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n° 11736Fiche technique20031 caractères20031
Temps de lecture estimé : 12 mn
18/09/07
Résumé:  Un puceau découvre la soumission et le fétichisme avec une femme de 60 ans, perverse et dominatrice.
Critères:  h fplusag fagée grosseins voir lingerie odeurs hmast init -fplusag -vêtements -odeurs
Auteur : AuxpiedsdeMaîtresse  (passionné par les femmes lubriques dans la soixantaine)      

Série : Aux pieds de Maîtresse

Chapitre 07
Découverte de la soumission

Aux pieds de Madame Liz – Première partie




Un puceau prêt à se soumettre



Je venais d’avoir dix-huit ans, mais j’en paraissais quinze, tant j’étais menu, timide, et encore dans les jupes de Maman. J’avais un corps de fille, avec une peau très fine, imberbe, qui me valait des moqueries de mes camarades qui m’appelait « la fille » en parlant de moi, de façon plus moqueuse que méchante dans la cour du lycée. Ils pensaient ainsi jouer les mâles virils devant les filles qu’ils convoitaient, uniquement pour ce qu’elles avaient dans leurs petites culottes blanches ou roses….


Moi, les filles, elles m’aimaient bien, et me regardaient en effet comme une « bonne petite copine », d’abord parce que j’étais prévenant avec elles, et aussi parce qu’elles pensaient que je n’étais pas obsédé par leur petit sexe de vierge comme mes camarades. Mais moi aussi j’avais des envies, de plus en plus pressantes, je n’en finissais plus de me masturber chaque nuit en pensant à elles, en pensant surtout au proviseur, une belle femme de 59 ans… J’étais surtout vierge, et cet état me pesait de plus en plus.


Mais j’étais trop timide, trop rougissant, lorsque je les regardais, pour leur exprimer mon désir de petit mâle comme le faisaient mes camarades, dont certains avaient d’ailleurs déjà connu des expériences sexuelles, parfois avec des femmes beaucoup plus âgées. J’avais en outre profondément en moi le souvenir de cette institutrice sévère, encore jeune et belle, portant bas et jupon, qui m’avait puni en me mettant sous son bureau un moment. Grâce à elle, je me sentais un irrépressible désir d’aimer les femmes, mais en me mettant au service de leur jouissance, et je m’imaginais aux pieds de toutes les femmes attirantes que je côtoyais, jeunes ou âgées. Surtout âgées, maigres ou rondes, mais avec une préférence pour les femmes âgées, avec une forte poitrine, intelligentes, à la fois souriantes et un peu narquoises, de préférence d’aspect sévère et maternel…


La vie allait enfin me donner l’occasion de devenir un homme, mais un homme aux pieds d’une femme, dans un amour hors normes : avec une femme beaucoup plus âgée, une femme de soixante ans, belle, autoritaire et vicieuse. Une femme qui aimait les petits garçons rougissants comme moi, sûre de les tenir en son pouvoir et d’en faire les esclaves de ses désirs les plus inavouables….


Ma tante recevait souvent en ma présence l’une de ses amies d’enfance, Élisabeth, veuve, ancienne directrice du collège catholique. Madame Liz avait soixante-huit ans et l’aspect impressionnant d’une femme d’autorité, et même autoritaire. On percevait à la voir qu’elle avait occupé d’importantes responsabilités administratives. Tout chez elle attirait le puceau que j’étais : ses tenues strictes mais près du corps, montrant des hanches larges et un lourd fessier, une forte poitrine un peu tombante mais qu’elle remontait visiblement et mettait en valeur dans des soutiens-gorges un brin provocants.


Sa coupe de cheveux au carré et ses lunettes renforçaient son air d’intellectuelle, sûre d’elle, autoritaire, naguère encore portée à dominer les collègues et les adolescents placés sous son autorité qu’elle voulait sans partage. Chez elle, pas de revendications abusives, tout le monde marchait à la baguette, ce qui lui attirait la réprobation de ses collègues féminines et l’admiration, secrète, de quelques collègues masculins. On devinait néanmoins que derrière cet aspect sévère se cachait une femme, certes dominatrice, mais qui savait aussi se faire maternelle pour atténuer la dureté de sa domination.


Cette domination, qu’elle exerçait encore il y a peu, était fondée sur une prise en mains de tous les jours des personnes qu’elle désirait soumettre à sa volonté et, il faut le dire, infantiliser autant qu’elle le pouvait. Elle avait dominé son petit monde par la seule force de sa volonté, de son autorité naturelle, de son intelligence et de sa culture, peut-être aussi auprès de ses collègues masculins et de ses chefs grâce à une féminité exacerbée par sa forte poitrine, son fessier imposant. À l’encontre des collègues et des adolescents récalcitrants, elle avait su aussi manier la dérision et se faire parfois très cruelle… Aujourd’hui en retraite, son ancien pouvoir lui manquait et elle cherchait un petit homme pour à nouveau exercer son pouvoir, dominer et contraindre, ce qu’elle aimait le plus étant même un peu sadique.


Il est clair qu’elle m’avait tout de suite remarqué lors des visites que je rendais à ma tante, et elle s’était parfois laissée aller à me tapoter la tête ou les fesses, comme on le fait à un enfant, lorsque je passais devant elle, à me prendre par épaules lorsqu’elle m’embrassait en partant. Dernièrement, elle m’avait même embrassé au coin de la bouche et j’avais cru sentir sa langue sur mes lèvres, puis sur les lèvres très vite, subrepticement, sans que ma tante le remarque. J’étais devenu tout rouge ce qui l’avait fait sourire et me regarder avec un regard soudain intéressé. Je percevais qu’il se passait quelque chose entre elle et moi, mais, puceau comme je l’étais, j’étais incapable de comprendre ce qu’elle désirait… Heureusement, elle allait prendre les choses en mains.


Une occasion allait se présenter lorsqu’elle me demanda si je pouvais aller nourrir son chat durant un séjour de trois jours qu’elle devait effectuer à Londres. Je n’étais pas trop partant pour effectuer cette tâche, j’avais d’ailleurs essayé de me défiler en arguant de mes autres occupations, mais elle avait insisté assez sèchement et j’avais eu peur de lui déplaire en refusant, d’autant que c’était une vieille amie de ma tante.




Dans l’intimité de Madame Liz



Au jour dit, un mercredi, je m’étais rendu à son domicile dont elle avait déposé les clés chez ma tante. Elle m’avait aussi laissé un mot : « N’oublie pas d’arroser les plantes, surtout celle qui se trouve dans la salle de bains, près de la corbeille à linge… Vois aussi l’eau des fleurs dans ma chambre, sur ma commode près de la coiffeuse ».


Son appartement était à son image : superbe. Partout des objets anciens, des livres, qui donnaient l’image d’une intellectuelle. Pressé d’en finir, j’allais d’abord nourrir son chat, qui s’était d’ailleurs enfui à mon arrivée sous un quelconque meuble, puis je commençais à arroser les plantes avec le petit arrosoir qu’elle m’avait laissé dans la cuisine.


Selon ses directives j’allais ensuite arroser une plante dans la salle de bains. Je remarquai au-dessus de son lavabo des produits de beauté, en grand nombre : des parfums, des crèmes, des rouges à lèvres de couleurs différentes. Je ne pus résister au plaisir d’aller sentir ses produits de beauté, et notamment ses rouges à lèvres. Je me permis d’en essayer un sur mes lèvres pour en sentir aussi le goût. Tous ces produits illustraient le soin qu’apportait l’amie de ma tante à sa beauté. Et elle était effectivement très belle, d’une beauté mûre, fardée, qui séduisait le puceau que j’étais encore.


Bizarrement, la plante qui devait être l’objet de mes soins avait été déplacée sur le coin du meuble, comme le montrait une trace d’humidité à son ancien emplacement. Elle dominait de peu une grande corbeille à linge dégageant une odeur indéfinissable, doucereuse, délicat mélange d’odeurs corporelles, de sécrétions intimes et de linge parfumé. Le couvercle de cette corbeille était mal placé et laissait pendre au dehors, de manière impudique, le bonnet d’un superbe soutien-gorge, de couleur noire.


J’étais seul dans l’appartement, personne ne pouvait me surprendre. Pris d’une soudaine curiosité j’enlevai le couvercle de la corbeille à linge, m’agenouillai, plaçai ma tête au-dessus cette corbeille et respirai cette odeur indéfinissable, cette odeur d’intimité de femme mûre. Je restais là un instant à m’enivrer de cette odeur, n’osant pas encore aller plus loin, et puis soudain un désir montant du plus profond de mon ventre brisa la frêle barrière qui me retenait d’aller plus loin. J’avais déjà une fois cédé à cette envie de sentir l’odeur d’une femme et j’avais subrepticement reniflé une culotte sale de ma tante.


Ici, il n’y avait pas la barrière morale de l’inceste avec ma tante, et je sortis le soutien-gorge que je portais à mes narines pour retrouver l’odeur de cette femme qui m’attirait déjà depuis un moment. Les bonnets était d’une profondeur impressionnante, je regardai l’étiquette : 110 D. Mon imagination fit apparaître deux seins très lourds, un peu pendants, avec de gros tétons bien saillants, et le désir de les prendre en bouche de les téter, de redevenir bébé pour en aspirer le lait tiède. Cette femme, rien que par le pouvoir de son énorme poitrine me faisait rêver de revenir, moi l’adolescent fier de mes dix-huit ans, à l’état de bébé entre ses bras.


Je poussais mon investigation, car la corbeille était à moitié pleine de linges moins intéressants : serviettes et gants de toilette, que j’imaginais cependant passant et repassant entre ses cuisses, chaussettes, qui habillaient ses chevilles délicates, chemisier blanc, jupe, mais surtout deux culottes… Je les sortis et les déposai sur le rebord de la baignoire.


L’une était noire et toute de dentelles, fine et soyeuse au toucher, l’autre blanche, toute simple, en coton blanc. Je regardai la taille de ces culottes, toutes deux largement échancrées, c’était du 48, de quoi habiller l’imposant fessier de l’amie de ma tante. Je ne savais pas si je devais aller plus loin : j’avais déjà violé l’intimité d’une femme qui m’avait fait suffisamment confiance pour me confier ses clés. J’avais mauvaise conscience. Mais l’envie qui me prenait de cette femme était trop forte, et ma petite verge était devenue toute dure dans ma culotte, qui laissait d’ailleurs apparaître une grosse proéminence sur le devant…


Je pris la culotte noire et je respirais son odeur d’abord au niveau des fesses, puis la dépliant j’examinais son entrejambe avec soin à la recherche de la moindre trace laissée par celle qui devenait peu à peu ma maîtresse… Le fond était taché par ses sécrétions les plus intimes, descendues de son vagin, avec quelques poils, certains blancs, provenant de ses lèvres. Il y avait aussi, à n’en pas douter, des traces laissées par les dernières gouttes d’urine recueillies par une culotte relevée trop prestement. L’ensemble avait une assez forte odeur, indéfinissable, mais terriblement excitante pour un puceau comme moi. Je respirais cette odeur avec délice. Ayant glissé mon visage dans cette culotte, je léchais et suçais son entrejambe, ravivant des odeurs de sexe mature très excitantes. Je fis de même avec la culotte de coton blanc, peut-être encore plus intime car culotte de tous les jours, de celle que l’on ne porte pas pour ses amants mais pour son mari.


Mais il était temps de reprendre ses esprits, de tout ranger pour ne pas être démasqué, et d’aller arroser l’autre plante dans sa chambre, et peut-être d’y découvrir d’autres trésors intimes, car maintenant je commençais à me demander si ce que je venais de vivre n’était pas l’un des éléments d’un piège tendu pour le jeune et naïf puceau que j’étais encore.


Toujours avec mon petit arrosoir, et mon petit sexe bien bandé, je me rendis dans la chambre de Madame Liz, Élisabeth, je pouvais bien l’appeler ainsi puisque j’étais en quelque sorte entré dans son intimé par ma fouille indiscrète de ce qu’elle avait de plus secret : son bac à linge sale, ses culottes souillées… Arrivé dans sa chambre, j’avais trouvé la fameuse plante posée bizarrement, là aussi, sur une commode ancienne, et manifestement pas à sa place habituelle. Je commençais à entrevoir le jeu de piste qui m’était proposé, par une femme dont je découvrirai plus tard la perversité lubrique…


Cette chambre était, elle aussi, superbe : meubles anciens, tableaux, gravures de qualité, tout dénotait la femme de goût qu’était l’amie de ma tante. Le lit surtout, très large, attirait l’attention d’autant que l’on y avait négligemment jeté, mais bien évidence, les vêtements et sous-vêtements portés la veille du départ à Londres.


Il y avait une longue robe de couleur perle, un chemisier rose en satin, une combinaison. transparente et enrichie de fines dentelles, une large, mais fine et soyeuse culotte blanche, et surtout un monumental soutien-gorge de même couleur, capable de retenir l’énorme poitrine qui me faisait saliver depuis déjà un moment… Je restai un long moment à détailler tous ces trésors, puis je me mis à genoux et je les pris un par un, presque religieusement, pour les admirer, les palper, les caresser, les sentir, le cœur chaviré de penser qu’ils avaient été en contact intime avec le corps de celle qui devenait peu à peu, sans le savoir, ma Maîtresse


Je commençai par palper et renifler le chemisier et la robe de ma Maîtresse dans lesquels je retrouvai le délicat parfum qu’elle laissait derrière elle lorsqu’elle venait rendre visite à ma tante. Un parfum délicat, comme en portent les femmes soignées dans la cinquantaine ou la soixantaine, et je pensais à cet instant à son âge que j’avais appris depuis peu : soixante-huit ans. Il me fascinait car je percevais, malgré ma naïveté de puceau, qu’il signifiait une longue expérience du sexe ou de la volupté, peut-être même d’une perversité dont j’ignorais encore tout, hors de la notion elle-même, malheureusement tirée du seul dictionnaire… Cet âge me faisait penser aux forêts d’automne : les plus belles, les plus sensuelles, et je comprenais bien qu’il impliquait chez une femme encore belle et séduisante le désir de profiter encore de plaisirs qui se feraient ensuite plus rares, avant le renoncement de la vieillesse…


Mais cessant de fantasmer sur son âge, je m’intéressais ensuite à son énorme soutien-gorge, dont je vérifiai la taille, et c’était bien du 110 D. J’en admirai la profondeur des bonnets, les fines dentelles, je cherchai l’emplacement où pouvait se loger les bouts de ses seins dont j’avais bien vu chez ma tante, dans la transparence de son chemisier, qu’ils étaient bien saillants. Je fus un peu déçu de ne pas y retrouver l’odeur de ses seins, me contentant de son parfum. Je caressai ses bonnets en imaginant les deux énormes globes, laiteux et un peu tombants, un peu flasques même j’espérais, qui devaient s’y loger.


Mais après avoir goûté ces premiers plaisirs à leur juste valeur, il était temps de passer à l’essentiel : sa culotte souillée. Pour adorer ce que je regardais déjà comme un symbole du pouvoir que Madame Liz exerçait dorénavant sur mes sens de puceau, je tombai à genoux devant le lit, à genoux devant une culotte plus précieuse pour moi que le Saint-Sacrement lui-même.


Je commençai par m’en caresser le visage, la passant et la repassant sur mes joues, ma bouche et devant mon nez. J’allais à nouveau chercher l’odeur la plus intime de ma Maîtresse au fond de sa merveilleuse culotte, sur l’entrejambe qui avait eu le bonheur d’être en contact avec son sexe, de recueillir les sucs de son vagin, peut-être d’essuyer la mouille de ses lèvres. Il restait quelques poils collés sur le fond de l’entrejambe, un peu jauni par les dernières gouttes d’urine qu’il avait recueillies au-dessus de la cuvette des WC. Je reniflai cet entrejambe, je le léchai, je le suçai pour en raviver les odeurs. Je ne pensais plus à rien d’autre : mon bonheur du moment était au fond de cette culotte, de la culotte de ma Maîtresse, de la femme de soixante-huit ans dont je devenais dès cet instant l’esclave.


Mon sexe était devenu tellement raide dans ma propre culotte qu’il me faisait mal et il fallut me résoudre à le sortir et faire tomber cette excitation insupportable. Je pris donc la culotte de ma Maîtresse et, enveloppant ma verge avec tout en laissant apparaître mon gland pour ne pas la tacher, je me mis à me masturber avec une incroyable violence. Au bout de quelques allers et retours du poignet seulement je jutai abondamment dans le mouchoir que j’avais sorti de ma poche pour éviter de laisser des traces de mon passage.


Je retombai par terre et restais allongé, épuisé, un bon quart d’heure…. Reprenant mes esprits, je me mis à fouiller les tiroirs de la commode où je trouvai une impressionnante collection de culottes, de soutiens-gorges, de jupons, de collants, et plus intéressant des bas et trois porte-jarretelles noir, rose et blanc. Je sortis l’un de ces porte-jarretelles, très large, d’un modèle certainement ancien, et le reniflai sans malheureusement trouver d’autres bonnes odeurs que celle du parfum déjà repéré dans le linge de ma Maîtresse. J’imaginais cependant ces jarretelles appliquées contre les grosses cuisses, douces, laiteuses, chaudes de leur propriétaire, et excité à nouveau je les léchais, je les suçais un moment.


C’est à ce moment que j’eus l’idée de regarder ce qui se trouvait sur l’oreiller du lit. Bien m’en prit, car je trouvai ce que je savais être, par les revues que j’avais lues : un gode pour dame esseulé. Comme je connaissais la nature de cet objet en plastique moulé, ici d’assez petite taille, de la taille de mon propre sexe, je le portai à ma bouche pour le sucer et essayer de retrouver l’odeur de mouille qui devait être le sien la nuit précédente. Malheureusement, même s’il n’avait pas été lavé, vu quelques traces, l’odeur n’était pas aussi excitante que celle ayant imprégné l’entrejambe en coton des culottes précédemment reniflées et léchées.


Mais il était temps que je parte, car je savais que l’amie de ma tante devait revenir ce jour. C’est en partant que j’aperçus assez loin sous le lit une dernière culotte souillée, comme oubliée… L’occasion était trop tentante et j’en oubliai toute prudence : je décidai de me l’approprier, de l’emmener dans mon lit pour ce soir retrouver l’odeur de ma Madame Liz… Je la glissai donc dans ma poche non sans l’avoir à nouveau reniflée et léchée au niveau de l’entrejambe taché : derniers instants délicieux et terriblement excitants dans l’univers intime de cette femme dont je sentais bien qu’elle allait occuper un moment important de ma vie d’homme en devenir.


Je m’efforçai de tout remettre en place pour que mon indiscrétion de petit vicieux ne soit pas démasquée, puis je quittai son appartement, à la fois honteux de mon comportement, apeuré à l’idée qu’elle s’en aperçoive et en parle à ma tante, mais ravi d’une expérience nouvelle …. Revenu dans ma chambre, je m’étais jeté sur mon lit pour jouir de la culotte prise chez Madame Liz. Je l’avais observé longuement, tel un objet de collection, j’avais retrouvé son odeur de femme, j’avais léché à nouveau son entrejambe pour retrouver le goût de sa mouille, de ses sécrétions intimes, peut-être de son urine ? Je m’étais endormi le nez dans cette culotte, comme dans un doudou terriblement excitant…