente pas bien le tableau… question de pratique sans doute.
Laura besognée des deux côtés grimpe au plafond.
Je ne résiste pas, je reprends le gode pour un deuxième petit orgasme, puis dans la foulée je le dirige trois centimètres plus bas. Pour voir.
Intromission difficile. Rien à voir avec le trou de balle grand ouvert de Laura. Je l’enduis de gel, je me contorsionne et je le fais rentrer doucement.
Comme ce n’est pas bien jouissif, le test n’est pas concluant, pour aider, je me colle le vibro sur mon clito délaissé.
Oh… punaise… !
Une heure plus tard j’arrive vers la fin du livre.
– Laura, j’ai une énorme dette de jeu, explique son amant, et pas le moindre euro pour rembourser Mr Luigi. Ses deux dingues de fils vont me tomber dessus. La dernière fois qu’ils ont tabassé un mec, ils l’ont laissé pour mort. Ils lui ont éclaté le sexe avec une batte de base-ball.
– Quelle horreur !
– Laura, implore-t-il, si tu m’aimes, tu ne peux pas les laisser me faire ça. Va voir Mr Luigi de ma part. Essaye d’obtenir qu’il me laisse un délai. Fais-lui du charme. Montre-toi compréhensive avec lui. Si tu acceptes tout ce qu’il te demande, il pourrait même annuler ma dette, qui sait ?
Elle le croit ! Comment peut-on être aussi conne !
J’abrège. Je résume…
Laura frappa sur la porte marquée « Privé » derrière le bar puis entra dans la pièce. Ils étaient trois, Mr Luigi et ses deux fils, qui la regardaient avec un air dédaigneux.
– As-tu l’argent ?
– Non, balbutie Laura, je viens juste…
– Où est-il, ce minable qui envoie sa meuf à sa place ?
– Je…
– Où est-il ?
Une claque gigantesque envoie balader la pauvre Laura à deux mètres.
– Chez moi, balbutie-t-elle, éclatant en sanglots.
– Conduis-nous. Emportez la batte, dit-il en s’adressant à ses deux fils. On va lui aller lui éclater les couilles.
– Non, supplie Laura.
– Il y a une autre solution, annonce Luigi, avec un grand sourire. Tu travailles pour nous le temps d’éponger sa dette. Tu prends les clients que le barman t’envoie.
– À condition, bien sûr qu’elle soit assez chaude pour ça, s’interroge l’un des fils.
– On va le savoir tout de suite, approuve le deuxième.
Je passe les détails…
Laura a été prise, reprise et frappée par les trois hommes quand elle ne mettait pas assez de bonne volonté. À sa grande honte elle avait éprouvé du plaisir à être violentée, ne pouvant s’empêcher de jouir à plusieurs reprises et notamment quand les deux fils l’avaient prise en sandwich. À la dernière page, Laura sur le trottoir se fait une vingtaine de clients par nuit pour rembourser les dettes de son homme.
Un peu débile la fin de ce bouquin !
Pas grave. Il m’aura quand même fait passer une soirée de sexe jusqu’à deux heures du matin. Je me suis fait jouir… quatre fois. Mon chéri va être content d’apprendre que j’apprécie ses cadeaux. Pas besoin de lui dire que je n’ai pas du tout pensé à lui.
Je lance MS Messenger sur le PC, attendant qu’il se manifeste. Ça y est. Pierre est en ligne et demande le contact. J’accepte, la conversation écrite s’engage :
– Bon anniversaire Chérie ! s’affiche sur l’écran, puis la demande de dialogue audio et vidéo, que j’accepte.
Génial ! Je le vois apparaître sur l’écran.
J’obtempère en passant sous silence mon essai par la porte de service. Cela va lui donner des idées pour son retour.
Sur l’écran, pas bien net et un peu saccadé, je vois mon mari baisser son pantalon puis son slip et dégager un sexe effectivement en grande forme.
Mes yeux retombent sur l’écran du PC et sur son sexe dressé, bien visible dans la petite fenêtre de la Webcam.
Pierre explose de rire.
Sa tête sur l’écran !
Je vois alors Pierre saisir son membre entre ses doigts et se masturber à un rythme effréné. Au bout d’une poignée de secondes, je le vois s’arc-bouter. La caméra n’est pas bien nette mais je discerne les puissantes giclées qui sortent de son sexe.
Pierre s’exécute. Ce coup-ci c’est beaucoup plus long…
Je suis contente, il devrait être calmé de la zigounette. J’ai très confiance en lui mais bon, il peut tomber sur une salope qui lui saute dans le slip. Les hommes sont faibles. Lui vider les couilles à distance, c’est une bonne solution.