n° 11543 | Fiche technique | 23235 caractères | 23235Temps de lecture estimé : 14 mn | 11/07/07 |
Résumé: Vanessa et Julien se lancent dans une partie de tennis très particulière. Quoi de plus relaxant qu'un petit tour dans la piscine après le match ? | ||||
Critères: fhh couplus piscine sport volupté voir fellation pénétratio sandwich jeu | ||||
Auteur : Ugluk Envoi mini-message |
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Une fois de plus, c’est le soleil qui me réveille. Il faut dire que j’étais tellement fatiguée lorsque je me suis couchée que j’en ai oublié de fermer les volets. Par réflexe, je jette un coup d’œil rapide sur ma montre. Déjà 11 heures 30 !
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Sur la terrasse, je retrouve Julien. Assis dans la balancelle, il semble rêver. Son visage est jovial et un large sourire m’accueille. Torse nu, il profite des rayons du soleil en buvant un jus d’orange. Mes yeux se régalent des épaules larges et des pectoraux bien saillants de mon invité.
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Une petite brise s’est levée. La température est nettement plus fraîche que ces derniers jours. Le fin satin de ma chemise de nuit n’oppose aucun rempart au souffle froid du vent qui caresse mon corps, provoquant frissons et durcissant la pointe de mes seins de manière très impudique. Je me réfugie vite contre Julien, à l’abri de l’auvent de la balancelle. Dans ses bras, je me réchauffe rapidement.
Je suis sous le charme. Je bois ces paroles, même si je sais qu’il me flatte pour me séduire. Blottie contre son buste musclé, je laisse défiler les minutes. Un appel de Marie-Rose me sort de mes flâneries.
Prenant conscience que je ne suis pas habillée, je m’échappe en courant, afin d’aller revêtir une tenue correcte pour le repas.
Pour digérer, nous faisons une petite promenade dans le parc. Isabelle n’a pas pu venir avec nous, car elle souffre d’une terrible migraine. À table, elle n’a presque rien mangé et est aussitôt repartie se recoucher après avoir avalé de l’aspirine. Le vent s’est calmé et il commence à faire de plus en plus chaud, sans toutefois atteindre les records de ces derniers jours.
Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons sur la terre rouge et dure du cours de tennis. Nous échangeons quelques balles pour nous échauffer et également pour que Julien prenne bien en main la raquette que je lui ai prêtée. Les échanges deviennent de plus en plus disputés et Julien me propose alors :
J’accepte l’enjeu en défiant mon adversaire du regard comme si nous allions disputer la finale du tournoi de Roland Garros. Courtois, Julien me laisse servir la première. Je marque facilement les premiers points et malgré quelques balles bien disputées en fin de set, je gagne par 6/3.
Finalement, je lui réclame son tee-shirt. Nous reprenons immédiatement la partie. Julien est au service et chaque fois qu’il lance la balle en l’air pour la frapper, je ne peux m’empêcher d’admirer les muscles de son torse qui se tendent et saillent sous la peau, luisants de sueur. Les abdominaux se contractent lorsque la balle claque dans le filet de la raquette. J’ai du mal à me concentrer, car ce spectacle me fascine. Cette fois, c’est moi qui suis en difficulté et je dois revenir à la marque si je ne veux pas perdre ce set. Je m’accroche. 5/2, 5/3, 5/4, 5/5, 6/5. Julien sent qu’il est en difficulté et met toutes ses forces dans la bataille pour enfin gagner le set en emportant le septième jeu.
Et quel choix ! Comment pourrais-je jouer au tennis sans soutien-gorge ? Ma poitrine a beau être ferme, je ne veux pas lui imposer la violence des secousses d’un match, alors, après un moment d’hésitation, je fais glisser mon slip le long de mes cuisses et je le remets à mon adversaire. Cette fois, je pense que c’est lui qui va avoir du mal à se concentrer. Nous reprenons la partie. Lorsque je sers, les deux bras en l’air, j’ai l’impression que ma jupe remonte jusqu’au niveau de mon intimité. Julien parvient à renvoyer la balle, mais je sens qu’il a du mal à se placer. Je suis certaine qu’il guette les mouvements de ma petite jupe. Je mène 4/1 et je suis certaine que le spectacle que j’ai offert à mon adversaire en me penchant pour ramasser une balle y est pour quelque chose.
Soudain le vent fait à nouveau son apparition, rafraîchissant nos corps couverts de sueur. Un souffle léger passe sous ma jupe et s’infiltre dans mon sillon, balayant ma toison d’une vague de fraîcheur que la sueur rend encore plus vive. Une émotion particulière me submerge. J’ai envie de me caresser, mais je ne le peux pas. Il faut continuer le match. Le vent n’a que faire de la partie de tennis et il continue à me harceler, courant sur la peau sensible de mes fesses et passant toujours plus haut à la jointure de mes cuisses. Je me surprends même à écarter légèrement les jambes pour mieux faciliter l’intrusion de celui qui est en train de me faire perdre mon match. Qu’à cela ne tienne, je suis de plus en plus soumise aux caprices espiègles de ce souffle frais et bienfaisant. La vue du torse nu de mon adversaire ne risque pas d’apaiser mon trouble, bien au contraire. Tout semble s’allier contre moi et la victoire va m’échapper. Je parviens à lutter quand même et revenir à la marque.
Il faut dire que j’ai dû user de plusieurs ramassages de balles très osés pour en arriver là. J’en ai même ramassé une en m’accroupissant, les pans de ma jupe se sont alors relevés très haut sur mes cuisses largement écartées. J’ai senti mes petites lèvres s’écarter et laisser le vent entrer jusqu’à l’orée de mon vagin. La sensation a été délicieuse et une crampe de plaisir m’a annoncé qu’un flot de cyprine allait bientôt couler le long de mes cuisses en se mêlant à la sueur qui y perle déjà. Nous arrivons au tie-break. L’affrontement est de plus en plus serré. Je suis épuisée. Le vent ne parvient plus à me rafraîchir. Il ne fait qu’irradier mon sexe en quête de la moindre volupté. Tout mon ventre s’affole. Ma concentration vacille. Finalement, je craque et Julien explose de joie en criant sa victoire. Il court vers moi, saute par-dessus le filet et me soulève dans ses bras en m’embrassant goulûment.
Il tente à nouveau de m’enlacer, mais je m’échappe en courant. Il se lance aussitôt à ma poursuite. Je slalome entre les parterres de fleurs et les haies. Ma connaissance parfaite du terrain me donne un léger avantage qui se réduit en peau de chagrin dès que j’arrive près de la piscine. Comme un fauve, Julien m’attrape à la taille et me jette dans l’eau. La différence thermique entre mon corps surchauffé et l’élément liquide froid est saisissant. En une fraction de seconde, je décide de jouer un petit tour à mon agresseur. Je me laisse couler et me maintiens en apnée au fond de la piscine. Les secondes me paraissent interminables. Enfin ! Un claquement sec venu de la surface m’annonce que mon sauveur est en route. Craignant que j’aie pu être victime d’un malaise, Julien vient de plonger tout habiller pour me secourir. Je remonte juste avant qu’il ne m’attrape et c’est en claquant mes mains sur l’eau pour l’éclabousser que je l’accueille lorsqu’il refait surface.
Furieux de s’être fait prendre à cette supercherie, il essaye de m’attraper. Je suis visiblement meilleure nageuse que lui, car, malgré ses efforts, je lui échappe sans problème. L’eau glisse sur mes vêtements et me rappelle ma nudité intime en s’infiltrant avec une extrême facilité sur ma toison et jusque dans ma fente. C’est un véritable délice de sentir la fraîcheur liquide caresser mes lèvres gonflées et surchauffées par l’excitation. D’un côté, c’est apaisant, mais en fin de compte, je crois que cela ne fait que nourrir l’émotion qui me tourmente plus profond dans le bas-ventre. J’ai pris une confortable avance sur mon adversaire et j’en profite pour changer de position. Je nage maintenant sur le dos et en faisant d’amples mouvements. J’écarte largement les jambes pour faciliter le passage de l’eau et lui laisser toute liberté pour visiter mon intimité conquise par ce plaisir si subtil. Julien profite de ce moment d’égarement pour me rejoindre. Il m’enlace et nous coulons tandis que nos bouches s’unissent dans un baiser qui se prolonge jusqu’au fond de la piscine. Au bord de l’asphyxie, nous remontons et nous nous accrochons au bord pour reprendre notre souffle. Après quelques instants, je lui lance :
Nous traversons le bassin et je lui indique deux trous dans la faïence. Nous nous plaçons chacun devant l’un d’eux, cependant à ma grande surprise, rien ne sort des deux orifices.
Prestement, nous sortons de la piscine. Nous enfilons une sortie de bain par-dessus nos vêtements trempés. En passant devant la fenêtre de la cuisine, j’indique à Marie-Rose que nous avons découvert le non-fonctionnement de la filtration. Je ne m’attarde pas, car je crains qu’elle ne découvre que nous nous sommes mis à l’eau tout habillés.
Rapidement, j’entraîne Julien jusqu’à la dépendance où est installé le jacuzzi. La pièce est très richement décorée et de nombreuses plantes exotiques lui procurent un charme tout à fait exceptionnel que les sifflements des oiseaux de la volière attenante viennent encore accentuer.
Sans perdre un instant, j’appuie sur l’interrupteur général. Instantanément, le petit bassin central, en forme de grosse coquille, commence à se remplir. Julien vient m’ôter mon peignoir. Mon tee-shirt, mon soutien-gorge et ma jupe le rejoignent rapidement sur le sol. Il se met maintenant à genoux devant moi, embrasse ma toison au passage et retire mes tennis puis mes chaussettes. Je prends plaisir à me faire déshabiller ainsi. Julien se relève et ses mains remontent sur mes jambes, frôlent mon sexe, caressent mon ventre, mes seins, mon cou… Le bout des doigts effleure mes lèvres. J’entrouvre la bouche et pointe la langue pour tenter un contact, mais le garçon se dérobe alors, à mon tour je m’attaque à ses vêtements. Je baisse lentement son short que je laisse sur ses pieds. Je roule ensuite le slip le long des cuisses musclées m’attardant à palper la peau ferme et douce malgré une pilosité qui ne laisse aucun doute sur sa virilité. J’évite volontairement tout contact avec le sexe outrageusement tendu qui semble me provoquer avec insistance. Julien est très excité et à peine ai-je terminé de le mettre à nu qu’il m’enlace avec ferveur, appuyant sa verge dure comme du bois contre mon ventre.
Je me dégage et verse quelques gouttes d’huile essentielle, délicatement parfumées, dans l’eau du bain. Le système d’aération se met en marche, indiquant que le bain est prêt. Je me glisse la première dans l’eau bouillonnante. Julien s’installe à son tour, juste en face de moi. C’est la première fois que je m’y plonge entièrement nue. Les bulles agissent sur mon corps comme des centaines de doigts lancés dans un ballet de massage d’une douceur extrême. Aucune partie de ma peau n’est épargnée, ni même mon intimité que les bulles fouillent avec une totale indécence. La sensation est si agréable que j’éprouve le besoin d’écarter les cuisses pour permettre aux bulles bienfaitrices d’atteindre l’orée de ma vulve et de se promener contre mes petites lèvres pour frictionner mon clitoris que je devine saillant de son petit capuchon, car le bien-être se transforme très rapidement en plaisir.
Julien non plus ne doit pas rester insensible aux massages de ce bain bouillonnant, car mon pied touche un membre bien vigoureux. Julien glisse jusqu’à moi. Il devine le plaisir qui me submerge. Ses mains se joignent aux bulles pour m’infliger un massage extrêmement agréable. Mon amant devient rapidement très entreprenant. Son corps entre en contact avec le mien. Sans brutalité, mais avec détermination, il me retourne. Je me retrouve à quatre pattes dans l’eau. Mon ventre est offert en pâture aux bulles. Mes seins se raffermissent, les pointes s’érigent, deviennent très réceptives. Julien dégage soudain une telle puissance virile qu’il me vient une image étonnante dans la tête. Me voilà en train d’évoquer les bains que prenaient les Romains et qui donnaient lieu à de fantastiques orgies. D’un coup, je me retrouve l’esclave à qui le maître a ordonné de venir le rejoindre. Je dois me soumettre à ses exigences et le laisser m’infliger l’indécence de cette position bestiale.
Impassible, j’attends l’inévitable accouplement. Il tente de s’immiscer entre mes jambes. Je tente une petite résistance, mais l’homme montre sa force et m’ouvre comme un fruit mûr. Il me pousse afin que je puisse poser ma tête sur le bord du bassin. La céramique est froide, dure. Les bulles parfumées continuent à couvrir mon corps de caresses qui me font imaginer que d’autres hommes profitent de ma soumission d’esclave pour toucher ma peau. Je sens le gland de mon maître qui se positionne à l’entrée de ma vulve. Je suis serrée, réflexe naturel qui évite à l’eau de s’engouffrer en moi, alors le gland devient fort comme le bélier à l’assaut de la porte d’une forteresse. Il balaye tout obstacle pour s’enfoncer au plus profond de mes chairs sensibles. Il les dilate sur son passage et va heurter le fond de ma matrice. Je ne peux retenir un cri de plaisir, symbole de mon asservissement. Mon initiateur possédait déjà mon corps, voilà qu’il vient de conquérir mon âme. Le pieu de chair s’agite progressivement en moi et je suis totalement soumise à son rythme. Il se joue de changements d’allure qui m’amènent au bord de l’orgasme. Je mords mon poignet pour tenter de retarder ma jouissance, mais la douleur ne fait qu’accentuer mon plaisir.
Heureusement, Julien domine parfaitement le coït et parvient à m’éviter de basculer trop vite. Il fait durer et c’est extraordinaire. Il contre même mes offensives lorsque je cède à la tentation et que j’envoie mon bassin en arrière pour forcer le rythme. Je suis en transe. Soudain, j’entends du bruit vers la porte. Mon cerveau a du mal à réaliser ce qui se passe.
Je parviens à reconnaître la voix désolée de Yoanne. Je suis prise de panique et je tente de me dégager. Julien fait preuve d’une force colossale. Il se plaque contre moi et me maintient fermement, m’interdisant tout mouvement, puis il s’adresse à Yoanne :
Julien me susurre à l’oreille :
J’aperçois la silhouette du jeune homme. Il hésite à se rendre jusqu’à l’armoire électrique. Il est visiblement très intimidé par la scène torride qui se déroule sous ses yeux. J’ai l’impression que Julien redouble de vigueur à chaque fois que Yoanne lance un regard dans notre direction. Je suis décontenancée par cette situation. Je suis offerte au regard du jeune homme dans la position la plus indécente qui soit.
Je n’ai pas le temps de protester. Julien m’assène de violents coups de boutoir. Son ventre claque contre mes fesses et mon souffle est coupé et j’ai tout le mal du monde à retenir les cris de plaisir qui trahiraient mon émoi. Ma volonté s’oppose à ce stupre alors que mon corps, avide de sensations exclusives, y consent. Finalement, je décide de me contenter de jouer mon rôle d’esclave. Je ne veux pas avoir à réfléchir sur la morale de cette situation. En fait, je ne fais que laisser mon maître me soumettre à ce qui est depuis longtemps, il faut bien l’admettre, un fantasme inavouable. Je ferme les yeux, comme si de cette manière je pouvais exclure toute responsabilité dans ce qui va se passer.
Lorsque je les ouvre enfin, Yoanne est déjà juste devant moi. J’ai l’impression qu’il ne se pose pas trop de questions et qu’il est bien décidé à ne pas laisser passer une pareille occasion. Il s’agenouille et ses mains plongent dans l’eau à la recherche de mes seins. Les doigts se joignent habilement aux bulles pour continuer le délicat massage. Mes yeux se fixent alors dans les siens, tout comme hier soir aux autos tamponneuses, et mon excitation atteint à nouveau les sommets. Julien, conscient que le rythme qu’il avait adopté était trop violent pour se prolonger suffisamment, est revenu à la raison. Il a également relâché sa prise sur moi, car il a parfaitement senti que je ne tenterai pas de me défiler. Il sait que je suis soumise au plaisir que les deux garçons vont m’offrir. Yoanne a dégagé son sexe de son pantalon. Il promène son gland doux et rose contre mon visage. Il caresse ainsi mes joues, mon menton et heurte mon nez et appuie contre mes lèvres pour m’inciter à plus d’initiatives. Je desserre progressivement les dents pour laisser le pénis entrer. Je suis immédiatement submergé par une sensation d’extrême lubricité, qui agit directement sur l’ensemble de mes zones érogènes en les propulsant au summum de l’excitation. Cette colonne de chair palpitante, que j’ai vu entrer dans la vulve de mon amie, se frotte maintenant contre ma langue et bute contre mon palais. Je la goûte à la manière d’une délicieuse friandise, rendue encore plus délicieuse par l’interdit que je surpasse. J’ai presque envie de mordre, mais, heureusement je me raisonne, ce qui n’est pas forcément évident, car Julien s’active dans mon ventre et je suis à deux doigts de perdre la raison. Ma tête bourdonne. Mes mains caressent la peau douce et velue des testicules de Yoanne. Son gland s’enfonce parfois jusqu’au début de ma gorge.
Lorsque les deux sexes prennent un rythme identique, j’ai l’impression qu’ils ne font plus qu’un, tout comme ma bouche et mon sexe. Je détiens alors l’étrange pouvoir d’utiliser mes sens buccaux pour compléter ceux plus tactiles de mon vagin. De plus, aucune de mes zones érogènes n’est en reste, car les mains complètent habilement les bulles parfumées de l’eau. Je suis complètement livrée à l’orgasme qui commence à naître. C’est comme si mes nerfs formaient une grosse boule, tellement serrée qu’elle régit tout mon organisme, au bord d’un séisme d’une telle ampleur que l’échelle de Richter ne pourrait même pas le mesurer. Les deux garçons s’activent avec frénésie. Mon Dieu ! Je n’en peux plus ! ! ! Je suis secouée par la première contraction de jouissance lorsqu’une puissante giclée s’écrase contre mon palais. Je suis obligée de sortir le pénis de ma bouche pour respirer à pleins poumons et libérer mes cris de plaisir. Je ne l’abandonne pas pour autant et mes mains prennent le relais de ma langue autour de la hampe qui se déverse maintenant sur mon visage. Pendant ce temps, Julien lui aussi est pris de convulsions. Il inonde mon intimité qui enserre sa colonne de chair pour profiter en totalité de chacun des gonflements qui accompagne les jets de sperme. Je ne peux même pas compter le nombre de contractions de jouissance qui me secouent. J’ai l’impression de mourir. Mourir d’un plaisir fou, total et dévastateur. Mon corps explose…
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Abasourdis, nous mettons quelques minutes avant de reprendre nos esprits. Yoanne s’éloigne en rajustant sa tenue tandis que Julien s’allonge à la renverse dans l’eau pour récupérer des forces. Quant à moi, je m’immerge complètement, comme si je voulais me laver de ce délicieux pêché que je viens de commettre. D’ailleurs tout cela semble si irréel que j’ai du mal à y croire. Vais-je me réveiller ? Non ! le goût épicé du sperme de Yoanne est tenace. Il subsiste de longues minutes dans ma bouche, me rappelant ainsi que ce n’est pas un rêve que je viens de vivre, mais, bel et bien la réalité, pure, dure et si délicieusement honteuse.