n° 11475 | Fiche technique | 46589 caractères | 46589Temps de lecture estimé : 27 mn | 16/06/07 |
Résumé: Nicole et Michel vont plus loin dans leur découverte du nudisme et de ses plaisirs. | ||||
Critères: couple bain exhib nudisme photofilm jeu traduction | ||||
Auteur : Chatelisse |
Épisode précédent | Série : Le soleil et les voisins Chapitre 03 / 06 | Épisode suivant |
Pendant quelques jours, après notre aventure à la carrière, nous avons passé notre temps dans nos activités habituelles et nous n’avons pas eu l’occasion de rencontrer Charles et Geneviève, encore moins d’essayer de nouvelles expériences. Cela a changé la semaine suivante.
Depuis l’incident survenu à la piscine, quand Charles m’avait surprise dans une tenue inadéquate, j’avais remarqué que nos voisins essayaient d’être plus discrets s’ils savaient que nous étions dehors dans le patio ou dans le jardin. Pour cette raison, je n’étais pas étonnée de les voir prendre leurs repas dans leur patio, habillés avec des chemises et des shorts.
Cet après-midi là, j’étais dans le jardin, portant un panier et coupant des fleurs le long de la haie qui séparait nos jardins. Je voulais faire un bouquet pour décorer notre table. Je portais un petit short et un léger chemisier sans manche. J’étais concentrée sur ma tâche et je ne les avais pas vus s’approcher. Geneviève m’a demandé :
À ce moment-là, j’étais penchée pour atteindre une fleur particulièrement jolie et, pendant que je la regardais, Geneviève et Charles se tenaient juste à côté de moi. Bien que ma position n’ait pas été aussi embarrassante que lors de mon exposition inattendue devant Charles à la piscine, je dois avoir rougi autant : dans cette position, mon chemisier était largement écarté de mon torse, offrant une vue dégagée sur mes seins. Comme bien souvent, je ne portais pas de soutien-gorge, mes seins minuscules ne nécessitant pas un soutien continu. Par réflexe, je me suis redressée aussitôt et nous avons bavardé de choses et d’autres, juste le petit entretien habituel entre voisins, et nous avons tous silencieusement semblé convenir que ce qui avait été montré n’avait pas été vu.
Charles ne semblait pas avoir un regard polisson, et Geneviève a toujours la capacité de dire ce qu’il faut afin de mettre chacun à l’aise. Néanmoins, dans mon esprit, j’essayais de comprendre pourquoi je pouvais un jour m’exposer torse nu devant des étrangers et, la semaine suivante, me sentir embarrassée du coup d’œil accidentel d’un ami à mes seins. Si j’avais eu le temps de répondre à la question, je pense que j’aurais conclu que faire quelque chose d’audacieux devant des étrangers m’offrait la sécurité de savoir que je ne les rencontrerais sans doute jamais plus, tandis qu’un ami, particulièrement un voisin immédiat, serait un rappel constant de ce que j’avais fait.
Donc, Charles et Geneviève étaient des amis, et les gens à la carrière ne l’étaient pas. Avec ça à l’esprit, j’ai continué de leur parler et à couper des fleurs. En essayant d’agir comme si j’ignorais mon exhibition, je me suis penché un peu plus, j’ai pris mon temps pour couper une fleur d’un coup de ciseaux, et j’ai senti les yeux de Charles fixés sur l’échancrure de mon chemisier, mes seins découverts jusqu’aux mamelons. Bien sûr, pendant que je lui offrais cette vision, j’étais encore embarrassée car ce comportement n’était pas encore normal pour moi, mais je sentais en même temps une certaine excitation. Je me suis demandé si Charles pouvait percevoir mon excitation, si mes mamelons dressés lui montraient mes sentiments. J’aurais également souhaité que Michel sorte à ce moment et me voit dépasser encore mes frontières. Malheureusement, Michel était occupé ailleurs, et Charles et Geneviève sont bientôt retournés chez eux. En partant, Geneviève m’a fait un clin d’œil et m’a dit :
En retournant à la maison, je pouvais à peine tenir le vase pendant que j’arrangeais mes fleurs, tellement mon cœur cognait. Cette fois, je n’ai pas eu à attendre que Michel revienne de la ville et je suis montée pour lui raconter ce qui s’était produit. Il a réagi avec ce que j’appellerais une déception stupéfiante, en regrettant de n’avoir pas avoir été présent. J’ai essayé de recréer la scène pour lui, en lui montrant comment mon chemisier baillait quand je me baissais. Et de nouveau, nous nous sommes retrouvés dans le lit en nous décrivant crûment l’un l’autre ce que nous faisions ou ce que nous avions envie de faire.
Pendant le dîner, nous avons encore parlé de nos voisins. J’ai dit :
Michel répondit :
oooOOOooo
Quelques jours plus tard, en prenant le café avec Geneviève, j’ai repensé à tout cela. Elle ne m’a pas dit exactement que l’autre jour ils avaient eu une vue intéressante dans mon chemisier, mais elle a dit que je semblais devenir plus décontractée avec eux. Je n’avais pas envisagé de lui raconter notre après-midi à la carrière, mais j’ai fini par m’y résoudre. Elle a été contente d’entendre parler de mon exhibition torse nu.
Je n’ai pas su quoi dire, et elle a continué :
Ainsi, Michel et moi nous sommes retrouvés dans leur cour dans la chaude lumière du soir, pas très sûrs de ce dans quoi nous entrions. Je portais mon bikini et un short et Michel arborait son petit slip de bain avec une serviette drapée autour de ses épaules. Geneviève portait un bikini et un t-shirt. Quant à Charles, c’était la grande surprise : il était déjà dans la piscine, et nous pouvions voir qu’il était complètement nu. Geneviève a remarqué notre surprise et a dit :
Michel a répondu :
J’ai dû m’obliger à arrêter de regarder l’eau pour essayer d’avoir une vue plus précise du pénis de Charles, pour entendre si les règles s’appliquaient à nous aussi. Geneviève a seulement dit :
Michel est tout de suite descendu dans l’eau alors que Geneviève et moi nous sommes attardées, prenant notre temps pour ne conserver que nos maillots.
J’étais en train d’enlever mon short, juste un peu gênée par Charles qui regardait mon bikini avec intérêt quoiqu’il en ait vu bien plus de moi auparavant, et je me suis retournée pour demander à Geneviève ce qu’elle avait voulu dire. Elle avait ôté son t-shirt, mais le tenait toujours dans ses mains pour couvrir ses seins. Elle ne portait pas son haut de bikini.
Cependant, mon expression devait sans doute montrer que j’étais plutôt incertaine.
Michel a voulu donner l’impression de ne pas regarder spécialement Geneviève, mais tout le monde a compris qu’il appréciait ce qu’il voyait. Quant à Charles, il a paru fier de savoir que son épouse pouvait obtenir cette réaction de son voisin.
Nous avons nagé pendant un moment et avons parlé des diverses plages que nous avions fréquentées, et nous avons naturellement évoqué notre après-midi à la carrière. Charles a voulu savoir quelle comparaison Michel pouvait faire entre Geneviève et les femmes qu’il avait vues là-bas.
Elle a souri et l’a remercié, et il a ajouté :
J’ai rougi et les ai remerciés tous les deux. En regardant Michel, j’ai senti qu’il espérait que je me mettrais dans la même tenue que Geneviève. À la carrière, j’étais assise torse nu pour l’embrasser quand il m’avait fait un compliment semblable, et en me rapprochant de lui dans l’eau, je l’ai embrassé. Pour Charles et Geneviève, il devait juste sembler que je l’embrassais pour le remercier de ses compliments, mais j’en ai profité pour lui chuchoter :
À son tour, il a chuchoté :
Il s’est un peu reculé, et a dit à haute voix :
Charles et Michel m’observaient attentivement. Quant à Geneviève, elle est remontée un peu sur le fond de la piscine de façon à ce que ses seins dépassent complètement de l’eau, comme si elle voulait m’encourager par son exemple. J’étais debout dans l’eau peu profonde et j’ai gardé les yeux fixés sur Michel pendant que je détachais les cordons dans mon dos puis ceux autour de mon cou. D’un geste nerveux, j’ai ôté mon soutien-gorge et l’ai lancé en direction de la chaise où était ma serviette et je me suis baissée rapidement dans l’eau. L’expérience était éprouvante, parce qu’en même temps que je dévoilais mes seins à nos amis, ils pouvaient découvrir combien ils étaient petits. Dans l’eau claire de la piscine, mes seins étaient toujours visibles, mais je me sentais un peu moins mal à l’aise. Charles et Geneviève me souriaient et ne paraissaient pas faire particulièrement attention à ma nouvelle tenue. Charles a seulement dit :
Quoi qu’il en soit, avec leur aide, je suis bientôt devenu aussi à l’aise qu’il m’était possible de l’être au sujet de ma semi nudité. Naturellement, être dans l’eau me facilitait les choses mais quand, après une demi-heure de la natation, nous avons décidé d’aller chercher des boissons à l’intérieur, je me suis demandée comment j’allais réagir en sortant de la piscine. Charles et Michel sont sortis en premier, et Charles a commencé à s’essuyer.
J’ai senti Geneviève me donner un coup de coude.
Je me suis arrêtée de parler, effrayée d’en avoir trop dit.
Je n’étais pas sûre de ce que Michel allait faire. Charles lui a dit :
Michel a tourné la tête vers Geneviève et moi dans la piscine et nous a vues le regarder. Je lui ai souri d’un air encourageant, et il a alors accroché ses pouces dans son slip et l’a tiré vers le bas. Il essayait de rester dos tourné et de se déshabiller rapidement mais le tissu était trop mouillé pour qu’il puisse l’ôter rapidement, et nous avons eu droit à des aperçus rapides de son pénis quand il a dû faire un pas hors de son costume de bain et qu’il s’est séché les jambes avant de se couvrir avec la serviette. Charles a seulement gardé sa serviette à la main, mais ne s’est pas couvert. Ils sont alors rentrés tous les deux dans la maison pour aller chercher les boissons, ce qui nous a laissé le temps de sortir de la piscine pour quitter nos bikinis. Geneviève a rapidement enlevé le sien et m’a alors demandé :
Dans la semi nudité où je me trouvais, je ne pensais pas que je me sentirais à l’aise seulement couverte d’un si fragile tissu et j’ai donc préféré enlever mon bikini pour remettre mon short. Avant que je puisse me sécher et me rhabiller, Charles passa sa tête par la porte pour demander à Geneviève où étaient les verres, et il eu droit à une pleine vision de mes fesses nues. En fait, Geneviève et moi étions nues, nous faisant face. J’étais sur le point de saisir une serviette pour me dissimuler quand Charles a remis sa tête à l’intérieur et a appelé :
Aussitôt, Michel est apparu à la porte pour voir ce qui se passait, et a souri en me voyant nue devant Charles, exactement comme il avait dit qu’il aurait aimé me voir. Un instant, l’idée m’a effleurée de me retourner en restant nue pour amuser et exciter Michel, mais cette pensée disparut aussi vite qu’elle m’était venue. Le grand sourire de Michel avait peut-être inspiré cette idée, mais voir sa main serrée sur sa serviette m’a sans doute incitée à ne pas brûler les étapes.
Renonçant à mettre mon short pour aller à l’intérieur, j’ai enroulé une serviette autour de ma taille. Cela me semblait étrange d’être dans cette tenue, en entrant dans la pièce brillamment éclairée. Michel paraissait mal à l’aise dans sa serviette, mais il a affiché un grand sourire quand il m’a vu venir de cette façon.
Le reste de la soirée s’est passée plus simplement que je l’aurais imaginé. Charles était complètement nu, Geneviève et moi étions torse nu, et Michel portait seulement sa serviette, mais nous avons entretenu une conversation amicale et nous sommes bien amusés. Finalement, peut-être pour suivre l’exemple de son mari, Geneviève a laissé sa serviette se défaire, mais personne n’a réagi. Je suis sûre que Michel a apprécié, mais comme elle est restée assise, il n’a pas pu en voir beaucoup plus. Sa serviette à lui n’est pas restée attachée à sa taille pendant qu’il était assis mais, à la différence de Geneviève, il l’a gardée posée sur lui.
Cependant, quand finalement nous nous sommes levés pour prendre congé, sa serviette est tombée et nous avons tous pu revoir ses fesses avant qu’il ait eu le temps de la ramasser. Pour sa part, Geneviève s’est levée sans la rajuster, et s’est laissée voir entièrement nue. Michel a essayé d’agir nonchalamment, mais la vue de notre hôtesse dans cette tenue l’a distrait au point qu’il a renversé un bol de chips posé sur la table. Quand il s’est précipité pour les ramasser, sa serviette s’est défaite à nouveau et cette fois il avait les mains pleines et n’a pu se rajuster. Bien qu’il ait le dos tourné, nous avons tous pu voir son pénis se balancer entre ses jambes pendant qu’il s’accroupissait sur le plancher. Geneviève a souri, mais n’a rien dit rien, pensant sans doute que Michel n’apprécierait pas ce genre d’attention.
Finalement, quand nous sommes partis, alors que Charles et Geneviève restaient sur le pas de leur porte, Michel a laissé leur serviette sur une chaise du patio, mais n’a pas remis son maillot de bain. J’ai suivi son exemple et nous sommes allés jusqu’à la porte de la haie en restant nus et arrivés là, la distance et l’obscurité nous ont donné suffisamment de courage pour nous retourner vers nos voisins pour un dernier signe de la main.
Nous nous sommes précipités au lit et je crois que le souvenir de cette soirée a été un élément important dans l’intensité de nos orgasmes, surtout celui de Michel quand je lui ai dit combien je pensais que Geneviève avait apprécié de pouvoir découvrir son pénis.
oooOOOooo
Deux jours plus tard, j’ai dit à Michel que j’avais repensé au fait d’être nus avec Geneviève et Charles. Il m’a regardé attentivement et a demandé :
J’ai ri encore.
Il a attendu ce que j’allais dire après.
Michel a semblé examiner cette idée, hésitant, maintenant que je le proposais sérieusement, que son corps soit ainsi pleinement exposé à Geneviève et à Charles plutôt qu’à des étrangers sur une plage nudiste.
Je me suis approchée de lui et ai avancé ma main pour frotter l’avant de son pantalon.
Je crois que c’est à ce moment que tout s’est déclenché chez lui. Avant que j’aie pu en dire plus, il m’a poussée vers le sofa, me déshabillant en même temps. Il est resté debout devant moi pendant que je m’asseyais, et j’ai ôté rapidement son short et son caleçon pendant qu’il passait sa chemise par-dessus sa tête. À ce moment là, il était normal et facile de prendre son pénis dans ma bouche. Je l’ai laissé faire un va-et-vient au-dessus de ma langue, et parfois je le tenais hors de ma bouche et je le léchais de façon qu’il puisse regarder vers le bas et voir ma langue courir partout sur son sexe en érection. Un moment, j’ai fait une pause dans mon léchage et lui ai demandé :
Je l’ai alors avalé de nouveau aussi profondément que possible. Juste comme l’autre nuit, son orgasme est survenu soudainement et puissamment, et j’ai senti sur ma langue et dans ma gorge son sperme gicler à plusieurs reprises. Comme ça me l’avait fait à moi-même, l’idée d’être vu nu et en érection avait fortement augmenté son excitation. Le lendemain, nous verrions si ça pouvait agir sur l’imagination.
oooOOOooo
Le jour suivant était un samedi, jour où habituellement Michel tond la pelouse. Il est descendu vêtu d’un vieux short et d’un t-shirt.
Rappelle-toi comment nous les avons vus nus quand ils étaient dehors pour arroser leurs plantes. Et depuis l’autre nuit, ils travaillent plus souvent sans leurs vêtements. Je les ai vus ce matin déjà, mais je ne sais pas s’ils sont toujours dehors. Quoi qu’il en soit, je ne suis pas sûre que ça les intéresse particulièrement de te voir faire du jardinage comme tu le fais chaque week-end, mais si tu ne portes aucun vêtement, ce serait sans doute différent.
En lui posant cette question, j’ai passé sa vieille chemise par-dessus sa tête, sans qu’il manifeste de vraie résistance.
Je déboutonnai son short et le baissai pour qu’il puisse faire un pas pour l’ôter, le laissant seulement vêtu de son slip.
En disant cela, j’ai commencé à baisser son slip. Simplement, je ne l’ai pas tiré d’un coup sec vers le bas parce que je voulais être sûre qu’il était prêt. Il ne m’avait jamais forcée à rien, aussi n’allais-je pas moi-même le forcer. Quand son slip est arrivé à ses genoux, j’ai su qu’il allait le faire et je l’ai aidé à l’ôter complètement. Tandis que j’étais toujours baissée, j’ai donné un rapide baiser à son pénis et ai dit :
Il se dandinait comme s’il doutait encore. Peut-être se demandait-il si je le poussais à le faire parce que je savais que les voisins n’étaient pas dehors ou s’étaient absentés. Ou peut-être se demandait-il comment ils le jugeraient s’ils étaient dehors, et si ce ne serait pas trop embarrassant si Charles et Geneviève le voyaient couper l’herbe entièrement nu. Pourtant, il est sorti. Il est resté le long de la maison pendant qu’il allait vers le hangar où nous gardons la tondeuse, puis il est revenu :
Cette fois il n’est pas revenu. Je l’ai observé pendant qu’il mettait en marche la tondeuse et commençait à titre d’essai de tondre le long du patio. Il se rapprocha de la maison pour faire une pause avant d’oser aller plus loin, et j’ai vu qu’il reprenait son souffle et, sans doute, laissait son cœur se calmer. Enfin, après avoir vérifié que les voisins n’étaient pas en vue, il a commencé à tondre en une ligne droite jusqu’au bois et est revenu sur une ligne parallèle. Je ne savais pas si Charles et Geneviève l’avaient remarqué, mais moi j’avais une vue très intéressante sur ses fesses serrées quand il marchait vers le bois, et une vue encore meilleure sur son pénis quand il est revenu. Le temps chaud avait détendu ses testicules qui pendaient largement vers le bas, et j’étais heureux de les voir tellement bien. Le balancement de son membre et ses testicules pendant qu’il marchait m’excitait, et aussi le fait que c’était la première fois que je voyais chaque parcelle de son corps sous la seule lumière du soleil
Une autre idée a jailli en moi, et je me suis précipitée dans la maison : l’appareil-photo. Ce grand événement devait être immortalisé, et j’ai pris quelques photos depuis la fenêtre alors qu’il allait et venait. J’ai pris l’une des photos alors qu’il s’était arrêté pour ramasser un bâton. Il me faisait face, et j’ai aimé voir son pénis se balancer entre ses jambes pendant qu’il se baissait et se relevait.
Un peu plus tard, j’ai vu Geneviève près de la porte qui regardait Michel. Pendant qu’elle l’observait se déplacer vers l’extrémité du jardin, elle a appelé Charles pour qu’il puisse le voir également. Ensemble, ils ont regardé Michel venir dans leur direction, son sexe se déplaçant d’un côté à l’autre dans la lumière du soleil. J’ai su qu’il s’est rendu compte qu’ils étaient là quand il s’est arrêté brusquement et a regardé vers la porte. Charles et Geneviève lui faisaient de grands signes pour attirer son attention. Naturellement, tous les deux étaient complètement nus.
Michel a arrêté la tondeuse et est resté là, ne sachant pas quoi faire ni où mettre ses mains. Plus tard, il m’a dit qu’il avait soudain voulu se cacher et était resté derrière la tondeuse comme si elle pouvait bloquer leur vue. Charles l’a appelé :
En plaisantant, Geneviève a ajouté :
Michel a rougi encore plus en entendant de tels propos concernant directement sa virilité exposée en pleine lumière.
Ils sont entrés dans notre cour et l’ont rejoint, puis ils sont allés tous ensemble se mettre à l’ombre de notre grand érable. À les voir ainsi tous les trois, je me suis dit que je devais les rejoindre si je voulais entendre ce qu’ils disaient. Dans mon esprit, j’avais imaginé la scène se passant ainsi pour nous quatre, alors j’ai posé quatre verres et une bouteille de thé glacé sur un plateau, j’ai attrapé une couverture et je me suis arrêtée sur le seuil de la cuisine en pensant à un autre détail : j’étais toujours habillée seulement de ma légère et mince chemise de nuit. Sans plus hésiter, j’ai posé le tout sur la table, et j’ai passé ma chemise par dessus ma tête et l’ai laissé tomber sur une chaise. Même si je n’osais pas complètement me l’avouer, je devais avoir envie de montrer complètement mon corps à Charles.
En portant le plateau de rafraîchissements sur la couverture pliée, j’ai fait une pause à la porte, j’ai respiré profondément, et je suis sortie dans le patio. Les autres qui parlaient sous l’arbre ne m’ont pas entendu sortir, et ça a été d’autant plus surprenant pour Michel de voir son épouse arriver vers eux complètement nue. Je n’avais même pas mes sandales.
Malgré le fait que mes seins sont petits, j’avais conscience de la façon dont ils rebondissaient légèrement à chaque pas que je faisais. Puisque j’avais les mains occupées, je n’avais aucune possibilité de me couvrir quand les voisins se sont retournés pour voir ce qui attirait tant le regard de mon mari. Geneviève m’a souri, et Charles est resté muet pendant qu’il laissait franchement ses yeux errer sur mes seins et, pour la première fois, sur la toison qui recouvrait mon pubis et mon vagin. Michel est resté également sans voix. Je lui avais dit que j’avais besoin qu’il commence, mais il ne pensait sans doute pas que je le rejoindrais aussi rapidement dans la nudité totale devant nos amis.
J’ai demandé à Michel de tenir le plateau pour moi tandis que j’étalais la couverture par terre pour que nous puissions nous y asseoir. Pour ce faire, je me suis mise à genoux par terre afin d’ouvrir entièrement la couverture. Les trois autres étaient derrière moi, et j’ai su qu’ils pouvaient contempler mes fesses et probablement voir entre mes jambes. La couverture étant arrangée, je me suis tournée vers Michel pour prendre le plateau. Maintenant c’était à mon tour d’être sans voix. Il avait de quoi rougir davantage encore : son sexe était complètement dressé, tendu devant son ventre ! D’une voix étranglée, il a demandé :
C’est Geneviève qui s’est chargée de répondre :
Michel paraissant indécis, j’ai pris le plateau et les ai invités à s’asseoir. Charles et Geneviève m’ont rejoint sur la couverture. Charles s’est allongé, appuyé sur un coude, et Geneviève a fait de même. Ni l’un ni l’autre n’ont paru le moins du monde être gênés d’exposer ainsi leurs parties génitales. Je me suis assise avec mes jambes pliées sous moi, ainsi je n’étais pas aussi ouverte que Geneviève l’était, mais mes poils pubiens restaient exposés à la vue de tous. Finalement, Michel a décidé de s’asseoir, bien qu’il ait du mal à trouver une position qui lui permette de se cacher un peu.
Alors il s’est assis normalement, les jambes écartées, et ainsi son sexe dont l’érection s’était encore accrue s’est dressé vers le ciel, avec son gland complètement décalotté. C’était encore mieux que ce que j’avais imaginé. J’étais excitée de penser que Geneviève pouvait maintenant voir sa queue, et dans quelle forme ! En attirant son attention, j’ai souri à Michel, ai jeté un coup d’œil vers son érection, et l’ai regardé de nouveau pour lui montrer combien j’étais fière et heureuse de son exhibition courageuse. De même, il a laissé ses yeux errer sur mon corps avant de me faire un clin d’œil, tous les deux pensant silencieusement que nous ne pouvions pas croire que nous étions là, complètement nus, lui en pleine érection, avec nos voisins dans la même tenue.
Alors que nous dégustions notre thé glacé, Geneviève a dit :
Se tournant vers moi, elle a continué :
À son tour, Charles a pris la parole :
Geneviève est revenue à Michel :
Embarrassé et hésitant, Michel a bu une gorgée de thé. La permission qui lui était donnée était tellement claire, qu’il a laissé son regard errer sur le corps de Geneviève.
Quand je me suis tournée vers lui, j’ai aussitôt pensé qu’il ne m’avait pas quittée des yeux.
Pendant qu’il parlait, j’ai perçu un mouvement dans le bas de son ventre, j’ai vu que son sexe commençait à se gonfler. Ses mots ont agi sur moi comme s’il caressait réellement mes seins et mon vagin pendant qu’il les décrivait, et je suis sûre que j’ai rougi. C’était tellement agréable de l’entendre féliciter mes petits seins, et j’étais étonné de savoir qu’on pouvait tellement facilement observer mon vagin.
Effectivement, le sexe de Charles s’était développé jusqu’à devenir admirablement dressé.
Ce n’était pas facile de fixer mon regard sur lui sans tenir mes yeux sur son sexe dressé et j’ai essayé de contourner la difficulté en disant :
Geneviève s’est penchée et a pris le pénis de son mari dans la main en disant :
À mon tour, je me suis penchée vers Michel et ai saisi son sexe, de façon à ce que Geneviève puisse voir la grosse veine qui le longeait. La sensation du contact du membre dressé palpitant dans ma main pendant qu’ils me regardaient était tellement excitante que je crois que c’est à ce moment que j’ai fini par comprendre les plaisirs du genre de nudisme qu’ils pratiquaient.
Tandis que Geneviève examinait toujours attentivement son pénis dans ma main, Michel lui a demandé :
Geneviève s’est assise, s’est penchée en arrière et a écarté ses jambes. Les lèvres de son vagin complètement rasées étaient ouvertes et nous pouvions voir distinctement l’intérieur tout moite.
Michel n’a pas pu détacher ses yeux de la vue qu’elle nous offrait, jusqu’à ce que je lui demande :
Charles a ajouté :
Michel m’a regardée et a chuchoté :
Je me suis déplacée de façon à être assise sur mes fesses avec mes jambes allongées devant moi. Jamais, même simplement en imagination, je n’aurais pensé me tenir ainsi complètement nue, devant deux hommes en érection et une femme aussi excitée qu’eux, pour leur laisser voir le plus intime de mon corps. Mais j’avais aimé les voir et je voulais qu’ils me découvrent dans mes plus secrets replis. Ce n’était que justice. Une fois de plus, j’ai pris mon souffle, j’ai fermé les yeux et me suis penchée en arrière en écartant les jambes aussi largement que je pouvais. Un des hommes a soupiré distinctement, et Michel a dit :
Un peu de brise a balayé mes lèvres et m’a fait légèrement frissonner.
D’une certaine manière, j’aurais souhaité avoir un miroir parce que j’aurais voulu voir ce qu’ils voyaient de moi. J’ai ouvert mes yeux pour regarder entre mes jambes, et avec une main sur le bas de mon estomac, j’ai tiré ma peau vers le haut pour mieux voir. Depuis cette position avantageuse, je pouvais voir mes lèvres saillir vers l’avant.
J’ai essayé de les regarder, mais si je voyais leurs visages, je ne voyais pas leurs yeux fixés sur mon vagin.
Je suis donc restée avec les jambes largement écartées. Michel et moi leur avons dit combien cette aventure nous excitait et satisfaisait notre curiosité en même temps. C’était agréable de les entendre dire que, quoique voir des gens nus n’était plus un grand défi pour eux, l’occasion de voir d’autres corps complètement exposé les excitait toujours autant. Ils étaient très heureux que nous soyons parvenus à surmonter nos craintes parce qu’ils appréciaient la vue de nos corps, et que l’expérience que nous venions de vivre était pour eux la plus sexy qu’ils aient connus.
Bientôt, Geneviève et Charles se sont levés, et Michel et moi avons fait la même chose. Je leur ai dit de tout laisser sur place, je m’en occuperai plus tard.
Geneviève a pris dans sa main le pénis toujours raide de Charles et a annoncé :
J’ai fait de même en prenant Michel par son sexe érigé et j’ai commencé à le tirer vers la maison.
Alors nous nous sommes dirigés vers nos maisons respectives, et j’ai vu nos amis passer la porte de la haie sans la refermer derrière eux.
Comme vous pouvez le penser, Michel et moi avons passé un après-midi entier de sexe passionné, en parlant souvent des corps de Charles ou de Geneviève, mais aussi de leurs réactions à la vue nos propres corps. Après la tombée de la nuit, nous sommes même sortis pour rechercher le plateau et les verres sous l’érable, et nous avons de nouveau fait l’amour là, sur la couverture. Bien que nous pensions que les voisins ne pouvaient pas nous voir dans l’obscurité, je ne crois pas que nous nous serions arrêtés s’ils nous avaient vus.
À suivre…