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Temps de lecture estimé : 28 mn
03/09/07
Résumé:  Anne et ses deux filles, Dominique et Gwendoline, sont amoureuses de Bernard, ils vivent l'amour à quatre. Le mari d'Anne organise par sa secrétaire un guet-apens qui échoue. Bernard réussit à retourner la secrétaire et sa demi-soeur.
Critères:  fh ffh amour photofilm fellation cunnilingu anulingus 69 fgode pénétratio fdanus fsodo -couplea3 -hff
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : 1976 : un été chaud

Chapitre 07
6 juillet - 13 juillet


Mardi 6 juillet - vendredi 9 juillet. Un peu de calme.



Le début de semaine est très calme après l’effervescence de la semaine précédente. Cela nous permet à Dominique et moi de reprendre un peu nos activités sportives et le mercredi soir je vais impromptu dîner, seul, chez Maman. Elle m’invite la semaine suivante avec Anne et les filles à venir dîner un soir. Il ne se passe donc rien de marquant, sauf pour Gwendoline qui connaît quelques problèmes d’indisposition liés à sa grossesse à laquelle s’ajoute probablement le stress de l’attente de ses résultats universitaires. À mon avis elle doit déjà en avoir bon nombre, mais je respecte la consigne et n’en parle pas. Pour rester dans ce domaine studieux, Dominique quant à elle laisse tomber le droit pour préparer le concours de… vétérinaire. Ce changement de cap à 180° me laisse pantois, d’autant qu’elle n’a pas choisi un cursus aisé. Pour elle qui n’avait pas l’air mariée avec les études, je suis dubitatif, mais je garde mes réflexions pour moi. Peut-être simplement le droit vers lequel son père l’avait poussée, ne l’inspirait pas et que maintenant elle va être motivée.

Une décision est prise. Nous irons tous rendre visite à M. Saint Lescure à son bureau lundi prochain, s’il est là bien sur, mais sans l’avertir à l’avance, et advienne que pourra. Je lance également un autre sujet de discussion, celui du logement. En effet mon appartement s’il encore correct pour notre ménage à trois, sera trop juste avec des enfants, il va falloir viser plus grand, d’autant que Dominique a fermement l’intention de suivre la voie ouverte par sa mère et sa sœur. Mais nous attendrons un peu pour mettre un autre bébé en route, afin que son accouchement ne soit pas trop proche de ceux d’Anne et Dominique. D’ailleurs avec des enfants, surtout quand ils grandiront, notre petit arrangement ne sera pas évident. Un papa, des mamans, ça va être atypique, tout au moins pour des français. Inch’allah comme diraient ceux qui pour qui cette situation est plus naturelle. Cela me fait penser en parlant de religion que je ne suis pas près de pouvoir communier.

L’agenda de fin de semaine s’annonce lui un peu plus chargé. Pour samedi soir, Gaëlle, dûment prévenue par Gwendoline de la disposition des photos prises lors de sa visite, nous invite à dîner chez ses parents en prenant soin de préciser que ceux-ci seraient absents. J’ai l’impression que ça ne va pas être triste. Quant au dimanche midi c’est Véronique qui nous invite pour une pendaison de crémaillère.


Le jeudi soir nous faisons un gros câlin Dominique et moi, quand brusquement elle me demande :



J’en reste un peu ébahi. Il y a de l’émulation entre ces dames.



Ça la tente, elle me demande même de faire prendre l’air à mes appareils photos. Je lui sers le petit discours de conseils auquel Gwendoline avait déjà eu droit. Avec le même résultat, un petit séjour de la demoiselle à la salle de bain. À son retour je l’allonge sur le lit. Je m’agenouille devant elle, prend ses jambes sur mes épaules et lui prodigue un cunnilingus endiablé, œuvrant des lèvres, de la langue et même un peu des dents. De temps à autre ma langue s’égare sur sa rosette. Celle-ci devient l’objet d’une attention plus soutenue. Si ce n’est ma langue, c’est mon doigt qui s’en occupe. Dominique ondule de la croupe Le terrain est maintenant bien souple. Nous allons pouvoir passer à la phase deux. Elle se met à quatre pattes. Un peu d’huile d’amande douce. Il faudra que je songe à en renouveler le stock, on en fait une grosse consommation ces derniers temps. Je pointe ma virilité vers son cul et pousse doucement. Cela rentre difficilement. Ça y est le gland est disparu. Je me rends compte que ma chérie est entrain de mordre les draps. Je suggère d’arrêter là pour aujourd’hui, mais d’une voix hachée, elle m’adjure de continuer. Bien qu’elle y mette toute sa bonne volonté, la pénétration est malaisée. Son cul m’accueille enfin dans mon entier. Je lui annonce la nouvelle avant de me retirer délicatement. Elle n’insiste pas pour poursuivre. Je l’embrasse. Elle a les larmes aux yeux. Cette inauguration lui a été beaucoup plus pénible qu’à sa sœur. Elle m’explique que ça la brûlait, mais que maintenant cela va mieux. Malgré ces débuts plus que délicats, elle ne renonce pas et parle déjà des prochaines fois et, elle aussi, de l’utilisation d’un gode pour s’habituer à la sodomie. Je la câline encore un peu, avant de la laisser s’allonger et d’aller me nettoyer.

À mon retour, avant que je range mon matériel photo, elle s’empare de l’instrument, qui vient pourtant de la faire souffrir, mais encore plutôt à son avantage, pour le porter à ses lèvres en murmurant que le pauvre avait été frustré. Elle s’applique à le rasséréner. Ses lèvres, courent le long de la hampe, embrassent les bourses, gobent le gland et même plus. Cela me fait penser au film de Gérard Damiano, « Gorge profonde » avec Linda Lovelace, sorti il y a environ quatre ans et dont il avait été beaucoup question. Ma chérie ne m’avale pas entièrement, cependant elle fait montre en la circonstance d’une capacité d’absorption qu’elle ne m’avait pas dévoilée jusque là. Sa langue aussi est de la partie. Quand elle sent que j’arrive à bout de résistance, elle serre vigoureusement la base de ma verge. Après une pause, elle repart de plus belle, menant cette fois-ci l’action jusqu’à ton terme. Elle s’éloigne un peu pour recevoir dans sa bouche et sur ses lèvres les jets blanchâtres de ma semence, ce qui me donne l’occasion de quelques photos en plus de celles de l’inauguration de son petit trou et de ses performances buccales, qui devraient être intéressantes. Je porterais les bobines de ces derniers jours dès demain chez le photographe. Le lendemain justement, en allant travailler, nous avons eu une grosse frayeur. Tandis que nous attendions le métro un quidam s’est emmêlé les crayons et m’a bousculé comme la rame arrivait. Heureusement, avec l’aide de Dominique je n’ai pas perdu l’équilibre, car il est peu recommandé d’essayer de prendre un métro qui est portes fermées et qui roule.




Samedi 10 juillet midi. Un déjeuner expédié.



Nous venons de fermer la porte sur le dernier lecteur avant la pause déjeuner. Comme je suis dans la cuisine pour boire un verre d’eau, Dominique me surprend lâchement par derrière. Elle me prend par la taille et se serre contre moi. Je sens ses seins contre mon dos. Elle m’embrasse dans le cou. Quand elle relâche un peu son étreinte, je me retourne et nos bouches se retrouvent pour un long baiser. Elle me murmure à l’oreille :



Je ne dis rien et attends la suite. Elle se recule un peu :



Elle retrousse sa jupe pour me faire constater de visu la véracité de ses dires. Et dire que de la matinée je n’avais rien remarqué. Elle enchaîne :



Je la vois venir avec ses gros sabots, en conséquence de quoi je la laisse venir. Après avoir vainement attendu une intervention de ma part, elle se décide à reprendre :



Elle farfouille dans son sac et en sort quelques bouts de tissu, quelques décimètres de chaînette, un petit cadenas et deux godes. Elle me tend le tout en me regardant d’un air innocent. Je m’en saisis en commentant mezzo voce :



Elle ne met quelques instants avant de pouffer. Elle a très bien pigé l’art de décaler les sons, d’autant qu’elle me répond, en ouvrant mon pantalon pour en faire sortir mon sexe :



Elle le gratifie de quelques gâteries, avant de se retourner et de s’appuyer sur la table. Je la déshabille et passe lentement ma main entre ses cuisses. Sa chatte suinte déjà abondamment. Devant d’aussi bonnes dispositions, je ne m’embarrasse pas d’autres préliminaires, je la pénètre d’un seul coup. Elle ne s’y attendait pas et a un léger sursaut, avant de se cambrer un plus encore et d’ouvrir le compas de se jambes. Je la saisis par la taille, la baise. Son rythme s’accorde au mien, elle vient au-devant des coups qui la transpercent, même ses halètements sont synchro. Le mouvement de ses fesses, l’ondulation de son bassin, le piston qui entre, sort et fouille son intimité me fascine. Son con ruisselle inondant ses cuisses et mes bourses. Sa croupe s’agite maintenant de mouvements désordonnés, brusquement elle se raidit, ravalant un cri qui se transforme en un long gémissement rauque. Je continue à la ramoner, je sens que cela vient, je me retire et arrose entre ses fesses.

Je l’empêche de se redresser, utilisant ce que je viens d’y répandre, je lui caresse la pastille, y aventurant un doigt. Je ne perçois pas de réactions négatives, j’insiste longuement, avant de m’emparer du plus petit des godes posé sur la table. Je complète le lubrifiant naturel d’un peu d’artificiel dont elle a pris la précaution de se munir. J’ajuste l’objet et l’enfonce lentement. Ma chérie à un petit mouvement, mais elle me demande de continuer. Elle retire ses bras sur lesquels reposait sa tête. Sa poitrine s’écrase sur la table. Elle prend ses fesses à deux mains pour les écarter et dégager encore mieux le petit trou habituellement dissimulé. Quand tout a disparu, je demande à nouveau comment ça va. Elle me répond que ça chauffe, mais rien de comparable avec la première fois. Elle en est ravie. Je ne veux pas doucher son bel optimisme en lui faisant remarquer que ma queue, sans me vanter, est d’un calibre supérieur à ce que je viens de lui planter dans le cul. Mais c’est tout même bon signe. Elle me demande de le bouger. Je le fais tourner, entrer, sortir. Bien qu’elle continue à tendre les fesses en les maintenant écartées, il m’apparaît que cela ne lui est pas des plus agréables. Malgré tout, quand je lui suggère d’arrêter pour aujourd’hui et de poursuivre un autre jour, elle refuse. J’enfonce donc le gode bien au fond, je m’empare du second et l’enfile dans son orifice encore libre. Là pas de difficultés. Je nettoie les lieux avant de poser les chaînettes et leur parure de tissu. Nous nous habillons pour sortir déjeuner hâtivement.




Samedi 10 juillet soir. Un dîner désiré.



Avant de nous rendre chez Gaëlle, nous passons chez le photographe, récupérer les photos déposées la veille, puis je vais acheter quelques fleurs. Quand nous arrivons chez la copine, Gwendoline est déjà là. Gaëlle me saute au cou comme une vieille médaille ou plutôt comme une jeune médaille, m’embrasse et demande, illico, à voir ses photos. Je les étale sur la table, d’abord celles prises dans la salle de bain, puis celles prises dans la chambre. Laissant mon bouquet en plan, elles se penchent dessus. Ça glousse beaucoup du côté de ces demoiselles. Les commentaires sur leur prestation vont bon train. Il faut reconnaître que les clichés sont fort émoustillants. Les chutes de reins sont somptueuses et les chattes où des mains, autres que celles de leur propriétaire s’égarent, ne le sont pas moins. À propos de mains qui s’égarent, une des miennes va se perdre sous la jupe de Gwendoline. Je ne suis pas le seul à être émoustillé par ce qui est exposé sur papier glacé. Quand j’atteins ma chérie dans ses œuvres vives, l’endroit est bien humide. À la manière dont elle avait écarté les cuisses et s’était cambrée en sentant mon intrusion, je m’en doutais un peu. Mais rapidement, à ma surprise, ma chérie se dégage, passe de l’autre côté de la table et finit par sortir de la pièce. Elle revient deux minutes plus tard et reprend sa place en me bousculant légèrement. Quelques instants plus tard, elle récidive d’un coup de postérieur. Si tout à l’heure je lui ai mis la main aux fesses, maintenant c’est elle qui me met les fesses à la main. Je ne résiste pas plus qu’elle n’avait résisté. Je comprends immédiatement le pourquoi de sa sortie. Plus aucun obstacle ne s’interpose entre mes doigts et sa chatte, son slip est passé à la trappe. Elle s’appuie sur la table, les jambes bien écartées et les reins cambrés. Ma main s’active, je la sens frémir. Elle qui jusque là se montrait plutôt disserte, ne dit plus rien. Elle lâche un soupir couvert par les rires de Gaëlle et Dominique, qui ne se rendent compte de rien. Elle chancelle un peu et s’appuie plus lourdement sur la table. Elle prend une grande inspiration, se tourne vers moi, m’adresse un magnifique sourire avant de m’envoyer un baiser du bout des lèvres et de reprendre sa place dans les commentaires des photos. Je m’éclipse à mon tour quelques instants pour aller me laver les mains qui en ont bien besoin, surtout l’une d’entre elle.

Après s’être longuement intéressées à leurs exploits, immortalisés sur papier glacé, je pensais que les trois amies, penseraient à mon petit estomac qui commence à crier famine, le repas de midi avait été rapide et léger. C’était sans compter sans Gwendoline. Cette dernière s’est rappelée que nous devions passer prendre des photos en venant et elle demande à les voir. À dire vrai, je l’avais subodoré, étant donné qu’à première vue mes deux chéries n’ont pas l’air d’avoir de secrets pour leur amie. Aussi avais-je eu la prudence de mettre de côté les photos concernant leur mère pendant le trajet. C’est malgré tout à regret que je les sors pour les exposer à l’assistance en commençant par celle avec Gwendoline. Dés que son regard tombe dessus Gaëlle pousse un « Oh » avant d’enchaîner :



Elle parle et pose des questions en rafale sans même attendre les réponses, tant ce qu’elle découvre la surprend et l’excite. Profitant d’un moment où elle reprend son souffle, Gwendoline lance :



Gaëlle en reste un moment stupéfiée avant d’enchaîner :



Sentant venir la gaffe où elle va dire que c’est voyant les photos où j’enculais sa mère que l’idée lui était venue, je lui donne un discret coup de pied dans les chevilles, ce qui lui coupe la chique et poursuis à sa place :



L’œil de Gaëlle tombe sur les photos de Dominique, subissant le même traitement :



Dominique enchaîne :



Répondant aux interrogations de leur rousse amie, mes deux chéries expliquent qu’au début ce n’est pas très agréable. Dominique précise que c’était plutôt douloureux. Mais elles pensent qu’il ne faut pas s’arrêter à une inauguration difficile. Avant de condamner, il faut procéder à d’autres essais, en s’efforçant de préparer au mieux le terrain. Bien sur Gaëlle demande ce qu’elles entendent par préparer le terrain et Gwendoline d’expliquer l’utilisation des godes. L’amie s’étonne de la manière dont on peut les faire tenir en place et ma blonde chérie de décrire la « culotte Bernard » .

Comme je le sentais venir depuis un moment, après que Gaëlle ait posé des questions sur l’objet, Dominique retrousse sa jupe et lui montre à quoi cela ressemble in situ. Gaëlle se montre si captivée par la chose qu’in fine la jupe se retrouve sur un dossier de chaise et que les mains de l’amie l’inspectent en détail, éprouvant les chaînettes, jaugeant les tissus, manœuvrant les deux godes. La visite se prolongeant Dominique a le souffle qui devient court, ce que voyant l’autre insiste et me demande, soit disant pour mieux voir la fabrication, de l’ouvrir. Amusé j’obtempère. Bien sur, elle ignore les chaînettes qui tombent à terre avec un léger bruit métallique, et continue de manipuler les instruments qui occupent les trous de ma chérie. Ainsi travaillée, Dominique ne reste pas de marbre. Sa respiration devient saccadée, elle s’agrippe à mon bras. Heureusement d’ailleurs, car ses jambes fléchissent, comme elle lâche un soupir révélateur. Comme Gaëlle a touillé sa chatte et son cul avec le même allant, je me dis que du côté de ce dernier, c’est plutôt bon signe. Satisfaite du résultat obtenu l’amie se redresse et me fait un clin d’œil en disant :



J’ai l’inconscience de répondre que ce n’est pas impossible et me voilà pressé de questions. Après avoir tenté de garder le silence, je finis par capituler, me rendant compte que tant que je me tairais j’avais peu de chance de voir arriver le dîner. J’explique donc que j’ai pensé à une petite coquille qui se placerait au-dessus de leur petit bouton et un petit ressort maintiendrait appuyé sur celui-ci une bille dont les vibrations à chaque mouvement devraient avoir des effets à étudier. Ces demoiselles se déclarent prêtes à se dévouer pour jouer les cobayes et m’incite vivement à passer à la phase prototype. Enfin, après de rapides commentaires sur les prouesses buccales de Dominique, nous passons enfin à table. Le reste de la soirée se passe plus calmement, même si les conversations ont parfois un côté un peu surréaliste à proscrire formellement aux oreilles chastes. L’heure est déjà bien avancée quand nous retournons vers nos pénates.

En rentrant dans la maison, devant la porte de l’immeuble, un pot de fleur s’écrase sur le trottoir. À 20 cm près c’était sur ma tête qu’il s’écrasait. Ces demoiselles sont en émoi. Je les rassure, je n’ai pas une égratignure. Je me garde de faire des commentaires mais, n’en pense pas moins. Après l’aventure du Bois de Vincennes et l’incident du métro, sans être parano, c’est le genre de coïncidences qui me laisse songeur. Je vais téléphoner à mon parrain et lui exposer mes doutes, pour ce genre de choses, il devrait m’être de bon conseil. À la maison Sekhmet n’est pas derrière la porte piaffant d’impatience, miaulements de reproche à la gueule, Gwendoline ayant eu la sagesse de lui donner à manger avant de partir chez Gaëlle.




Dimanche 11 juillet midi. Fête d’installation.



Après une bonne nuit de sommeil je me réveille en pleine forme. Dominique dort encore et sur le canapé Gwendoline aussi. J’en profite pour sortir téléphoner à mon parrain, un ancien collègue de papa. Il est 10 h00, c’est une heure raisonnable. C’est sa femme qui décroche. Elle m’explique qu’il n’est pas là, mais encore à son bureau. Que si je lui téléphone j’en profite pour lui rappeler qu’ils sont invités à déjeuner. Je promets. Je sais pourtant que j’ai davantage de chance de trouver parrain au bureau que chez lui, mais je pensais qu’un dimanche matin… Je compose le numéro du bureau.



Après quelques clics et autant de bourdonnements :



Nous parlons quelques minutes des changements survenus dans ma vie, de Dominique et Gwendoline. Quand j’en viens aux doutes qui m’assaillent. Il me dit que je dois me faire des idées, mais qu’il va quand même voir et il me donnera des nouvelles. Pourtant j’ai l’impression que le nom de mon beau-père l’a troublé. Après quoi il me demande quand je compte lui présenter mes dulcinées. Sachant que son emploi du temps est du genre chargé, je lui demande quand il a une chance d’être disponible. Cela se résume à … demain soir. Rendez-vous est donc pris pour dîner chez lui.

En rentrant à la maison, après être passé chez le boulanger prendre quelques croissants, je trouve mes deux chéries levées. Nous prenons notre petit déjeuner. Je leur annonce l’invitation de mon parrain pour le lendemain soir. En réponse à leurs questions, je leur explique qu’il a servi avec mon père en Italie durant la seconde guerre mondiale, puis en Indochine et en Algérie, jusqu’à ce que Papa quitte l’armée pour se lancer dans les affaires. Il est marié et a six enfants : Patrick l’aîné fête ses 30 ans cette année, Alain, 27 ans, Mathilde 25 ans, Delphine, 23 ans, Nathalie 21 ans et la cadette Ophélie 15 ans. Nous vaquons à quelques tâches ménagères, avant de nous rendre à la paroisse pour l’office dominical. Nous ne voyons pas mon ami le père Bernier, ce n’est pas lui qui célèbre ce matin. En sortant, nous passons chez le fleuriste avant de nous rendre à la pendaison de crémaillère de Véronique.

Le passage par la case église fait que nous arrivons bons derniers. À notre entrée, Véronique se précipite vers nous et me saute au cou, avant de saluer, mais avec moins d’enthousiasme mes deux chéries. Dire qu’elle est enchantée de son nouveau travail et de son emménagement serait en dessous de la vérité. Elle me présente son frère Charles et sa petite amie Louise, deux de ses copines : Nathalie, accompagnée de son coquin Laurent et Suzanne. Je connais le reste de l’assemblée, mes trois copains et leurs compagnes, Carole, Anne et six employés de la boutique venus pour trois d’entre eux avec leur conjoint. Ça fait pas mal de monde et pas mal de bruit, d’autant qu’une sono est branchée pour que l’on puisse danser.


Anne nous entraîne ses filles et moi dans endroit plus calme pour pouvoir nous parler. Elle nous apprend que son mari est de nouveau parti depuis la veille pour le Proche Orient et que ce n’est pas encore tout de suite que les filles et moi pourrons avoir un entretien avec lui. Mais le plus important n’est pas là. Avant son départ, Anne et lui ont eu une discussion. Elle n’était pas au courant de son décollage quand elle l’avait lancée. Elle lui a annoncé qu’elle était enceinte. Si la discussion fut relativement brève, elle n’en fut pas moins violente. Bien que n’étant pas lui-même un modèle de fidélité, Pierre Saint Lescure ne concevait pas que sa femme l’imite. Il s’était emporté, avait parlé répudiation (sic). Seuls les arguments calmement énoncés par Anne (les quatre enfants qu’il avait eu avec ses secrétaires et surtout les actions qu’elle détient en propre de sa chère société), avait amené son mari à mettre de l’eau dans son vin. À son départ, il était toujours aussi furieux, mais avait été contraint de cesser ses menaces et de lui admettre la même liberté qu’il s’était octroyé à lui-même. Officiellement ils restent un couple uni. Mais Anne se méfie et redoute quelques coups bas. Aussi fera-t-elle malgré tout attention à ses faits et gestes. Elle nous annonce aussi que le lendemain midi elle a invité Oncle Georges. De son vrai nom Georges Doucadal, C’est à cet ancien compagnon de la résistance que son beau-père avait demandé de veiller sur elle. Il fait de plus partie du Conseil d’administration de la Société dont il possède 10% des parts.


Notre absence ayant quelque peu duré, nous rejoignons le reste de la troupe. Je m’approche du buffet avec plaisir car je commençais à avoir l’estomac dans les talons. Je vois qu’Anne est encore secouée par la brutalité de l’affrontement avec son époux. Je l’entraîne sur le palier, un peu hors du bruit, pour lui remonter le moral. Nous descendons ensuite dans la cour car elle dit qu’elle à besoin de prendre l’air. Nous y sommes à peine depuis une minute, qu’elle jette autour d’elle un regard attentif, me prend la main et m’entraîne vers l’escalier du sous-sol. Il m’apparaît qu’elle a une idée bien précise de la manière dont je peux lui remonter le moral. Arrivés en bas, je ne la fais pas languir. Nous échangeons un baiser. Je soulève son bustier et dévoile sa poitrine. Je la caresse. Mes lèvres remplacent ma main, tandis que cette dernière s’égare sous sa jupe. Cette fois-ci encore je constate qu’elle juge le slip comme un accessoire… accessoire. Vu la manière dont elle inonde mes doigts, cette fine lingerie aurait vite ressemblé à une serpillière. Les choses évoluant plutôt favorablement, je décide de passer à la vitesse supérieure. Je la culbute sur la table, sors mon dard et le plante dans l’endroit ad hoc. Des bras et des jambes, elle s’agrippe à moi. Elle est dans de si bonnes dispositions, qu’elle ne met pas une minute à prendre son pied. Elle relâche son emprise avant de me repousser doucement. Je recule un peu frustré. Elle se redresse, me donne un baiser avant de s’agenouiller et de se mettre à me pomper avec énergie. Je résiste un peu avant de rendre les armes. Nous remettons rapidement de l’ordre dans nos tenues et rejoignons l’étage.

Je croise les doigts pour que notre escapade n’ait pas été remarquée. Ouf ! Apparemment non.

Je me laisse entraîner à danser. Dominique est dans son élément, elle ne manque pas de partenaires bien que la gente masculine soit sous représentée. Heureusement qu’avec nombre de danses modernes on se trémousse seul, cela me permet de faire des pauses. Lors de l’une d’elle, je me trouve à côté de Carole. Après avoir hésité je lui demande comment ça se passe du côté des piqûres d’orties. Grâce à la crème, seul le premier jour a été vraiment délicat. Maintenant ça va tout à fait bien. Après m’avoir répondu, je vois qu’elle aussi hésite un peu. Elle finit par se lancer. C’est au sujet de sa sœur. Elle est préfère me prévenir :



Voilà une complication dont je n’avais pas vraiment besoin.



Avec un sourire charmeur elle me lance avant de rejoindre les danseurs.



Je dois encore faire une drôle de bobine. Il faudra que je surveille un peu plus mes expressions, j’ai l’impression que des fois on lit en moi trop facilement. Je retourne danser. Maintenant que j’y porte un peu plus attention, je me rends compte que Véronique me dévore du regard et viens vers moi dés que possible. Autant que faire se peut, je m’efforce de mettre de la distance entre nous. Malgré tout je ne peux l’éviter éternellement. Je lui accorde deux danses en m’arrangeant pour que cela soit des rocks et non des slows. Aujourd’hui Gwendoline se montre nettement plus sage que lors de son anniversaire. Il faut dire qu’elle est aussi nettement plus sobre. La fête se prolonge dans la soirée. Il est 10h00 largement passées quand nous prenons congé. Au moment des au-revoir Notre hôtesse me saute à nouveau au cou en se confondant en remerciements. Anne retourne chez elle pour superviser le repas du lendemain. Nous l’accompagnons jusqu’à sa porte avant de rentrer à la maison.

Je suis claqué. Tandis que les filles donne à manger au fauve, je me douche et vais me coucher. Je m’endors instantanément malgré mon intention d’attendre ma chérie.




Lundi 12 juillet : journée invitation.



Quand je me réveille, je suis seul dans le lit. Dans la salle à manger, mes deux chéries prennent leur petit déjeuner. Je les embrasse et me joints à elles. Il parait que je dormais tellement bien qu’elles n’ont pas eu le courage de me réveiller. Une fois prêts, nous partons chez leur mère. Comme il est tôt, nous décidons de nous y rendre à pied. En passant près des Invalides, nous faisons une petite halte sur le banc ombragé d’un square. Je suis en train de rêvasser, quand je sursaute. Une main s’est posée sur mon entrejambe. C’est celle de Dominique. Le temps que j’atterrisse, elle a déjà sorti ma queue.



Souffle-t-elle avant de ne plus pouvoir parler, car elle vient de me gober, et en jeune fille bien élevée elle ne parle pas la bouche pleine. Elle s’active avant de laisser la place à sa sœur. J’essaie de les raisonner. Mais visiblement je dois manquer de conviction, puisqu’elles continuent d’œuvrer alternativement. En voyant sa sœur m’avaler presque entièrement, confirmant ainsi son don de gorge profonde, Gwendoline essaie de l’imiter, mais elle réussit beaucoup moins bien. Elle a un ou deux hoquets qui m’inquiètent. Je me vois mal avec son petit déjeuner en garniture de sexe, mais fort heureusement cela passe. Elles y mettent de l’ardeur, considérablement d’ardeur. Elles arrivent à bout de ma résistance. Je les avertis que ça va venir. C’est Dominique qui m’a en bouche quand je pars. Elle avale tout et avant de la ranger dans mon pantalon elle nettoie consciencieusement ma queue à coups de langue. Durant toute l’opération, je jetais quelques regards alentour pour repérer d’éventuels gêneurs. J’échange un baiser avec chacune de ces deux coquines, avant que nous reprenions notre chemin. Et Gwendoline de conclure :



Arrivés, les filles ouvrent avec leur clé. Après avoir embrassé Anne, nous passons au salon en attendant « Oncle Georges ». Elle a fait préparer par la cuisinière un repas froid, servi en une seule fois, pour ne pas que les grandes oreilles des domestiques traînent pendant le repas.

On sonne. La bonne introduit un monsieur distingué, qui ne fait pas ses soixante dix ans passés. Anne et les filles l’embrassent. La bonne est sortie quand Anne nous présente :



Chacun déclare qu’il est enchanté et il me donne une franche poignée de main accompagnée d’une tape amicale sur l’épaule. Nous prenons l’apéritif au salon. Nous discutons de choses et d’autres avant qu’il me demande comment nous en sommes arrivés à notre trio. En passant sous silence bien sur le rôle d’Anne, nous lui en narrons le comment des deux sœurs et moi. L’arrivée de Dominique à la bibliothèque, les heurts, même la fessée, la réconciliation. La venue de Gwendoline pour travailler, qui s’attache à moi car sa sœur ne l’avait pas mise au courant de nos relations. La déception quand elle nous surprend à nous embrasser (Je remplace par cette version soft, le fait qu’elle m’avait découvert en pleine action avec sa mère) Le coup de vase et l’arrangement décidé à l’hôpital. L’histoire de la fessée le fait sourire et il s’étonne que Dominique n’ait pas eu une réaction plus abrupte. Elle lui explique le pourquoi de la chose. Il conclut ce récit en affirmant qu’il savait que les sœurs avaient du caractère et ne se laissaient pas arrêter facilement quand elles voulaient quelque chose. Mais que là elles avaient encore réussi à l’étonner.

Nous passons ensuite à table. Au cours du repas, à un moment on mentionne le dîner chez mon parrain le soir, de fil en aiguille, il s’avère qu’« oncle Georges » l’a connu pendant la guerre. Quand la zone où il résidait a été libérée, il a rejoint une unité combattante ou mon parrain était capitaine. Il y a aussi connu mon père qui y était commandant. Mon nom lui avait bien dit quelque chose, mais il n’avait pas fait le rapprochement. Je lui apprends que papa, après avoir quitté l’armée en 1960 pour se lancer dans les affaires est mort en Afrique en 1963. Quant à parrain il est maintenant général au SDECE. Je dois lui transmettre ses amitiés.


Après les souvenirs, Anne se lance dans les choses sérieuses. Elle annonce les dernières nouvelles, l’agression dont j’ai été victime et qui l’avait organisée, la grossesse de Gwendoline et dans la foulée qu’elle aussi est enceinte et pas de son mari. Elle narre sa dernière entrevue orageuse avec celui-ci. Oncle Georges ne condamne, ni n’approuve, il comprend. Il connaît bien le fils de son ami qui délaisse sa femme, mais voit dans ses secrétaires un vivier dans lequel il n’a qu’à puiser et où il sème des bâtards. Il s’attendait même à ce qu’Anne aille voir ailleurs plus tôt. Mais il n’est pas étonné des réactions de Monsieur Saint Lescure, car comme beaucoup de coureur, il est jaloux. Il enrage d’autant plus qu’il n’est pas en position de force et cerise sur le gâteau ses filles se révoltent contre lui et sa maîtresse assistante préférée le plaque. Par contre il ne s’attendait pas à l’expédition punitive, mais n’est pas surpris qu’il ait songé à essayer de m’acheter, car il ne pense que par l’argent et au pouvoir qu’il donne.

Après ces considérations, Oncle Georges me fait parler de moi. Quand je lui dis que je m’apprête à devenir conservateur de bibliothèque. Il imagine très bien mon beau-père piquant une crise en apprenant que non seulement une mais ses deux filles soient tombées amoureuses d’un fonctionnaire sans fortune. Je fais remarquer que si je suis fonctionnaire, je ne suis pas sans le sou. Mon père ayant assez bien réussi dans les affaires après son départ de l’armée, à sa mort l’héritage n’était pas négligeable et il a été complété par celui d’une tante qui avait un poste important dans la banque. Et c’est une part de ces héritages qui m’a permis d’investir dans la boutique. Dominique intervient alors, en parlant avec Carole (entre parenthèse, cela fait bien rire Oncle Georges que l’ex assistante travaille maintenant pour moi), elle a appris que ce que j’appelle la boutique, c’est non seulement le magasin qu’elles connaissent, mais aussi deux unités de fabrication, une en banlieue et l’autre à Strasbourg, le tout employant près de 120 personnes. Anne enchérit :



Oncle Georges me regarde d’un œil intéressé quand je parle des relations paternelles, avant d’enchaîner :



J’explique qu’au départ j’avais investi en quatre parts à peu égales : la boutique, des actions, de l’immobilier, dont mon logement et des placements monétaires. Maintenant la boutique et les actions (je ne me suis pas trop mal débrouillé à la bourse) représentent à peu près un tiers de mes investissements chacun et les deux autres, à peu près 20% chacun.



La fin du repas se passe en discussions moins personnelles. Quand l’invité part il reste encore deux bonnes heures avant l’heure d’arrivée chez mon parrain. Tandis que nous continuons de deviser Anne, Gwendoline et moi, Dominique s’éclipse. Une dizaine de minute plus tard, elle m’appelle pour que je l’aide. Quand je rentre dans sa chambre, je devrais peut être dire son ex-chambre, sortant visiblement de la douche, elle est en peignoir devant une armoire ouverte.



C’est le genre de question piège. Je parcours les vêtements et opte pour robe jaune, légère, devant lui arriver à mi-cuisse. Elle doit trouver mon choix judicieux car elle sort l’objet. Elle retire alors son peignoir. Elle ne porte qu’un slip. Pas n’importe quel slip, celui fait de sa blanche main. Ne l’ayant pas vue emmener de la maison un sac suffisamment grand pour contenir les deux godes qui occupent leur place, j’en conclus qu’elle a du le porter depuis ce matin. Désignant son harnachement :



Elle s’approche, m’embrasse longuement en se serrant et en me caressant au niveau de la braguette. Ma queue se met au garde à vous. Constatant que je suis dans de bonnes dispositions, elle me murmure avec un petit air canaille :



Avant que je réponde, elle me cloue les lèvres d’un nouveau baiser et défait mon pantalon. Je ne peux répondre, mais je partage son avis. Nous nous retrouvons rapidement sur le lit pour un 69 endiablé. Sachant ce qu’elle désire, j’insiste sur sa rosette. J’entends un bruit, mais je suis trop occupé pour y prêter attention. En l’entendant de nouveau, je dresse la tête pour voir Gwendoline munie d’un appareil photo. C’est le bruit du déclencheur qui a attiré mon attention.



Elle en a de bonnes. Cela refroidit un peu mes ardeurs. Je préfère être en quatre yeux pour ce genre de jeux. Dominique qui s’est aperçue de l’effet que l’arrivée de sa sœur a sur moi me quémande d’une voix enjôleuse :



Elle-même se remet à l’ouvrage avec détermination. Je me laisse entraîner. Mais le clic-clac de l’obturateur me rappelle la présence de Gwendoline et cela me trouble quelque peu. Dominique se met à quatre pattes sur le lit, glissant au passage dans ma main un petit flacon d’huile d’amande douce. L’invite est on ne peu plus claire, la voie usuelle étant déjà largement et naturellement lubrifiée. C’est donc à la voie étroite que je m’attaque. Après une préparation minutieuse, je pointe mon sexe vers ce qui lui est offert. Il rentre doucement. Je me rends vite compte que malgré ses efforts Dominique a du mal à absorber l’objet. Elle insiste pour que je poursuive. Je continue donc un peu, mais rapidement, je préfère arrêter les frais. Quand je la redresse, son vissage est baigné de larmes. Je la prends sur mes genoux et la câline en lui disant qu’il faut mieux ne pas insister outre mesure, ne rien brusquer, je ne vois pas le plaisir à la retrouver en pleurs. Ni pour elle, ni pour moi. Sa sœur, qui a laissé tomber son appareil, se joint à moi pour la consoler, lui faisant remarquer entre autre que si elle a du mal à se faire enculer, par contre pour sucer elle est championne, elle ne sait pas comment elle peut autant m’avaler sans avoir des nausées. Avec tout ça l’heure a tourné, il est temps de partir. Dominique met un slip conventionnel, son fondement étant un tant soi peu douloureux. L’autre se trouvant relégué, loin de son nid douillet, dans un sac.

S’étant rendue compte de ma réaction plutôt fraîche à son entrée en scène, Gwendoline argumente que se doutant que sa sœur m’avait attiré pour un moment câlin, elle voulait nous faire la surprise de prendre une série de photo. Elle pensait que ce serait bien si je n’avais pas à m’occuper de l’appareil en même temps que d’elle. Bon passons.


C’est Isabelle la maîtresse de maison qui nous ouvre. Nous lui offrons les fleurs que nous avons achetées en venant. Nous passons directement à table. En plus de mon parrain et de sa femme quatre de leurs enfants sont là : Alain d’un an plus âgé que moi, militaire comme papa, profite d’une permission pour rendre visite à la famille, Delphine, Nathalie et la cadette Ophélie. L’aîné Patrick est actuellement attaché d’ambassade en Turquie. Quand à Mathilde elle termine sa formation d’officier dans l’Armée de l’air. C’est Ophélie, du haut de ses 15 ans, qui pose, malgré les gros yeux de son père, les questions quand à notre situation à mes petites chéries et à moi. Nous servons le même récit qu’à nos autres relations. In fine Patrick fait remarquer qu’on devrait interdire à ses sœurs de continuer à me fréquenter, pour ne pas qu’elles tombent dans les filets d’un redoutable séducteur. Nathalie fait alors remarquer qu’il n’a rien à lui interdire, qu’elle succombe à qui elle veut. Pour que les filles s’intéressent autant à ma petite personne, il doit bien y avoir des raisons. Il s’en suit une pseudo dispute entre Patrick et ses sœurs. Delphine clos la discussion en disant qu’hélas elle doute que Dominique et Gwendoline acceptent des nouvelles dans la communauté. Je n’oublie pas de transmettre les salutations d’Oncle Georges à Parrain. Il s’ensuit l’évocation de quelques souvenirs de guerres. Il faudra que je songe à organiser les retrouvailles des deux hommes. Bref la soirée se passe de la plus agréable manière. Les sœurettes ont conquis parrain et sa famille et réciproquement.

L’heure est déjà bien avancée quand nous rentrons. Je m’occupe de l’estomac du fauve, quand je rejoins le lit Gwendoline dort déjà, il ne reste plus qu’à l’imiter.




Mardi 13 juillet.



Cette semaine est une bonne semaine. Demain c’est congé. Dominique et moi partons pour cette journée de travail. Avant d’arriver, tandis que je m’arrête chez le buraliste pour acheter des timbres, elle se rend chez le marchand de journaux pour acheter une revue. Comme je traverse la rue en biais pour la rejoindre, un bruit de moteur me fait tourner la tête. Une voiture vient de virer au carrefour sur les chapeaux de roue. Elle fonce sur moi. En une fraction de seconde j’évalue la situation. Je ne suis pas dans les clous. Les voitures en stationnement m’empêchent de rejoindre les trottoirs. Je saute, mon premier pied sur le capot, puis le second sur le toit. Ça y est ! Je passe au-dessus du véhicule. Non. Mon pied se prend dans la barre de toit. Je suis déséquilibré. Mon saut se termine en vol plané incontrôlé. Le sol se précipite sur moi.



À suivre…