n° 11538 | Fiche technique | 49755 caractères | 49755Temps de lecture estimé : 28 mn | 10/07/07 |
Résumé: Nicole et Michel participent à une soirée nudiste organisée par leurs voisins. | ||||
Critères: grp voisins piscine danser fête voir exhib nudisme traduction | ||||
Auteur : Chatelisse |
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Michel et moi avions été très excités par l’après-midi où nous avions fait l’amour pendant que Geneviève et Charles étaient là pour nous regarder, et nous avons eu beaucoup de plaisir à revivre ces moments là en regardant les nombreuses photos et la vidéo que Charles avait prises. Nous avions l’habitude de plaisanter en disant que mes parents seraient choqués de savoir à quoi servait l’appareil-photo numérique, leur cadeau de mariage. Des photos de leur fille unique, totalement nue, puis d’autres de leur gendre dans la même tenue, et maintenant de tous les deux ensemble et de plusieurs autres personnes, y compris ces nouvelles images de notre séance amoureuse sous l’érable de notre jardin, remplissaient de pleins albums. Cependant, nous nous sentions toujours un peu anxieux au sujet de la soirée à venir avec les amis de Geneviève et de Charles. Avec nos voisins, nous étions maintenant à l’aise car nous avions partagé les mêmes désirs érotiques sans crainte qu’ils essayent de nous pousser au-delà de nos limites. D’après ce qu’ils nous avaient dit, leurs amis étaient des gens faciles à vivre, mais je me suis demandé si l’un ou l’autre des hommes pourrait devenir brutal ou agressif. Bien que je sois maintenant disposée à faire des choses que beaucoup d’autres ne feraient pas, j’avais toujours quelques limites. Par exemple, je n’étais pas encore disposée à employer un langage trop cru, même pendant l’acte sexuel.
Une visite de Geneviève nous mit un peu plus à l’aise. Le matin de la réception, elle est venue pour nous dire ce qu’il fallait prévoir. Une coutume de leurs soirées, que j’ai immédiatement aimée, était que, pour commencer, les femmes seraient uniquement vêtues de lingerie. Michel a voulu savoir ce que porteraient les hommes.
Michel n’a pas su quoi répondre, et Geneviève a continué à lui expliquer :
J’ai commencé à réfléchir à ce que je porterais pour rencontrer ces gens, et je suis sûre que Michel pensait à la façon dont il se sentirait en étant complètement nu pour faire leur connaissance. Geneviève a ajouté :
Alors Geneviève nous a également expliqué quelques règles qui prévalaient dans leurs soirées :
Toutefois, Geneviève nous a assuré que nous pourrions toujours décliner une offre, de qui qu’elle vienne, nous rappelant que personne n’était obligé de faire de qu’il n’avait pas envie de faire. Pour ma part, j’étais incertaine quant à la réaction que je pourrais avoir en voyant une autre femme dans des bras de Michel complètement nu, mais lui m’a dit plus tard qu’il aimait plutôt l’idée de voir mes fesses caressées par des mains inconnues. Mais évidemment nous n’avions pas envie refuser cette invitation. J’avais donc trouvé quelque chose à porter que ni Michel ni Charles n’avaient vu auparavant, et je n’ai pas laissé Michel découvrir de quoi il s’agissait ni me voir pendant que je me préparais. Selon les règles, Michel était complètement nu. Je portais un étroit string de satin attaché à mes hanches par un petit cordon qui passait entre mes fesses, les laissant ainsi complètement découvertes. Un gilet assorti, extrêmement léger, attaché très lâche, couvrait mes seins aussi longtemps que je ne me penchais pas ou qu’une légère brise ne soufflait pas. Mais j’ai été bientôt très étonné de constater que mon équipement me faisait paraître relativement habillé par rapport aux autres femmes. Naturellement, quand nous sommes arrivés, Geneviève et Charles étaient déjà sur le patio pour accueillir leurs invités. Geneviève portait uniquement une sorte de tunique, en fait deux morceaux de nylon complètement transparent uniquement attachés entre eux sur ses épaules. Le tissu descendait jusqu’à ses chevilles, mais chacun de ses mouvements dévoilait totalement l’une ou l’autre partie de son corps.
Deux autres couples étaient arrivés juste avant nous, Angélique et Robert, et Anne et Hubert. Pendant que nous nous approchions, les deux hommes étaient en train d’enlever leurs vêtements. Une des femmes qui était tournée vers la porte de communication nous a vus arriver et s’est exclamée :
Geneviève nous a immédiatement présentés aux quatre autres et nous les avons trouvés très amicaux. Évidemment, les deux femmes ont semblé apprécier particulièrement la nudité de Michel et l’une d’elles a dit à Geneviève :
Je suis sûre que Michel aurait été plus embarrassé, s’il n’avait pas été aussi captivé par la vue de nouveaux corps à regarder. Anne s’est alors tournée vers Robert et Hubert, qui étaient en train d’ôter leurs slips :
Les deux maris avaient des corps plutôt lourds et avaient tous les deux de petits pénis sous leurs bedaines proéminentes, avec des scrotums pendant exceptionnellement bas. Je n’avais jamais vu des corps de ce genre et je me suis demandé si tous les hommes trop gros étaient comme ça. Presque tout de suite, ils ont commencé à bander, et Robert a affiché un sexe dressé d’environ dix ou douze centimètres, alors que celui d’Hubert se recourbait vers le haut comme une petite banane. La taille ne m’importait pas beaucoup, car j’étais curieuse de découvrir tous les corps d’hommes, et bien que je suppose qu’ils n’auraient peut-être pas aimé le terme, je trouvais leurs pénis mignons. Quand les deux hommes ont été nus, ils ne montrèrent aucune hésitation pour venir parler avec nous, leurs regards étroitement ajustés à mon gilet à peine fermé. Angélique avait également un peu d’embonpoint, et Anne avait un corps de mère, un peu en forme de poire, mais Michel aimait visiblement leurs gros seins et leurs larges fesses qui étaient parfaitement dévoilés par d’affriolantes nuisettes. Celle d’Angélique était jaune et celle d’Anne rose, toutes les deux complètement transparentes, et ni l’une ni l’autre ne portait de culotte.
Les deux couples paraissaient très à l’aise dans leurs tenues, encore très inhabituelles pour mes yeux. Antoine et Denise sont arrivés peu après, et Antoine n’a pas eu le temps de finir se déshabiller avant que Lucile et Lucas entrent dans le jardin. Ils avaient une trentaine d’années et étaient agréables à regarder. Pendant les présentations, j’ai essayé de garder un œil sur les hommes qui se déshabillaient. J’ai aimé voir qui portait un caleçon et qui portait un slip, et j’ai vraiment aimé voir leurs pénis rebondir vers le haut pendant qu’ils retiraient leurs pantalons. Antoine et Lucas affichaient déjà des érections sérieuses. Leurs épouses en montraient presque autant car elles portaient toutes les deux seulement des strings blancs et des bas à jarretelle de même couleur. D’après ce que je pouvais voir, elles avaient des seins joliment redressés, et des fesses fermes. Alexis et Aline, les arrivants suivants, étaient également attrayants. Pendant Alexis ôtait son caleçon, j’ai vu que son pénis était déjà bien éveillé, et quand Aline a enlevé son chemisier et son short, elle était presque aussi nue que Lucile et Denise, portant seulement un slip en dentelle rouge très échancré sur les hanches. Chacune des trois des femmes avait des seins de taille moyenne, ce qui ne veut pas dire qu’elles se ressemblaient. Denise avait de très gros mamelons de plus de deux centimètres. Aline s’était sans doute rarement mise au soleil, car elle avait la peau très pâle avec des veines bleues très visibles sur ses seins. Et les mamelons de Lucile étaient très rouges, comme Lucas a aimé le souligner.
Quand il leur a été présenté, les trois femmes ont également commenté admirativement la taille du sexe de Michel, et j’ai commencé à me rendre compte à quel point j’avais de la chance d’avoir son membre pour moi (et à quel point Geneviève avait de la chance d’avoir celui de Charles). À la carrière, j’avais vu un certain nombre d’hommes nus, mais Geneviève aurait dit que j’avais vu seulement deux hommes vraiment nus. Les diverses formes et tailles des pénis que j’ai pu voir lors de cette soirée m’ont amenée à me rendre compte que Michel et Charles étaient au-dessus de moyenne, tant par la longueur que par la grosseur. « C’est merveilleux d’entendre tous ces commentaires tellement flatteurs sur son pénis », ai-je pensé, et je me suis sentie encore plus fière de Michel. Je suis sûre qu’il a aussi apprécié les compliments. Charles et Michel avaient également des fesses plus agréables que les autres. Ce soir-là, j’ai découvert aussi que certains hommes ont des fesses plates et sans intérêt. Mais j’allais bientôt découvrir d’autres formes et d’autres tailles.
Un autre couple est arrivé peu après, et ils étaient tous les deux vraiment magnifiques. Paraissant avoir environ trente-cinq ans, la femme avait une peau impeccable, des fesses dures et de gros seins très fermes avec des mamelons épais, parfaitement visibles à travers un body en mailles très lâches. Geneviève s’est empressée :
Manifestement, Jackie était habituée aux regards appuyés des femmes et à l’embrasement des hommes, et nul doute que quelques érections se sont faites plus dures à son arrivée. Son visage a rendu toutes les femmes un peu jalouses, et le corps de Luc a probablement fait la même chose pour les hommes. En le regardant se déshabiller, j’ai eu la surprise de ma vie en constatant combien un pénis pouvait être grand, sans doute plus de vingt centimètres dans son cas. Néanmoins, Jackie s’est jointe aux autres femmes pour complimenter Michel au sujet de son érection tellement évidente, en le faisant rougir sous son regard intéressé. Elle a eu aussi un commentaire aimable pour moi, en disant :
Le dernier couple à arriver était extraordinaire pour d’autres raisons. Niki et Kenji étaient les plus proches de notre âge. Ils avaient émigré depuis longtemps déjà, mais pour nous ils avaient toujours le parfum exotique de l’Asie. Kenji était un peu petit, et son sexe était également court mais très épais. Il était entouré de poils denses et noirs, bien que le reste de son corps soit aussi glabre que celui d’un jeune garçon. La minceur de Niki était accentuée par ses longs cheveux noirs et sa longue et légère robe en soie couleur de jade. Elle ne semblait pas prêter attention au fait que les minces bretelles glissaient souvent de ses épaules pour dévoiler ses minuscules mamelons très foncés. Quand elle s’est baissée pour poser son sac par terre, tout le monde a pu voir que, sous le tissu extrêmement fin et fluide, elle ne portait pas de culotte. Les présentations ont bientôt été faites aux derniers arrivants, et Michel et moi avons senti que nous étions les bienvenus, même si nous étions toujours un peu nerveux. Nous étions quand même les « bleus » à plus d’un titre dans ce groupe.
Michel est venu derrière moi et m’a dit, d’une voix suffisamment haute pour être entendu de tout le monde :
Il a tiré sur le nœud et l’a fait glisser de mes épaules. Lâchement attaché, il ne m’avait pas beaucoup couvert et, sans oser me l’avouer vraiment, je m’étais arrangée pour que les hommes, et aussi les femmes, pourquoi pas, puissent découvrir mes seins. Naturellement, je pensais également qu’ils étaient vraiment petits au milieu de toutes ces femmes bien pourvues. Néanmoins, les hommes ont simplement souri de me voir ainsi. Et, maintenant que je ne portais plus que ça, je me suis soudain rendu compte que ma culotte était extrêmement petite, mais j’attendais tout de même avec intérêt de les observer quand, plus tard, j’enlèverai aussi mon string. Pendant un petit moment, nous avons simplement bavardé. Plusieurs fois, j’ai regardé autour de moi et je restais toujours un peu stupéfaite de la situation, même si elle était à la fois étrange et passionnante. Et que dire de voir Michel évoluer au milieu de tous ces gens sans vêtement, son sexe toujours aussi dressé. Plus tard, il m’a dit qu’il lui est arrivé de regarder dans ma direction également avec la même sensation singulière en me voyant, pratiquement nue, converser avec des hommes dans le même très visible état d’excitation sexuelle que lui.
Geneviève a annoncé que le barbecue commencerait bientôt, et qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Michel et moi ne savions pas ce qui allait arriver, mais Geneviève a expliqué la suite des évènements :
À son signal, toutes les femmes ont commencé à masturber leurs hommes. J’ai été étonnée, mais je suis entrée dans le jeu, et quand j’en ai vu certaines utiliser leur bouche, j’ai pris aussitôt la queue de Michel dans la mienne. Robert était juste à côté de nous et me regardait très attentivement. Angélique a alors dit :
Et aussitôt, elle l’a pris entièrement dans sa bouche, son nez frottant contre les poils pubiens de son mari. J’ai essayé de continuer à aider Michel à gagner, mais en même temps, je voulais voir l’ensemble de ce spectacle hautement érotique. C’est alors que Geneviève a annoncé triomphalement :
J’ai tourné la tête à temps pour voir le sperme de Charles jaillir de son membre turgescent et arroser la robe de sa femme. Comme personne n’arrêtait, j’ai réalisé que nous concourrions toujours pour la deuxième place. À ce moment, Jackie a crié et l’orgasme de Luc est arrivé en second, un jet magnifique à voir. Heureusement, l’éjaculation de Michel a suivi aussitôt. J’ai averti tout le monde juste à temps pour qu’ils puissent voir son sperme gicler sur mes seins.
Chaque femme s’est arrangée que les autres puissent voir l’orgasme de son mari. Hubert a été le dernier à éjaculer, et ses jets de sperme ont jailli directement vers le haut comme une fontaine en raison de son érection incurvée, plutôt que devant lui comme les autres. Quand tous les hommes ont fini de jouir, Charles s’est approché de moi :
Je n’ai pas réalisé ce qu’il demandait jusqu’à ce qu’il se soit mis à genoux devant moi. Alors j’ai compris que je n’allais pas enlever mon string moi-même parce qu’il allait l’enlever pour moi. Avant que je puisse dire quoi que ce soit, ses mains ont saisi les cordons sur mes hanches. J’avais voulu faire bonne impression, et maintenant j’allais étonner Michel et les autres plus rapidement que je l’avais projeté. Les lacets étant défaits, mon minuscule vêtement est tombé par terre. Tous les hommes m’ont regardé et m’ont vue complètement nue. Complètement nue et complètement rasée aussi. Charles a eu le regard le plus surpris, et Michel a eu le plus grand sourire. Mes poils pubiens étant déjà clairsemés et ne me couvrant pas beaucoup, je m’étais donc dit « Pourquoi pas ? ». Néanmoins, j’ai d’abord gardé mes jambes serrées de façon à cacher mon vagin, mais un regard d’approbation de Michel m’a incitée à plus de décontraction. Ma vulve était parfaitement nue et lisse, mais ne dévoilait pas mes grandes lèvres tandis que je me tenais debout. Puis je me suis tournée afin qu’ils puissent tous voir le reste de mon individu et, comme il me l’a été demandé, j’ai même touché mes orteils avec mes mains pour qu’ils aient une vue plus complète. Puis ce fut à Luc de choisir et il opta pour Geneviève. Après qu’elle ait été dévoilée et complètement exposée à tout le monde, vint le tour de Michel. Il aurait choisi Geneviève si Luc ne l’avait pas déjà prise, alors il s’est approché de Niki.
Sa seule réponse a été de lever les bras afin qu’il puisse saisir le bas de sa robe et la tirer au-dessus de sa tête. Nous avons pu alors voir complètement ce que nous avait laissé deviner la minceur de son vêtement, un épais triangle noir de poils pubiens et des seins parfaits comme s’ils avaient été moulés sur des coupes à champagne. En quelques minutes, toutes les femmes étaient nues, et Michel, comme moi, ne savait pas où regarder. Auparavant, le corps de Jackie n’était pas beaucoup caché, et on aurait pu penser que, sans rien sur elle, ses seins et son pubis n’auraient pas été beaucoup plus dévoilés. Mais il était tout de même beaucoup plus agréable de la voir complètement nue qu’à travers la maille qui la couvrait. Ses seins étaient aussi lourds que des pamplemousses, mais leur forme était plus sensuelle que s’ils avaient été simplement ronds, avec leurs mamelons dressés. Ils étaient attachés haut sur son torse, et son bronzage leur donnait, ainsi qu’au reste de son corps, un aspect cuivré. C’était également la seule femme à avoir taillé ses poils pubiens, ne laissant qu’une étroite bande verticale, de sorte qu’elle montrait sur son pubis plus de peau que de poils.
Les seins d’Angélique étaient un peu moins gros, à peu près de la taille d’une orange, et ils dansaient joliment quand elle bougeait, mais ils n’étaient pas aussi fermes que ceux de Jackie. Les seins d’Anne, comme son corps, étaient en forme de poire. Quant aux trois qui portaient des strings ou un slip en dentelles, elles montraient maintenant des vagins avec des quantités variables de poils couvrant leurs charmes, et on pouvait voir que Denise était une blonde naturelle avec des lèvres sexuelles aussi saillantes que ses mamelons. Décidemment, pendant la soirée de nos voisins, la nourriture était bonne, mais les distractions encore meilleures. Michel et moi pouvions à peine croire que nous parlions tellement naturellement avec ces gens, non seulement parce que nous étions tous nus, mais aussi parce que nous avions tous vu les femmes masturber les hommes et ceux-ci gicler leur sperme en guise d’apéritif. À un moment où nous ne parlions pas avec quelqu’un d’autre, Michel et moi nous sommes chuchoté combien nous étions excités par notre participation au spectacle.
Charles avait mis de la musique pendant le repas, un jazz lent qui était bien adapté l’ambiance. Pendant que nous finissions de manger, certains se sont levés et ont commencé à danser. Angélique et Anne, qui chacune avait été déshabillée par le mari de l’autre, avaient entraîné lesdits maris pour leur première danse. Naturellement, Geneviève nous avait parlé des « règles », mais j’ai été abasourdie de voir les deux femmes saisir le membre de leur danseur pour le placer confortablement entre leurs estomacs. Comme Geneviève nous l’avait dit, je m’attendais à voir les hommes tenir les femmes par leurs fesses, mais cette attitude était encore plus excitante. Antoine s’est approché pour demander une danse, mais je n’étais pas encore prête pour ça.
Et il a invité Jackie à ma place. Évidemment c’était normal qu’il ait envie d’essayer avec une autre fille, mais je me suis sentie très flatté de savoir qu’une telle beauté avait été son deuxième choix après moi. Michel et moi sommes restés assis et avons observé les autres danser jusqu’à ce que Charles et Geneviève viennent pour nous faire sortir de nos sièges. Charles m’a offert sa main et a dit :
Avec un regard d’approbation de Michel, je suis levée lentement et Charles m’a prise dans ses bras. Sa queue dressée pointait contre mon estomac.
Je l’ai regardé et puis j’ai regardé vers le bas son sexe tendu. En hésitant, j’ai finalement allongé une main vers le membre et l’ai pris légèrement entre mon pouce et mon index pour le tenir plus haut. Pendant que je faisais cela, Charles a glissé ses mains vers mes fesses et nous a tenus ensemble. J’ai ôté ma main de son pénis qui est resté coincé entre nous, et l’ai regardé. Ses mains caressaient mes fesses de chaque côté. J’ai demandé :
En guise d’approbation, il a incliné la tête, et j’ai mis mes bras autour de lui et ai laissé mes mains se poser sur ses fesses. J’ai tiré son corps vers le mien, suffisamment pour que mes mamelons s’écrasent sur son corps. Il a souri de mon geste, et nous nous sommes déplacés en suivant la musique. En regardant à côté, j’ai vu Geneviève avec Michel, sa main ajustant entre eux la position du pénis de mon mari avant de descendre jusqu’à ses fesses, juste comme ses mains à lui la tenaient fermement par les siennes. Il m’a regardée pendant que je le regardais, et nous avons partagé un sourire par-dessus les épaules de nos cavaliers. La glace étant rompue par nos voisins, Michel et moi avons bientôt dansé avec tous les autres. Certaines des femmes ont tenu son pénis beaucoup plus longtemps que nécessaire juste pour le déplacer, et j’ai été moi-même un peu plus audacieuse. Quand, finalement, Antoine m’a tenue dans ses bras, j’ai pris son membre dans mon poing plutôt que seulement avec deux doigts et, plus tard, j’ai fait de même avec l’énorme érection de Luc. Lui s’est délibérément déplacé de sorte que son pénis continue à se laisser tomber entre nous, afin de me permettre de le saisir encore et de le remettre à sa place. C’était très excitant de toucher la queue de chaque homme de cette manière. Quoiqu’ils aient tous semblé différents, chaque phallus m’a paru également dur dans ma main, et chaque gland aussi écarlate.
Je ne sais pas exactement qui a commencé, mais une des femmes doit avoir dit que la danse commençait à lui donner chaud. En entendant cela, Kenji et Antoine ont supposé qu’il en était de même pour nous tous, alors ils ont saisi Jackie par les bras et les jambes et l’ont lancée dans la piscine. Ils sont alors allés vers la femme la plus proche, et toutes les filles sont devenues leurs cibles potentielles. Pour ma part, j’ai été attrapée par Robert et Luc. Ils m’ont pris par les bras et les jambes, les écartant largement dans l’opération, exposant ainsi totalement mon vagin. Ils m’ont promenée de cette façon devant tous les hommes avant de me jeter dans l’eau avec les autres femmes. L’eau m’a parue fraîche, mais pas plus que m’avait paru l’air du soir sur mon vagin humide pendant qu’ils me portaient ainsi tellement ouverte. Les hommes nous ont rejoints dans la piscine, mais Geneviève a dit :
Elle avait raison, ils avaient tous de belles érections, et j’ai alors vraiment voulu avoir Michel pour moi. Je n’ai pas dû attendre beaucoup plus longtemps pour cela. Geneviève a donné le signal de la sortie de la piscine. Par espièglerie, nos hommes nous ont aidés à nous sécher avec des mains beaucoup plus baladeuses que nécessaire pendant que nous entrions à l’intérieur où tous les divans et les chaises étaient couverts de draps. J’ai regardé ce que faisaient les autres et ai suivi leur exemple pendant que les femmes s’asseyaient ou se mettaient à genoux devant leurs maris et s’assuraient que leurs membres étaient toujours en bonne forme. Michel et moi n’avons pas trouvé de place sur le sofa ou sur les chaises, et nous sommes restés debout au milieu de la salle avec Niki et Kenji. C’est à ce moment qu’Anne, en regardant la queue glorieusement dressée de Michel, a demandé :
Il s’est avéré que, précédemment, chacun des hommes avait dû se soumettre à cette enquête statistique, et quand ils se sont enquis de la taille de Michel, j’ai dû admettre que je n’en savais rien. Geneviève est allée chercher un mètre de couturière. Je me suis avancée pour le prendre, mais les autres femmes ont toutes protesté.
Niki étant la plus près, Geneviève lui a remis le mètre.
Tous les yeux étaient fixés sur nous pendant que je le branlais encore un peu. Puis je l’ai pris dans ma bouche pendant un petit moment et quand je l’ai sorti, Niki s’est assuré que l’érection de Michel était à son apogée. Elle a placé l’extrémité du mètre à la base de sa queue et l’a maintenu dans ses poils pubiens tandis que son autre main allongeait le ruban le long du membre raide jusqu’au bout du gland.
Tous les couples, dont la plupart se caressaient mutuellement, avaient les yeux fixés sur nous. J’avais imaginé que tout le monde ferait l’amour immédiatement, mais pas que nous nous serions le centre de l’attention générale. Pourtant Michel n’a pas hésité, et s’est allongé, le dos sur quelques coussins jetés sur le sol, en me tirant au-dessus de lui. Il m’a soulevée assez pour qu’il puisse atteindre mes mamelons avec sa bouche. Après avoir longuement apprécié ses suçons et ses légères morsures, j’ai glissé vers le bas de son corps pour sucer sa queue toujours glorieusement bandée. Et rapidement, j’ai eu envie de monter à l’assistance combien j’aimais faire glisser mon vagin sur toute la longueur de son membre. Mes poils pubiens ayant disparu, il était facile de voir mes lèvres écartées comme des ailes autour de lui. Personne ne parlait, ils regardaient tous, certains les yeux un peu exorbités, et les seuls bruits venaient des soupirs passionnés de Michel et de moi-même. J’étais tellement concentrée sur le corps de mon mari emboîté dans le mien que je ne portais plus aucune attention à tous les gens qui nous observaient. J’ai juste commencé à rebondir de haut en bas sur lui, ce qui l’a fait gonfler plus encore, s’il était possible. Dans un brouillard, les yeux fermés, concentrée sur mon orgasme qui montait, j’ai entendu Charles demander aux autres de regarder le mouvement passionnant de mes petits seins. Juste à côté de moi, Niki a dit :
J’ai ouvert les yeux et, en voyant tous les regards fixés sur nous, j’ai senti une énorme jouissance me saisir. Alors Michel m’a soulevée avec sa queue fichée au fond de mon vagin et j’ai pu sentir son propre orgasme jaillir à l’intérieur de moi. Pendant un moment, je suis restée effondrée sur lui, entendant les soupirs et les compliments de l’assistance. Honnêtement, ce qui s’est passé ensuite est un peu flou. Je sais que j’ai vu tout le monde faire l’amour, mais seuls quelques détails particulièrement explicites demeurent clairs. Niki et Kenji étaient toujours juste à côté de nous, et j’ai pu la voir allongée sur le dos, ses mains maintenant ses jambes largement écartées, tandis que Kenji, ses mains posées de chaque côté d’elle, faisait aller et venir son pénis en elle à une vitesse incroyable. De l’autre côté, Angélique et Anne étaient à genoux côte à côte, leurs mains posées par terre, pendant que leurs maris les besognaient par derrière, chacun des deux hommes pétrissant les fesses écartées de leurs femmes. Pour les autres, c’étaient des corps flous dans toutes les positions possibles qui s’activaient frénétiquement. J’aurais souhaité avoir juste un peu plus d’énergie pour me lever afin de voir de plus près, mais Michel avait pris toute mon énergie.
Après l’orgasme final, nous nous sommes assis tranquillement. J’étais assise simplement sur le sofa entre Michel et Niki, dont le corps chaud contre le mien paraissait aussi épuisé que je l’étais. Geneviève et Charles se sont assurés que chacun avait une boisson fraîche, et la conversation a repris. Michel et moi avons reçu beaucoup de compliments pour notre façon de faire l’amour. Nous avons continué à bavarder jusqu’à ce qu’Angélique demande à Geneviève si la douche était disponible, et si elle et Anne pouvaient y amener leurs maris. Quand ils sont revenus en bas, plusieurs minutes plus tard, ils étaient habillés et ont dit bonsoir à tout le monde. À leur tour, les autres couples sont montés en haut par groupe. Je ne savais pas s’ils prenaient leur douche tous ensemble ou séparément, et j’aurais souhaité avoir plus de force pour monter voir. Nous avons échangé des baisers et des étreintes avec chaque couple, et ils nous ont tous dit qu’ils étaient très heureux que nous ayons rejoint leur groupe. C’était un peu étrange d’être nu en étreignant des personnes habillées, mais j’ai bien aimé cette sensation. Tous les hommes m’ont tapoté amicalement les fesses, de même que les femmes celles de Michel.
Pour rentrer chez eux, seuls Niki et Kenji se sont comportés différemment. Ils ont décidé que ce serait amusant de rouler en voiture en restant nus, et c’est ainsi qu’ils nous ont quittés. Au moment où ils partaient, Michel était assis sur le sofa. Niki s’est penchée sur lui, pressant un de ses seins contre son visage et, tout en l’étreignant, elle a saisi son membre en disant :
Elle tenait son pénis épuisé et ses testicules dans une seule main, les pressant doucement. Naturellement, il a rougi, mais, manifestement, il a bien aimé. Me sentant invitée à être plus audacieuse, j’ai serré Kenji contre moi en lui disant que j’avais été heureuse de faire sa connaissance, puis je me suis reculée et ai pris son pénis dans ma main en disant :
Quand nous nous sommes retrouvés seuls avec Geneviève et Charles, elle a demandé :
La description que Geneviève venait de faire des rapports des deux couples m’intriguait, mais avant que je puisse en demander plus, Michel a dit :
Charles s’est levé, et a dit avec une fausse dignité :
Michel m’a regardée, et mes yeux doivent lui avoir indiqué que j’étais curieuse de voir la douche et de nous voir dedans avec nos amis. Alors, le cœur battant d’excitation une fois de plus, nous avons suivi Charles et Geneviève en haut. Dans la salle de bain principale, ils avaient une énorme douche de plain-pied, avec une porte de verre transparent et une pomme de douche amovible. Michel et moi étions partagés entre y aller ou rentrer nous reposer jusqu’à ce que Geneviève dise :
Charles a réglé la température de l’eau pour qu’elle soit suffisamment chaude avec le jet réglé en pluie légère. Pour voir si nous aimions tous ça, il a pris la pomme de douche et nous a visés, comme un gosse avec un tuyau d’arrosage. Nous avons tous ri, et Geneviève lui a dit, en lui prenant le tuyau des mains :
Elle l’a fait se retourner et l’a plaqué contre le mur, puis l’a arrosé et a saisi un savon et, en m’en tendant un autre, elle a dit :
Michel s’est assis sur le banc intégré dans un angle et Geneviève a fait mousser le savon dans ses mains et a commencé à laver le dos de Charles. J’en ai fait autant et nous avons toutes les deux laissé nos mains glisser sur son dos, puis nous nous sommes baissées pour lui laver les jambes. Je suivais les mouvements de Geneviève, aussi quand elle a remonté ses mains vers ses fesses, j’ai voulu faire la même chose. Alors que j’hésitais, Geneviève m’a fait un signe d’assentiment, et j’ai lentement commencé faire glisser mes mains sur une fesse. Un autre signe d’assentiment d’elle, et mes mains couvertes de mousses ont parcouru les deux fesses, et j’ai même glissé une main vers le bas, entre ses jambes, et j’ai touché son scrotum. Geneviève l’a fait se tourner vers nous, et j’ai pu constater qu’il était de nouveau en pleine érection. Comme je me reculais un peu, Geneviève a dit :
Cette fois, j’ai eu besoin d’un signe d’assentiment de Michel avant de me rapprocher de nouveau pour laisser mes mains courir sur son corps, d’abord sur son estomac, puis en frôlant son pubis glabre. Je me suis remise à regarder ce que faisait Geneviève et à faire la même chose qu’elle. Elle a laissé sa main glisser vers le pénis dressé et a commencé à le savonner en allant et venant. Ma propre main n’avait pas la place d’en faire autant, alors je me suis contentée de masser la base du pénis avec les bouts de mes doigts. Mais Geneviève a pris ma main et l’a guidée sur le membre, me faisant répéter ses mouvements, me laissant apprécier combien son érection s’était développée. Je pouvais entendre les gémissements de satisfaction de Charles, mais pendant que je le lavais je n’ai jamais ôté mes yeux de son sexe sur lequel ma main coulissait. En le tenant comme cela, j’ai prêté une attention particulière à chaque détail du pénis, le lavant soigneusement tout du long et entourant de mes doigts le gland écarlate pour faire s’ouvrir la petite fente au bout. Ensuite j’ai lavé doucement ses testicules un par un, en me demandant si Geneviève voulait le voir avoir un orgasme dans ma main. Mais elle a commencé à le rincer et je me suis reculée. C’est au moment où Michel a annoncé « C’était bien agréable à voir » que je me suis soudain rappelé que mon mari observait tout.
Geneviève lui a alors dit :
Charles s’est assis pendant que Geneviève et moi placions Michel entre nous, faisant face au mur. Comme nous l’avions fait à Charles, nous lui avons lavé le dos, les jambes et finalement les fesses, ce que Geneviève n’a eu aucune hésitation à faire. Quand nous l’avons retourné, nous avons lavé son torse et son ventre, en ayant toutes les deux les yeux fixés sur son érection retrouvée. Nous nous sommes regardées et Geneviève a dit :
Alors, j’ai savonné son pénis et ses testicules avec mes deux mains, et bientôt les mains de Geneviève ont rejoint les miennes.
Michel respirait rapidement et a haleté :
Geneviève lui a donné le même massage sensuel que celui que j’avais donné Charles. Après lui avoir laissé plusieurs minutes pour explorer chaque millimètre de l’érection de mon mari, j’ai pris la pomme de douche pour le rincer, et son pénis brillant et humide nous est apparu en pleine gloire. C’est à ce moment que Charles s’est levé et a dit :
Je crois que c’était la première fois que l’expression de Geneviève montrait qu’elle était légèrement embarrassée. Mais avec un sourire, elle a lâché Michel et s’est tournée vers le mur avec les bras en l’air. Je me suis assise à mon tour pour observer les deux hommes la laver. Elle paraissait très sexy, avec sa peau humide scintillante sous la lumière, se tenant entre les deux hommes dont les érections cognaient son corps à chacun de leurs mouvements. À ce moment, j’ai envié Geneviève et j’ai souhaité me trouver à sa place. Ils ont commencé à la laver comme nous l’avions fait, en insistant particulièrement sur ses fesses. Quand elle s’est tournée pour leur faire face, elle et Charles se sont regardés l’un l’autre, parvenant apparemment à un accord silencieux. Geneviève s’est adressée à Michel :
Elle a plaqué son dos contre le mur de la douche et a levé ses bras au-dessus de sa tête, ses jambes largement écartées, tout son corps invitant au lavage. Charles et Michel ont accepté l’invitation rapidement, et ont commencé à savonner ses seins. Puis, pendant que Michel continuait à laver ses seins avec ses deux mains, Charles s’est mis à genoux pour faire les jambes. Geneviève a frissonné légèrement quand il est arrivé entre ses cuisses et a doucement frôlé son vagin. Son soupir était un signal pour que Michel rejoigne Charles au-dessous de sa taille, et bientôt il déplaçait aussi ses mains sur son pubis lisse. Je ne pouvais pas voir exactement ce qu’ils faisaient, mais l’expression de Geneviève et sa respiration haletante m’ont indiqué qu’ils touchaient son sexe de manière très agréable. Pour finir, Charles a remis la pomme de douche à Michel pour qu’il puisse rincer le corps passionnant de Geneviève. Quand elle est venue s’asseoir à côté de moi, elle m’a dit :
Et j’ai aimé, encore plus que je l’avais imaginé. Avoir les fesses lavées par les deux hommes était particulièrement agréable, mais je ne pouvais pas les regarder pendant que leurs mains caressaient mon dos et mes fesses. Quand je me suis tournée pour leur permettre de laver le reste de mon corps, c’est devenu beaucoup plus passionnant. Michel et Charles m’ont taquinée, faisant courir leurs mains vers le haut de mes bras, sur mes hanches et autour de mon estomac. Puis, avec un signe d’assentiment, Michel a donné la permission de Charles de laver mes petits seins. Il a utilisé les deux mains, les caressant en les entourant et en les serrant de diverses manières.
Les mains de Michel ont rejoint celles de Charles pendant un moment, mais j’en voulais plus. Pour les encourager, j’ai déplacé mes pieds pour écarter mes jambes, et leurs mains sont descendues plus bas pour caresser mon ventre. Dans mon excitation, je me suis tourné vers Michel pour quémander un baiser, et j’ai failli glisser. Tous les deux m’ont rattrapée, Michel me tenant contre lui et Charles m’étreignant par derrière de sorte que j’ai pu sentir sa queue dressée contre mes fesses. J’ai gémi et je me suis soulevée sur mes orteils pour me frotter contre eux avant qu’ils m’aient remise contre le mur. Leurs mains ont massé mes cuisses et mon ventre, me taquinant encore plus, mais finalement j’ai senti une main entre mes jambes et contre mon vagin. J’ai regardé pour voir à qui était la main et c’était celle de Charles. Il s’était agenouillé devant moi, et examinait attentivement mon vagin en ouvrant mes lèvres de sorte qu’il a pu glisser un doigt sur mon clitoris.
Ils étaient tous les deux de chaque côté de moi et leurs mains ont caressé tour à tour mes petits seins, mon vagin, mes fesses, et jusqu’à mon anus, et les sensations qu’ils me procuraient étaient merveilleuses. Chaque fois qu’un ou plusieurs doigts me pénétraient, je me soulevais pour frotter mon clitoris contre la main qui me caressait et j’ai bientôt été complètement envahie par l’extase du moment. J’ai saisi un pénis dans chaque main comme si je voulais me soulever sur des barres parallèles pendant qu’ils me soulevaient à leur tour par mon vagin. En quelques instants, une rougeur familière a couvert mes seins et une énorme jouissance a éclaté dans mon corps tout entier, me faisant presque perdre connaissance. Quand j’ai ouvert les yeux, les trois autres me souriaient, et Geneviève a dit :
Je me sentais embarrassée et je m’inquiétais de la réaction de Michel devant mon orgasme, mais Geneviève a fait un pas en avant et a commencé à le branler.
Elle a continué à le frotter en massant ses testicules pendant qu’il tendait sa queue vers elle, et il a rapidement giclé de longs jets de sperme sur le ventre de sa partenaire. Charles, admiratif, a dit :
J’ai regardé son pénis toujours aussi érigé, et j’ai répondu :
Charles et Geneviève nous ont nettoyés de nouveau, Charles prenant soin particulièrement tendrement de mon vagin. Comme Geneviève rinçait le pénis de Michel, elle a remarqué qu’il n’était toujours pas complètement ramolli, et elle a dit :
Elle avait raison. Nous sommes tous sortis de la douche et Geneviève et moi avons séché nos maris. Ils en ont fait de même pour nous, et nous nous sommes souhaités une bonne nuit. Arrivés à la maison, nous nous sommes couchés rapidement, mais comme le sexe de Michel n’était toujours pas au repos, nous ne nous sommes pas endormis tout de suite… Pour Michel et moi, les aventures érotiques avec nos voisins et leurs amis ont seulement agrémenté nos propres plaisirs sexuels. Naturellement, c’était une chance que nous ayons continué de façon à peu près identique dans notre envie d’essayer de nouvelles expériences. Si Michel n’avait pas apprécié d’avoir un orgasme dans la main de Geneviève cette nuit-là, mon propre orgasme dû à Charles aurait pu causer des problèmes. Quand nous avons parlé de nos expériences, nous nous sommes toujours concentrés sur ce que nous avions déjà fait, mais nous n’avons presque jamais envisagé quelle nouvelle frontière nous pourrions aimer franchir la prochaine fois. En fait, pour moi, une bonne partie de l’excitation venait du fait que je ne savais pas ce qui arriverait par la suite.
À suivre…