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n° 11411Fiche technique9436 caractères9436
Temps de lecture estimé : 7 mn
27/05/07
Résumé:  Laissé un instant seul par sa patronne, il se hasarde à aller fouiller dans sa chambre pour trouver ses sous-vêtements ; il est pris sur le fait et doit se soumettre...
Critères:  fh collègues travail hsoumis fdomine cérébral lingerie odeurs cunnilingu anulingus pénétratio
Auteur : AuxpiedsdeMaîtresse  (Un homme qui aime se soumettre aux femmes)      

Série : Aux pieds de Maîtresse

Chapitre 06
Pris le nez dans sa culotte


Ce texte fait suite au n° 11389, « Prêté par ma patronne », dont la lecture préalable est indispensable à sa compréhension.



Pris le nez dans sa culotte



À dix heures précises, comme elle m’en avait averti la veille, ma patronne me laissa seul dans sa librairie, pour au moins deux heures, me dit-elle d’une voix neutre. Comme précédemment, elle m’enferma à double tour après m’avoir donné ses directives concernant l’inventaire de livres de prix qu’elle comptait envoyer le lundi suivant à l’un de ses clients. Comme je m’étais bien avancé dans ce travail, en toute discrétion pour ne pas qu’elle s’en aperçoive, je ne mis pas longtemps à le mener à bien. Il me restait plus d’une heure pour ce que j’avais à faire, et qui m’avait occupé l’esprit une partie de la nuit précédente, le nez sur le sous-vêtement de sa sœur…


Libéré de ce travail, dont elle ne manquerait pas de s’enquérir lors de son retour, je montai à toute vitesse l’escalier pour me précipiter dans sa chambre à l’étage, où je trouvai ses sous-vêtements portés de l’avant-veille, bien évidence sur son lit. Il y avait un chemisier blanc, une longue robe de couleur noire, un collant de couleur grise, une large mais fine culotte blanche et un léger soutien-gorge de même couleur, suffisant pour une petite poitrine. L’ensemble paraissait négligemment jeté en travers du lit…


Je restai un long moment à détailler tous ces trésors, puis je me mis à genoux et je les pris un par un, presque religieusement, pour les admirer, les palper, les caresser, les sentir, le cœur chaviré de penser qu’ils avaient touché le corps de ma patronne. J’avais commencé par le chemiser et la robe dans lesquels je retrouvai le délicat parfum qu’elle laissait derrière elle, ce matin encore, à chacun de ses déplacements dans la librairie. Un parfum délicat, comme en porte les femmes aisées d’un certain âge.


Je m’intéressai ensuite à son petit soutien-gorge, dont je vérifiai la taille : 85B. J’en admirai les fines dentelles, et surtout je cherchai l’emplacement où avaient pu se loger les pointes de ses seins. Je fus un peu déçu de ne pas y retrouver l’odeur de ses petits seins, mais là aussi le souvenir de son parfum. Je caressai ses bonnets en imaginant les deux charmant petits globes, laiteux et un peu tombants qui devaient s’y loger peu de temps auparavant. Mais après avoir goûté ces premiers plaisirs à leur juste valeur, il était temps de passer à l’essentiel : il me restait quarante-cinq minutes pour en jouir.


Je pris alors son collant et j’en reniflai longuement le gousset, percevant une légère odeur, indéfinissable mais déjà existante. Restait la culotte blanche que j’avais gardée pour la fin. Je commençai par la caresser, je m’en caressai le visage, la passant et la repassant sur ma bouche et devant mon nez, à genoux devant le lit, à genoux devant la culotte de ma patronne. Puis je me décidai à aller chercher son odeur la plus intime au fond de sa merveilleuse petite culotte, sur l’entrejambe qui avait eu le bonheur d’être en contact avec son sexe, de recueillir les sucs de son vagin, peut-être d’essuyer la mouille de ses lèvres. Il restait quelques poils collés sur le fond de l’entrejambe, un peu jauni par les dernières gouttes d’urine qu’il avait recueillies au-dessus de la cuvette des WC. Je reniflai cet entrejambe, je le léchai, je le suçai pour en raviver les odeurs. Je ne pensais plus à rien d’autre : mon bonheur du moment était au fond de cette culotte, de la culotte de ma patronne, de ma maîtresse, de la femme dont je devenais l’esclave.


Et puis soudain j’entendis du bruit derrière moi. Isabelle, ma patronne, était derrière moi, à la fois effarée et l’œil sévère, les mains sur les hanches. J’étais démasqué, j’étais pris en faute… Elle entra alors dans une colère qui me figea sur place, ne sachant plus quoi faire, ni quoi dire… Elle me traita de vicieux, de taré, de porc… Affolé par la peur qu’elle appelle la police, ou pire, qu’elle en parle à sa sœur qui m’avait envoyé chez elle, je me jetai à ses pieds en lui demandant pardon. Je me prosternai devant elle et j’embrassai ses chaussures, ses pieds. Elle me prit alors par les cheveux et releva ma tête assez violemment pour me regarder en me traitant de « porc lubrique », de « petite chose immonde », et en m’assurant que puisque j’aimais mettre le nez dans le fond de ses culottes, j’allais être servi.


Elle défit alors prestement sa robe, enleva aussi vite sa culotte, s’appuya contre la table de nuit, et reprenant ma tête entre ses mains elle dirigea sans hésitation mes lèvres vers sa motte, où j’eus à peine le temps de distinguer ses grandes lèvres entourées d’une abondance de poils longs et montant haut sur son pubis. Aussitôt je me mis à lécher son sexe de haut en bas, en essayant de toucher son clitoris du bout de ma langue, tendant ma langue au maximum pour la pénétrer. Elle mouillait déjà abondamment et je sentais bien que mes caresses lui donnaient suffisamment de plaisir. Je plaçai mes paumes de chaque côté de sa motte, au-dessus de son pubis, pour sentir monter son plaisir et pouvoir ralentir ou accélérer le travail de ma bouche et de ma langue en fonction de cette montée. Je la suçais depuis un moment lorsque soudain, presque sans prévenir, elle se mit à jouir en feulant de plaisir, le corps soudain tétanisé, le ventre parcouru d’une vague de plaisir. Au même moment elle m’envoyait en bouche une giclée de mouille que j’appréciai comme un merveilleux témoignage de reconnaissance.


Elle mit quelques instants à s’en remettre, puis se tournant vers le mur, prenant ses fesses et les écartant largement, elle me dit seulement : « Là, maintenant ! ». Ce n’est pas le genre de caresses que je préfère prodiguer, mais je n’avais pas à discuter : ma Maîtresse m’avait donné un ordre, je n’avais plus qu’à obéir… Je la caressai donc du bout de ma langue, mais sans chercher à entrer cette fois, pendant que de ma main qui avait repris le chemin de son sexe, je cherchai à caresser son clitoris. Au bout de quelques instants elle me dit d’arrêter car elle sentait qu’elle allait jouir. Puis elle me dit de me déshabiller, en gardant néanmoins mon slip, puis de m’allonger sur le lit et de garder les yeux fermés. Je m’exécutai.


Lorsque je fus sur son lit, les yeux fermés, elle s’allongea sur moi, prit ma tête entre ses mains puis m’embrassa profondément, faisait jouer sa langue dans ma bouche tout en frottant ses lèvres contre ma verge, déjà très dure mais encore emprisonnée dans le slip qu’elle m’avait ordonné de garder. Je sentais qu’elle commençait à s’exciter, qu’elle était prête à aller plus loin. Effectivement elle baissa alors mon slip d’une main et s’introduisit ma verge au fond de son vagin, en commençant une série de va-et-vient qui l’amenèrent rapidement à un second orgasme que je perçus aux contractions de son vagin. Sous l’effet de ces contractions je ne pus me retenir et j’expulsai au fond de ma Maîtresse une jute d’autant plus abondante que je ne m’étais pas masturbé depuis trois jours, fait inhabituel chez moi.


Au bout d’un instant elle émergea de l’état de faiblesse qui avait suivi sa jouissance et s’aperçut qu’elle avait oublié d’enfiler une capote sur ma verge avant de s’enfiler sur moi. Elle en fut très inquiète, non pour le risque de MST, car elle savait que sa sœur avait exigé après m’avoir embauché, et m’avoir elle aussi utilisé, que je me fasse faire une analyse de sang qu’elle avait ensuite contrôlée. Elle était inquiète du risque de grossesse car, n’ayant pas d’amant, elle ne prenait pas la pilule. Elle vint alors placer ses lèvres sur ma bouche en m’intimant l’ordre de tout aspirer… puis elle se précipita dans sa salle de bains pour se nettoyer plus à fond.


Lorsqu’elle revint, ce fut pour me signifier qu’elle me renvoyait chez sa sœur, ayant peur de s’attacher à moi dont la docilité et les services au lit lui avaient donné toute satisfaction… Il était clair qu’elle ne voulait pas que je fasse défaut à sa sœur, plus âgée qu’elle de vingt ans, tout aussi seule et plus en mal d’amant. Elle me dit qu’elle allait avertir sa sœur, non de mes manquements, mais du fait que le travail qu’elle avait à me confier arrivait à son terme. Gênée par l’instant de folie qui l’avait amenée à me mettre dans son lit, elle m’ordonna de garder le silence sur ce qui s’était passé, même auprès de sa sœur, et même si cette dernière me posait des questions.


Dès le soir je recevais un coup de téléphone de sa sœur qui me dit que dorénavant je travaillerai chez elle, notamment à la vente de livres anciens sur Internet, et qu’elle me logerait dans sa chambre de bonne pour toujours m’avoir sous la main, nuit et jour… Ce n’était pas la peine de venir travailler au dépôt durant la journée. Elle m’attendait chez elle à vingt heures, et sans bagages.