n° 11497 | Fiche technique | 39046 caractères | 39046Temps de lecture estimé : 22 mn | 26/06/07 |
Résumé: Nicole et Michel découvrent d'autres plaisirs avec leurs amis et reçoivent une invitation pour laquelle ils se préparent soigneusement. | ||||
Critères: couple couplus voisins plage exhib nudisme traduction | ||||
Auteur : Chatelisse |
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Le soleil et les voisins
Après que tous deux soyons allés si loin dans ce que Michel avait appelé notre épanouissement dans la nudité, j’ai continué à rechercher comment nous pourrions avoir de nouvelles et passionnantes expériences. Charles et Geneviève conservaient leur routine habituelle en se reposant sur le patio, en nageant ou en jardinant dans la plus complète nudité. Michel et moi avons pris la même habitude, et j’ai rapidement apprécié le plaisir d’être nue dehors et dans la maison. J’aimais la façon qu’avait Geneviève d’apparaître nue par la porte de la haie quand elle nous faisait une petite visite, et je suis allée plusieurs fois les voir dans leur patio, nue également. J’aimais la façon qu’avait maintenant Michel de travailler nu à l’extérieur, à l’exemple de Charles, apparemment sans gêne d’être ainsi exposés, et tous les deux étaient toujours au moins a moitié en érection, bien que Michel m’ait avoué qu’il lui était encore un peu difficile de se laisser voir aux autres dans cet état. Mais je les ai taquinés tous les deux en leur disant que je n’étais pas sûre que nous les reverrions un jour avec leurs pénis complètement flasques. Naturellement, Geneviève et moi étions heureuses de voir leurs membres rester en forme, ce qui était flatteur pour nous et pour eux, et aussi parce que le sexe masculin raide bouge mieux quand son propriétaire se déplace. Nous profitions donc de chaque occasion pour être nus devant les autres.
Un jour, Geneviève et moi avions projeté d’aller ensemble acheter du papier peint car je désirais changer celui de notre chambre à coucher. Avant d’aller au magasin de bricolage, nous sommes montées dans la chambre pour prendre la mesure des murs. À ce moment, Michel est rentré de son travail et il allait prendre une douche quand il nous a trouvées dans la chambre. Il a semblé étonné et embarrassé parce que nous ne semblions pas décidées à nous en aller. Finalement, avec deux femmes habillées qui le regardaient en souriant et qui se demandaient jusqu’à quel point il pourrait être audacieux, il a commencé à se déshabiller pour aller sous la douche. Il a ôté sa chemise et son pantalon et, après une brève pause, a quitté également son caleçon. Sans se retourner, il est entré dans la salle de bain sans fermer la porte. Geneviève et moi avons eu besoin de beaucoup de temps pour prendre nos mesures, car qui peut se concentrer sur des mesures quand on peut voir un homme sous sa douche dans la pièce voisine, et nous étions donc toujours dans la chambre quand il est sorti de la salle de bain. Laissant sa serviette de côté, il est même venu jusqu’à nous pour voir où nous en étions de nos plans. J’étais fière de son exhibition, et nos regards sur son anatomie ont dû lui faire plaisir car son sexe s’est rapidement dressé pendant que nous parlions.
Après cette audacieuse démonstration, j’ai voulu prouver que je pouvais en faire autant. L’occasion m’en a bientôt été donnée. Un matin, Michel et moi étions sortis faire des courses et nous sommes rentrés assez tôt pour que Michel puisse aller faire une partie de golf avec Charles. Je l’ai accompagné chez nos voisins où nous avons trouvé Charles qui attendait dans le patio, mais Geneviève n’était pas à la maison. Comme ils avaient un peu de temps avant de partir, nous nous sommes assis pour bavarder, et c’est à ce moment que j’ai senti que c’était le moment de relever mon propre défi. Je me suis levée et j’ai demandé à Charles :
Ils me regardaient tous les deux quand j’ai commencé à déboutonner mon chemisier. Comme Michel et moi revenions de faire des courses, je portais un soutien-gorge. C’était un modèle très léger au travers du mince tissu duquel mes aréoles et mes mamelons se distinguaient nettement. Dès que j’ai enlevé ma jupe, ils ont pu voir que je portais un petit slip assorti dont la transparence permettait de distinguer nettement mes poils pubiens. Charles a aussitôt remarqué :
Michel rayonnait pendant qu’il me regardait continuer à me déshabiller devant eux.
Après avoir fait glisser les bretelles, je j’ai retiré et l’ai placé sur la chaise avec mes autres vêtements. Ni l’un ni l’autre ne me quittait des yeux alors que j’hésitais encore avant d’ôter mon slip. Finalement, après avoir pris ma respiration, j’ai courageusement fait glisser sur mes jambes mon dernier rempart et l’ai enjambé avant de le poser sur la chaise. Fièrement, j’ai gardé mon calme et je suis restée un instant devant eux pendant qu’ils m’examinaient sans vergogne. Quand j’ai trouvé qu’ils en avaient assez vu pour le moment, je me suis tournée vers la piscine et ai plongé dedans, leur offrant par la même occasion une vue complète sur mes fesses.
Quand il fut l’heure qu’il s’en aillent au golf, je suis sortie de la piscine pour embrasser Michel et pour leur donner à tous les deux une dernière vue de ma nudité scintillante d’eau. Il m’a semblé que Michel avait du mal à me quitter et quand, plus tard dans la journée, nous avons fait l’amour, nous nous sommes racontés mutuellement combien l’épisode de la piscine nous avait excités.
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* *
Michel et moi sommes également retournés à la carrière. Bien que ni l’un ni l’autre n’en ayons parlé, il nous a semblé évident que cette fois ce serait en pleine nudité.
Au milieu de l’été, en raison du temps légèrement plus chaud, le « front de mer » était bien plus fréquenté que la fois précédente et, où que nous puissions poser notre couverture, nous allions être très près des autres. En recherchant des gens à côté desquels ça ne nous dérangerait pas de nous installer, j’ai remarqué qu’il y avait ce jour là beaucoup plus de couples dénudés, même s’il restait quelques hommes avec de vastes shorts et leurs petites amies torse nu, et toujours quelques hommes seuls et l’œil aux aguets.
Ils étaient installés un peu plus loin du bord de l’eau, et il y avait un emplacement disponible à côté d’eux pour notre couverture. Tous les deux étaient appuyés en arrière sur leurs coudes et je me suis souvenue du vagin rasé et du pénis circoncis. Ils nous ont tout de suite reconnus :
Michel et moi avons étalé la couverture et Michel a commencé à fouiller dans le sac de sport, peut-être en prenant son temps pour voir ce que j’allais faire. J’étais déterminée à ne pas être timide cette fois-ci. Toujours debout, sous le regard de nos nouvelles connaissances et de quelques autres observateurs potentiels, j’ai rapidement délié mon haut de bikini et l’ai laissé tomber à terre. Continuant notre brève conversation, Catherine a dit :
Intensément consciente du fait qu’ils me regardaient, j’ai répondu :
Puis, avant que je puisse trop réfléchir, j’ai accroché mes pouces à mon slip et l’ai ôté rapidement devant leurs yeux attentifs et qui sait combien d’autres paires d’yeux. Alex n’a pas détourné son regard et j’ai remarqué un certain nombre d’autres regards jetant un coup d’œil à ma soudaine nudité. Michel a sans doute été surpris par la soudaineté de ma décision, mais il s’est bientôt rattrapé : se levant, il a suivi mon exemple et laissé tomber à ses pieds son maillot de bain. Il m’a dit plus tard qu’il essayait de ne pas trop penser à cette situation pour ne pas être trop excité. En conséquence, son pénis n’était pas entièrement dressé, mais il en avait déjà bien pris le chemin. Catherine n’a pas détourné la tête, et j’ai aimé le fait que, comme nous, ils aient plaisir à regarder les corps de gens qu’ils voyaient nus pour la première fois
Alors que nous étions toujours debout, j’ai sorti le tube de crème solaire. C’était plus excitant et plus pratique de l’appliquer en étant debout, et j’ai pris plaisir à l’étaler sur mes seins et mes cuisses. À ma demande, Michel a fait mon dos, et il m’a fait frissonner quand ses mains ont parcouru mes fesses devant tellement de monde. Je lui ai fait la même chose et, comme je pensais qu’il était trop timide pour se toucher, j’ai tendrement appliqué de la lotion sur son pénis qui s’est encore un peu dressé et sur ses testicules qui ainsi ont rougi d’excitation et non d’un coup de soleil.
Après que nous nous soyons bien huilés, nous nous sommes finalement assis. Je me suis penchée en arrière sur mes coudes, mais j’ai gardé mes jambes fermées devant moi, et Michel a suivi mon exemple. Catherine a remarqué :
J’ai regardé son mari et j’ai remarqué que son sexe, à l’exemple de celui de Michel, avait pris un certain embonpoint. Nous nous sommes regardés, et il a vu où j’avais regardé. J’ai souri, et il a haussé les épaules comme si pour dire, « Qu’est-ce que je peux y faire ? ». Catherine l’a vu aussi et a ri nerveusement en lui donnant une petite claque sur la cuisse.
Etant donné que j’avais commencé à étudier les divers corps que j’avais pu voir, j’ai noté d’autres différences : son torse et ses jambes étaient beaucoup plus poilus que ceux de Michel ou de Charles et ses poils pubiens auraient du être particulièrement denses. Alors, son sexe entièrement rasé et de plus en plus éveillé attirait immanquablement le regard. Quant à Catherine, ses fesses étaient bien rondes, et ses seins un peu tombants paraissaient encore plus sexy quand ses longs cheveux les recouvraient et que seuls ses gros mamelons en émergeaient.
Puisque nous sentions que nous pouvions leur faire confiance pour qu’ils prennent soin de notre sac de sport, Michel et moi pouvions aller à l’eau ensemble. En marchant sur la rive, j’ai senti beaucoup d’yeux fixés sur mes fesses. Michel était d’humeur badine, et ses mains et ses doigts m’ont donné beaucoup de plaisir sous l’eau. Dans mes mains, sa queue est devenue bientôt entièrement raide, mais nous n’avons pas continué trop longtemps nos petits jeux car Michel m’a fait remarquer que, avant de sortir de l’eau, il fallait qu’il nage vers l’eau plus fraîche pour calmer son excitation. Je suis allée dans une autre direction pour ne pas le distraire, et après plusieurs minutes je l’ai vu sortir pour regagner notre couverture, apparemment sans attirer plus d’attention sur son corps qu’il n’était souhaitable.
A mon tour, j’ai nagé vers le bord de l’eau et je suis sortie plus loin en aval que je l’avais espéré. J’aurais pu revenir en nageant, mais j’ai décidé d’éprouver encore ma résolution. Je me suis levée et suis sortie de l’eau, les gouttes d’eau luisant sur mon corps nu, et j’ai parcouru les quelque cinquante mètres qui me séparaient de notre couverture. Mon chemin m’a fait passer devant plusieurs personnes, la plupart totalement nues, quelques unes en maillots de bain. Deux hommes nus qui se tenaient debout et parlaient ensemble se sont tus à mon passage, peut-être pour mieux me suivre du regard. En approchant de notre emplacement, j’ai constaté que Michel était en train de prendre des photographies, non seulement de moi seule, mais aussi près des hommes qui m’avaient suivis du regard ou passant devant les personnes dénudées étalées sur le sable. Et pendant que je m’essuyais, il en a pris encore de moi avec Alex et Catherine derrière moi. Alex a proposé de nous prendre en photo ensemble encore une fois. J’avais envie d’un tel cliché et nous avons posé bras dessus, bras dessous. Il nous a ensuite demandé :
Michel lui a répondu :
Il en a donc pris plusieurs, en nous faisant tourner sous différents angles, pour être sûr qu’au moins deux ou trois seraient réussies. Quand, plus tard, j’ai vu les tirages, j’ai constaté que Alex avait pris les photos de telle manière que mon sexe soit parfaitement exposé dans la lumière du soleil plutôt que caché par l’ombre.
Quand je me suis finalement assise, Michel s’est assis aussi, lui plus précipitamment, car son membre commençait à se développer et qu’un petit groupe de femmes nues arrivait vers nous. Quand elles sont passées, elles ont toutes jeté un regard rapide vers son sexe. Certaines ont dû en voir plus que d’autres, selon le stade où en était son érection. C’est à ce moment qu’il m’a fait remarquer qu’il n’avait toujours par de photo de moi nue. Alors, sans rien dire, je me suis penché en arrière et ai ouvert mes jambes, pas trop large pour ne pas m’exhiber aux autres, mais suffisamment pour qu’il puisse prendre les photos qu’il voulait. Tous les gens qui passaient près de moi pouvaient me voir nue, y compris Alex et Catherine quand ils sont revenus d’un bain. Je me suis tournée sur le côté pour leur faire face.
Alex a ajouté :
Catherine a résumé le sentiment commun :
Le reste de l’après-midi a été beaucoup plus agréable que je l’aurais imaginé. Quand il a été temps de rentrer, j’ai suggéré à Michel que nous restions nus pour retourner vers la barrière qui séparait cette partie de la plage de la plage familiale. Il a souri à mon désir de rechercher aussi longtemps que possible ces dernières sensations.
Arrivés à la maison, nous avons demandé à Geneviève et Charles de venir voir avec nous les photos sur notre ordinateur. Ils ont aimé tous les clichés, spécialement ceux qui me montraient nue au milieu d’autres gens dans le même état.
C’est à ce moment que Geneviève a dit à son mari :
J’ai regardé Michel. Il a dit :
Alors Charles a pris la parole :
Je n’ai pas voulu paraître trop choquée, mais cette idée dépassait mes limites actuelles.
Après avoir fini de regarder nos images sur l’ordinateur, nous sommes tous les quatre descendus au salon. Bien sûr, comme nous en avions maintenant l’habitude, nous étions tous nus. Michel s’est assis dans un fauteuil et je me suis assise à côté de lui sur le bras du fauteuil. Son sexe était érigé et j’ai ainsi compris que l’invitation de Geneviève faisait travailler son imagination.
Elle a tiré Charles plus près d’elle sur le sofa où elle s’était assise, a commencé à caresser son membre puis l’a pris dans sa bouche. Nous pouvions les voir de côté, et j’ai été époustouflée par l’érotisme que dégageait leur passion et par le souvenir des moments où Michel et moi avions été exactement dans la même position. Il m’était arrivé quelquefois de nous regarder dans un miroir pendant que nous faisions l’amour, curieuse de savoir à quoi nous ressemblions à ce moment là, et maintenant j’avais devant moi une démonstration de la même chose en direct.
Elle a continué à le sucer un moment, puis il s’est reculé, s’est mis à genoux devant elle et a saisi ses jambes pour les poser sur ses épaules. Le vagin de Geneviève s’est ouvert pour la langue de son mari, et il est devenu clair qu’elle appréciait sa technique.
Je pouvais à peine parler, mais je suis parvenue à chuchoter :
Elle s’est alors agenouillée sur le sol et il s’est placé derrière elle.
Fascinée, je me suis levée en même temps que Michel dont la queue ne m’avait jamais semblée aussi raide. Je n’avais jamais pensé qu’une telle scène puisse présenter autant de détails passionnants. La façon dont les testicules de Charles rebondissaient et venaient frapper le clitoris de Geneviève, la façon dont le membre viril glissait à l’intérieur et en dehors du vagin, la façon dont les fesses et les seins de Geneviève étaient secoués quand il allait et venait en elle, j’aimais tout. En outre, je me suis rendue compte que leur plaisir était encore plus intense de savoir que nous les regardions et que nos propres corps étaient tellement excités par le spectacle.
Elle a gémi lorsque son orgasme s’est déclenché, et le visage de Charles s’est crispé quand il l’a bientôt suivi. Ils se sont effondrés sur le plancher et, après quelques instants, je suis allée leur chercher des serviettes humides pour qu’ils puissent faire une petite toilette intime.
Après s’être reposés un moment, Geneviève et Charles se sont levés. Avant de partir, elle nous a regardés, a souri de notre rougeur, et a dit :
Michel et moi nous sommes juste regardés l’un l’autre, un peu estomaqués.
J’ai été contente de savoir que nous appréhendions ces nouvelles expériences au même rythme. Geneviève a ajouté :
Quand ils nous ont quittés, Michel m’a demandé :
Mais je l’ai arrêtée :
J’ai pris son pénis dans ma main, me suis penchée et lui ai donné un gentil baiser.
Et nous sommes allés au lit pour la nuit.
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* *
C’est vrai que j’ai eu beaucoup plus envie de Michel à ce moment-là et encore plus le matin suivant. Nous ne nous sommes pas dit grand-chose pendant le petit déjeuner ni plus tard, bien qu’il ait eu autant que moi matière à réflexion.
L’après-midi, je me suis forcée à prendre une décision. Après avoir fait quelques préparatifs, j’ai dit à Michel :
Je portais ma courte robe de chambre en soie, mais il ignorait que je n’avais pas grand chose dessous, juste une très légère camisole et un string. Avec un sourire railleur, il est monté dans la chambre et, quand il est redescendu, j’ai su qu’il avait compris mon idée et qu’il était prêt à aller plus loin avec moi. Un rapide appel téléphonique aux voisins, c’était tout ce qui nous restait à faire.
Nous avons étalé la couverture et avons préparé les verres et le pichet de thé. À la porte, Geneviève et Charles se sont arrêtés. Comme d’habitude, ils étaient nus et nous portions tous les deux nos robes de chambre.
Ils semblaient toujours un peu incertains quant à la conduite à tenir, incertains aussi de la façon dont nous allions réagir à leur invitation pour la soirée et à leur démonstration de la veille, alors j’ai essayé de les mettre à l’aise.
En disant cela, j’ai commencé à délier la robe de chambre de Michel. Juste avant que je l’aie ôtée, il a pris l’appareil photo qu’il avait dans sa poche et l’a remis à Charles. Ça ne faisait pas partie de mon plan, mais j’ai immédiatement aimé l’idée. Avec sa robe de chambre par terre, il se tenait debout uniquement vêtu d’un slip minuscule, très mince et sans braguette, et ainsi la forme de sa queue était parfaitement évidente.
Comme je le caressais à travers le mince coton, Geneviève a dit :
Et Charles a pris une photo.
Michel a pris la parole à son tour :
En le faisant, il m’a tournée légèrement de sorte que Charles et Geneviève puissent apprécier mon string, ce qui a également inspiré Charles pour prendre une autre photo. Au dessus, je portais une camisole assortie, dont une bretelle avait glissé de mon épaule, dévoilant déjà un sein pour eux et pour l’appareil photo.
Il s’est courbé pour lécher mon mamelon et pour le prendre dans sa bouche, le mordant même légèrement et le tirant vers eux. Charles lui a demandé de le garder entre ses dents suffisamment longtemps pour qu’il obtienne un plan rapproché.
Michel s’est alors intéressé à mon autre sein, le tirant de la même manière. Tandis qu’il faisait cela, mes mains s’étaient glissées sous son slip pour caresser ses fesses, et Charles a pris de nouveau plusieurs photos. En me reculant un peu, je leur ai dit :
J’ai tiré sur l’élastique pour voir dans son slip. Geneviève, qui ne s’était pas encore assise, a fait un pas en avant pour voir également dans le slip de Michel.
Charles a pris une nouvelle photo de Michel, et c’était la première fois qu’il était photographié nu et en érection.
Avec Michel nu et moi à genoux, nous étions prêts pour la suite. J’avoue que je n’ai pas fait exactement ce que j’avais fait la première fois avec Michel. Cette fois, avec son membre en érection dans ma main, je me suis tournée vers le regard de nos amis et vers l’objectif de l’appareil photo. Ils me regardaient tous les deux fixement, alors, gardant mes yeux dans les leurs, j’ai frotté le pénis de Michel contre ma joue, j’en ai brièvement léché le bout et l’ai mis dans ma bouche aussi profond que j’ai pu le prendre. Ne les quittant jamais des yeux, je l’ai déplacé dans et hors de ma bouche, m’arrêtant seulement pour le lécher partout, et le remettant à l’intérieur de moi.
Geneviève et Charles nous observaient, le sourire aux lèvres, et Charles a pris de nouvelles photos de tout ce que je faisais. Me souvenant de ce qu’ils avaient fait la veille, j’ai fixé mon regard sur leurs corps, heureuse de voir que la queue de Charles était entièrement droite dans la main de Geneviève. Je tenais le membre de Michel et je regardais celui de Charles, et j’avais l’impression de les sentir tous les deux à la fois. J’ai continué de lécher et de sucer Michel pendant quelques minutes, exactement comme pendant la première fois avec lui, et ma bouche lui procurait trop d’excitation pour qu’il puisse revenir en arrière. Geneviève a compris que son orgasme approchait et a demandé :
Je ne sais pas comment elle l’avait deviné, mais j’ai aussitôt sorti le pénis de Michel de ma bouche de sorte que nous puissions tous voir son sperme sortir. Et pour l’aider, j’ai continué à le branler vigoureusement devant nos voisins. Soudain, Michel a gémi doucement et son sperme a giclé de son membre écarlate, au moins trois ou quatre jets qui ont atterri sur mon épaule et sur mon torse. Charles, dont le propre membre semblait prêt à éclater, est parvenu à maintenir fermement l’appareil photo pour enregistrer le magnifique orgasme de mon mari. Incapable de résister, j’ai remis son pénis dans ma bouche pour goûter son plaisir. Une autre différence avec notre première fois fut que, sans avoir de mur pour s’y appuyer, Michel est presque tombé et j’ai dû le retenir. Une différence de plus fut que je vis, adroitement manipulée par Geneviève, la queue de Charles, qui venait d’abandonner l’appareil photo, lancer quelques jets de sperme qui vinrent orner notre pelouse de longues traînées blanchâtres.
Pendant ce temps, Charles avait repris l’appareil photo et se concentrait sur un plan rapproché de quelques gouttes de sperme qui s’écoulaient doucement sur un de mes mamelons. Après qu’il ait pris quelques clichés, Geneviève et moi avons utilisé les serviettes que j’avais apportées pour nettoyer nos maris et moi-même. Pendant un moment, nous avons siroté du thé glacé, puis Geneviève, toujours prête à créer des situations érotiques, m’a demandé :
C’est Michel qui a répondu :
Pendant qu’il disait cela, son pénis, qui était toujours presque entièrement droit, a rebondi d’une manière extravagante et il m’a allongée sur le dos, a léché mes mamelons une fois de plus, et son attention affamée s’est portée sur ma minuscule culotte. Pendant que Charles nous visait de nouveau avec l’appareil photo, Michel leur a dit :
En soulevant mes jambes, il l’a rapidement retirée et l’a jetée loin de nous, me séparant ainsi de mon dernier rempart, puis a écarté mes jambes suffisamment pour que je puisse être photographiée et pour le plaisir de ses yeux et ceux de nos amis.
Michel a alors introduit un et puis deux doigts dans moi, mon excitation facilitant grandement son introduction. Alors il s’est penché plus près pour utiliser tous ses doigts, les uns pour explorer l’intérieur de mon vagin, les autres pour caresser mon clitoris. Pendant que Charles prenait des plans rapprochés de cet examen, Michel a continué à m’exciter en chatouillant mon clitoris, puis en le léchant. Exactement comme la première nuit, sa langue et ses doigts me rendaient folle, et je me soulevais sur mes épaules pour rapprocher un peu plus mon corps de sa bouche. Puis, n’en pouvant plus d’attendre, je me suis relevée et l’ai fait s’allonger à son tour sur le dos. Une fois de plus en regardant nos spectateurs, j’ai saisi sa bite affolée et l’ai glissée dans mon vagin. Alternativement Charles regardait et prenait des photos pendant que je montais jusqu’en haut de l’érection de Michel pour mieux redescendre jusqu’à ce que mon clitoris vienne au contact de son pubis. Mes mouvements de haut en bas sont devenus plus saccadés et je sentais l’apothéose approcher, mais j’ai pu encore entendre Charles dire :
Geneviève a juste incliné la tête, hypnotisée par notre passion. Charles a agi juste à temps. Presque aussitôt, une rougeur a envahi ma poitrine et le sentiment d’extase fut si intense que j’ai dû fermer les yeux. Quand je les ai rouverts, j’ai vu les sourires émerveillés de Michel et de nos voisins. Naturellement, Charles et Geneviève souriaient parce qu’ils avaient pu voir un spectacle extrêmement érotique, et j’étais heureuse de leur donner le même plaisir que celui qu’ils nous avaient donné. Cependant, le sourire de Michel signifiait bien plus pour moi : nous étions allés très loin, d’abord en partageant nos corps avec nous-mêmes, puis notre passion avec nos amis, et nous n’aurions jamais imaginé que ce serait si merveilleux. Qui aurait pu dire que nous aurions maintenant ressenti autant de plaisir, alors que nous avions juste commencé par enlever tous nos vêtements devant des amis ? Nous nous sommes sentis ainsi tellement amoureux.
J’ai regardé Michel.
Il n’y a pas bien longtemps, je n’avais jamais vu qu’un seul pénis, et maintenant, à part celui de Michel, j’en avais vu plusieurs. Jusqu’à la veille, j’avais vu seulement le pénis de Michel en train d’éjaculer, et maintenant j’en avais vu un autre. Deux jours plus tard, j’allais en voir sept de plus.
à suivre…